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'''Ignacio Sánchez Mejías''', né le [[6 juin]] [[1891]] à [[Séville]] ([[Espagne]]), mort à [[Madrid]] (Espagne), le [[13 août]] [[1934]], était un [[matador]] espagnol.
'''Ignacio Sánchez Mejías''', né le {{date|6 juin 1891}} à [[Séville]] ([[Espagne]]), mort à [[Madrid]] (Espagne), le {{date|13 août 1934}}, était un [[matador]] espagnol.


==Présentation==
==Présentation==
Il fut un torero atypique, téméraire, auteur de théâtre, ami des intellectuels et président du club de football [[Real Betis Séville]]. Il a donné une conférence sur [[Don Quichotte]] à l'[[université de Columbia]] aux [[États-Unis]], et il a participé à la mise en scène des célèbres ballets espagnols de son amie l'Argentinita<ref>Claude Popelin, « La Tauromachie», préface de Jean Lacouture et François Zumbiehl, édition augmentée par Yves Harté, Le Seuil, Paris, 1970-1994, {{p.}} 261 {{ISBN|2020214334}}</ref>.
Il fut un torero atypique, téméraire, auteur de théâtre, ami des intellectuels et président du club de football [[Real Betis Séville]]. Il a donné une conférence sur [[Don Quichotte]] à l'[[université Columbia]] aux [[États-Unis]], et il a participé à la mise en scène des célèbres ballets espagnols de son amie l'Argentinita<ref>Claude Popelin, « La Tauromachie», préface de Jean Lacouture et François Zumbiehl, édition augmentée par Yves Harté, Le Seuil, Paris, 1970-1994, {{p.}} 261 {{ISBN|2020214334}}</ref>.


Fils de médecin rural, il commençe des études secondaires qu'il n'achève pas. Sur un coup de tête, il part au [[Mexique]] où il fait ses débuts dans l'arène comme [[Banderillero]], puis comme novillero. En 1913, il revient en [[Espagne]] pour tenter sa chance en [[Novillo|novillada]] dans la [[cuadrilla]] de [[Juan Belmonte]] où il est gravement blessé. Mais il reprend son rang dans la cuadrilla de Belmonte, puis de Rafael [[El Gallo]], puis de [[Joselito (José Gómez Ortega)|Joselito]] qui l'entoure d'affection<ref name="Popelin 262">Claude Popelin, {{p.}}262</ref>. (Il épousera d'ailleurs la sœur de Joselito<ref name="Lafront">Auguste Lafront - Paco Tolosa : « Encyclopédie de la corrida », éditions Prisma, 1950, {{p.}}243</ref>.)Joselito lui donne l'alternative devant le taureau « Buñolero » de Vicente Martinez le {{date|16|mars|1919}} à [[Barcelone]]. Sa confirmation d'alternative a lieu le {{date|5|avril|1920}}, avec toujours Joselito pour parrain, devant le taureau « Presumido  » de l'élevage de Vicente Martinez.
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==Sa carrière et sa mort ==
==Sa carrière et sa mort ==
À ses débuts, Ignacio Sánchez Mejías est très impopulaire : on lui reproche la protection de son beau-frère, Joselito. C'est donc dans une ambiance hostile qu'il lutte pour prouver sa valeur<ref name="Lafront"/>. Le critique taurin Ventura Bagues écrivait {{Citation bloc|Il a apporté quelque chose de nouveau à la corrida : l'exagération du danger. Jour après jour, il s'est complu à placer les taureaux dans les terrains les plus risqués pour avoir l'occasion de s'exposer davantage<ref name="Popelin 262"/>}}
À ses débuts, Ignacio Sánchez Mejías est très impopulaire : on lui reproche la protection de son beau-frère, Joselito. C'est donc dans une ambiance hostile qu'il lutte pour prouver sa valeur<ref name="Lafront"/>. Le critique taurin Ventura Bagues écrivait {{Citation bloc|Il a apporté quelque chose de nouveau à la corrida : l'exagération du danger. Jour après jour, il s'est complu à placer les taureaux dans les terrains les plus risqués pour avoir l'occasion de s'exposer davantage<ref name="Popelin 262"/>}}


Lourd, athlétique, parfois médiocre à l'épée, Mejías avait un total mépris du danger qui impressionnait les foules. En 1927, il se retire pour devenir journaliste, dramaturge, écrivain, pour s'occuper de danse et de poésie. Il a été, entre autres, l'ami de [[Fernando Villalón]] et de [[Federico Garcia Lorca]]. Au moment où on pensait qu'il avait oublié le [[ruedo]], il décide de reprendre l'épée le {{date|15|juillet|1934}}. Le 11 août suivant, à [[Manzanares (ville espagnole)|Manzanares]], le taureau « Granadino » de l'élevage Alaya le cueille au moment où il exécute sa passe favorite : la [[Passe à l'estribo]]. Le taureau lui perce la cuisse, mais au lieu de se faire opérer tout de suite, Ignacio se contente de freiner l'hémorragie. Il meurt à Madrid le {{date|13|août|1934}} d'une gangrène gazeuse, après deux jours d'agonie.
Lourd, athlétique, parfois médiocre à l'épée, Mejías avait un total mépris du danger qui impressionnait les foules. En 1927, il se retire pour devenir journaliste, dramaturge, écrivain, pour s'occuper de danse et de poésie. Il a été, entre autres, l'ami de [[Fernando Villalón]] et de [[Federico Garcia Lorca]]. Au moment où on pensait qu'il avait oublié le [[ruedo]], il décide de reprendre l'épée le {{date|15|juillet|1934}}. Le {{date-|11 août}} suivant, à [[Manzanares (Espagne)|Manzanares]], le taureau « Granadino » de l'élevage Alaya le cueille au moment où il exécute sa passe favorite : la [[Passe à l'estribo]]. Le taureau lui perce la cuisse, mais au lieu de se faire opérer tout de suite, Ignacio se contente de freiner l'hémorragie. Il meurt à Madrid le {{date|13|août|1934}} d'une gangrène gazeuse, après deux jours d'agonie.


Son ami, le poète [[Federico García Lorca]] a composé, après sa mort, le célèbre ''LLanto por Ignacio Sánchez Mejías'', qui se termine par ces vers :
Son ami, le poète [[Federico García Lorca]] a composé, après sa mort, le célèbre ''Llanto por Ignacio Sánchez Mejías'', qui se termine par ces vers :


:''Tardara mucho tiempo en nacer, si es que nace,''
:''Tardara mucho tiempo en nacer, si es que nace,''
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:''Je chante son élégance avec des paroles qui gémissent''
:''Je chante son élégance avec des paroles qui gémissent''
:''Et je me souviens d'une brise triste dans les oliviers''<ref>publié en espagnol en 1935, traduit en français sous le titre ''Chant funèbre pour Ignacio Sánchez Mejías'' traduit par R. Simon en 1945, réédition en français [[Actes Sud]], 1992, {{ISBN|2868698646}}</ref>)
:''Et je me souviens d'une brise triste dans les oliviers''<ref>publié en espagnol en 1935, traduit en français sous le titre ''Chant funèbre pour Ignacio Sánchez Mejías'' traduit par R. Simon en 1945, réédition en français [[Actes Sud]], 1992, {{ISBN|2868698646}}</ref>)

En 1950, le compositeur [[Maurice Ohana]] met ce ''LLanto'' en musique.
Ina.fr :
- ''LLanto por Ignacio Sánchez Mejías'', pour récitant, baryton solo, chœurs et orchestre (chanté et dit en espagnol) de Maurice Ohana, texte Federico García Lorca, avec [[Maria Casarès]] récitante, Michel Arry baryton, Chœurs de l'ORTF, concert public à la Fête du Solstice à [[Château de Ratilly|Ratilly]] par l'[[Orchestre de chambre de l'ORTF]] dirigé par [[Daniel Chabrun]].

En 1995 , une tragedie lyrique sur le poème De Federico Garcia Lorca ''LLanto por Ignacio Sánchez Mejías ,'' composition de Stavros Xarchakos, fut présenté au Théatre Impérial de Compiègne et au Megaron Mousikis à Athènes.

En 1998, [[Vicente Pradal]] en propose une autre adaptation.


===Carrière===
===Carrière===
* Présentation à [[Madrid]] : [[13 septembre]] [[1913]] aux côtés de Luis Suárez, « Magritas » et Larita. Novillos de la ''ganadería'' de Fernando Villalón.
* Présentation à [[Madrid]] : {{date|13 septembre 1913}} aux côtés de Luis Suárez, « Magritas » et Larita. Novillos de la ''ganadería'' de Fernando Villalón.
* [[Alternative (corrida)|Alternative]] : [[Barcelone]] le [[16 mars]] [[1919]]. Parrain, [[Joselito (José Gómez Ortega)|« Joselito »]] ; témoin, [[Juan Belmonte]]. Taureaux de la ''ganadería'' de Vicente Martínez.
* [[Alternative (corrida)|Alternative]] : [[Barcelone]] le {{date|16 mars 1919}}. Parrain, [[Joselito (José Gómez Ortega)|« Joselito »]] ; témoin, [[Juan Belmonte]]. Taureaux de la ''ganadería'' de Vicente Martínez.
* Confirmation d’alternative à [[Madrid]] : [[1920]]. Parrain, « Joselito » ; témoins, Juan Belmonte et « [[Varelito]] ». Taureaux de la ''ganadería'' de Vicente Martínez.
* Confirmation d’alternative à [[Madrid]] : [[1920]]. Parrain, « Joselito » ; témoins, Juan Belmonte et « [[Varelito]] ». Taureaux de la ''ganadería'' de Vicente Martínez.
* Premier de l’''[[escalafón]]'' en [[Escalafón général|1920]].
* Premier de l’''[[escalafón]]'' en [[Escalafón général|1920]].
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* [[Liste des matadors morts dans l'arène]]
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Dernière version du 25 juin 2023 à 09:21

Ignacio Sánchez Mejías
Image illustrative de l’article Ignacio Sánchez Mejías
Ignacio Sánchez Mejías
Présentation
Nom de naissance Ignacio Sánchez Mejías
Naissance
Séville
Décès (à 43 ans)
Nationalité Espagnol
Carrière
Alternative 16 mars 1919 à Barcelone
Parrain, Joselito
Confirmation d'alternative 1920 à Madrid
Parrain, Joselito
Mort dans l'arène de Manzanares
Tué par Granadino
Escalafón général Premier de l’escalafón en 1920

Ignacio Sánchez Mejías, né le à Séville (Espagne), mort à Madrid (Espagne), le , était un matador espagnol.

Présentation[modifier | modifier le code]

Il fut un torero atypique, téméraire, auteur de théâtre, ami des intellectuels et président du club de football Real Betis Séville. Il a donné une conférence sur Don Quichotte à l'université Columbia aux États-Unis, et il a participé à la mise en scène des célèbres ballets espagnols de son amie l'Argentinita[1].

Fils de médecin rural, il commence des études secondaires qu'il n'achève pas. Sur un coup de tête, il part au Mexique où il fait ses débuts dans l'arène comme Banderillero, puis comme novillero. En 1913, il revient en Espagne pour tenter sa chance en novillada dans la cuadrilla de Juan Belmonte où il est gravement blessé. Mais il reprend son rang dans la cuadrilla de Belmonte, puis de Rafael El Gallo, puis de Joselito qui l'entoure d'affection[2]. (Il épousera d'ailleurs la sœur de Joselito[3].) Joselito lui donne l'alternative devant le taureau « Buñolero » de Vicente Martinez le à Barcelone. Sa confirmation d'alternative a lieu le , avec toujours Joselito pour parrain, devant le taureau « Presumido  » de l'élevage de Vicente Martinez.

Sa carrière et sa mort[modifier | modifier le code]

À ses débuts, Ignacio Sánchez Mejías est très impopulaire : on lui reproche la protection de son beau-frère, Joselito. C'est donc dans une ambiance hostile qu'il lutte pour prouver sa valeur[3]. Le critique taurin Ventura Bagues écrivait

« Il a apporté quelque chose de nouveau à la corrida : l'exagération du danger. Jour après jour, il s'est complu à placer les taureaux dans les terrains les plus risqués pour avoir l'occasion de s'exposer davantage[2] »

Lourd, athlétique, parfois médiocre à l'épée, Mejías avait un total mépris du danger qui impressionnait les foules. En 1927, il se retire pour devenir journaliste, dramaturge, écrivain, pour s'occuper de danse et de poésie. Il a été, entre autres, l'ami de Fernando Villalón et de Federico Garcia Lorca. Au moment où on pensait qu'il avait oublié le ruedo, il décide de reprendre l'épée le . Le suivant, à Manzanares, le taureau « Granadino » de l'élevage Alaya le cueille au moment où il exécute sa passe favorite : la Passe à l'estribo. Le taureau lui perce la cuisse, mais au lieu de se faire opérer tout de suite, Ignacio se contente de freiner l'hémorragie. Il meurt à Madrid le d'une gangrène gazeuse, après deux jours d'agonie.

Son ami, le poète Federico García Lorca a composé, après sa mort, le célèbre Llanto por Ignacio Sánchez Mejías, qui se termine par ces vers :

Tardara mucho tiempo en nacer, si es que nace,
Un andaluz tan claro, tan rico de aventura.
Yo canto su elegancia con palabras que gimen,
Y recuerdo une brisa triste por los olivos.
(Il faudra longtemps avant que ne naisse, s'il naît jamais
Un Andalou si clair, si riche d'aventures.
Je chante son élégance avec des paroles qui gémissent
Et je me souviens d'une brise triste dans les oliviers[4])

En 1950, le compositeur Maurice Ohana met ce LLanto en musique. Ina.fr : - LLanto por Ignacio Sánchez Mejías, pour récitant, baryton solo, chœurs et orchestre (chanté et dit en espagnol) de Maurice Ohana, texte Federico García Lorca, avec Maria Casarès récitante, Michel Arry baryton, Chœurs de l'ORTF, concert public à la Fête du Solstice à Ratilly par l'Orchestre de chambre de l'ORTF dirigé par Daniel Chabrun.

En 1995 , une tragedie lyrique sur le poème De Federico Garcia Lorca LLanto por Ignacio Sánchez Mejías , composition de Stavros Xarchakos, fut présenté au Théatre Impérial de Compiègne et au Megaron Mousikis à Athènes.

En 1998, Vicente Pradal en propose une autre adaptation.

Carrière[modifier | modifier le code]

  • Présentation à Madrid : aux côtés de Luis Suárez, « Magritas » et Larita. Novillos de la ganadería de Fernando Villalón.
  • Alternative : Barcelone le . Parrain, « Joselito » ; témoin, Juan Belmonte. Taureaux de la ganadería de Vicente Martínez.
  • Confirmation d’alternative à Madrid : 1920. Parrain, « Joselito » ; témoins, Juan Belmonte et « Varelito ». Taureaux de la ganadería de Vicente Martínez.
  • Premier de l’escalafón en 1920.

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Claude Popelin, « La Tauromachie», préface de Jean Lacouture et François Zumbiehl, édition augmentée par Yves Harté, Le Seuil, Paris, 1970-1994, p.  261 (ISBN 2020214334)
  2. a et b Claude Popelin, p. 262
  3. a et b Auguste Lafront - Paco Tolosa : « Encyclopédie de la corrida », éditions Prisma, 1950, p. 243
  4. publié en espagnol en 1935, traduit en français sous le titre Chant funèbre pour Ignacio Sánchez Mejías traduit par R. Simon en 1945, réédition en français Actes Sud, 1992, (ISBN 2868698646)

Voir aussi[modifier | modifier le code]


Liens externes[modifier | modifier le code]