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[[Fichier:Music. Mr Forget BAnQ Vieux-Montréal P48S1P08069.jpg|thumb|Atelier d'un luthier (photo de [[Conrad Poirier]], 1942).]]
La lutherie est l'art regroupant les métiers de facteurs d’instruments à cordes frottées ou pincées tel que le violon, la [[mandoline]], les [[Guitare|guitares]] ou les autres [[Quatuor à cordes|instruments du quatuor]].
La '''lutherie''' est le métier du [[luthier]]. C'est la fabrication [[instrument de musique|d'instruments de musique]] à [[instrument à cordes|cordes]] frottées et pincées. Par extension, certains désignent, par le terme « luthier », toute personne fabriquant des instruments de musique, y compris ceux qui fabriquent des instruments à vent ou de percussion, quoique le terme correct soit « facteur d'instrument ».


== Histoire ==
== Histoire ==
La lutherie est aussi ancienne que les instruments à cordes ; en rechercher l'origine invite à considérer l'histoire des instruments eux-mêmes.
La lutherie est aussi ancienne que les instruments à cordes ; en rechercher l'origine invite à considérer l'histoire des instruments eux-mêmes.


{{refnec|La [[lyre]] est fort ancienne, et l’on sait comment elle s'oppose chez les Grecs anciens, en tant qu'instrument d'[[Apollon]] et support du lyrisme, à l'[[Aulos (instrument)|aulos]] de [[Dionysos]] et des tragédies. Le [[luth]] dérive, lui, de l'[[oud]] arabe, lui-même issu du [[barbat]] persan. « Al Oud » signifie « le bâton », en référence peut-être à ce qui le distingue des autres instruments à cordes tels que le [[rabab]] : sa table est en bois (et non en peau). Ce luth gagne l'Espagne ; il y devient [[vihuela]], puis [[viole de gambe]]. Le barbat voyage aussi le long de la [[route de la soie]] et gagne l'Extrême-Orient où il prend la forme du [[Pipa (instrument de musique)|Pipa]] et du [[Biwa (instrument)|Biwa]]. Le violon de son côté (et ses déclinaisons) dérive lui du [[rabâb]] par le [[Rebec (instrument)|rebec]], mais aussi de la [[vièle]] et de la [[Lira da braccio]].}}
{{refnec|La [[lyre]] est fort ancienne, et l’on sait comment elle s'oppose chez les Grecs anciens, en tant qu'instrument d'[[Apollon]] et support du lyrisme, à l'[[Aulos (instrument)|aulos]] de [[Dionysos]] et des tragédies. Le [[luth]] dérive, lui, de l'[[oud]] arabe, lui-même issu du [[Barbat (luth)|barbat]] persan. « Al Oud » signifie « le bâton », en référence peut-être à ce qui le distingue des autres instruments à cordes tels que le [[rabab]] : sa table est en bois (et non en peau). Ce luth gagne l'Espagne ; il y devient [[vihuela]], puis [[viole de gambe]]. Le barbat voyage aussi le long de la [[route de la soie]] et gagne l'Extrême-Orient où il prend la forme du [[Pipa (instrument de musique)|Pipa]] et du [[Biwa (instrument)|Biwa]]. Le violon de son côté (et ses déclinaisons) dérive lui du [[rabâb]] par le [[Rebec (instrument)|rebec]], mais aussi de la [[vièle]] et de la [[Lira da braccio]].|date=26 mai 2023}}


Les influences sont donc nombreuses et enchevêtrées ; les instruments se déplacent et les luthiers gagnent en inspiration, innovent et perfectionnent.
Les influences sont donc nombreuses et enchevêtrées ; les instruments se déplacent et les luthiers gagnent en inspiration, innovent et perfectionnent.


Un important centre de lutherie se trouve en [[Italie]] dans la ville de [[Cremone]] qui a vu naître dès le {{XVIe siècle}} des luthiers aujourd'hui prestigieux, tels [[Stradivari]], les [[Famille Amati|Amati]], les [[Guarneri]].
Un important centre de lutherie se trouve en [[Italie]] dans la ville de [[Cremone]] qui a vu naître dès le {{XVIe siècle}} des luthiers aujourd'hui prestigieux, tels [[Stradivari]], les [[Famille Amati|Amati]], les [[Famille Guarneri|Guarneri]].


En France, c'est [[Mirecourt]] qui est le centre traditionnel de la lutherie et qui le reste aujourd'hui ; de Mirecourt sont issus beaucoup des plus grands luthiers français, tels [[Jean-Baptiste Vuillaume]], ou les [[Charles-Adolphe Gand|Gand]] au {{XIXe siècle}}.
En France, les grands centres historiques de lutherie classique sont [[Mirecourt]], [[Paris]], et quelques autres villes. Mirecourt est la capitale de la lutherie française<ref>{{Lien web |titre=Mirecourt : la capitale française de la lutherie |url=https://www.gralon.net/articles/commerce-et-societe/artisanat/article-mirecourt---la-capitale-francaise-de-la-lutherie-3140.htm}}</ref>où se situe un musée la lutherie et l’Ecole Nationale de lutherie<ref>{{Lien web |titre=Lycée Jean Baptiste Vuillaume |url=https://lyc-vuillaume.monbureaunumerique.fr/ |site=lyc-vuillaume.monbureaunumerique.fr |consulté le=2023-08-27}}</ref>. De Mirecourt sont issus beaucoup des plus grands luthiers français, tels [[Jean-Baptiste Vuillaume]], ou les [[Charles-Adolphe Gand|Gand]] au {{XIXe siècle}}.


== Outillage ==
== Outillage ==
Le luthier utilise de nombreux outils, tous n'étant pas particuliers à son métier, provenant pour certains de la [[menuiserie]]. On peut classer ces outils selon leur fonction <ref>La liste plus détaillée des outils utilisées, leurs tailles et formes, leurs applications précises sont consultables dans [[Référence:L'art du luthier (Auguste Tolbecque)|Tolbecque]], chap. Les outils, soit p. 33 à 48, et dans [[Référence:Manuel pratique de lutherie (Roger et Max Millant)#Les Amis de la musique 2000|Millant]], chap. II, soit p. 29 à 38.</ref>:
Le luthier utilise de nombreux outils, tous n'étant pas particuliers à son métier, provenant pour certains de la [[menuiserie]]. On peut classer ces outils selon leur fonction <ref>La liste plus détaillée des outils utilisées, leurs tailles et formes, leurs applications précises sont consultables dans [[Référence:L'art du luthier (Auguste Tolbecque)|Tolbecque]], chap. Les outils, soit p. 33 à 48, et dans [[Référence:Manuel pratique de lutherie (Roger et Max Millant)#Les Amis de la musique 2000|Millant]], chap. II, soit p. 29 à 38.</ref>:
* taille grossière ou moyenne : [[scie]]s, [[ciseau à bois|ciseaux à bois]]...
* taille grossière ou moyenne : [[scie]]s, [[ciseau à bois|ciseaux à bois]]...
* taille fine : [[bédane]]s (petites lames de 5 et 1 mm de large, pointues et emmanchées), [[gouge (outil)|gouges]], [[rabot]]s, [[canif]]s, racloirs (ou ratissoirs), [[lime (usinage)|limes]]...
* taille fine : [[bédane]]s (petites lames de 5 et 1 mm de large, pointues et emmanchées), [[gouge (outil)|gouges]], [[rabot]]s, [[canif]]s, [[Racloir|racloirs]] (ou ratissoirs), [[lime (usinage)|limes]]...
* mesure : compas d'épaisseur, traçoir pour les filets (afin de conserver une distance fixe entre ceux-ci)
* mesure : compas d'épaisseur, traçoir pour les filets (afin de conserver une distance fixe entre ceux-ci)
* serrage, lors du [[Colle|collage]] de pièces : happes, pinces-barre, béquettes...
* serrage, lors du [[Colle|collage]] de pièces : happes, pinces-barre, béquettes...
* divers : fer à plier et matériel de chauffage, pointe à âme, [[pinceau]], papier [[abrasif]] (type papier de verre), [[Crayon mine|crayon]], [[équerre]]...
* divers : fer à plier et matériel de chauffage, pointe à âme, [[pinceau]], papier [[abrasif]] (type papier de verre), [[Crayon mine|crayon]], [[équerre]]...

== Facture ==
Le choix et la préparation des bois utilisés pour fabriquer les instruments de lutherie sont l'objet de nombreux travaux. Pour les bois retenus les critères à prendre en compte sont multiples ː la disponibilité de l’espèce ou de la « qualité » dans l’espèce, la beauté visuelle et de toucher, l’ouvrabilité et l’aptitude au cintrage à chaud, mais aussi les propriétés mécaniques (élasticité et vibrations) impliquées dans la « réponse acoustique », la résistance aux chocs et à l’abrasion, la stabilité, selon le « temps qu’il fait » (déformations hygro-mécaniques) ou selon le « temps qui passe » (viscoélasticité et vieillissement)<ref name= Brémaud>{{Article |langue=fr |auteur=Iris Brémaud |titre=« Ethno-bio-mécanique » des bois choisis en lutherie |périodique=Jardins de France|numéro=660 |date=décembre 2020 |pages=29-33 |issn=0021-5481 |lire en ligne=https://www.jardinsdefrance.org/ethno-bio-mecanique-des-bois-choisis-en-lutherie/}}</ref>. Les bois utilisés sont variés. Pour les [[Table d'harmonie|tables d'harmonie]] des instruments à cordes, le seul point commun est la densité, inférieure à la moyenne générale des bois, alors que les propriétés vibratoires sont très variées. Dans les pays occidentaux, les tables d’harmonie sont en [[Pinales|résineux]], alors que de nombreux [[feuillu]]s sont employés à travers le monde, et cela même s’il existe localement des bois de résineux très proches ayant des « qualités lutheries » occidentales. Certains feuillus comme le ''[[Paulownia]]'' ont des propriétés assez comparables aux résineux, mais d’autres, comme le [[mûrier]] ([[Mûrier|''Morus sp''.]]) sont très différents des choix occidentaux » dont la référence est l’[[Épicéa commun|''épicéa'']] « de résonance »<ref name= Brémaud/>.


== Formation ==
== Formation ==


Il existe trois centres de formations en France, dont le lycée [[Jean-Baptiste Vuillaume]] de [[Mirecourt]] et le lycée professionnel public Fernand Léger à Bédarieux.
Il existe trois centres de formations en France, dont le [[Lycée en France|lycée]] [[Jean-Baptiste Vuillaume]] de [[Mirecourt]] et le lycée professionnel public Fernand Léger à [[Bédarieux]]<ref>{{Lien web |titre=BMA TFI : Technicien en Facture Instrumentatle option Guitare - BMA TFI : Technicien en Facture Instrumentatle option Guitare - LYCEE PROFESSIONNEL FERNAND LEGER |url=https://fernand-leger.mon-ent-occitanie.fr/les-formations/les-bma-brevet-des-metiers-d-arts/bma-tfi-technicien-en-facture-instrumentatle-option-guitare/ |site=fernand-leger.mon-ent-occitanie.fr |consulté le=2023-08-27}}</ref>.


L’Institut Technologique Européen des Métiers de la Musique (Itemm) accueille de très nombreux élèves, dont certains attirés plus particulièrement par la branche lutherie guitare<ref>{{Lien web |langue=fr-FR |nom=cedric.charrier |titre=L’Itemm, une école pour luthier unique en Europe |url=https://itemm.fr/itemm/litemm-une-ecole-pour-luthier-unique-en-europe/ |site=Itemm - |date=2018-06-01 |consulté le=2023-08-27}}</ref>.
Il existe aussi un centre de formation au Québec qui accepte des étudiants internationaux, l'[[École nationale de lutherie]].

Il existe aussi un centre de formation au [[Québec]] qui accepte des étudiants internationaux, l'[[École nationale de lutherie]]<ref>{{Lien web |langue=fr-FR |titre=Accueil - École nationale de lutherie |url=https://ecolenationaledelutherie.com/ |consulté le=2023-06-23}}</ref>.


== Philatélie ==
== Philatélie ==
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== Annexes ==
== Annexes ==
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=== Articles connexes ===
=== Articles connexes ===
* [[Glossaire de lutherie et de facture instrumentale]]
* [[Glossaire de lutherie et de facture instrumentale]]
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** [[Musée du violon]] ([[Crémone]]), [[Musée de la Lutherie et de l'Archèterie françaises]]
** [[Musée du violon]] ([[Crémone]]), [[Musée de la Lutherie et de l'Archèterie françaises]]
* [[:Catégorie:Luthier|Luthiers]]
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* [[Matériaux utilisés pour faire de la musique]]


=== Liens externes ===
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*[https://lutherie.ca Portail de la lutherie (Canada)]
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* [http://www.mon-luthier.fr Annuaire de luthiers]
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Dernière version du 4 mars 2024 à 18:19

Atelier d'un luthier à Crémone en Italie

La lutherie est l'art regroupant les métiers de facteurs d’instruments à cordes frottées ou pincées tel que le violon, la mandoline, les guitares ou les autres instruments du quatuor.

Histoire[modifier | modifier le code]

La lutherie est aussi ancienne que les instruments à cordes ; en rechercher l'origine invite à considérer l'histoire des instruments eux-mêmes.

La lyre est fort ancienne, et l’on sait comment elle s'oppose chez les Grecs anciens, en tant qu'instrument d'Apollon et support du lyrisme, à l'aulos de Dionysos et des tragédies. Le luth dérive, lui, de l'oud arabe, lui-même issu du barbat persan. « Al Oud » signifie « le bâton », en référence peut-être à ce qui le distingue des autres instruments à cordes tels que le rabab : sa table est en bois (et non en peau). Ce luth gagne l'Espagne ; il y devient vihuela, puis viole de gambe. Le barbat voyage aussi le long de la route de la soie et gagne l'Extrême-Orient où il prend la forme du Pipa et du Biwa. Le violon de son côté (et ses déclinaisons) dérive lui du rabâb par le rebec, mais aussi de la vièle et de la Lira da braccio.[réf. nécessaire]

Les influences sont donc nombreuses et enchevêtrées ; les instruments se déplacent et les luthiers gagnent en inspiration, innovent et perfectionnent.

Un important centre de lutherie se trouve en Italie dans la ville de Cremone qui a vu naître dès le XVIe siècle des luthiers aujourd'hui prestigieux, tels Stradivari, les Amati, les Guarneri.

En France, les grands centres historiques de lutherie classique sont Mirecourt, Paris, et quelques autres villes. Mirecourt est la capitale de la lutherie française[1]où se situe un musée la lutherie et l’Ecole Nationale de lutherie[2]. De Mirecourt sont issus beaucoup des plus grands luthiers français, tels Jean-Baptiste Vuillaume, ou les Gand au XIXe siècle.

Outillage[modifier | modifier le code]

Le luthier utilise de nombreux outils, tous n'étant pas particuliers à son métier, provenant pour certains de la menuiserie. On peut classer ces outils selon leur fonction [3]:

  • taille grossière ou moyenne : scies, ciseaux à bois...
  • taille fine : bédanes (petites lames de 5 et 1 mm de large, pointues et emmanchées), gouges, rabots, canifs, racloirs (ou ratissoirs), limes...
  • mesure : compas d'épaisseur, traçoir pour les filets (afin de conserver une distance fixe entre ceux-ci)
  • serrage, lors du collage de pièces : happes, pinces-barre, béquettes...
  • divers : fer à plier et matériel de chauffage, pointe à âme, pinceau, papier abrasif (type papier de verre), crayon, équerre...

Facture[modifier | modifier le code]

Le choix et la préparation des bois utilisés pour fabriquer les instruments de lutherie sont l'objet de nombreux travaux. Pour les bois retenus les critères à prendre en compte sont multiples ː la disponibilité de l’espèce ou de la « qualité » dans l’espèce, la beauté visuelle et de toucher, l’ouvrabilité et l’aptitude au cintrage à chaud, mais aussi les propriétés mécaniques (élasticité et vibrations) impliquées dans la « réponse acoustique », la résistance aux chocs et à l’abrasion, la stabilité, selon le « temps qu’il fait » (déformations hygro-mécaniques) ou selon le « temps qui passe » (viscoélasticité et vieillissement)[4]. Les bois utilisés sont variés. Pour les tables d'harmonie des instruments à cordes, le seul point commun est la densité, inférieure à la moyenne générale des bois, alors que les propriétés vibratoires sont très variées. Dans les pays occidentaux, les tables d’harmonie sont en résineux, alors que de nombreux feuillus sont employés à travers le monde, et cela même s’il existe localement des bois de résineux très proches ayant des « qualités lutheries » occidentales. Certains feuillus comme le Paulownia ont des propriétés assez comparables aux résineux, mais d’autres, comme le mûrier (Morus sp.) sont très différents des choix occidentaux » dont la référence est l’épicéa « de résonance »[4].

Formation[modifier | modifier le code]

Il existe trois centres de formations en France, dont le lycée Jean-Baptiste Vuillaume de Mirecourt et le lycée professionnel public Fernand Léger à Bédarieux[5].

L’Institut Technologique Européen des Métiers de la Musique (Itemm) accueille de très nombreux élèves, dont certains attirés plus particulièrement par la branche lutherie guitare[6].

Il existe aussi un centre de formation au Québec qui accepte des étudiants internationaux, l'École nationale de lutherie[7].

Philatélie[modifier | modifier le code]

En 1979, la poste rend hommage à la lutherie par l'émission d'un timbre postal d'1,30 franc brun-rouge et sépia. Tiré à 10 millions d'exemplaires, il figure un violon symbolisé. Il est mis en vente en 1er jour à Paris et à Mirecourt le . Il porte le n° YT 2072[8].

Notes[modifier | modifier le code]

  1. « Mirecourt : la capitale française de la lutherie »
  2. « Lycée Jean Baptiste Vuillaume », sur lyc-vuillaume.monbureaunumerique.fr (consulté le )
  3. La liste plus détaillée des outils utilisées, leurs tailles et formes, leurs applications précises sont consultables dans Tolbecque, chap. Les outils, soit p. 33 à 48, et dans Millant, chap. II, soit p. 29 à 38.
  4. a et b Iris Brémaud, « « Ethno-bio-mécanique » des bois choisis en lutherie », Jardins de France, no 660,‎ , p. 29-33 (ISSN 0021-5481, lire en ligne)
  5. « BMA TFI : Technicien en Facture Instrumentatle option Guitare - BMA TFI : Technicien en Facture Instrumentatle option Guitare - LYCEE PROFESSIONNEL FERNAND LEGER », sur fernand-leger.mon-ent-occitanie.fr (consulté le )
  6. cedric.charrier, « L’Itemm, une école pour luthier unique en Europe », sur Itemm -, (consulté le )
  7. « Accueil - École nationale de lutherie » (consulté le )
  8. Catalogue Yvert et Tellier, tome 1,

Annexes[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]