Voir la source de Larbi Ben M'hidi

{{Semi-protection}}
{{Infobox Personnalité militaire
 | nom                 = Larbi Ben M'hidi
 | nom autre           = 
 | image               = Larbi ben M'hidi.jpg
 | taille image        = 200
 | légende             = Mohamed Larbi Ben M'hidi
 | surnom              = 
 | date de naissance   = [[1923]]
 | lieu de naissance   = [[Ain M'lila]], [[Aurès]] ([[Algérie française|Algérie]])
 | date de décès       = {{date|4|mars|1957}}
 | lieu de décès       = [[Maquis (résistance)|maquis]] dans une [[ferme (agriculture)|ferme]] à 20 km au sud d'[[Alger]]
 | âge au décès        = 34
 | origine             = {{Algérie}}
 | allégeance          = [[Front de libération nationale (Algérie)|FLN]]
 | grade               = [[Leader|Chef]] de l'[[Armée de libération nationale (Algérie)|ALN]]
 | arme                = [[Armée de libération nationale (Algérie)|Armée de libération nationale]]
 | début de carrière   = [[1945]]
 | fin de carrière     = [[1957]]
 | conflit             = [[Guerre d'Algérie]]
 | commandement        = [[Wilaya (guerre d'Algérie)#Wilaya V|Wilaya V]]<br>[[Zone autonome d'Alger]]
 | faits d'armes       = [[Bataille]]s dans l'[[Oranie]] {{refnec}}<br /> [[Bataille d’Alger]]
 | distinctions        = [[honneur]]s [[militaire]]s<br /> [[Cimetière]] des [[Martyr]]s
 | hommages            = [[1er novembre 1954|{{1er}} novembre]]<br>{{Date|20|août|}}
 | autres fonctions    = Membre fondateur du [[Front de libération nationale (Algérie)|FLN]]{{-}}([[1954]]){{-}}Membre fondateur de la [[Zone autonome d'Alger]]{{-}}([[1956]]){{-}}Membre du [[Comité de coordination et d'exécution|CCE]]{{-}}([[1956]])
 | famille             = 
 | signature           = 
 | emblème             = 
 | liste               = 
}}

'''Mohamed Larbi Ben M'hidi''' (en {{lang-ar|محمد العربي بن مهيدي}}, en [[Langues berbères|berbère]] : ⵎⵃⵎⵎⴷ ⵍⵄⵔⴱⵉ ⵓⵎⵀⵉⴷⵉ), né en [[1923]] à [[Aïn M'lila]] dans la [[wilaya d'Oum El Bouaghi]] et mort assassiné en [[1957]] à [[Alger]], est un militant nationaliste [[algérie]]n, membre du [[Parti du peuple algérien|PPA]], puis du [[Mouvement pour le triomphe des libertés démocratiques|MTLD]]<ref name="Stora2005">''Les mots de la guerre d'Algérie'', p. 22.</ref>, un des fondateurs du [[Front de libération nationale (Algérie)|FLN]] en 1954, puis combattant pendant la [[guerre d'Algérie]] (1954-1962). Arrêté en {{date-|février 1957}}, il est exécuté sans jugement par l'armée française durant la [[bataille d’Alger]]<ref name="lemonde_2001-05-02"/>{{,}}<ref name="lemonde_2007-03-06"/>. Il est considéré comme un héros de la guerre en Algérie<ref name="Stora2005" /> et son nom a été attribué à plusieurs lieux et édifices institutionnels.

== Biographie ==
=== Enfance et formation ===
[[Image:LarbiHous in Biskra.JPG|thumb|La maison de Larbi Ben M'hidi à [[Biskra]].|180x180px]]
[[Fichier:Mohamed Larbi Ben M'hidi.jpg|vignette|Larbi Ben M'hidi dans les années 1930 avec ses amis (Larbi au milieu).|232x232px]]
Cadet d'une famille rurale aisée<ref name="Harbi2009"/> de trois filles et deux garçons, il naît dans le village d'El Kouahi<ref name="Stora"/> à [[Aïn M'lila]] ({{unité|40|km}} au sud de Constantine) dans une famille [[Arabes|Arabe]] originaire de la tribu [[Hilaliens|hilalienne]] des [[Ouled Derradj|Ouled-Derradj]]<ref>{{Lien web |langue=fr |titre=Fh-Dlp-Kh-Xo-AAq-Axp |url=https://ibb.co/dM4QPMJ |site=ImgBB |consulté le=2022-11-09}}</ref>{{,}}<ref>{{Lien web |langue=fr |titre=Fh-Dlpl-XXg-AEbpgc |url=https://ibb.co/yd7Dbzv |site=ImgBB |consulté le=2022-11-09}}</ref>{{,}}<ref>{{Lien web |langue=fr |titre=Fh-Dn-U09-WAAIdgk-X |url=https://ibb.co/Kbg6Vk2 |site=ImgBB |consulté le=2022-11-09}}</ref>. Après une année à l'école primaire française, il part pour [[Batna]] où il obtient son [[certificat d’études primaires]]<ref>[http://www.1novembre54.com/histoire_algerie.php?cat=Biographie&id=BEN%20MHIDI%20Larbi Notice biographique sur le site {{1er}} novembre 1954].</ref>, puis commence des études secondaires à [[Biskra]]. En 1939, il s'engage dans les rangs des [[Scouts musulmans algériens]] ; au bout de quelques mois, il devient chef de groupe [[Scoutisme|scout]].{{référence souhaitée}}
=== Engagement politique ===
[[Image:Six chefs FLN - 1954.jpg|thumb|« Groupe des six », chefs du FLN. Photo prise juste avant le déclenchement de la Guerre d'Algérie, le {{date-|1 novembre 1954}} (debout, de gauche à droite : [[Rabah Bitat]], [[Mostefa Ben Boulaïd]], [[Didouche Mourad]] et [[Mohamed Boudiaf]]. Assis : [[Krim Belkacem]] à gauche, et [[Larbi Ben M'Hidi]] à droite).|alt= |220x220px]]
Ben M'hidi travaille ensuite comme comptable au service du Génie civil de [[Biskra]] pendant quelques mois, puis s'installe à [[Constantine (Algérie)|Constantine]] et devient un militant très actif du [[Parti du peuple algérien]] (PPA)<ref name="Harbi2009">{{Ouvrage | prénom1=Mohammed | nom1=Harbi | lien auteur1=Mohammed Harbi | titre=1954 | sous-titre=la guerre commence en Algérie | éditeur=barzakh | année=2009 | pages totales=209 | passage=190 | isbn=978-9961-892-69-5 | lire en ligne=https://books.google.fr/books?id=D-WydNuXLuwC&printsec=frontcover}}.</ref>.

Il est arrêté après les [[Massacres de Sétif et Guelma|massacres du 8 mai 1945]]<ref name="Harbi2009"/>. Le PPA étant devenu clandestin après 1945<ref name="Stora2005"/>, il adhère au [[Mouvement pour le triomphe des libertés démocratiques]] (MTLD) et devient cadre de l'[[Organisation spéciale (Algérie)|Organisation spéciale]] (OS)<ref name="Stora2005"/>. Lors du démantèlement de cette structure en [[1950]], il est de nouveau recherché<ref name="Stora2005"/> et condamné par défaut à dix ans de prison<ref name="Harbi2009"/> pour « menées subversives et activité illégale »<ref name="Stora"/>.

=== Militantisme au FLN ===
En {{date-|avril 1954}}, Ben M'hidi est l'un des neuf fondateurs du [[Comité révolutionnaire d'unité et d'action]]<ref name="Stora2005"/> (CRUA) qui le {{date|10 octobre 1954}} transforment celui-ci en [[Front de libération nationale (Algérie)|FLN]] et décident de la date du [[Toussaint rouge|{{1er}} novembre 1954]] comme date du déclenchement de la lutte armée pour l'indépendance algérienne lors de la réunion du {{date-|25 juillet 1954}} dans une modeste villa du [[El Madania|Clos Salembier]] appartenant à Lyès Deriche. On lui confie la direction de l'[[Oranie]] (wilaya V à partir de 1956) qui est sa première responsabilité ; il l'organise efficacement malgré les difficultés<ref name="Stora"/>.

En 1956, laissant le commandement de la [[Wilaya (guerre d'Algérie)|wilaya V]] à son lieutenant [[Abdelhafid Boussouf]], il devient membre du Conseil national de la révolution algérienne (CNRA); il est proche des idées d'[[Abane Ramdane]] et de [[Krim Belkacem]].

=== Engagement dans la bataille d'Alger ===
Nommé à la tête de la [[zone autonome d'Alger]], il participe à l'organisation des premiers attentats dans la capitale (notamment ceux du {{date-|30 septembre 1956}}, dont l'[[attentat du Milk-Bar]]). En janvier, le gouverneur général [[Robert Lacoste]] lance la bataille d'Alger, confiant aux parachutistes du [[général Massu]], les pouvoirs de police dans la Zone Alger-Sahel.

Larbi Ben M'hidi est arrêté le {{date-|23 février 1957}} par les Parachutistes (la direction de la ZAA passe alors à son adjoint [[Yacef Saâdi]], responsable militaire) ; refusant de parler, il est tué par un groupe de soldats français aux ordres du futur général [[Paul Aussaresses]], dans la nuit du 3 au {{date-|4 mars 1957}}<ref name="date du décès">Mohammed Harbi, Benjamin Stora (dir.), ''La Guerre d'Algérie, 1954-2004, la fin de l'amnésie'', [[Éditions Robert Laffont|Robert Laffont]], 2004.</ref>. En 2017, dans une interview au journal ''[[El Watan]]'', sa sœur Drifa Ben M’hidi estime certain que son frère a été dénoncé par ses compagnons d'armes<ref>[https://www.elwatan.com/edition/culture/mon-frere-a-ete-donne-aux-francais-par-ses-compagnons-darmes-18-08-2017 « Mon frère a été donné aux Français par ses compagnons d’armes »], ''El Watan'', 18 août 2017.</ref>.

== Réactions postérieures à sa mort ==
[[Fichier:Arrestation de Larbi Ben M'Hidi.jpg|alt=|vignette|Arrestation de Ben M'Hidi lors de la bataille d'Alger le {{date-|23 février 1957}}.]]
=== Témoignage de Jacques Allaire ===
Dans le [[Documentaire|film documentaire]] d'[[Yves Boisset]] sur ''[[La Bataille d'Alger]]'' réalisé en 2006, le colonel [[Jacques Allaire]], à l'époque lieutenant, qui avait arrêté Larbi Ben M'hidi en 1957, déclare à son sujet : {{citation|Si je reviens à l’impression qu’il m’a faite, à l’époque où je l’ai capturé, et toutes les nuits où nous avons parlé ensemble, j’aurais aimé avoir un patron comme ça de mon côté, j’aurais aimé avoir beaucoup d’hommes de cette valeur, de cette dimension, de notre côté. Parce que c’était un seigneur Ben M’Hidi. Ben M’Hidi était impressionnant de calme, de sérénité, et de conviction. Lorsque je discutais avec lui et que je lui disais: « Vous êtes le chef de la rébellion, vous voilà maintenant entre nos mains, la bataille d’Alger est perdue », et j’extrapolais un peu : « La guerre d’Algérie, vous l’avez perdue maintenant ! ». Il dit : « Ne croyez pas ça ! » Et il me rappelait les chants de la résistance (Le chant des Partisans) un autre prendra ma place. Voila ce qu’il m’a dit, mais ceci d'une manière sereine pas ostentatoire. C'est un homme qui est calme, serein, je ne peux même pas dire qu'il était inquiet, il avait déjà compris que la page était tournée pour lui parce que:... Que faire de Ben M'Hidi ? ... Que faire de Ben M'Hidi ? Nous nous avons d'abord longuement parler avec le colonel Bigeard et j'ai dit que Ben M'Hidi est un poisson trop gros pour nous, il faut le rendre, il faut le donner et le reste ce n'est plus notre problème, c'est à l’échelon supérieur de décider de ce que l'on pourra faire de Ben M'Hidi.

« Ben M’Hidi. Ça m’a fait de la peine de le perdre, parce que je savais qu’on ne le reverrait plus. Je subodorais. » « Je l’ai remis à l’État-major, et à une équipe qui est venue le chercher, et c’était la nuit, et bien que le règlement s’y oppose, je lui ai fait présenter les armes, parce qu’il faut reconnaître chez son adversaire la valeur et le courage. Et Ben M’Hidi était pour moi un grand monsieur et d’ailleurs son prénom, dans la résistance, c’était Hakim, qui veut dire : le preux. » « Après, il a été remis à la justice, dans un camp d’internement, et j’ai appris à travers la presse, les journaux, et tous les livres d’histoire que j’ai parcourus qu’il s’était suicidé dans sa cellule le 4 mars… »}}<ref>[[Yves Boisset]], ''La Bataille d'Alger'', 2006.</ref>

=== Aveux de Paul Aussaresses ===
[[Fichier:Larbi Ben M'Hidi - 1957.jpg|vignette|306x306px|Arrestation de Larbi Ben M'hidi le 23 février 1957.]]
En [[2001]], dans son livre ''Services spéciaux, Algérie 1955-1957'' ([[éditions Perrin]]), le général [[Aussaresses]] reconnaît avoir procédé à l'exécution sommaire, par [[pendaison]] maquillée en [[suicide]], de Larbi Ben M'Hidi, dans la nuit du 3 au {{date-|4 mars 1957}}, les faits étant commis avec l'assentiment tacite, selon lui, de sa hiérarchie militaire et d'un juge qui aurait lu le rapport sur le prétendu suicide avant que celui-ci ait eu lieu<ref name="lemonde_2001-05-02">« Les aveux du général Aussaresses », ''[[Le Monde]]'', 3 mai 2001, contenant de larges extraits du livre ''Services spéciaux, Algérie 1955-1957'', Perrin, 3 mai 2001.</ref>.

Le {{date-|5 mars 2007}}, dans un entretien au quotidien ''[[Le Monde]]''<ref name="lemonde_2007-03-06">Florence Beaugé, « Le général Aussaresses confirme que le chef du FLN à Alger, Larbi Ben M'Hidi, a été pendu », ''[[Le Monde]]'', 6 mars 2007.</ref>, Aussaresses retrace les dernières heures de Larbi Ben M'hidi, amené d'Alger dans la [[Mitidja]], dans la ferme désaffectée d'un colon. Six hommes dont Aussaresses préparent l'exécution en passant une corde à travers un conduit de chauffage. L'un des hommes joue le rôle du supplicié pour vérifier que tout est au point. Il est monté sur un [[tabouret]], a passé sa tête dans le nœud et regarde les autres provoquant un fou rire général. Un parachutiste veut bander les yeux de Ben M'hidi. Celui-ci refuse. Le soldat répond qu'il exécute un ordre. Ben M'hidi réplique qu'il est colonel de l'[[Armée de libération nationale (Algérie)|ALN]] et qu'il sait ce que sont les ordres. Sa demande sera refusée ; il sera pendu les yeux bandés et se taira jusqu'à la fin. Pour le pendre, les [[bourreau]]x vont s'y prendre à deux fois. La première fois, la corde casse.

== Hommages ==
[[Héros national]] en [[Algérie]]<ref name="Stora2005"/>, il est enterré dans le « carré des martyrs » du [[cimetière d'El Alia]], à Alger<ref name="Relexions20110808">« Les martyrs de la révolution algérienne : Larbi Ben M'Hidi », Réflexions, {{date-|8 août 2011}} ([http://www.reflexiondz.net/LES-MARTYRS-DE-LA-REVOLUTION-ALGERIENNE-Larbi-Ben-M-Hidi_a12801.html Lire en ligne]).</ref>. En son honneur, [[Marsa Ben M'Hidi]], une commune de la [[wilaya de Tlemcen]], porte son nom. Il en est de même de l'ex-village Morris, maintenant sous-préfecture dans la [[wilaya d'El Tarf]], qui porte le nom [[Ben Mehidi|Ben M'hidi]].[[Fichier:Montre-Larbi-Ben-M'hidi.jpg|vignette|Montre de Larbi au [[musée national du moudjahid d'Alger]].]]
À l'instar de la [[rue Larbi-Ben-M'Hidi]], une importante artère d'Alger (ancienne rue d'Isly), chaque ville d'Algérie a une rue portant son nom<ref name="Stora">''Dictionnaire biographique des militants nationalistes algériens'', p. 323.</ref>, ainsi que différents établissements scolaires à travers le pays, l’université d'Oum El Bouaghi, et des plages de la ville de [[Skikda]] (anciennement plages Jeanne-d'Arc).

Sa vie a été adaptée au cinéma par [[Bachir Derrais]] dans le [[Larbi Ben M'hidi (film)|film Larbi Ben M’hidi]], sorti le {{date|04|mars|2024}}<ref>{{Lien web|titre=Prévue Ce Soir : Projection En Avant-Première Du Film « Ben M’Hidi » À L’opéra D’Alger|url=https://lestrepublicain.com/2024/03/04/prevue-ce-soir-projection-en-avant-premiere-du-film-ben-mhidi-a-lopera-dalger/|date=04 mars 2024|site=lestrepublicain.com|consulté le=05 mars 2024}}</ref>.

== Notes et références ==
{{Références}}

== Annexes ==
=== Bibliographie ===
* Khalfa Mameri, ''Les Héros de la guerre d'Algérie. Larbi Ben M'hidi'', Alger, Éditions Karim Mameri, 1996, 168 p.
* {{Ouvrage|prénom1=Benjamin|nom1=Stora|lien auteur1=Benjamin Stora|titre=Dictionnaire biographique des militants nationalistes algériens|sous-titre=E.N.A., P.P.A., M.T.L.D., 1926-1954|éditeur=[[Éditions L'Harmattan]]|année=1985|passage=323|isbn=|lire en ligne=https://books.google.fr/books?id=ZTlMK_m0v08C&pg=PA323|consulté le=6 janvier 2013}}.
* {{Ouvrage |langue=fr |prénom1=Benjamin |nom1=Stora |lien auteur1=Benjamin Stora |titre=Les Mots de la guerre d'Algérie |lieu=Toulouse |éditeur=Presses univ. du Mirail |collection=Les mots de |année=2005 |pages totales=127 |passage=22 |isbn=2-85816-777-X |lire en ligne=https://books.google.fr/books?id=AnWDLE23YwQC&printsec=frontcover}}.

;Article
* [https://scholar.lib.vt.edu/InterNews/LeMonde/issues/2001/monde.20010503.pdf «Les aveux du général Aussaresses»], dans ''[[Le Monde]]'', {{date-|3 mai 2001}}, page 14, article contenant de larges extraits du livre ''Services spéciaux, Algérie 1955-1957'', Perrin, 2001.

=== Articles connexes ===
* [[Bataille d'Alger]]
* [[Parti du peuple algérien]]
* [[Brahim Chergui]]

=== Liens externes ===
{{Liens}}

{{Palette Guerre d'Algérie}}
{{Portail|Algérie|politique|Aurès|Berbères}}

{{DEFAULTSORT:Ben M'hidi, Larbi}}
[[Catégorie:Personnalité de l'histoire algérienne]]
[[Catégorie:Personnalité du Parti du peuple algérien]]
[[Catégorie:Personnalité du Mouvement pour le triomphe des libertés démocratiques]]
[[Catégorie:Membre du Front de libération nationale (Algérie)]]
[[Catégorie:Indépendantiste algérien mort pendant la guerre d'Algérie]]
[[Catégorie:Personnalité chaouie]]
[[Catégorie:Titulaire du certificat d'études primaires]]
[[Catégorie:Prisonnier à la prison de Maison-Carrée]]
[[Catégorie:Prisonnier algérien]]
[[Catégorie:Naissance en 1923]]
[[Catégorie:Naissance à Aïn M'lila]]
[[Catégorie:Décès en mars 1957]]
[[Catégorie:Décès à 34 ans]]
[[Catégorie:Mort assassiné en Algérie]]
[[Catégorie:Personnalité politique algérienne assassinée]]
[[Catégorie:Personnalité inhumée au cimetière d'El Alia]]