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* [[10 janvier]] : recul des [[Parti national-libéral (Allemagne)|nationaux-libéraux]] aux [[Élections législatives allemandes de 1874|élections]] au [[Reichstag (Empire allemand)|Reichstag]] en [[Empire allemand|Allemagne]]<ref>{{Ouvrage |auteur1=Gottlob Egelhaaf |titre=Geschichte Der Neuesten Zeit |lieu=Stuttgart |éditeur=Carl Crabbe |année=1918 |présentation en ligne={{Google Livres|HJmzP6yLJMUC|page=40}}}}</ref>. Le [[Zentrum|parti catholique du centre]] devient le premier parti avec 27,9 % des suffrages, le parti social-démocrate obtient 6,8 %. L'[[Alsace-Lorraine]] peut élire 15 députés au Reichstag. |
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* [[22 janvier]] : le [[Parti libéral du Canada]] d'[[Alexander Mackenzie (homme politique)|Alexander Mackenzie]] remporte l'[[élection fédérale canadienne de 1874|élection générale]] avec 129 députés élus. Les [[Parti conservateur du Canada (ancien)|conservateurs]] de [[John A. Macdonald]] obtiennent 65 députés (y compris 26 [[Parti libéral-conservateur (Canada)|libéral-conservateur]]). |
* [[22 janvier]] : le [[Parti libéral du Canada]] d'[[Alexander Mackenzie (homme politique)|Alexander Mackenzie]] remporte l'[[élection fédérale canadienne de 1874|élection générale]] avec 129 députés élus. Les [[Parti conservateur du Canada (ancien)|conservateurs]] de [[John A. Macdonald]] obtiennent 65 députés (y compris 26 [[Parti libéral-conservateur (Canada)|libéral-conservateur]]). |
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⚫ | * [[12 avril]] : [[Nicolás Avellaneda]] est élu président de la République [[Argentine]] (fin en 1880). Il échoue dans sa tentative de réconciliation nationale. Il doit lutter contre l’ancien président [[Bartolomé Mitre]], puis contre la province de [[Buenos Aires]] qui refuse la défaite de son gouverneur à l’élection présidentielle, avant de prendre la possession de la présidence le [[12 octobre]]<ref name="Mato">{{Ouvrage |auteur1=Omar López Mato |titre=1874 |sous-titre=historia de la revolución olvidada |éditeur=OLMO Ediciones |année=2005 |pages totales=182 |isbn=978-987-95150-1-3 |présentation en ligne={{Google Livres|5R7ssMM_P6YC|page=84}}}}</ref>. L’[[Guerres civiles argentines#La révolution de 1874|Argentine est divisée]]. D’un côté [[Buenos Aires]], où le libéralisme gagne les classes moyennes, penche en faveur d’un État national : la ville est aux mains d’une oligarchie qui est lasse de la domination des caudillos ruraux ; de l’autre, les grands propriétaires des campagnes soutiennent les sécessions afin d’échapper au contrôle d’un État. Néanmoins, ces derniers serait prêts à accepter l’Union dans la mesure où leurs intérêts seraient garantis. |
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⚫ | * [[12 avril]] : [[Nicolás Avellaneda]] est élu président de la République [[Argentine]] (fin en 1880). Il échoue dans sa tentative de réconciliation nationale. Il doit lutter contre l’ancien président [[Bartolomé Mitre]], puis contre la province de [[Buenos Aires]] qui refuse la défaite de son gouverneur à l’élection présidentielle, avant de prendre la possession de la présidence le [[12 octobre]]<ref name="Mato">{{Ouvrage | |
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Chronologies
1871 1872 1873 1874 1875 1876 1877 |
1871 1872 1873 1874 1875 1876 1877 Décennies : 1840 1850 1860 1870 1880 1890 1900 Siècles : XVIIe XVIIIe XIXe XXe XXIe Millénaires : -Ier Ier IIe IIIe |
Architecture, Arts plastiques (Dessin, Gravure, Lithographie, Peinture et Sculpture), (), Littérature (), Musique (Populaire et Classique), Photographie et Théâtre |
Présentation des élections ayant eu lieu en 1874.
Par continent[modifier | modifier le code]
Europe[modifier | modifier le code]
- 10 janvier : recul des nationaux-libéraux aux élections au Reichstag en Allemagne[1]. Le parti catholique du centre devient le premier parti avec 27,9 % des suffrages, le parti social-démocrate obtient 6,8 %. L'Alsace-Lorraine peut élire 15 députés au Reichstag.
Amérique[modifier | modifier le code]
- 22 janvier : le Parti libéral du Canada d'Alexander Mackenzie remporte l'élection générale avec 129 députés élus. Les conservateurs de John A. Macdonald obtiennent 65 députés (y compris 26 libéral-conservateur).
- 12 avril : Nicolás Avellaneda est élu président de la République Argentine (fin en 1880). Il échoue dans sa tentative de réconciliation nationale. Il doit lutter contre l’ancien président Bartolomé Mitre, puis contre la province de Buenos Aires qui refuse la défaite de son gouverneur à l’élection présidentielle, avant de prendre la possession de la présidence le 12 octobre[2]. L’Argentine est divisée. D’un côté Buenos Aires, où le libéralisme gagne les classes moyennes, penche en faveur d’un État national : la ville est aux mains d’une oligarchie qui est lasse de la domination des caudillos ruraux ; de l’autre, les grands propriétaires des campagnes soutiennent les sécessions afin d’échapper au contrôle d’un État. Néanmoins, ces derniers serait prêts à accepter l’Union dans la mesure où leurs intérêts seraient garantis.
Voir aussi[modifier | modifier le code]
Liens internes[modifier | modifier le code]
Références[modifier | modifier le code]
- Gottlob Egelhaaf, Geschichte Der Neuesten Zeit, Stuttgart, Carl Crabbe, (présentation en ligne)
- Omar López Mato, 1874 : historia de la revolución olvidada, OLMO Ediciones, , 182 p. (ISBN 978-987-95150-1-3, présentation en ligne)