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En sciences et techniques, notamment en informatique et en théorie de l'information, un code est une règle de transcription qui, à tout symbole d'un jeu de caractères (alphabet source) assigne de manière univoque un caractère ou une chaîne de caractères pris dans un jeu de caractères éventuellement différent (alphabet cible). Un exemple est le code morse qui établit une relation entre lettres de l'alphabet latin et des séquences de sons courts et longs.

En sciences de la communication, un code au sens le plus large fait référence à un langage. Toute communication est basée sur l'échange d'informations engendrées par un émetteur selon un code spécifique et que le destinataire interprète selon le même code.

Les données transmises ou conservées électroniquement consistent en une longue série de zéros et de uns (les bits) dont la combinaison définit nombres, symboles ou (par exemple, 11000001 = 'A'). Ce sont des codages de caractères. Dans un autre code, la même combinaison de bits pourrait signifier le nombre 193. D'autres types de données aussi, par exemple, les séquences des bases nucléiques dans les brins d'ADN sont exprimés par des codes.

En théorie des codes on appelle les éléments composant un code les « mots du code » ; les symboles qui composent les mots du code sont pris dans un alphabet (l'alphabet cible). On distingue l'alphabet source, sur lequel est formé le texte en clair, de l'alphabet cible, dans lequel est exprimé le texte codé.

Définition[modifier | modifier le code]

Un codage d'un alphabet $A$ dans les mots d'un alphabet $B$ est une fonction injective

c\colon A\rightarrow B^{+}

qui, à chaque symbole de l'alphabet $A$ , associe un mot non vide sur l'alphabet $B$ . L'ensemble image $c(A)$ est le code, et ses éléments sont des mots du code. L'application $c$ est étendue en un morphisme de demi-groupe, encore notée $c$ , de $A^{+}\to B^{+}$ défini par

c(a_{1}\cdots a_{n})=c(a_{1})\cdots c(a_{n})

,

où $a_{1}\cdots a_{n}$ est un mot sur $A$ . Un code $c(A)$ est à déchiffrage unique si l'extension de c à $A^{+}$ est injective, donc si

c(a_{1}\cdots a_{n})=c(b_{1}\cdots b_{m})

implique $n=m$ et $a_{i}=b_{i}$ pour tout $i$ . Un code est préfixe ou à décodage instantané si aucun mot du code n'est préfixe d'un autre mot du code. Tout code préfixe est à déchiffrage unique, la réciproque est fausse. Dans la littérature française en théorie mathématique des codes, un « code » est souvent synonyme de « code à déchiffrage unique ». Le codage d'un texte est, dans cette formulation, le plus simplement la succession des codages des lettres qui le composent, indépendamment d'une éventuelle interaction entre elles ; en cryptographie ou en compression de données, la succession des symboles dans le texte source est elle-même une composante du traitement.

Exemples de codes[modifier | modifier le code]

Codes généraux[modifier | modifier le code]

En biologie, le code génétique est une règle qui détermine, pendant la biosynthèse des protéines, la traduction des informations des ADN respectivement ARN en séquence d'acides aminés ;
dans le trafic aérien on utilisé les codes IATA et ICAO ;
pour le codage des sons on utilise le code DTMF ;
dans le commerce et l'industrie ou en on logistique on utilise divers type de code-barres ; des variantes plus complexes sont de codes bidimensionnels comme les z. B. der codes QR ;
en médecine les maladies sont codées dans la classification internationale des maladies ;
en traitement ou conservation d'images, les informations sur les couleurs sont codées selon divers modèles, comme le modèle YUV.

Codes correcteurs[modifier | modifier le code]

Article détaillé : Code correcteur.

Le code International Standard Book Number (ISBN) sert à l’identification de livres, dans ce code, le dernier symbole sert à vérifier que le code est correctement formé ; en ce sens, c'est un code reconnaissant d'erreurs ;
de même nature, le International Standard Serial Number (ISSN) qui sert à identifier les publications périodiques, est un code correcteur ;
il en est de même du code-barres EAN ;
le codage de canal permet une représentation des données de façon à être résistant aux erreurs de transmission.

Codes secrets[modifier | modifier le code]

Le chiffrement par substitution consiste à remplacer des lettres par des lettres. C'est l'un de procédé de codage le plus rudimentaire. Des procédés de chiffrement plus complexes sont fréquemment appelés codes cryptographiques.

En informatique[modifier | modifier le code]

En programmation, le code ASCII (American Standard Code for Information Interchange) sert à la représentation des lettres, chiffres et symboles de ponctuation par des suites de bits. Le standard Unicode a étendu ce code à pratiquement tous les systèmes de signes ;
le code source d'un programme, expression d'un algorithme dans la syntaxe d'un certain langage de programmation, est traduit, par un compilateur, en un autre langage. Le compilateur peut procéder en plusieurs étapes, d'abord par une traduction en langage intermédiaire et enfin en langage machine ; ici, le terme « code » intervient à divers niveaux avec des significations différente ;
en transmission des données, on utilise le codage en ligne ;
le codage de source est un autre nom pour la compression de données ;
sur internet, on rencontre le Geek code, un code dans la communauté des geek.

Code de sécurité[modifier | modifier le code]

Un code de sécurité est un code pour des fins d'identification ou d'authentification

Notes et références[modifier | modifier le code]

(de) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en allemand intitulé « Code » (voir la liste des auteurs).

Annexes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Code (information), sur Wikimedia Commons
code, sur le Wiktionnaire

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

« Codage de l'information » L'informatique au lycée
« Aide au codage en ligne » des codes médicaux CCAM, CIM, etc.
« Les codages » Franck Lusteau, Cnam.

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Bruno Martin, Codage, cryptologie et applications, Lausanne, Presses polytechniques et universitaires romandes, coll. « Collection technique et scientifique des télécommunications », 2004, 350 p. (ISBN 978-2-88074-569-1, ISSN 0221-2579, SUDOC 078879582, lire en ligne).
Gilles Bastin, « Codes et codages professionnels dans les mondes de l'information », Réseaux, vol. 157-158, n^o 5,‎ 2009, p. 191-211 (ISSN 0751-7971, DOI 10.3917/res.157.0191, lire en ligne).
Jean Berstel, Dominique Perrin et Christophe Reutenauer, Codes and Automata, Cambridge University Press, coll. « Encyclopedia of Mathematics and its Applications » (n^o 129), 2009, 634 p. (ISBN 978-1-139-19576-8, DOI 10.1017/CBO9781139195768).
David Kahn, The Codebreakers : The Story of Secret Writing, Macmillan, 1967, 1164 p. (ISBN 978-0-684-83130-5) —- Plusieurs rééditions.

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 {{homonymes|Code}}
 [[Fichier:International Morse Code-fr.svg|vignette|redresse|Code morse international.]]
-En sciences et techniques, notamment en [[Théorie de l'information|théorie de l’information]], en [[informatique]] et en [[Théorie de l'information|théorie de l'information,]] un '''code''' est une règle de transcription qui, à tout symbole d'un jeu de caractères (alphabet source) assigne de manière univoque un caractère ou une chaîne de caractères pris dans un jeu de caractères éventuellement différent (alphabet cible). Un exemple est le [[Morse (alphabet)|code morse]] qui établit une relation entre [[Lettre (alphabet)|lettres]] de l'alphabet latin et des séquences de sons courts et longs.
+En sciences et techniques, notamment en [[informatique]] et en [[théorie de l'information]], un '''code''' est une règle de transcription qui, à tout symbole d'un jeu de caractères (alphabet source) assigne de manière univoque un caractère ou une chaîne de caractères pris dans un jeu de caractères éventuellement différent (alphabet cible). Un exemple est le [[Morse (alphabet)|code morse]] qui établit une relation entre [[Lettre (alphabet)|lettres]] de l'alphabet latin et des séquences de sons courts et longs.
 En [[sciences de la communication]], un code au sens le plus large fait référence à un [[langage]]. Toute communication est basée sur l'échange d'informations engendrées par un émetteur selon un code spécifique et que le destinataire interprète selon le même code.
-Les [[Transmission de données|données transmises]] ou conservées électroniquement consistent en une longue série de zéros et de uns (les [[bit]]s) dont la combinaison définit nombres, symboles ou (par exemple, <code>11000001</code> = 'A').  Ce sont des [[Codage des caractères|codages de caractères]]. Dans un autre code, la même combinaison de bits pourrait signifier le nombre 193. D'autres types de [[donnée]]s aussi, par exemple, les séquences des [[Base azotée|bases nucléiques]] dans les brins d'[[Acide désoxyribonucléique|ADN]] sont exprimés par des codes.
+Les [[Transmission de données|données transmises]] ou conservées électroniquement consistent en une longue série de zéros et de uns (les [[bit]]s) dont la combinaison définit nombres, symboles ou (par exemple, <code>11000001</code> = 'A'). Ce sont des [[Codage des caractères|codages de caractères]]. Dans un autre code, la même combinaison de bits pourrait signifier le nombre 193. D'autres types de [[donnée]]s aussi, par exemple, les séquences des [[Base azotée|bases nucléiques]] dans les brins d'[[Acide désoxyribonucléique|ADN]] sont exprimés par des codes.
 En [[théorie des codes]] on appelle les éléments composant un code les « mots du code » ; les symboles qui composent les mots du code sont pris dans un [[alphabet]] (l'alphabet cible). On distingue l'alphabet source, sur lequel est formé le texte en clair, de l'alphabet cible, dans lequel est exprimé le texte codé.
-== Définition ==
+== [[Définition]] ==
 Un codage d'un [[alphabet]] <math>A</math> dans les mots d'un alphabet <math>B</math> est une [[Fonction (mathématiques)|fonction]] [[Injection (mathématiques)|injective]]
 : <math>c \colon A \rightarrow B^{+}</math>
-qui, à chaque symbole de l'alphabet  <math>A</math>, associe un  [[Mot (mathématiques)|mot]] non vide sur l'alphabet <math>B</math>. L'ensemble [[Image (mathématiques)|image]] <math>c(A)</math> est le code, et ses éléments sont des mots du code. L'application <math>c</math> est étendue en un morphisme de demi-groupe, encore notée  <math>c</math>, de  <math>A^{+} \to B^{+}</math> défini par
+qui, à chaque symbole de l'alphabet <math>A</math>, associe un [[Mot (mathématiques)|mot]] non vide sur l'alphabet <math>B</math>. L'ensemble [[Image (mathématiques)|image]] <math>c(A)</math> est le code, et ses éléments sont des mots du code. L'application <math>c</math> est étendue en un morphisme de demi-groupe, encore notée <math>c</math>, de <math>A^{+} \to B^{+}</math> défini par
 : <math>c(a_1 \cdots a_n) = c(a_1) \cdots c(a_n)</math>,
-où <math>a_1 \cdots a_n</math> est un mot sur <math>A</math>. Un  code <math>c(A)</math> est à déchiffrage unique si l'extension de c à A^+ est injective, donc si
+où <math>a_1 \cdots a_n</math> est un mot sur <math>A</math>. Un code <math>c(A)</math> est à déchiffrage unique si l'extension de c à <math>A^{+}</math> est injective, donc si
 : <math>c(a_1 \cdots a_n) = c(b_1 \cdots b_m)</math>
 implique
 <math>n = m</math> et <math>a_i=b_i</math> pour tout <math>i</math>.
-Un code est préfixe ou à décodage instantané  si aucun mot du code n'est préfixe d'un autre mot du code. Tout ode préfixe est à déchiffrage unique, la réciproque est fausse. Dans la littérature française en théorie mathématique des codes, un « code » est souvent synonyme de « code à déchiffrage unique ». Le codage d'un texte est, dans cette formulation, le plus simplement la succession des codages des lettres qui le composent, indépendamment d'une éventuelle interaction entre elles ; en [[cryptographie]] ou en [[compression de données]], la succession des symboles dans le texte source est elle-même une composante du traitement.
+Un code est [[Code préfixe|préfixe]] ou à décodage instantané si aucun mot du code n'est préfixe d'un autre mot du code. Tout code préfixe est à déchiffrage unique, la réciproque est fausse. Dans la littérature française en théorie mathématique des codes, un « code » est souvent synonyme de « code à déchiffrage unique ». Le codage d'un texte est, dans cette formulation, le plus simplement la succession des codages des lettres qui le composent, indépendamment d'une éventuelle interaction entre elles ; en [[cryptographie]] ou en [[compression de données]], la succession des symboles dans le texte source est elle-même une composante du traitement.
 == Exemples de codes ==
 === Codes généraux ===
-* En [[biologie]] le  [[code génétique|code génétique]] est une règle qui détermine, pendant la [[biosynthèse des protéines]], la traduction des informations des [[Acide désoxyribonucléique|ADN]] respectivement [[Acide ribonucléique|ARN]] en séquence d'[[acide aminé|acides aminés]] ;
+* En [[biologie]], le [[code génétique]] est une règle qui détermine, pendant la [[biosynthèse des protéines]], la traduction des informations des [[Acide désoxyribonucléique|ADN]] respectivement [[Acide ribonucléique|ARN]] en séquence d'[[acide aminé|acides aminés]] ;
-* dans le [[trafic aérien]] on utilisé les codes  [[IATA]] et  [[ICAO]] ;
+* dans le [[trafic aérien]] on utilisé les codes [[IATA]] et [[ICAO]] ;
-* pour le codage des son on utilise le [[code DTMF]] ;
+* pour le codage des sons on utilise le [[code DTMF]] ;
-* dans le commerce et l'industrie ou en  on [[logistique]] on utilise divers type de [[code-barres]] ; des variantes plus complexes sont de codes bidimensionnels comme les {{nobr|z. B}}. der [[code QR|codes QR]] ;
+* dans le commerce et l'industrie ou en on [[logistique]] on utilise divers type de [[code-barres]] ; des variantes plus complexes sont de codes bidimensionnels comme les {{nobr|z. B}}. der [[code QR|codes QR]] ;
-* en [[médecine]] les maladies sont codées dans la  [[classification internationale des maladies]] ;
+* en [[médecine]] les maladies sont codées dans la [[classification internationale des maladies]] ;
 * en traitement ou conservation d'images, les informations sur les couleurs sont codées selon divers modèles, comme le modèle [[YUV]].
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 === En informatique ===
-* En programmation, le code ASCII ''([[American Standard Code for Information Interchange]])'' sert à la représentation des [[Lettre (alphabet)|lettres]], [[chiffre]]s et symboles de ponctuation par des suite de [[bit]]s. Le standard [[Unicode]] à étendu ce code à pratiquement tous les systèmes de signes.
+* En programmation, le code ASCII ''([[American Standard Code for Information Interchange]])'' sert à la représentation des [[Lettre (alphabet)|lettres]], [[chiffre]]s et symboles de ponctuation par des suites de [[bit]]s. Le standard [[Unicode]] a étendu ce code à pratiquement tous les systèmes de signes ;
-* Le [[code source]] d'un programme, expression d'un [[algorithme]] dans la syntaxe d'un certain [[langage de programmation]], est traduit, par un [[compilateur]], en un autre langage. Le compilateur peut procéder en plusieurs  étapes, d'abord par une traduction en [[langage intermédiaire]] et enfin en [[langage machine]] ; ici, le terme « code » intervient à divers niveaux avec des significations différente.
+* le [[code source]] d'un programme, expression d'un [[algorithme]] dans la syntaxe d'un certain [[langage de programmation]], est traduit, par un [[compilateur]], en un autre langage. Le compilateur peut procéder en plusieurs étapes, d'abord par une traduction en [[langage intermédiaire]] et enfin en [[langage machine]] ; ici, le terme « code » intervient à divers niveaux avec des significations différente ;
-* En transmission des données, on utilise le [[codage en ligne]].
+* en transmission des données, on utilise le [[codage en ligne]] ;
-* Le [[codage de source]] est un autre nom pour la [[compression de données]].
+* le [[codage de source]] est un autre nom pour la [[compression de données]] ;
-* Sur Internet on rencontre le ''[[Geek code]]'', un code dans la communauté des geek.
+* sur internet, on rencontre le ''[[Geek code]]'', un code dans la communauté des geek.
+=== Code de sécurité ===
+Un [[code de sécurité]] est un code pour des fins d'identification ou d'authentification
+== Notes et références ==
+{{Traduction/Référence|de|Code}}
+{{Références}}
 == Annexes ==
+{{Autres projets
+ | commons            = Category=Codes
+ | wiktionary         = code
+}}
 === Articles connexes ===
 * [[Chiffrement]]
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 * [[Cryptage]]
 * [[Transcodage]]
-=== Source ===
-* {{Traduction/Référence|de|Code}}
 === Liens externes ===
-{{Autres projets
- | commons            = Category=Codes
- | wiktionary         = code
-}}
 * [https://www.apprendre-en-ligne.net/info/codage/codage.pdf « Codage de l'information »] ''L'informatique au lycée''
 * [https://www.aideaucodage.fr/ccam « Aide au codage en ligne »] des codes médicaux CCAM, CIM, etc.
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 === Bibliographie ===
+* {{Ouvrage|langue=fr|auteur1=Bruno Martin|titre=Codage, cryptologie et applications|éditeur=Presses polytechniques et universitaires romandes|collection=Collection technique et scientifique des télécommunications|lieu=Lausanne|année=2004|pages totales=350|isbn=978-2-88074-569-1|issn=0221-2579|sudoc=078879582|lire en ligne=https://books.google.com/books?id=SNYrhjDGlPsC&printsec=frontcover|consulté le=26 décembre 2017}}.
-* {{Ouvrage
+* {{article|nom1=Bastin|prénom1=Gilles |titre=Codes et codages professionnels dans les mondes de l'information |journal=Réseaux|volume=157-158 |numéro=5|année=2009 |pages=191-211 |issn=0751-7971 |doi=10.3917/res.157.0191 |url = https://www.cairn.info/revue-reseaux-2009-5-page-191.htm}}.
-|auteur1= 	Bruno Martin
+* {{Ouvrage |prénom1=Jean |nom1=Berstel |prénom2=Dominique |nom2=Perrin |prénom3=Christophe |nom3=Reutenauer |titre=Codes and Automata |éditeur=Cambridge University Press |collection=Encyclopedia of Mathematics and its Applications |numéro dans collection=129 |année=2009 |pages totales=634 |isbn=978-1-139-19576-8 |doi=10.1017/CBO9781139195768 |consulté le=26 décembre 2017}}.
-|titre= Codage, cryptologie et applications
+* {{Ouvrage|auteur1=[[David Kahn]]|titre=The Codebreakers|sous-titre=The Story of Secret Writing|éditeur=Macmillan|année=1967|pages totales=1164|isbn=978-0-684-83130-5}} —- Plusieurs rééditions.
-|sous-titre=
-|éditeur= Presses polytechniques et universitaires romandes,
+{{Portail|télécommunications|informatique|informatique théorique}}
-|collection= Collection technique et scientifique des télécommunications
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-|passage=
-|isbn= 9782880745691
-|sudoc = 078879582
-|lire en ligne=
-|consulté le=26 décembre 2017
-}}.
-* {{cite journal|last1=Bastin|first1=Gilles
- |title=Codes et codages professionnels dans les mondes de l'information
- |journal=Réseaux|volume=157-158
- |issue=5|year=2009
- |pages=191-211
- |issn=0751-7971
- |doi=10.3917/res.157.0191
- |url = https://www.cairn.info/revue-reseaux-2009-5-page-191.htm}}.
-* {{Ouvrage
- |last1=Berstel|first1=Jean|last2=Perrin|first2=Dominique|last3=Reutenauer|first3=Christophe
-|titre= Codes and Automata
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-|lire en ligne=
-|consulté le=26 décembre 2017
-}}.
-* {{Ouvrage|langue=|auteur1= [[David Kahn]]|titre= The Codebreakers
- |sous-titre=  The Story of Secret Writing |passage=|lieu=|éditeur= Macmillan
- |année= 1967 |date=|pages totales= 1164 |isbn= 978-0-684-83130-5
-|lire en ligne=}} —- Plusieurs rééditions.
-{{portail|télécommunications|informatique|informatique théorique}}
 [[Catégorie:Théorie des codes]]
 [[Catégorie:Informatique théorique]]