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{{Infobox Biographie2
{{Infobox Biographie2
| charte = évêque
| charte = évêque catholique
| nom = Jean-Marie Runiga
| date de naissance = Vers 1960
| lieu de naissance = [[Bukavu]]
| religion = [[Évangélisme]]
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}}


'''Jean-Marie Runiga,''' de son vrai nom '''Jean-Marie Lugerero Runiga''' est un [[évêque]] et un homme politique de la [[République démocratique du Congo]], leader de la branche politique et coordonnateur du [[Mouvement du 23 mars|mouvement du 23 Mars]] (M23)<ref>{{Article|langue=en|auteur1=Azad Essa|titre=M23 rebels set conditions for Goma exit|périodique=aljazeera.net|jour=28|mois=11|année=2012|date=2012-11-28|issn=|lire en ligne=http://www.aljazeera.com/news/africa/2012/11/20121127144732872886.html|accès url=libre}}</ref>{{,}}<ref name=":0">{{Lien web |titre=RDC : Jean-Marie Runiga, chef politique du M23, démis de ses fonctions |url=https://www.jeuneafrique.com/172029/politique/rdc-jean-marie-runiga-chef-politique-du-m23-d-mis-de-ses-fonctions/ |accès url=libre |site=[[Jeune Afrique]] |date=28 février 2013 |consulté le=17 mai 2024}}</ref>, une rébellion congolaise composé en majorité de tutsis rwandophones<ref name=":1">{{Lien web |langue=fr |nom=[[Agence France Presse|AFP]] |titre=RDC : une faction des rebelles du M23 en fuite au Rwanda |url=https://www.liberation.fr/planete/2013/03/16/rdc-une-faction-des-rebelles-du-m23-en-fuite-au-rwanda_889077/ |accès url=libre |site=[[Libération (journal)|Libération]] |date=16 mars 2013 |consulté le=2024-05-17}}</ref>.
'''Jean-Marie Runiga,''' de son vrai nom '''Jean-Marie Lugerero Runiga'''<ref name=":3">{{Lien web |titre=Le Comité de sanctions sur la République démocratique du Congo ajoute deux individus et deux entités à la liste des sanctions |url=https://press.un.org/fr/2012/sc10876.doc.htm |accès url=libre |site=[[Organisation des nations unies|ONU]] Couverture des réunions & communiqués de presse |date=31/12/2012 |consulté le=2024-05-19}}</ref> est un [[évêque]] de l'[[Église du Réveil du Congo]]<ref name=":4">{{Lien web |langue=fr |titre=Jean-Marie Runiga, président du M23: «Je ne suis pas extrémiste» |url=https://www.rfi.fr/fr/afrique/20130213-jean-marie-runiga-president-m23-kabila-rdc-rutshuru-goma-kinshasa |site=[[Radio France Internationale]] |date=2013-02-13 |consulté le=2024-05-19}}</ref>, et un homme politique de la [[République démocratique du Congo]] (RDC), leader de la branche politique du [[Mouvement du 23 mars|mouvement du 23 Mars]] (M23)<ref>{{Article|langue=en|auteur1=Azad Essa|titre=M23 rebels set conditions for Goma exit|périodique=aljazeera.net|jour=28|mois=11|année=2012|date=2012-11-28|issn=|lire en ligne=http://www.aljazeera.com/news/africa/2012/11/20121127144732872886.html|accès url=libre}}</ref>{{,}}<ref name=":0">{{Lien web |titre=RDC : Jean-Marie Runiga, chef politique du M23, démis de ses fonctions |url=https://www.jeuneafrique.com/172029/politique/rdc-jean-marie-runiga-chef-politique-du-m23-d-mis-de-ses-fonctions/ |accès url=libre |site=[[Jeune Afrique]] |date=28 février 2013 |consulté le=17 mai 2024}}</ref>, une rébellion congolaise composé en majorité de tutsis rwandophones<ref name=":1">{{Lien web |langue=fr |nom=[[Agence France Presse|AFP]] |titre=RDC : une faction des rebelles du M23 en fuite au Rwanda |url=https://www.liberation.fr/planete/2013/03/16/rdc-une-faction-des-rebelles-du-m23-en-fuite-au-rwanda_889077/ |accès url=libre |site=[[Libération (journal)|Libération]] |date=16 mars 2013 |consulté le=2024-05-17}}</ref>, fonction qu'il occupe jusque à sa destitution en février 2013<ref name=":0" />.


En 2003, Jean-Marie Runiga est nommé président du conseil d’administration du Fonds pour la promotion de l’industrie par [[Joseph Kabila|Joseph Kibala]]<ref name=":2">{{Lien web |titre=RDC – M23 : Jean-Marie Runiga, entre la bible et le kalachnikov |url=https://www.jeuneafrique.com/174139/politique/rdc-m23-jean-marie-runiga-entre-la-bible-et-le-kalachnikov/ |accès url=libre |site=[[Jeune Afrique]] |date=27 septembre 2012 |consulté le=17/05/2024}}</ref>. Présidence qu'il occupera jusqu'en 2007 avant de rejoindre la rébellion du [[congrès national pour la défense du peuple]] (CNDP)<ref name=":2" />.
En 2003, Jean-Marie Runiga est nommé président du conseil d’administration du Fonds pour la promotion de l’industrie par [[Joseph Kabila|Joseph Kibala]]<ref name=":2">{{Lien web |titre=RDC – M23 : Jean-Marie Runiga, entre la bible et le kalachnikov |url=https://www.jeuneafrique.com/174139/politique/rdc-m23-jean-marie-runiga-entre-la-bible-et-le-kalachnikov/ |accès url=libre |site=[[Jeune Afrique]] |date=27 septembre 2012 |consulté le=17/05/2024}}</ref>. Présidence qu'il occupera jusqu'en 2007 avant de rejoindre la rébellion du [[congrès national pour la défense du peuple]] (CNDP)<ref name=":2" />.


En 2012, c'est la rébellion du M23 qu'il rejoint, en tant que coordonnateur et président de la branche politique<ref name=":0" />.
En 2012, il rejoint la rébellion du M23, en tant que coordonnateur et président de la branche politique<ref name=":0" />.


Le {{Date-|22 novembre 2012}}, alors que le M23 contrôle [[Goma]] depuis le {{Date-|20 novembre 2012}}, Jean-Pierre Runiga, se rend à [[Kampala]], à la tête d'une délégation du M23, pour y rencontrer le président ougandais [[Yoweri Museveni]], à la demande de ce dernier. C'est le premier déplacement officiel d’un dirigeant du M23 depuis la création du mouvement<ref>{{Lien web |langue=fr |titre=RDC: le président du M23 est parti à Kampala pour rencontrer Museveni |url=https://www.radiookapi.net/actualite/2012/11/22/rdc-le-president-du-m23-est-parti-kampala-pour-rencontrer-museveni |accès url=libre |site=[[Radio Okapi]] |date=2012-11-22 |consulté le=2024-05-19}}</ref>. Le {{Date|24 novembre 2012}}, Il participe au sommet extraordinaire des [[Afrique des Grands Lacs|pays de la région des Grands Lacs]]<ref>{{Lien web |langue=fr |titre=Crise à l'est de la RDC: Kampala accueille un sommet extraordinaire, sans le président rwandais |url=https://www.rfi.fr/fr/afrique/20121124-le-rwandais-paul-kagame-decline-invitation-kampala-paul-kagame-pose-lapin-kampala |accès url=libre |site=[[Radio France Internationale]] |date=2012-11-24 |consulté le=2024-05-19}}</ref>. Ce sommet a pour objectif de trouver une issue au conflit entre le gouvernement de la RDC et la rébellion du M23. En conclusion du sommet, les dirigeants participants, Yoweri Muzeveni pour l'[[Ouganda]], Joseph Kabila pour la RDC, [[Mwai Kibaki]] pour le [[Kenya]] et [[Jakaya Kikwete]] pour la [[Tanzanie]], demandent au M23 de quitter Goma d'ici {{Nombre|48|heures}} et en échange les autorités congolaises se sont engagés à écouter les revendications des insurgés<ref name=":5">{{Lien web |langue=fr |titre=RDC: les rebelles sous pression pour quitter Goma |url=https://www.ladepeche.fr/article/2012/11/25/1498097-rdc-les-rebelles-sous-pression-pour-quitter-goma.html |accès url=libre |site=[[La Dépêche du Midi]] |date=2012-11-25 |consulté le=2024-05-19}}</ref>. En marge de ce sommet, Jean-Pierre Runiga et la délégation du M23 rencontrent le président Joseph Kabila<ref name=":5" />{{,}}<ref>{{Lien web |langue=fr |titre=RDC : le président Kabila rencontre la rébellion du M23 à Kampala |url=https://www.rfi.fr/fr/afrique/20121125-rdc-le-president-kabila-rencontre-rebellion-m23-kampala |accès url=libre |site=[[Radio France Internationale]] |date=2012-11-25 |consulté le=2024-05-19}}</ref>, et, selon Runiga, des négociations directes entre le M23 et les autorités congolaises sont prévues le jour suivant<ref>{{Lien web |langue=fr |titre=RDC: le chef des rebelles rencontre Kabila en vue de "négociations" |url=https://www.ladepeche.fr/article/2012/11/24/1497600-rdc-le-sommet-de-kampala-demande-au-m23-l-arret-des-hostilites.html |accès url=libre |site=[[La Dépêche du Midi]] |date=25/11/2012 |consulté le=2024-05-19}}</ref>, mais Kabila quitte l'Ouganda le lendemain sans avoir revu Runiga<ref name=":5" />. Il s'en suit des déclarations des deux parties, le gouvernement affirmant que le retrait du M23 de Goma est impératif avant d'entamer les négociations, et Jean-Pierre Runiga indiquant à l'AFP que {{Citation|Le retrait de Goma ne doit pas être une condition pour les négociations mais doit être le résultat des négociations}}<ref name=":5" />.
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Le {{Date-|28 novembre 2012}}, Jean-Pierre Runiga lors d'un entretien à [[Radio France Internationale]], indique que le retrait des troupes de Goma ne constitue pas un problème, mais demande que {{Citation|il doit y avoir des actes de bonne volonté avant que les négociations proprement dites ne se fassent}}, exigeant {{Citation|la levée immédiate et sans conditions de la privation de liberté imposée à [[Etienne Tshisekedi|M. Etienne Tshisekedi]]}} et {{Citation|la libération immédiate et sans conditions de tous les prisonniers politiques et d'opinion}}<ref>{{Lien web |langue=fr |titre=Le grand invité Afrique - Jean-Marie Runiga, président du M23 (RDC) |url=https://www.rfi.fr/fr/emission/20121128-jean-marie-runiga-president-m23-rdc |accès url=libre |site=[[Radio France Internationale]] |date=2012-11-28 |consulté le=2024-05-19}}</ref>.

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Le {{Date-|28 février 2013}}, Jean-Marie Runiga est destitué de la présidence du M23 par [[Sultani Makenga]], le chef militaire du M23, qui l'accuse de soutenir le général en fuite [[Bosco Ntaganda]], sous mandat d'arrêt de la [[cour pénale internationale]]<ref name=":0" />. Il en résulte une scission du M23<ref name=":0" />, la rébellion est scindé en deux factions, une pro Makenga et une pro Ntaganda. Dans les semaines qui suivent, la faction fidèle à Ntaganda, dirigée par Runiga, est mise en déroute par la faction de Makenga. Jean-Pierre Runiga se réfugie au Rwanda avec ses troupes, où ils sont désarmés et mis en détention<ref name=":1" />{{,}}<ref>{{Lien web |langue=fr |prénom=Marie-France |nom=Cros |titre=L’une des deux factions du M23, battue, a fui au Rwanda |url=https://www.lalibre.be/international/2013/03/18/lune-des-deux-factions-du-m23-battue-a-fui-au-rwanda-BXZIPB56XVHUVINPSORBAQ65VE/ |accès url=libre |site=[[La Libre Belgique|La Libre]] |date=2024-05-17 |consulté le=2024-05-17}}</ref>.


== Référence ==
== Référence ==

Dernière version du 20 mai 2024 à 00:30

Jean-Marie Runiga
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Biographie
Naissance
Vers 1960
Bukavu
Activités
Autres informations
Religion

Jean-Marie Runiga, de son vrai nom Jean-Marie Lugerero Runiga[1] est un évêque de l'Église du Réveil du Congo[2], et un homme politique de la République démocratique du Congo (RDC), leader de la branche politique du mouvement du 23 Mars (M23)[3],[4], une rébellion congolaise composé en majorité de tutsis rwandophones[5], fonction qu'il occupe jusque à sa destitution en février 2013[4].

En 2003, Jean-Marie Runiga est nommé président du conseil d’administration du Fonds pour la promotion de l’industrie par Joseph Kibala[6]. Présidence qu'il occupera jusqu'en 2007 avant de rejoindre la rébellion du congrès national pour la défense du peuple (CNDP)[6].

En 2012, il rejoint la rébellion du M23, en tant que coordonnateur et président de la branche politique[4].

Le , alors que le M23 contrôle Goma depuis le , Jean-Pierre Runiga, se rend à Kampala, à la tête d'une délégation du M23, pour y rencontrer le président ougandais Yoweri Museveni, à la demande de ce dernier. C'est le premier déplacement officiel d’un dirigeant du M23 depuis la création du mouvement[7]. Le , Il participe au sommet extraordinaire des pays de la région des Grands Lacs[8]. Ce sommet a pour objectif de trouver une issue au conflit entre le gouvernement de la RDC et la rébellion du M23. En conclusion du sommet, les dirigeants participants, Yoweri Muzeveni pour l'Ouganda, Joseph Kabila pour la RDC, Mwai Kibaki pour le Kenya et Jakaya Kikwete pour la Tanzanie, demandent au M23 de quitter Goma d'ici 48 heures et en échange les autorités congolaises se sont engagés à écouter les revendications des insurgés[9]. En marge de ce sommet, Jean-Pierre Runiga et la délégation du M23 rencontrent le président Joseph Kabila[9],[10], et, selon Runiga, des négociations directes entre le M23 et les autorités congolaises sont prévues le jour suivant[11], mais Kabila quitte l'Ouganda le lendemain sans avoir revu Runiga[9]. Il s'en suit des déclarations des deux parties, le gouvernement affirmant que le retrait du M23 de Goma est impératif avant d'entamer les négociations, et Jean-Pierre Runiga indiquant à l'AFP que « Le retrait de Goma ne doit pas être une condition pour les négociations mais doit être le résultat des négociations »[9].

Le , Jean-Pierre Runiga lors d'un entretien à Radio France Internationale, indique que le retrait des troupes de Goma ne constitue pas un problème, mais demande que « il doit y avoir des actes de bonne volonté avant que les négociations proprement dites ne se fassent », exigeant « la levée immédiate et sans conditions de la privation de liberté imposée à M. Etienne Tshisekedi » et « la libération immédiate et sans conditions de tous les prisonniers politiques et d'opinion »[12].

Le [1], Jean-Marie Runiga est sanctionné par le conseil de sécurité des Nations unies, qui le considère comme « le chef civil du M23 », il lui est interdit de voyager à l'étranger et ses avoirs sont gelés[1],[2],[13].

Le , Jean-Marie Runiga est destitué de la présidence du M23 par Sultani Makenga, le chef militaire du M23, qui l'accuse de soutenir le général en fuite Bosco Ntaganda, sous mandat d'arrêt de la cour pénale internationale[4]. Il en résulte une scission du M23[4], la rébellion est scindé en deux factions, une pro Makenga et une pro Ntaganda. Dans les semaines qui suivent, la faction fidèle à Ntaganda, dirigée par Runiga, est mise en déroute par la faction de Makenga. Jean-Pierre Runiga se réfugie au Rwanda avec ses troupes, où ils sont désarmés et mis en détention[5],[14].

Référence[modifier | modifier le code]

  1. a b et c « Le Comité de sanctions sur la République démocratique du Congo ajoute deux individus et deux entités à la liste des sanctions » Accès libre, sur ONU Couverture des réunions & communiqués de presse, (consulté le )
  2. a et b « Jean-Marie Runiga, président du M23: «Je ne suis pas extrémiste» », sur Radio France Internationale, (consulté le )
  3. (en) Azad Essa, « M23 rebels set conditions for Goma exit », aljazeera.net,‎ (lire en ligne Accès libre)
  4. a b c d et e « RDC : Jean-Marie Runiga, chef politique du M23, démis de ses fonctions » Accès libre, sur Jeune Afrique, (consulté le )
  5. a et b AFP, « RDC : une faction des rebelles du M23 en fuite au Rwanda » Accès libre, sur Libération, (consulté le )
  6. a et b « RDC – M23 : Jean-Marie Runiga, entre la bible et le kalachnikov » Accès libre, sur Jeune Afrique, (consulté le )
  7. « RDC: le président du M23 est parti à Kampala pour rencontrer Museveni » Accès libre, sur Radio Okapi, (consulté le )
  8. « Crise à l'est de la RDC: Kampala accueille un sommet extraordinaire, sans le président rwandais » Accès libre, sur Radio France Internationale, (consulté le )
  9. a b c et d « RDC: les rebelles sous pression pour quitter Goma » Accès libre, sur La Dépêche du Midi, (consulté le )
  10. « RDC : le président Kabila rencontre la rébellion du M23 à Kampala » Accès libre, sur Radio France Internationale, (consulté le )
  11. « RDC: le chef des rebelles rencontre Kabila en vue de "négociations" » Accès libre, sur La Dépêche du Midi, (consulté le )
  12. « Le grand invité Afrique - Jean-Marie Runiga, président du M23 (RDC) » Accès libre, sur Radio France Internationale, (consulté le )
  13. « RDC : deux dirigeants du M23 interdits de voyager par l’Onu » Accès libre, sur Radio Okapi, (consulté le )
  14. Marie-France Cros, « L’une des deux factions du M23, battue, a fui au Rwanda » Accès libre, sur La Libre, (consulté le )