« Jean-Pierre Kintz » : différence entre les versions

Fonction
Président; Fédération des sociétés d'histoire et d'archéologie d'Alsace
2000-2008
Jean-Claude Hahn (d) Gabrielle Claerr-Stamm (d)
Naissance	17 avril 1932; Illkirch-Graffenstaden
Décès	16 février 2018 (à 85 ans); Strasbourg
Nom de naissance	Jean Pierre Georges Joseph Kintz
Nationalité	française
Formation	Lycée Kléber de Strasbourg; Lycée Fustel de Coulanges de Strasbourg; Université Strasbourg-II
Activités	Historien, professeur des universités
A travaillé pour	Lycée Kléber de Strasbourg; Université Strasbourg-II; Université de Haute-Alsace
Directeurs de thèse	Philippe Dollinger (1970), Philippe Dollinger (1980)
Distinction	Commandeur des Palmes académiques (1999)

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Jean-Pierre Kintz, né le 17 avril 1932 à Illkirch-Graffenstaden et mort le 16 février 2018 à Strasbourg^[1], est un historien alsacien, professeur à l'université de Strasbourg. Moderniste, il est spécialiste de l'histoire de l'Alsace.

Biographie[modifier | modifier le code]

Jean-Pierre Georges Joseph Kintz fait ses études secondaires au lycée Kléber et une année de première supérieure au lycée Fustel-de-Coulanges. Il poursuit ses études à l'université, où il prépare un mémoire de DES en histoire contemporaine, sur la presse politique à Strasbourg dans la deuxième moitié du XIX^e siècle^[2]. Il est reçu à l'agrégation d'histoire (1962), et nommé professeur d'histoire au lycée Kléber (1962-1969), puis assistant à l'université durant une année en 1969-1970^[2]. Il soutient en 1970, une thèse de 3^e cycle d'histoire, intitulée « Journaux politiques et journalistes strasbourgeois sous la Seconde République et à la fin du Second Empire », à l'université de Strasbourg 2^[3] et devient enseignant-chercheur à l'université de Strasbourg la même année. Il soutient une thèse d'État, intitulée « La société strasbourgeoise du milieu du XVI^e siècle à la fin de la guerre de Trente Ans (1560-1650). Essai d'histoire démographique et sociale », à la même université, en 1980, sous la direction de Philippe Dollinger^[4], qu'il publie en 1984^[5], puis il est nommé professeur à l'université de Haute-Alsace (1983-1991)^[2]. En 1991, il obtient un poste de professeur à l'université Strasbourg 2, où il achève sa carrière académique en 2000^[2].

Activités éditoriales[modifier | modifier le code]

Il est spécialiste de l'histoire de l'Alsace et publie Regards sur l’histoire de l’Alsace (XVI^e-XX^e siècle)^[6].

Il s'intéresse également à la presse alsacienne, et publie un fascicule consacré au journal Relation, édité par Johann Carolus en 1605^[7].

Il est directeur de publication du Nouveau Dictionnaire de biographie alsacienne, et président de la Fédération des sociétés d'histoire et d'archéologie d'Alsace (2000-2008)^[8].

Publications[modifier | modifier le code]

Journaux politiques et journalistes strasbourgeois sous le Second Empire 1852-1870, Istra, 1974, 166 p.
La société strasbourgeoise du milieu du XVI^e siècle à la fin de la guerre de Trente Ans, essai d'histoire démographique, économique et sociale, Ophrys, 1984, 549 p.
La diffusion des Dernières Nouvelles d'Alsace pendant les années 1970, éditions Panthéon-Assas, 2002
Regards sur l’histoire de l’Alsace (XVI^e – XX^e siècle), Strasbourg, Fédération des sociétés d’histoire et d’archéologie d’Alsace, 2008, 578 p.
« Relation 1605 : Strasbourg invente le premier journal», Strasbourg, 2013, 55 p.
La conquête de l'Alsace : le triomphe de Louis XIV, diplomate et guerrier, Strasbourg/Paris : La Nuée Bleue /Place des Victoires, 2017, 604 p. (ISBN 9782809915099)
L'Alsace au XVI^e siècle- les hommes et leur espace de vie-1525-1618, Strasbourg, Presses Universitaires de Strasbourg, 2018, (ISBN 978-2-86820-538-4)

Distinctions[modifier | modifier le code]

Décoration[modifier | modifier le code]

1999 : Commandeur de l'ordre des Palmes académiques ^[2]

Récompense[modifier | modifier le code]

2003 : prix Marcel Flach de l'Académie des sciences morales et politiques^[9]

Notes et références[modifier | modifier le code]

↑ Lieux de naissance et décès trouvés dans la base MatchId des fichiers de décès en ligne du Ministère de l'Intérieur avec les données INSEE (consultation 4 janvier 2020)
↑ ^{a b c d et e} « Jean-Pierre Kintz », Nouveau Dictionnaire de biographie alsacienne, p. 5112-5115.
↑ Thèse de 3^e cycle en histoire, université Strasbourg-II, 1970, notice Sudoc [1]
↑ Thèse ès-Lettres, 1980, université Strasbourg-II, notice Sudoc [2].
↑ [recension] Jacques Dupâquier, « Jean-Pierre Kintz. La société strasbourgeoise du milieu du XVI^e siècle à la fin de la guerre de Trente Ans, 1560-1650. Essai d'histoire démographique, économique et sociale », 1984, Annales de démographie historique, 1984. « Démographie historique et généalogie ». p. 287-290 [lire en ligne].
↑ [recension] Claude Muller, «Kintz (Jean-Pierre), Regards sur l’histoire de l’Alsace (XVI^e-XX^e siècle), Fédération des sociétés d’histoire et d’archéologie d’Alsace, Strasbourg, 578 p., 2008», Revue d'Alsace, n^o 135, 2009, p. 498-499 [lire en ligne].
↑ [recension] François Uberfill, « Kintz (Jean-Pierre), Relation. Et Strasbourg inventa la presse », Revue d'Alsace, n^o 132, 2006, p. 583-584 [lire en ligne]
↑ « Nomination au conseil d'administration de la Bibliothèque nationale et universitaire de Strasbourg », arrêté du 2 octobre 2006, JORF n°234 du 8 octobre 2006 p. 14971 texte n^o 19 [3].
↑ Prix Marcel Flach, liste des lauréats [4]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Jean-Georges Guth, « La disparition de Jean-Pierre Kintz (17 avril 1932–16 février 2018) », in Revue d'Alsace, n^o 144, 2018, p. 557-560, [lire en ligne]
Christian Wolff, « Jean-Pierre Kintz », Nouveau Dictionnaire de biographie alsacienne, vol. 48, p. 5112-5115.
S.H., « L'historien Jean-Pierre Kintz a tourné la page », sur www.dna.fr, Dernières Nouvelles d'Alsace, 19 février 2018 (consulté le 28 août 2018).

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Histoire de l'Alsace

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notices d'autorité :
- VIAF
- ISNI
- BnF (données)
- IdRef
- LCCN
- GND
- Belgique
- Pays-Bas
- Israël
- NUKAT
- WorldCat
Ressource relative à la recherche :
- Persée

[1] Lieux de naissance et décès trouvés dans la base MatchId des fichiers de décès en ligne du Ministère de l'Intérieur avec les données INSEE (consultation 4 janvier 2020)

[NDBA-2] {a b c d et e} « Jean-Pierre Kintz », Nouveau Dictionnaire de biographie alsacienne, p. 5112-5115.

[3] Thèse de 3^e cycle en histoire, université Strasbourg-II, 1970, notice Sudoc [1]

[4] Thèse ès-Lettres, 1980, université Strasbourg-II, notice Sudoc [2].

[5] [recension] Jacques Dupâquier, « Jean-Pierre Kintz. La société strasbourgeoise du milieu du XVI^e siècle à la fin de la guerre de Trente Ans, 1560-1650. Essai d'histoire démographique, économique et sociale », 1984, Annales de démographie historique, 1984. « Démographie historique et généalogie ». p. 287-290 [lire en ligne].

[6] [recension] Claude Muller, «Kintz (Jean-Pierre), Regards sur l’histoire de l’Alsace (XVI^e-XX^e siècle), Fédération des sociétés d’histoire et d’archéologie d’Alsace, Strasbourg, 578 p., 2008», Revue d'Alsace, n^o 135, 2009, p. 498-499 [lire en ligne].

[7] [recension] François Uberfill, « Kintz (Jean-Pierre), Relation. Et Strasbourg inventa la presse », Revue d'Alsace, n^o 132, 2006, p. 583-584 [lire en ligne]

[8] « Nomination au conseil d'administration de la Bibliothèque nationale et universitaire de Strasbourg », arrêté du 2 octobre 2006, JORF n°234 du 8 octobre 2006 p. 14971 texte n^o 19 [3].

[9] Prix Marcel Flach, liste des lauréats [4]

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+{{Voir homonymes|Kintz}}
 {{Infobox Biographie2|charte=historien|image=-}}
-'''Jean-Pierre Kintz''', né le {{date de naissance|17 avril 1932}} et mort en février 2018, est un [[historien]] français, professeur à l'[[université de Strasbourg]]. [[Histoire moderne|Moderniste]], il est spécialiste de l'[[histoire de l'Alsace]].
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 == Biographie ==
-Il soutient en 1970, une thèse de {{3e}} cycle d'histoire, intitulée « Journaux politiques et journalistes strasbourgeois sous la Seconde République et à la fin du Second Empire », à l'[[université de Strasbourg II|université de Strasbourg 2]]<ref>Thèse de 3ème cycle en histoire, université Strasbourg-II, 1970, notice Sudoc [http://www.sudoc.fr/179991809]</ref>, puis une thèse d'État, intitulée « La société strasbourgeoise du milieu du {{s-|XVI}} à la fin de la Guerre de Trente ans (1560-1650). Essai d'histoire démographique et sociale », en 1980, sous la direction de [[Philippe Dollinger]], à la même université<ref>Thèse ès-Lettres, 1980, université Strasbourg-II, notice Sudoc [http://www.sudoc.fr/040988562].</ref> publiée en 1984<ref>[recension] Jacques Dupâquier, « Jean-Pierre Kintz. ''La société strasbourgeoise du milieu du XVIe siècle à la fin de la guerre de Trente Ans, 1560-1650''. Essai d'histoire démographique, économique et sociale », 1984, ''Annales de démographie historique'', 1984. « Démographie historique et généalogie ». {{p. |287-290}} {{lire en ligne|lien=https://www.persee.fr/doc/adh_0066-2062_1984_num_1984_1_1617_t1_0287_0000_1}}.</ref>.
+Jean-Pierre Georges Joseph Kintz fait ses études secondaires au [[lycée Kléber]] et une année de [[Classes préparatoires littéraires|première supérieure]] au [[Lycée Fustel-de-Coulanges (Strasbourg)|lycée Fustel-de-Coulanges]]. Il poursuit ses études à l'université, où il prépare un mémoire de [[Diplôme d'études supérieures en France|DES]] en histoire contemporaine, sur la presse politique à Strasbourg dans la deuxième moitié du {{s-|XIX}}<ref name=NDBA/>. Il est reçu à l'[[Agrégation d'histoire en France|agrégation d'histoire]] (1962), et nommé professeur d'histoire au lycée Kléber (1962-1969), puis assistant à l'université durant une année en 1969-1970<ref name=NDBA/>. Il soutient en 1970, une thèse de {{3e}} cycle d'histoire, intitulée « Journaux politiques et journalistes strasbourgeois sous la Seconde République et à la fin du Second Empire », à l'[[université de Strasbourg II|université de Strasbourg 2]]<ref>Thèse de {{3e}} cycle en histoire, université Strasbourg-II, 1970, notice Sudoc [http://www.sudoc.fr/179991809]</ref> et devient enseignant-chercheur à l'université de Strasbourg la même année. Il soutient une thèse d'État, intitulée « La société strasbourgeoise du milieu du {{s-|XVI}} à la fin de la guerre de Trente Ans (1560-1650). Essai d'histoire démographique et sociale », à la même université, en 1980, sous la direction de [[Philippe Dollinger]]<ref>Thèse ès-Lettres, 1980, université Strasbourg-II, notice Sudoc [http://www.sudoc.fr/040988562].</ref>, qu'il publie en 1984<ref>[recension] Jacques Dupâquier, « Jean-Pierre Kintz. ''La société strasbourgeoise du milieu du {{s-|XVI}} à la fin de la guerre de Trente Ans, 1560-1650''. Essai d'histoire démographique, économique et sociale », 1984, ''Annales de démographie historique'', 1984. « Démographie historique et généalogie ». {{p. |287-290}} {{lire en ligne|lien=https://www.persee.fr/doc/adh_0066-2062_1984_num_1984_1_1617_t1_0287_0000_1}}.</ref>, puis il est nommé professeur à l'[[université de Haute-Alsace]] (1983-1991)<ref name=NDBA/>. En 1991, il obtient un poste de professeur à l'université Strasbourg 2, où il achève sa carrière académique en 2000<ref name=NDBA>« Jean-Pierre Kintz », ''Nouveau Dictionnaire de biographie alsacienne'', {{p.|5112-5115}}.</ref>.
 == Activités éditoriales ==
-Il est spécialiste de l'histoire de l'Alsace et publie ''Regards sur l’histoire de l’Alsace (XVIe-XXe siècle)<ref>[recension] Claude Muller, «Kintz (Jean-Pierre), Regards sur l’histoire de l’Alsace (XVIe-XXe siècle), Fédération des sociétés d’histoire et d’archéologie d’Alsace, Strasbourg, 578 p., 2008», Revue d'Alsace, n°135, 2009, {{p.|498-499}} {{lire en ligne|lien=http://journals.openedition.org/alsace/437}}.</ref>.
+Il est spécialiste de l'histoire de l'Alsace et publie ''Regards sur l’histoire de l’Alsace ({{s mini-|XVI}}-{{s mini-|XX}} siècle)''<ref>[recension] [[Claude Muller]], «Kintz (Jean-Pierre), Regards sur l’histoire de l’Alsace ({{s mini-|XVI}}-{{s mini-|XX}} siècle), Fédération des sociétés d’histoire et d’archéologie d’Alsace, Strasbourg, 578 p., 2008», ''[[Revue d'Alsace]]'', {{numéro|135}}, 2009, {{p.|498-499}} {{lire en ligne|lien=http://journals.openedition.org/alsace/437}}.</ref>.
-Il s'intéresse également à la presse alsacienne, et publie un fascicule consacré au journal ''Relation'', publié par Jean Carolus en 1605<ref>[recension] François Uberfill, « Kintz (Jean-Pierre), Relation. Et Strasbourg inventa la presse », ''Revue d’Alsace'', n°132, 2006, {{p.|583-584}} {{lire en ligne|lien=http://journals.openedition.org/alsace/1408}}</ref>.
+Il s'intéresse également à la presse alsacienne, et publie un fascicule consacré au journal ''Relation'', édité par [[Johann Carolus]] en 1605<ref>[recension] François Uberfill, « Kintz (Jean-Pierre), ''Relation''. Et Strasbourg inventa la presse », ''Revue d'Alsace'', {{numéro|132}}, 2006, {{p.|583-584}} {{lire en ligne|lien=http://journals.openedition.org/alsace/1408}}</ref>.
+Il est directeur de publication du ''[[Nouveau Dictionnaire de biographie alsacienne]]'', et président de la [[Fédération des sociétés d'histoire et d'archéologie d'Alsace]] (2000-2008)<ref>« Nomination au conseil d'administration de la Bibliothèque nationale et universitaire de Strasbourg », arrêté du 2 octobre 2006, JORF n°234 du 8 octobre 2006 {{p.|14971}} texte {{n°|19}} [https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000000425598].</ref>.
-Il est directeur de publication du [[Nouveau Dictionnaire de biographie alsacienne]].
 == Publications ==
-* ''Journaux politiques et journalistes strasbourgeois sous le Second Empire 1852-1870, Istra, 1974, {{nb p.|166}}
+* ''Journaux politiques et journalistes strasbourgeois sous le Second Empire 1852-1870'', Istra, 1974, {{nb p.|166}}
-* ''La société strasbourgeoise du milieu du XVIe siècle à la fin de la guerre de Trente Ans, essai d'histoire démographique, économique et sociale, Ophrys, 1984, {{nb p.|549}}
+* ''La société strasbourgeoise du milieu du {{s-|XVI}} à la fin de la guerre de Trente Ans, essai d'histoire démographique, économique et sociale'', Ophrys, 1984, {{nb p.|549}}
 * ''La diffusion des Dernières Nouvelles d'Alsace pendant les années 1970'', éditions Panthéon-Assas, 2002
 * Regards sur l’histoire de l’Alsace ({{sp-|XVI|-|XX}}), Strasbourg, Fédération des sociétés d’histoire et d’archéologie d’Alsace, 2008, {{nb p.|578}}
 * « Relation 1605 : Strasbourg invente le premier journal», Strasbourg, 2013, {{nb p.|55}}
 * ''La conquête de l'Alsace : le triomphe de Louis XIV, diplomate et guerrier'', Strasbourg/Paris : La Nuée Bleue /Place des Victoires, 2017, {{nb p.|604}}{{ISBN|9782809915099}}
+* ''L'Alsace au {{s-|XVI}}- les hommes et leur espace de vie-1525-1618'', Strasbourg, Presses Universitaires de Strasbourg, 2018, {{ISBN|978-2-86820-538-4}}
-== Références ==
+== Distinctions ==
+=== Décoration ===
-{{Références|taille=}}
+* 1999 : {{Déco CdrOPA}} <ref name=NDBA/>
+=== Récompense ===
+* 2003 : prix Marcel Flach de l'[[Académie des sciences morales et politiques]]<ref>Prix Marcel Flach, liste des lauréats [https://www.asmp.fr/prix_fondations/fiches_prix/marcel_flach.htm]</ref>
+== Notes et références ==
+{{Références}}
 == Voir aussi ==
 === Bibliographie ===
+* Jean-Georges Guth, « La disparition de Jean-Pierre Kintz ({{date-|17 avril 1932}}–{{date-|16 février 2018}}) », in ''[[Revue d'Alsace]]'', {{numéro|144}}, 2018, {{p.|557-560}}, {{lire en ligne|lien=https://journals.openedition.org/alsace/3555}}
+* Christian Wolff, « Jean-Pierre Kintz », ''[[Nouveau Dictionnaire de biographie alsacienne]]'', vol. 48, {{p.|5112-5115}}.
 * {{Lien web
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 === Liens externes ===
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