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== Biographie ==
Surnommé « Ti-Doré », il commence sa carrière de chanteur de rue en [[1948]] en interprétant ses premières compositions. Au début des années 1950, il se produit dans les fêtes, mariages, bals, entr'actes de cinéma et se fait connaître dans toute l'île : il sera très populaire à [[Saint-Pierre (La Réunion)|Saint-Pierre]].
Surnommé « Ti-Doré », il commence sa carrière de chanteur de rue en [[1948]] en interprétant ses premières compositions. Au début des années 1950, il se produit dans les fêtes, mariages, bals, entr'actes de cinéma<ref>{{Lien web |titre=Hommage à Henri Madoré, "Ti Doré", le chanteur de rue du séga |url=https://la1ere.francetvinfo.fr/reunion/saint-denis/hommage-a-henri-madore-ti-dore-le-chanteur-de-rue-du-sega-991669.html |langue=fr |date=25 avril 2021 |site=La 1ère France TV Info |consulté le=18 mai 2024 |auteur=Sonia Bardinot}}</ref> et se fait connaître dans toute l'île : il sera très populaire à [[Saint-Pierre (La Réunion)|Saint-Pierre]].


Le {{date|15 mars 1955}}, il enregistre son premier disque avec les chansons ''Marmaille la bit''' et ''La mandoze''. Chanteur marginal, doué pour l'improvisation, l'insolence et la provocation, Henri Madoré exercera son art hors des circuits officiels, préférant chanter aux terrasses de cafés contre quelques verres de [[rhum]]. Ses chansons ont influencé [[Michel Admette]].
Le {{date|15 mars 1955}}, il enregistre son premier disque avec les chansons ''Marmaille la bit''' et ''La mandoze''. Chanteur marginal, doué pour l'improvisation, l'insolence et la provocation, Henri Madoré exercera son art hors des circuits officiels, préférant chanter aux terrasses de cafés contre quelques verres de [[rhum]]. Ses chansons ont influencé [[Michel Admette]].
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== Références ==
== Références ==
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== Liens externes ==
== Voir aussi ==
=== Bibliographie ===
* {{Autorité}}
*{{Ouvrage|titre="Pas besoin croire moin lé mort"|langue=fr|auteur1=Nathalie Legros|lieu=Saint-Denis (Réunion)|éditeur=Ed. Réunion|année=1990|pages totales=196|isbn=9782908343014|consulté le=2024-05-18|sous-titre=Madoré, 1928-1988|bnf=cb35091722d|lccn=90982065|oclc=462198722}}
* {{Bases musique}}
*{{Ouvrage|titre=Etude linguistique de la spatialité dans le corpus chantés et créoles réunionnais Maxime Laope, Loulou Pitou, Henri Madoré, 1922-2005|langue=fr|auteur1=Adriana Folgoat|éditeur=|année=2010|consulté le=2024-05-18|auteur2=Gillette Staudacher-Valliamée|directeur2=oui|auteur institutionnel=Université de la Réunion Faculté des lettres et des sciences humaines|oclc=758912226}}

=== Liens externes ===
{{liens}}


{{Portail|musiques du monde|La Réunion|poésie|Langues créoles et créolophonie}}
{{Portail|musiques du monde|La Réunion|poésie|Langues créoles et créolophonie}}

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Page d’aide sur l’homonymie

Pour les articles homonymes, voir Madoré.



Cet article est une ébauche concernant La Réunion, un écrivain français, un musicien français et un chanteur français.

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Henri Madoré
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Biographie
Naissance
Décès
Nom de naissance
Henri MadouréVoir et modifier les données sur Wikidata
Surnom
Ti-DoréVoir et modifier les données sur Wikidata
Pseudonyme
Henri MadoréVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Activités
Période d'activité
Autres informations
Instruments
Label
Takamba
Genre artistique

modifier - modifier le code - modifier WikidataDocumentation du modèle

De son vrai nom Henri Madouré, Henri Madoré est un chanteur réunionnais né le à Saint-Denis et mort le à Saint-Denis.

Biographie[modifier | modifier le code]

Surnommé « Ti-Doré », il commence sa carrière de chanteur de rue en 1948 en interprétant ses premières compositions. Au début des années 1950, il se produit dans les fêtes, mariages, bals, entr'actes de cinéma[1] et se fait connaître dans toute l'île : il sera très populaire à Saint-Pierre.

Le , il enregistre son premier disque avec les chansons Marmaille la bit' et La mandoze. Chanteur marginal, doué pour l'improvisation, l'insolence et la provocation, Henri Madoré exercera son art hors des circuits officiels, préférant chanter aux terrasses de cafés contre quelques verres de rhum. Ses chansons ont influencé Michel Admette.

Discographie[modifier | modifier le code]

78 tours[2]

  • Marmaille la bit' ; La mandoze, Festival OM31S.
  • A.B.C.D. ; Pas besoin croire moin l'est mort, Festival OM32S.
  • Z'enfant bâtard ; Pêcheurs Saint Leu, Festival OM33S.
  • Mamzelle Rico ; Séga-cola, Philips.

45 tours[2]

  • Tantine tonton ; Prete a moins ton bergère, Soredisc SOR20015.
  • Carrousel de bois ; La pétanque, Soredisc SOR20016.
  • Les courses à Maurice ; Poupète coclet, Soredisc SOR20017.

Disques compacts

1997 : Le Dernier chanteur de rue (Takamba)
  1. La pas besoin croire qu'moin l'est mort
  2. Z'enfant bâtard
  3. A, B, C, D
  4. Coca-cola
  5. Prête à moin ton bergère
  6. Le rhum l'est bon
  7. Ti-Doré dans l'île
  8. Les courses Maurice
  9. Marmailles la bit'
  10. La mandoze
  11. Mam'zelle Rico
  12. Mouvment d'riz
  13. Pépita
  14. Madina
  15. Tantine tonton
  16. Cassé brisé
  17. Josette
  18. La pétanque
  19. Harmonica (instrumental)
  20. A, B, C, D (version 78 tours)
  21. La pas besoin croire qu'moin l'est mort (version 78 tours)
2008 : Le Dernier chanteur de rue (réédition augementée de 5 titres) (Takamba)
  1. Pas besoin croire qu'moin l'est mort
  2. Z'enfant bâtard
  3. A, B, C, D
  4. Coca-Cola
  5. Prête à moin ton bergère
  6. Le rhum l'est bon
  7. Ti-Doré dans l'île
  8. Les courses Maurice
  9. Marmailles la bit'
  10. La mandoze
  11. Mam'zelle Rico
  12. Mouvment d'riz
  13. Pépita
  14. Madina
  15. Tantine tonton
  16. Cassé brisé
  17. Josette
  18. La pétanque
  19. Carrousel de bois (instrumental)
  20. A, B, C, D (version 78 tours)
  21. Pas besoin croire qu'moin l'est mort (version 78 tours)
  22. Pêcheur Saint-Leu
  23. T'it séga créole (instrumental)
  24. Chapeau Mambolo
  25. Poupète coclet (instrumental)
  26. Tango d'inflammation

Hommages[modifier | modifier le code]

En 1998, le premier et le seul studio communal de répétition et d’enregistrement de l’île est inauguré à Saint-Benoît et porte son nom, studio Henri Madoré[3].

Références[modifier | modifier le code]

  1. ↑ Sonia Bardinot, « Hommage à Henri Madoré, "Ti Doré", le chanteur de rue du séga », sur La 1ère France TV Info, (consulté le )
  2. ↑ a et b Arno Bazin, Catalogue discographique de l'Océan Indien, 2004
  3. ↑ « Un concert pour les 25 ans du studio Madoré », sur Clicanoo, (consulté le )

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Nathalie Legros, "Pas besoin croire moin lé mort" : Madoré, 1928-1988, Saint-Denis (Réunion), Ed. Réunion, , 196 p. (ISBN 9782908343014, OCLC 462198722, BNF 35091722, LCCN 90982065)
  • Adriana Folgoat et Gillette Staudacher-Valliamée (dir.), Université de la Réunion Faculté des lettres et des sciences humaines, Etude linguistique de la spatialité dans le corpus chantés et créoles réunionnais Maxime Laope, Loulou Pitou, Henri Madoré, 1922-2005, (OCLC 758912226)

Liens externes[modifier | modifier le code]

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