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'''Paul Johann Ludwig von Heyse''' ({{date de naissance|15|3|1830|en Allemagne}}, [[Berlin]] - {{Date de décès|2|4|1914}}, Munich) est un [[écrivain]] [[Royaume de Prusse|prussien]], poète lyrique et dramatique, auteur de romans et surtout de nouvelles, Prix Nobel de littérature en 1910.
'''Paul Johann Ludwig von Heyse''' ({{date de naissance|15|3|1830|en Allemagne}}, [[Berlin]] - {{Date de décès|2|4|1914}}, Munich) est un [[écrivain]] [[Royaume de Prusse|prussien]], poète lyrique et dramatique, auteur de romans et surtout de nouvelles, [[Prix Nobel de littérature]] en 1910.


== Biographie ==
== Biographie ==
Paul Heyse est né le {{date-|15 mars 1830}} à Berlin. Son père Karl Wilhelm Ludwig Heyse, est professeur agrégé de philologie classique et de linguistique générale. Sa mère, Julie Saarling, vient d'une riche famille de joailliers à la cour prussienne. Elle était une cousine de [[Lea Salomon]], la mère de [[Felix Mendelssohn]].
Paul Heyse est né le {{date-|15 mars 1830}} à Berlin. Son père {{lien|lang=de|Karl Wilhelm Ludwig Heyse}}, est professeur agrégé de philologie classique et de linguistique générale. Sa mère, Julie Saarling, vient d'une riche famille de joailliers à la cour prussienne. Elle était une cousine de Lea Salomon, la mère de [[Felix Mendelssohn]].


Paul Heyse étudie les langues classiques et traduit de nombreux [[poète]]s [[italien]]s. Il écrit aussi des [[nouvelle]]s et publie plusieurs [[Roman (littérature)|romans]] — le plus connu étant {{de}} ''Kinder der Welt'' (« Enfant du monde », [[1873]]).
Paul Heyse étudie les langues classiques et traduit de nombreux [[poète]]s [[italien]]s. Il écrit aussi des [[nouvelle]]s et publie plusieurs [[Roman (littérature)|romans]] — le plus connu étant {{de}} ''Kinder der Welt'' (« Enfant du monde », [[1873]]).
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À Berlin, il est membre du groupe de poètes Tunnel über der Spree, et à [[Munich]] — avec [[Emanuel Geibel]] et d'autres —, du groupe ''[[Die Krokodile]]'' (« les Crocodiles »).
À Berlin, il est membre du groupe de poètes Tunnel über der Spree, et à [[Munich]] — avec [[Emanuel Geibel]] et d'autres —, du groupe ''[[Die Krokodile]]'' (« les Crocodiles »).


En 1847 il étudie la philologie classique à Berlin. Au début du printemps 1848, il édite son premier poème. Il entre en contact avec [[Jacob Burckhardt]], [[Adolph Menzel]], [[Theodor Fontane]] et [[Theodor Storm]].
En 1847, il étudie la philologie classique à Berlin. Au début du printemps 1848, il édite son premier poème. Il entre en contact avec [[Jacob Burckhardt]], [[Adolph Menzel]], [[Theodor Fontane]] et [[Theodor Storm]].


En 1849, il étudie l'histoire de l'art et des études romanes à l'[[Université de Bonn]]. En 1850, il décide de devenir poète. En raison d'une histoire d'amour avec la femme d'un de ses professeurs il doit retourner à Berlin. Cette même année, son premier livre est publié.
En 1849, il étudie l'histoire de l'art et les études romanes à l'[[Université de Bonn]]. En 1850, il décide de devenir poète. En raison d'une histoire d'amour avec la femme d'un de ses professeurs il doit retourner à Berlin. Cette même année, son premier livre est publié.


En {{date-|mai 1852}} il obtient un doctorat avec une thèse sur le chœur dans la poésie des troubadours. Il fait un voyage en [[Italie]] pour étudier d'anciens manuscrits provençaux. Dans la bibliothèque du Vatican, il est interdit parce qu'il a pris des notes de manuscrits inédits. En Italie il reste une année universitaire et se lie d'amitié avec de nombreux artistes, [[Arnold Böcklin]] et {{lien|lang=de|Joseph Victor von Scheffel}}. Heyse est presque autant apprécié en Italie qu'en Allemagne; par une série de nombreuses traductions, il a fait connaître la littérature italienne en Allemagne<ref>{{Ouvrage|langue=|auteur1=C.D. AF WIRSEN|titre=Discours de réception lors de la remise du Prix Nobel de littérature|passage=préface d'une édition de 1967 des Prix Nobel de littérature|lieu=|éditeur=Editions Rombaldi|date=|pages totales=|isbn=|lire en ligne=}}</ref>.
En {{date-|mai 1852}} il obtient un doctorat avec une thèse sur le chœur dans la poésie des troubadours. Il fait un voyage en [[Italie]] pour étudier d'anciens manuscrits provençaux. Dans la bibliothèque du [[Vatican]], il est interdit parce qu'il a pris des notes de manuscrits inédits. En Italie il reste une année universitaire et se lie d'amitié avec de nombreux artistes, [[Arnold Böcklin]] et [[Joseph Victor von Scheffel]]. Heyse est presque autant apprécié en Italie qu'en Allemagne; par une série de nombreuses traductions, il a fait connaître la littérature italienne en Allemagne<ref>{{Ouvrage|langue=|auteur1=C.D. AF WIRSEN|titre=Discours de réception lors de la remise du Prix Nobel de littérature|passage=préface d'une édition de 1967 des Prix Nobel de littérature|lieu=|éditeur=Editions Rombaldi|date=|pages totales=|isbn=|lire en ligne=}}</ref>.


En 1854, il est nommé à Munich conseiller littéraire du roi de Bavière [[Maximilien II (roi de Bavière)|Maximilien II]], véritable protecteur des lettres et des arts. Il obtient une pension annuelle de 1000 florins, pension destinée à contribuer à l'éveil intellectuel du royaume<ref name=":0">{{Ouvrage|langue=|auteur1=Geneviève Bianquis|titre=La Vie et l'Oeuvre de Paul Heyse|passage=préface d'une édition de 1967 des Prix Nobel de littérature|lieu=|éditeur=Editions Rombaldi|date=|pages totales=|isbn=|lire en ligne=}}</ref>.
En 1854, il est nommé à Munich conseiller littéraire du roi de Bavière {{souverain2|Maximilien II (roi de Bavière)}}, véritable protecteur des lettres et des arts. Il obtient une pension annuelle de {{nombre|1000 florins}}, pension destinée à contribuer à l'éveil intellectuel du royaume<ref name=":0">{{Ouvrage|langue=|auteur1=Geneviève Bianquis|titre=La Vie et l'Oeuvre de Paul Heyse|passage=préface d'une édition de 1967 des Prix Nobel de littérature|lieu=|éditeur=Editions Rombaldi|date=|pages totales=|isbn=|lire en ligne=}}</ref>.


En [[1910]], il reçoit le [[prix Nobel de littérature]] pour son activité littéraire abondante composée de recueils de vers, sept romans, une quarantaine de drames, plus de cent cinquante nouvelles, des traductions de poètes italiens, des éditions de chansons italiennes et espagnoles<ref name=":0" />.
En [[1910]], il reçoit le [[prix Nobel de littérature]] pour son activité littéraire abondante composée de recueils de vers, sept romans, une quarantaine de drames, plus de cent cinquante nouvelles, des traductions de poètes italiens, des éditions de chansons italiennes et espagnoles<ref name=":0" />.
[[File:Grab P.Heyse Waldfriedhof Mchn 1.jpg|thumb|right|Sépulture au [[Waldfriedhof de Munich]].]]
[[File:Grab P.Heyse Waldfriedhof Mchn 1.jpg|thumb|right|Sépulture au [[Waldfriedhof de Munich]].]]
Il meurt à Munich en 1914 à l'âge de 84 ans.
Il meurt à Munich en 1914 à l'âge de 84 ans.

La tombe de Paul Heyse se trouve dans la partie ancienne du [[cimetière forestier de Munich]] (tombe n° 43-W-27a/b). La tombe est constituée d'un demi-cercle de trois mètres de haut formé de colonnes reliées entre elles, avec une plaque commémorative au centre. Elle est l'œuvre de l'architecte {{lien|lang=de|Otho Orlando Kurz}}, qui s'est surtout illustré dans la construction d'églises et de bâtiments industriels.


== Œuvres traduites en français ==
== Œuvres traduites en français ==
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* ''Un père'', nouvelle, Paris, dans la ''Revue bleue'', pages 560-564, {{date-|23 septembre 1928}}
* ''Un père'', nouvelle, Paris, dans la ''Revue bleue'', pages 560-564, {{date-|23 septembre 1928}}
* ''Kolberg'' (''Colberg''), drame historique en 5 actes, Château-Thierry, E. Harvich, 1938
* ''Kolberg'' (''Colberg''), drame historique en 5 actes, Château-Thierry, E. Harvich, 1938
* ''L'Arrabbiata'', suivi de ''Le Garde-vignes'' (''Der Weinhüter'') et de ''Résurrection'' (''Auferstanden ''), Paris, Presses du Compagnonnage, {{coll|prix Nobel de littérature}}, 1960
* ''L'Arrabbiata'', suivi de ''Le Garde-vignes'' (''Der Weinhüter'') et de ''Résurrection'' (''Auferstanden''), Paris, Presses du Compagnonnage, {{coll|prix Nobel de littérature}}, 1960


== Bibliographie ==
== Bibliographie ==
* {{NDB|9|100|102|Heyse, Paul|{{lien|lang=de|Fritz Martini}}|118550772}}
* {{NDB|9|100|102|Heyse, Paul|[[Fritz Martini]]|118550772}}
* {{lien|lang=de|Jürgen Joachimsthaler}}: ''Wucherblumen auf Ruinen. Nationalliterarische (Des)Integration bei Paul Heyse.'' In: Maria Katarzyna Lasatowicz, Jürgen Joachimsthaler (Hrsg.): ''Nationale Identität aus germanistischer Perspektive.'' Opole 1998, S.&nbsp;217–254.
* {{lien|lang=de|Jürgen Joachimsthaler}}: ''Wucherblumen auf Ruinen. Nationalliterarische (Des)Integration bei Paul Heyse.'' In: Maria Katarzyna Lasatowicz, Jürgen Joachimsthaler (Hrsg.): ''Nationale Identität aus germanistischer Perspektive.'' Opole 1998, S.&nbsp;217–254.
* {{lien|lang=de|Roland Berbig}} und Walter Hettche (Hrsg.): ''Paul Heyse. Ein Schriftsteller zwischen Deutschland und Italien''. Lang, Frankfurt am Main 2001 (Literatur – Sprache – Region&nbsp;4), ISBN 3-631-37378-3.
* {{lien|lang=de|Roland Berbig}} und Walter Hettche (Hrsg.): ''Paul Heyse. Ein Schriftsteller zwischen Deutschland und Italien''. Lang, Frankfurt am Main 2001 (Literatur – Sprache – Region&nbsp;4) {{ISBN|3-631-37378-3}}.


== Notes et références ==
== Notes et références ==
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Dernière version du 18 novembre 2023 à 11:19

Paul Johann Ludwig von Heyse
Paul Johann Ludwig von Heyse.
Biographie
Naissance
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 84 ans)
Munich
Sépulture
Nom de naissance
Paul Johann Ludwig von HeyseVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Formation
Activités
Père
Karl Wilhelm Ludwig Heyse (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Conjoints
Margarete Heyse (d) (jusqu'en )
Anna Heyse (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Enfant
Ernst Heyse (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
Distinctions
Prix Nobel de littérature ()Voir et modifier les données sur Wikidata
Liste détaillée
Ordre bavarois de Maximilien pour la science et l'art ()
Prix Schiller (d) ()
Prix Nobel de littérature ()
Citoyen d'honneur de Munich (d) ()Voir et modifier les données sur Wikidata
signature de Paul Johann Ludwig von Heyse
Signature

Paul Johann Ludwig von Heyse (, Berlin - , Munich) est un écrivain prussien, poète lyrique et dramatique, auteur de romans et surtout de nouvelles, Prix Nobel de littérature en 1910.

Biographie[modifier | modifier le code]

Paul Heyse est né le à Berlin. Son père Karl Wilhelm Ludwig Heyse (de), est professeur agrégé de philologie classique et de linguistique générale. Sa mère, Julie Saarling, vient d'une riche famille de joailliers à la cour prussienne. Elle était une cousine de Lea Salomon, la mère de Felix Mendelssohn.

Paul Heyse étudie les langues classiques et traduit de nombreux poètes italiens. Il écrit aussi des nouvelles et publie plusieurs romans — le plus connu étant (de) Kinder der Welt (« Enfant du monde », 1873).

À Berlin, il est membre du groupe de poètes Tunnel über der Spree, et à Munich — avec Emanuel Geibel et d'autres —, du groupe Die Krokodile (« les Crocodiles »).

En 1847, il étudie la philologie classique à Berlin. Au début du printemps 1848, il édite son premier poème. Il entre en contact avec Jacob Burckhardt, Adolph Menzel, Theodor Fontane et Theodor Storm.

En 1849, il étudie l'histoire de l'art et les études romanes à l'Université de Bonn. En 1850, il décide de devenir poète. En raison d'une histoire d'amour avec la femme d'un de ses professeurs il doit retourner à Berlin. Cette même année, son premier livre est publié.

En il obtient un doctorat avec une thèse sur le chœur dans la poésie des troubadours. Il fait un voyage en Italie pour étudier d'anciens manuscrits provençaux. Dans la bibliothèque du Vatican, il est interdit parce qu'il a pris des notes de manuscrits inédits. En Italie il reste une année universitaire et se lie d'amitié avec de nombreux artistes, Arnold Böcklin et Joseph Victor von Scheffel. Heyse est presque autant apprécié en Italie qu'en Allemagne; par une série de nombreuses traductions, il a fait connaître la littérature italienne en Allemagne[1].

En 1854, il est nommé à Munich conseiller littéraire du roi de Bavière Maximilien II, véritable protecteur des lettres et des arts. Il obtient une pension annuelle de 1 000 florins, pension destinée à contribuer à l'éveil intellectuel du royaume[2].

En 1910, il reçoit le prix Nobel de littérature pour son activité littéraire abondante composée de recueils de vers, sept romans, une quarantaine de drames, plus de cent cinquante nouvelles, des traductions de poètes italiens, des éditions de chansons italiennes et espagnoles[2].

Sépulture au Waldfriedhof de Munich.

Il meurt à Munich en 1914 à l'âge de 84 ans.

La tombe de Paul Heyse se trouve dans la partie ancienne du cimetière forestier de Munich (tombe n° 43-W-27a/b). La tombe est constituée d'un demi-cercle de trois mètres de haut formé de colonnes reliées entre elles, avec une plaque commémorative au centre. Elle est l'œuvre de l'architecte Otho Orlando Kurz (de), qui s'est surtout illustré dans la construction d'églises et de bâtiments industriels.

Œuvres traduites en français[modifier | modifier le code]

  • Deux Prisonniers, Paris, Librairie illustrée, coll. « Chefs-d'oeuvre du siècle illustrés » no 56, 1893
  • Un père, nouvelle, Paris, dans la Revue bleue, pages 560-564,
  • Kolberg (Colberg), drame historique en 5 actes, Château-Thierry, E. Harvich, 1938
  • L'Arrabbiata, suivi de Le Garde-vignes (Der Weinhüter) et de Résurrection (Auferstanden), Paris, Presses du Compagnonnage, coll. « prix Nobel de littérature », 1960

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. C.D. AF WIRSEN, Discours de réception lors de la remise du Prix Nobel de littérature, Editions Rombaldi, préface d'une édition de 1967 des Prix Nobel de littérature
  2. a et b Geneviève Bianquis, La Vie et l'Oeuvre de Paul Heyse, Editions Rombaldi, préface d'une édition de 1967 des Prix Nobel de littérature

Liens externes[modifier | modifier le code]

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