« Richard Stöhr » : différence entre les versions

Biographie
Naissance	11 juin 1874; Vienne
Décès	11 décembre 1967 (à 93 ans); Montpelier
Nom de naissance	Richard Stern
Nationalité	autrichienne
Formation	Académie de musique et des arts du spectacle de Vienne‎
Activités	Compositeur, professeur de musique
A travaillé pour	Saint Michael's College (1943-1950); Institut de musique Curtis (1939-1941); Académie de musique et des arts du spectacle de Vienne‎ (1903-1938)
Maître	Robert Fuchs

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Richard Franz Stöhr (Vienne, 11 juin 1874 – Montpelier, dans le Vermont, 11 décembre 1967) est un compositeur et professeur de musique autrichien.

Biographie[modifier | modifier le code]

Richard Stöhr est issu d'une famille provenant de Hongrie. Son père, Samuel Stern, est professeur de médecine à l'université de Vienne. Sa mère, Mathilde, est la sœur du chef de chœur et critique Heinrich Porges, un des plus proches associés de Richard Wagner^[1]. Richard Stöhr est reçu docteur en médecine en 1898, il n’exerce pas, mais entre immédiatement à l'Académie de musique de Vienne. Il se convertit du judaïsme au christianisme et change son nom, Stern, pour Stöhr^[2]. Il étudie le piano, l’orgue et la composition avec Robert Fuchs. Il travaille d'abord dans l'institution comme répétiteur choral dès 1900.

Il obtient son doctorat en 1903, enseigne en tant qu'assistant^[3] et obtient le poste de professeur en 1915^[4] dans les disciplines harmonie, contrepoint et formes musicales jusqu'en 1938. En 1915, il est appelé pour son service dans l'armée autrichienne, période qu'il effectue dans un hôpital de la banlieue de Vienne, tout en poursuivant son enseignement à l'Académie de musique. Parmi ses élèves figurent Alois Hába, la pianiste Rena Kyriakou^[5] et Eric Zeisl (1919–1923). Il écrit son premier livre sur l'harmonie dès 1906.

En mars 1938, après l'Anschluss, il est renvoyé de son poste et émigre aux États-Unis en février 1939^[4]. Sa sœur Hedwige, restée en Autriche, est raflée par les nazis en 1941 et meurt dans un camp de transit en Pologne en 1942^[4].

Il est embauché personnellement par Mary Curtis Bok, fondatrice en 1924 du Curtis Institute of Music à Philadelphie et il y enseigne de 1939 à 1941, jusqu'à la fermeture temporaire de la faculté en raison de la guerre. Il transforme son nom en Stoehr ^[4] pour convenir à la langue anglaise. Il participe également à la traduction de la correspondance de Wagner de la Burrell Collection qui paraît en 1950^[6].

Après sa période à Philadelphie, il obtient un poste au St Michael’s College de Winooski Park, aujourd'hui Colchester dans le Vermont (1943–1950)^[3] où il enseigne l'allemand et la musique, tout en composant, mais aucune composition de la période américaine n'est publiée^[7].

Durant sa carrière il a pour élèves Samuel Barber, Leonard Bernstein (1939–1940), Erich Leinsdorf, Alexander Brailowsky et Marlene Dietrich, Herbert von Karajan et Rudolf Serkin^[8]^,^[9]^,^[7].

Œuvres (sélection)[modifier | modifier le code]

Richard Stöhr écrit beaucoup de musique de chambre dont quinze sonates pour violon et piano, trois quintette avec piano, quatre quatuors à cordes, quatre trios avec piano, un sextuor (pour violon, clarinette, cor, violoncelle et deux pianos) ; des sonates pour violoncelle, pour flûte ; plusieurs sonates et des pièces pour piano ; sept symphonies ; deux opéras et 150 lieder ou mélodies.

Orchestre[modifier | modifier le code]

7 symphonies
Sérénade en ut mineur
2 suites pour orchestre à cordes
Fantaisie symphonique en ut mineur
Suite romantique en ré majeur
Concerto dans le style ancien
Suite Vermont
Scherzo en fa majeur
Concerto pour trompette et orchestre en si-bémol majeur
Concerto-Fantaisie pour violon et orchestre

Musique de chambre[modifier | modifier le code]

15 sonates pour violon et piano
Sonate pour violoncelle et piano
Sonate pour flûte et piano
4 quatuors à cordes
2 trios avec piano
2 quatuors avec piano
6 quintettes avec piano

Piano[modifier | modifier le code]

5 sonates
Plusieurs suites
Variations
Études

Écrits[modifier | modifier le code]

Praktischer Leitfaden der Harmonielehre (Vienne, Universal-Edition 1906) (OCLC 638315286)
Praktischer Leitfaden des Kontrapunkts (Hambourg, Anton J.Benjamin 1911) (OCLC 476490934)
Musikalische Formenlehre, 3 vol. (Leipzig, Kistner & Siegel 1911) (OCLC 5281199)
- Formenlehre der Musik, Leipzig 1933 — édition révisée du précédent
Praktische Modulationslehre (Leipzig 1928) (OCLC 13878736)
Modulationslehre, 1932

Discographie[modifier | modifier le code]

Quatuor à cordes op. 22 ; Trois intermezzi pour quatuor à cordes, op. 124 ; 5 pièces pour piano, op. 23 ; Olga watches the children's sleep - Rosemary O'Connor, piano ; Richard Stöhr, piano ; Quatuor Christine Lavant (1942), 12 juin 2009, 16 juillet 2009, ORF) (OCLC 824190764)
Œuvres pour violoncelle et piano : Fantasiestücke op. 17 et sonate op. 49 - Stefan Koch, violoncelle ; Robert Conway, piano (21, 24 mai et 6 juin 2013, Toccata Classics) (OCLC 940652239)
Trio avec piano, op. 16 ; trois mélodies pour voix grave, piano et accompagnement de violoncelle, op. 21 - Seth Keeton, baryton-basse ; Laura Roelofs, violon ; Stefan Koch, violoncelle ; Mary Siciliano, piano (10 mai/10 et 19 octobre/28 novembre 2016 et 11 janvier 2017, 24 mai 2017, Toccata Classics)
Quatuor à cordes n^o 2, op. 86 ; Serenade extr. du Quatuor n^o 3 op. 92 ; Suite pour flûte, violon, violoncelle et piano, op. 76 (23 octobre/11 novembre 2014 ; 18 mars/4 mai 2015 ; 10 mai 2016 ; 14-15 février et 25 mars 2019, Toccata Classics)

Bibliographie[modifier | modifier le code]

(de) Hans Sittner, Richard Stöhr : Mensch, Musiker, Lehrer, Vienne et Munich, Doblinger 1965 (OCLC 215098899)
Theodore Baker et Nicolas Slonimsky (trad. de l'anglais par Marie-Stella Pâris, préf. Nicolas Slonimsky), Dictionnaire biographique des musiciens [« Baker's Biographical Dictionary of Musicians »], t. 3 : P–Z, Paris, Robert Laffont, coll. « Bouquins », 1995 (réimpr. 1905, 1919, 1940, 1958, 1978), 8^e éd. (1^re éd. 1900), 4728 p. (ISBN 2-221-06787-8), p. 4035.
(en) Stefan Koch, « Richard Stöhr, viennese composer in american exile », p. 2–8, Toccata Classics, 2014 (OCLC 940652239).

Notes et références[modifier | modifier le code]

↑ (en) Biographie sur richardstoehr.com.
↑ Koch 2014, p. 2.
↑ ^{a et b} Baker 1995, p. 4035.
↑ ^{a b c et d} Koch 2014, p. 3.
↑ Alain Pâris (dir.), Dictionnaire des interprètes et de l'interprétation musicale au XX^e siècle, Paris, Laffont, coll. « Bouquins », 2015 (réimpr. 1985, 1989, 1995, 2004), 5^e éd. (1^re éd. 1982), 1278 p. (ISBN 978-2-221-08064-1 et 2-221-08064-5, OCLC 901287624, lire en ligne), p. 791
↑ (en) Letters of Richard Wagner, The Burrell Collection, New York, Macmillan 1950 et Londres, Gollancz 1951 (OCLC 221938038).
↑ ^{a et b} Koch 2014, p. 4.
↑ Hellmann-Stojan, H., « Stöhr, Richard », dans Die Musik in Geschichte und Gegenwart, Kassel-Basel, 1989, vol. 12, col. 1377-1378.
↑ (en) Scott Pfitzinger, Composer Genealogies: A Compendium of Composers, Their Teachers... p. 520–521.

Liens externes[modifier | modifier le code]

(en + de) Site officiel
(de) Richard Franz Stöhr sur Österreichisches Musiklexiokon online

Ressources relatives à la musique :
Notice dans un dictionnaire ou une encyclopédie généraliste :
- Deutsche Biographie
Notices d'autorité :
- VIAF
- ISNI
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- Japon
- CiNii
- Belgique
- Pays-Bas
- Pologne
- Israël
- NUKAT
- Vatican
- Australie
- Norvège
- Croatie
- Tchéquie
- Corée du Sud
- WorldCat

[1] (en) Biographie sur richardstoehr.com.

[Koch20142-2] Koch 2014, p. 2.

[Baker19954035-3] {a et b} Baker 1995, p. 4035.

[Koch20143-4] {a b c et d} Koch 2014, p. 3.

[5] Alain Pâris (dir.), Dictionnaire des interprètes et de l'interprétation musicale au XX^e siècle, Paris, Laffont, coll. « Bouquins », 2015 (réimpr. 1985, 1989, 1995, 2004), 5^e éd. (1^re éd. 1982), 1278 p. (ISBN 978-2-221-08064-1 et 2-221-08064-5, OCLC 901287624, lire en ligne), p. 791

[6] (en) Letters of Richard Wagner, The Burrell Collection, New York, Macmillan 1950 et Londres, Gollancz 1951 (OCLC 221938038).

[Koch20144-7] {a et b} Koch 2014, p. 4.

[8] Hellmann-Stojan, H., « Stöhr, Richard », dans Die Musik in Geschichte und Gegenwart, Kassel-Basel, 1989, vol. 12, col. 1377-1378.

[9] (en) Scott Pfitzinger, Composer Genealogies: A Compendium of Composers, Their Teachers... p. 520–521.

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 == Biographie ==
+Richard Stöhr est issu d'une famille provenant de Hongrie. Son père, Samuel Stern, est professeur de médecine à l'université de Vienne. Sa mère, Mathilde, est la sœur du [[chef de chœur]] et [[critique musicale|critique]] Heinrich Porges, un des plus proches associés de [[Richard Wagner]]<ref>{{en}} [http://www.richardstoehr.com/biography/ Biographie] sur richardstoehr.com.</ref>. Richard Stöhr est reçu docteur en médecine en 1898, il n’exerce pas, mais entre immédiatement à l'[[Académie de musique et des arts du spectacle de Vienne|Académie de musique de Vienne]]. Il se convertit du judaïsme au christianisme et change son nom, Stern, pour Stöhr{{sfn|Koch|2014|p=2}}. Il étudie le piano, l’orgue et la composition avec [[Robert Fuchs]]. Il travaille d'abord dans l'institution comme répétiteur choral dès 1900.
+Il obtient son doctorat en 1903, enseigne en tant qu'assistant{{sfn|Baker|1995|p=4035}} et obtient le poste de professeur en 1915{{sfn|Koch|2014|p=3}} dans les disciplines harmonie, contrepoint et formes musicales jusqu'en 1938. En 1915, il est appelé pour son service dans l'armée autrichienne, période qu'il effectue dans un hôpital de la banlieue de Vienne, tout en poursuivant son enseignement à l'Académie de musique. Parmi ses élèves figurent [[Alois Hába]], la pianiste Rena Kyriakou<ref>{{Ouvrage| langue=fr| prénom1=Alain| nom1=Pâris| lien auteur1=Alain Pâris| responsabilité1=dir.| titre=Dictionnaire des interprètes et de l'interprétation musicale au {{s-|XX}}| lieu=Paris| éditeur=[[Éditions Robert Laffont|Laffont]]| collection=Bouquins| année=2015| numéro d'édition=5| année première édition=1982| réimpression=1985, 1989, 1995, 2004| pages totales=1278| passage=791| isbn=978-2-221-08064-1| isbn2=2-221-08064-5| oclc=901287624| lire en ligne=https://books.google.fr/books?id=bC7BBwAAQBAJ&pg=PT791| id=Pâris2015}}</ref> et [[Eric Zeisl]] (1919–1923). Il écrit son premier livre sur l'harmonie dès 1906.
-Richard Stöhr est issu d'une famille provenant de Hongrie. Son père, Samuel Stern est professeur de médecine à l'université de Vienne. Sa mère, Mathilde, est la sœur du [[chef de chœur]] et [[critique musicale|critique]] Heinrich Porges, un des plus proches associés de [[Richard Wagner]]<ref>{{en}} [http://www.richardstoehr.com/biography/ Biographie] sur richardstoehr.com.</ref>. Richard Stöhr est reçu docteur en médecine en 1898, il n’exerce pas, mais entre immédiatement à l'Académie de musique de Vienne. Il se converti au christianisme et change son nom Stern, pour Stöhr{{sfn|Koch|2014|p=2}}. Il étudie le piano, l’orgue, et la composition avec [[Robert Fuchs]]. Il travaille d'abord dans l'institution comme répétiteur choral dès 1900.
-Il obtient son doctorat en 1903, enseigne en tant qu'assistant{{sfn|Baker|1995|p=4035}} et obtient le poste de professeur en 1915{{sfn|Koch|2014|p=3}} dans les disciplines : harmonie, contrepoint et formes musicales jusqu'en 1938. En 1915, il est appelé pour son service dans l'armée autrichienne, période qu'il effectue dans un hôpital de la banlieue de Vienne, tout en poursuivant son enseignement à l'Académie de musique. Parmi ses élèves, figurent [[Alois Hába]], la pianiste Rena Kyriakou<ref>{{ouvrage| langue =fr | |prénom1=Alain|nom1=Pâris|lien auteur1=Alain Pâris| responsabilité1 = dir. | titre =Dictionnaire des interprètes et de l'interprétation musicale au {{s-|XX}} |collection=Bouquins | éditeur =Laffont |lien éditeur=Éditions Robert Laffont| lieu =Paris | année =2015|année première édition=1982|réimpression=1985, 1989, 1995, 2004 |numéro d'édition=5 | ISBN =2-221-08064-5 | oclc =901287624 |bnf= | pages totales =1278 |passage=791 | id =Pâris2015 | lire en ligne =https://books.google.fr/books?id=bC7BBwAAQBAJ&lpg=PT791&hl=fr&pg=PT791#v=onepage&f=false }}</ref> et [[Erich Zeisl]] (1919–1923). Il écrit son premier livre sur l'harmonie dès 1906.
-En mars 1938, après l'[[Anschluss]], il est renvoyé de son poste et émigre aux [[États-Unis]] en février 1939{{sfn|Koch|2014|p=3}}. Sa sœur Hedwige, restée en Autriche, est raflée par les nazis en 1941 et meure dans un camp de transit en Pologne en 1942{{sfn|Koch|2014|p=3}}.
+En {{date-|mars 1938}}, après l'[[Anschluss]], il est renvoyé de son poste et émigre aux [[États-Unis]] en {{date-|février 1939}}{{sfn|Koch|2014|p=3}}. Sa sœur Hedwige, restée en Autriche, est raflée par les nazis en 1941 et meurt dans un camp de transit en Pologne en 1942{{sfn|Koch|2014|p=3}}.
-Il est embauché personnellement par Mary Curtis Bok, fondatrice en 1924, du [[Institut Curtis|Curtis Institute of Music]] à [[Philadelphie]] et il y enseigne de 1939 à 1941, jusqu'à la fermeture temporaire de la faculté en raison de la guerre. Il transforme son nom en ''Stoehr''{{sfn|Koch|2014|p=3}} pour convenir à la langue anglaise. Il participe également à la traduction de la correspondance de Wagner de la ''Burrell Collection'' qui paraît en 1950<ref>{{en}} ''Letters of Richard Wagner'', The Burrell Collection, New York, Macmillan 1950 et Londres, Gollancz 1951 {{OCLC|221938038}}.</ref>.
+Il est embauché personnellement par Mary Curtis Bok, fondatrice en 1924 du [[Institut Curtis|Curtis Institute of Music]] à [[Philadelphie]] et il y enseigne de 1939 à 1941, jusqu'à la fermeture temporaire de la faculté en raison de la guerre. Il transforme son nom en Stoehr {{sfn|Koch|2014|p=3}} pour convenir à la langue anglaise. Il participe également à la traduction de la correspondance de Wagner de la ''Burrell Collection'' qui paraît en 1950<ref>{{en}} ''Letters of Richard Wagner'', The Burrell Collection, New York, Macmillan 1950 et Londres, Gollancz 1951 {{OCLC|221938038}}.</ref>.
 Après sa période à Philadelphie, il obtient un poste au St Michael’s College de Winooski Park, aujourd'hui [[Colchester (Vermont)|Colchester]] dans le [[Vermont]] (1943–1950){{sfn|Baker|1995|p=4035}} où il enseigne l'allemand et la musique, tout en composant, mais aucune composition de la période américaine n'est publiée{{sfn|Koch|2014|p=4}}.
-Durant sa carrière il a pour élèves : [[Samuel Barber]], [[Leonard Bernstein]], [[Erich Leinsdorf]], [[Alexander Brailowsky]] et [[Marlene Dietrich]], [[Herbert von Karajan]] et [[Rudolf Serkin]]<ref>Hellmann-Stojan, H., « Stöhr, Richard », dans ''Die Musik in Geschichte und Gegenwart'', Kassel-Basel, 1989, vol. 12, col. 1377-1378.</ref>{{,}}{{sfn|Koch|2014|p=4}}.
+Durant sa carrière il a pour élèves [[Samuel Barber]], [[Leonard Bernstein]] (1939–1940), [[Erich Leinsdorf]], [[Alexander Brailowsky]] et [[Marlene Dietrich]], [[Herbert von Karajan]] et [[Rudolf Serkin]]<ref>Hellmann-Stojan, H., « Stöhr, Richard », dans ''Die Musik in Geschichte und Gegenwart'', Kassel-Basel, 1989, vol. 12, col. 1377-1378.</ref>{{,}}<ref>{{en}} Scott Pfitzinger, [https://books.google.fr/books?id=ugfWDQAAQBAJ&lpg=PA520&hl=fr&pg=PA520#v=onepage&q&f=false  Composer Genealogies: A Compendium of Composers, Their Teachers...] {{p.|520–521}}.</ref>{{,}}{{sfn|Koch|2014|p=4}}.
 == Œuvres (sélection) ==
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 * ''Praktischer Leitfaden des Kontrapunkts'' (Hambourg, Anton J.Benjamin 1911) {{OCLC|476490934}}
 * ''Musikalische Formenlehre'', 3 vol. (Leipzig, Kistner & Siegel 1911) {{OCLC|5281199}}
-** ''Formenlehre der Musik'', Leipzig 1933 — édition révisée du précédant
+** ''Formenlehre der Musik'', Leipzig 1933 — édition révisée du précédent
 * ''Praktische Modulationslehre'' (Leipzig 1928) {{OCLC|13878736}}
 * ''Modulationslehre'', 1932
 == Discographie ==
-* Quatuor à cordes op. 22 ; Trois intermezzi pour quatuor à cordes, op. 124 ; 5 pièces pour piano, op. 23* ; ''Olga watches the children's sleep''° - Rosemary O'Connor, piano ; Richard Stöhr°, piano ; Quatuor Christine Lavant (1942°, 12 juin 2009, 16 juillet 2009*, ORF) {{OCLC|824190764}}
+* Quatuor à cordes op. 22 ; Trois intermezzi pour quatuor à cordes, op. 124 ; 5 pièces pour piano, op. 23 ; ''Olga watches the children's sleep'' - Rosemary O'Connor, piano ; Richard Stöhr, piano ; Quatuor Christine Lavant (1942), {{date-|12 juin 2009}}, {{date-|16 juillet 2009}}, ORF) {{OCLC|824190764}}
-* Œuvres pour violoncelle et piano : ''Fantasiestücke'' op. 17 et sonate op. 49 - Stefan Koch, violoncelle ; Robert Conway, piano (21, 24 mai et 6 juin 2013, [[Toccata Classics]]) {{OCLC|940652239}}
+* Œuvres pour violoncelle et piano : ''Fantasiestücke'' op. 17 et sonate op. 49 - Stefan Koch, violoncelle ; Robert Conway, piano (21, {{date-|24 mai}} et {{date-|6 juin 2013}}, [[Toccata Classics]]) {{OCLC|940652239}}
-* Trio avec piano, op. 16 ; trois mélodies pour voix grave, piano et accompagnement de violoncelle, op. 21° - Seth Keeton, baryton-basse ; Laura Roelofs, violon ; Stefan Koch, violoncelle ; Mary Siciliano, piano (10 mai/10 et 19 octobre/28 novembre 2016 et 11 janvier 2017, 24 mai 2017°, Toccata Classics)
+* Trio avec piano, op. 16 ; trois mélodies pour voix grave, piano et accompagnement de violoncelle, op. 21 - Seth Keeton, baryton-basse ; Laura Roelofs, violon ; Stefan Koch, violoncelle ; Mary Siciliano, piano ({{date-|10 mai}}/10 et {{date-|19 octobre}}/{{date-|28 novembre 2016}} et {{date-|11 janvier 2017}}, {{date-|24 mai 2017}}, Toccata Classics)
+* Quatuor à cordes {{n°|2}}, op. 86 ; ''Serenade'' extr. du Quatuor {{n°|3}} op. 92 ; Suite pour flûte, violon, violoncelle et piano, op. 76 ({{date-|23 octobre}}/{{date-|11 novembre 2014}} ; {{date-|18 mars}}/{{date-|4 mai 2015}} ; {{date-|10 mai 2016}} ; 14-{{date-|15 février}} et {{date-|25 mars 2019}}, Toccata Classics)
 == Bibliographie ==
 * {{de}} Hans Sittner, ''Richard Stöhr : Mensch, Musiker, Lehrer'', Vienne et Munich, Doblinger 1965 {{OCLC|215098899}}
-* {{Ouvrage| langue = fr| prénom1 = Theodore| nom1 = Baker |lien auteur1= Theodore Baker | prénom2 = Nicolas| nom2 = Slonimsky|lien auteur2= Nicolas Slonimsky| traducteur = Marie-Stella Pâris| préface = Nicolas Slonimsky| titre = Dictionnaire biographique des musiciens | titre original = [[Baker's Biographical Dictionary of Musicians]] | numéro d'édition = 8 | collection = Bouquins| lien éditeur = Éditions Robert Laffont| éditeur = Robert Laffont| lieu = Paris | année =[[1995]]| année première édition = 1900| réimpression = 1905, 1919, 1940, 1958, 1978 | tome =3 | titre volume =P–Z| pages totales = 4728| passage=4035 | isbn = 2-221-06787-8|id=Baker1995}}.
+* {{Ouvrage| langue=fr| langue originale=en| prénom1=Theodore| nom1=Baker| lien auteur1=Theodore Baker| prénom2=Nicolas| nom2=Slonimsky| lien auteur2=Nicolas Slonimsky| traducteur=Marie-Stella Pâris| préface=Nicolas Slonimsky| titre=Dictionnaire biographique des musiciens| titre original=[[Baker's Biographical Dictionary of Musicians]]| tome=3| titre volume=P–Z| lieu=Paris| éditeur=[[Éditions Robert Laffont|Robert Laffont]]| collection=Bouquins| année=1995| numéro d'édition=8| année première édition=1900| réimpression=1905, 1919, 1940, 1958, 1978| pages totales=4728| passage=4035| isbn=2-221-06787-8| id=Baker1995}}.
 * {{Note discographique|langue=en|rédacteur=Stefan Koch |titre=Richard Stöhr, viennese composer in american exile |référence=|page=2–8 |label=[[Toccata Classics]]|année=2014|id=Koch2014 |OCLC=940652239}}
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 == Liens externes ==
+* {{mul|en|de}} [http://www.richardstoehr.com/ Site officiel]
-* {{Autorité}}
+* {{de}} [http://musiklexikon.ac.at/ml/musik_S/Stoehr_Richard_Franz.xml Richard Franz Stöhr] sur Österreichisches Musiklexiokon online
-* {{IMSLP|id=Stöhr, Richard}}
+{{Liens}}
-* {{mul|en|de}} [http://www.richardstoehr.com/ Site web officiel]
 {{Portail|musique classique|opéra|Autriche|États-Unis}}
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 [[Catégorie:Décès à Montpelier]]
 [[Catégorie:Décès à 93 ans]]
+[[Catégorie:Musicien ayant quitté l'Allemagne nazie]]
 [[Catégorie:Compositeur autrichien de la période romantique]]
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 [[Catégorie:Professeur à l'académie de musique et des arts du spectacle de Vienne]]
-[[Catégorie:Artiste mort en exil]]
+[[Catégorie:Théoricien de la musique]]