« Délinquance » : différence entre les versions

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La délinquance est l'ensemble des infractions et délits commis dans un pays donné pendant une période déterminée. La désistance désigne l'arrêt d'un parcours de délinquance, au contraire de la récidive.

Par pays[modifier | modifier le code]

France[modifier | modifier le code]

Article détaillé : Délinquance en France.

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Allemagne[modifier | modifier le code]

Nombre de délits enregistrés pour 100 000 habitants en 2005^[1] :

Francfort-sur-le-Main : 17 213
Berlin : 14 966
Hambourg : 14 111
Düsseldorf : 14 035
Cologne : 13 595

États-Unis[modifier | modifier le code]

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Comme dans le reste des États-Unis, la criminalité et la délinquance ont diminué depuis le début des années 1990 à New York. Cette baisse a été initialement attribuée uniquement aux politiques sécuritaires du maire Rudolph Giuliani, entre 1993 et 1998 mais elle est plutôt due à la gentrification de New York qui a « poussé » une partie importante du crime vers le New Jersey^{[réf. nécessaire]} et à des facteurs démographiques communs à l'ensemble des États-Unis comme l'a montré ^{[Information douteuse]} l'économiste Steven Levitt dans son livre Freakonomics. Durant cette période, le nombre de meurtres par an a été divisé par plus de trois^[2]. De nombreux politiciens^[Qui ?] et penseurs conservateurs^[Qui ?] ont récupéré avec plus ou moins de bonheur^[évasif] la théorie de la vitre brisée corollaire de la tolérance zéro de Rudoplh Guliani, avec des résultats nuls comme au Royaume-Uni (émeutes de Londres)^{[source insuffisante]} voire contre-productifs (forte hausse des atteintes aux personnes en France)^{[source insuffisante]}. Aujourd'hui les criminologues^[Qui ?] attribuent généralement les résultats de Giuliani à un mélange de chance, de facteurs démographiques et à une gestion plus rigoureuse des forces de police plutôt qu'à une démarche uniquement répressive^{[réf. souhaitée]}.

Ce phénomène de baisse de la criminalité a été étudié par Wallman et Blumstein en 2000, dans The Crime Drop in America^[3] et mesuré à partir d'une source statistique appelée l' Uniform Crime Report^[4]. Cette source statistique assure la collecte de données relatives aux infractions enregistrées par les forces de la police américaine et aux personnes arrêtées. Cependant, ces statistiques se concentrent essentiellement sur les causes directes de la baisse du taux d'homicides au détriment de facteurs plus généraux (économiques ou sociaux)^[5].

Facteurs de risques[modifier | modifier le code]

Un facteur de risque est défini comme une variable qui prédit une forte probabilité de délinquance^[6]. Ces facteurs ne sont pas forcément des causes de la délinquance. La Cambridge Study in Delinquent Development^[7] a notamment révélé que trois types de facteurs étaient statistiquement associés à la délinquance:

les facteurs individuels, tels que la grande impulsivité ou l'intelligence limitée
les influences familiales, telles que la criminalité des parents
les influences sociales, telles que la pauvreté et les pairs délinquants.

Ces "facteurs de risques" s'opposent à des "facteurs de protection" qui peuvent soustraire des enfants à une vie de criminalité.

Prévention de la délinquance[modifier | modifier le code]

Article détaillé : Prévention de la criminalité.

Issu en 1992 du Forum Européen pour la Sécurité Urbaine, le Forum Français pour la Sécurité Urbaine^[8] réunit plus de cent trente collectivités territoriales. Il est dirigé par un Comité Exécutif de vingt-et-un membres élus représentatifs des sensibilités politiques et des diversités urbaines de la France.

Le Forum Français pour la Sécurité Urbaine dit se reconnaître dans les principes de la Charte "Démocratie et Sécurité". Pour cela, il demande le renforcement du rôle des collectivités territoriales et des élus locaux et présente sa politique de sécurité selon trois axes : prévention, répression et solidarité.

Bibliographie[modifier | modifier le code]

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(en) Albert Kircidel Cohen, Delinquent boys : The culture of the gang, Taylor et Francis, 1956
Blatier, (Catherine). La délinquance des mineurs: l'enfant le psychologue le droit. 2^e Edition 2002. PUG.
Jean Luc Einaudi, Les mineurs délinquants, Fayard, 1995, 308 p..
L'Encyclopédie de l'Agora : Délinquance (lire en ligne).
Esterle Maryse, « Contribution à l'étiologie de la conduite délinquante à travers l'étude d'une bande », Revue Internationale de Criminologie et de Police Technique 2/90, p. 203
L'Express, Insécurité en France, Violence des jeunes, http://www.lexpress.fr/info/societe/criminalite/dossier.asp?ida=427357, État des lieux : Gouverneur Cédric, Lebourcq Sébastien, La loi du silence, Albert Laurence, Bodet Cédric, Pelletier Eric, Spirale de l'ultraviolence, etc., Quelles solutions ?
Dragan Brkić, Comprendre la délinquance française, Paris, L'Harmattan, coll. « Les logiques des pénalités contemporaines », 2016, 146 p.
Dragan Brkić, Tony Ferri, La condition pénitentiaire. Essai sur le traitement corporel de la délinquance, Paris, L'Harmattan, coll. « Questions contemporaines », 2013, 166 p.
Michel Foucault, Tony Ferri et al, Alternatives à la prison, Paris, Éditions Divergences, 2021, 112 p. (ISBN 9791097088316)
Michel Foucault, Surveiller et punir : Naissance de la prison, Paris, Gallimard, 1975, 328 p. (ISBN 2-07-072968-0)
Jacques Trémintin, Qu’est donc devenue la délinquance juvénile ?, ed.Lien social. Publication n^o 730 du 18 novembre 2004
C. Faugeron et J.M. Le Boulaire, Quelques remarques à propos de la récidive, Paris, CESDIP, 1992 (lire en ligne).
Futuribles, Délinquance (La) des jeunes, Série d'articles, Futuribles 2002, n^o 274 : 3 - 96
Michel Born, Psychologie de la délinquance, De Boeck, 2005.
Jacques Faget, Sociologie de la délinquance et de la justice pénale, Toulouse, Erès, 2013.

Notes et références[modifier | modifier le code]

↑ « Francfort, haut lieu de la délinquance », dans Courrier International, web, 16/05/2006
↑ A. Kaspi, F. Durpaire, H. Harter, A. Lherm, La civilisation américaine, Paris, PUF, 2004, page 145
↑ Wallman & Blumstein, The Crime Drop in America, Cambridge University Press, 2000.
↑ Uniform Crime Report
↑ Cyril Rizk & Inès Bettaïeb, « Intérêts et limites du débat sur les causes du crime drop », Revue française de criminologie et de droit pénal, vol. 2,‎ avril 2014 (lire en ligne)
↑ Farrington, Ttofi, Loeber, « Facteurs de protection contre la délinquance », Revue française de criminologie et de droit pénal, vol. 2,‎ avril 2014 (lire en ligne)
↑ Cambridge Study in Deliquent Development
↑ « Le Forum Français pour la Sécurité Urbaine », sur Forum Français pour la Sécurité Urbaine (consulté le 14 avril 2023).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notice dans un dictionnaire ou une encyclopédie généraliste :
- Universalis
Nouveaux aspects de la délinquance des jeunes.
Le Centre de recherches sociologiques sur les délinquances et les institutions pénales
Le site personnel du sociologue Laurent Mucchielli
Observatoire national de la délinquance (France)

[1] « Francfort, haut lieu de la délinquance », dans Courrier International, web, 16/05/2006

[2] A. Kaspi, F. Durpaire, H. Harter, A. Lherm, La civilisation américaine, Paris, PUF, 2004, page 145

[3] Wallman & Blumstein, The Crime Drop in America, Cambridge University Press, 2000.

[4] Uniform Crime Report

[5] Cyril Rizk & Inès Bettaïeb, « Intérêts et limites du débat sur les causes du crime drop », Revue française de criminologie et de droit pénal, vol. 2,‎ avril 2014 (lire en ligne)

[6] Farrington, Ttofi, Loeber, « Facteurs de protection contre la délinquance », Revue française de criminologie et de droit pénal, vol. 2,‎ avril 2014 (lire en ligne)

[7] Cambridge Study in Deliquent Development

[8] « Le Forum Français pour la Sécurité Urbaine », sur Forum Français pour la Sécurité Urbaine (consulté le 14 avril 2023).

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+La '''délinquance''' est l'ensemble des [[infraction]]s et [[délit pénal|délit]]s commis dans un pays donné pendant une période déterminée. La '''désistance''' désigne l'arrêt d'un parcours de délinquance, au contraire de la [[récidive]].
-La '''délinquance''' est l'ensemble des [[infraction]]s et [[délit pénal|délit]]s commis dans un pays donné pendant une période déterminée. La '''désistance''' désigne l'arrêt d'un parcours de délinquance, au contraire de la [[récidive]]. Comme le souligne [[:Fichier:Tony Ferri,.JPG|Tony Ferri]], « le terme délinquant vient du latin ''delinquere'' qui signifie commettre une [[faute]], faillir, manquer à son [[devoir]]. Ceci a entraîné la formation du verbe français délinquer, qui renvoie à l’action de se rendre [[coupable]], aux yeux de la [[loi]] ou de l’[[éthique]], en commettant une [[Infraction en droit pénal français|infraction]] à la règle de [[droit]] ou de la [[morale]] »<ref>{{Ouvrage|auteur1=Tony Ferri|titre=La criminologie ou la nouvelle science pénitentiaire. Théorie et pratique de la criminologie appliquée|passage=26|lieu=Limoges|éditeur=Éditions Fyp|date=2020|pages totales=252|isbn=978-2364052017}}</ref>.
 == Par pays ==
 === France ===
 {{Article détaillé|Délinquance en France}}
+{{...}}
 === Allemagne ===
 Nombre de délits enregistrés pour {{nombre|100000|habitants}} en [[2005]]<ref>« ''Francfort, haut lieu de la délinquance'' », dans [https://www.courrierinternational.com/article.asp?obj_id=62763 ''Courrier International'', web, 16/05/2006]</ref> :
-#[[Francfort-sur-le-Main]] : 17 213
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-=== États-Unis{{Passage non neutre}} ===
 Comme dans le reste des [[États-Unis]], la [[crime|criminalité]] et la délinquance ont diminué depuis le début des [[années 1990]] à [[New York]]. Cette baisse a été initialement attribuée uniquement aux politiques sécuritaires du maire [[Rudolph Giuliani]], entre [[1993]] et [[1998]] mais elle est plutôt due à la [[gentrification]] de New York qui a « poussé » une partie importante du crime vers le [[New Jersey]]{{Référence nécessaire}} et à des facteurs démographiques communs à l'ensemble des États-Unis comme l'a montré {{Douteux}} l'économiste [[Steven Levitt]] dans son livre [[Freakonomics]]. Durant cette période, le nombre de meurtres par an a été divisé par plus de trois<ref>A. Kaspi, F. Durpaire, H. Harter, A. Lherm, ''La civilisation américaine'', Paris, PUF, 2004, page 145</ref>. De nombreux politiciens{{Qui}} et penseurs conservateurs{{Qui}} ont récupéré avec plus ou moins de bonheur{{Évasif}} la [[théorie de la vitre brisée]] corollaire de la [[tolérance zéro]] de Rudoplh Guliani, avec des résultats nuls comme au [[Royaume-Uni]] (émeutes de [[Londres]]){{Référence insuffisante}} voire contre-productifs (forte hausse des atteintes aux personnes en France){{Référence insuffisante}}. Aujourd'hui les criminologues{{Qui}} attribuent généralement les résultats de Giuliani à un mélange de chance, de facteurs démographiques et à une gestion plus rigoureuse des forces de police plutôt qu'à une démarche uniquement répressive{{Référence souhaitée}}.
-Ce phénomène de baisse de la criminalité a été étudié par Wallman et Blumstein en 2000, dans ''The Crime Drop in America''<ref>Wallman & Blumstein, ''The Crime Drop in America'', Cambridge University Press, 2000.</ref> et mesuré à partir d'une source statistique appelée l' ''Uniform Crime Report''<ref>[https://ucr.fbi.gov/ Uniform Crime Report]</ref>. Cette source statistique assure la collecte de données relatives aux infractions enregistrées par les forces de la police américaine et aux personnes arrêtées. Cependant, ces statistiques se concentrent essentiellement sur les causes directes de la baisse du taux d'homicides au détriment de facteurs plus généraux (économiques ou sociaux)<ref>{{article|langue=fr|auteur=Cyril Rizk & Inès Bettaïeb|titre=Intérêts et limites du débat sur les causes du crime drop|périodique=''[[Revue française de criminologie et de droit pénal]]''|volume=2|mois=avril|année=2014|lire en ligne=http://www.rfcdp.fr/numeros/numero-2-avril-2014#more-130}}</ref>.
+Ce phénomène de baisse de la criminalité a été étudié par Wallman et Blumstein en 2000, dans ''The Crime Drop in America''<ref>Wallman & Blumstein, ''The Crime Drop in America'', Cambridge University Press, 2000.</ref> et mesuré à partir d'une source statistique appelée l' ''Uniform Crime Report''<ref>[https://ucr.fbi.gov/ Uniform Crime Report]</ref>. Cette source statistique assure la collecte de données relatives aux infractions enregistrées par les forces de la police américaine et aux personnes arrêtées. Cependant, ces statistiques se concentrent essentiellement sur les causes directes de la baisse du taux d'homicides au détriment de facteurs plus généraux (économiques ou sociaux)<ref>{{article|langue=fr|auteur=Cyril Rizk & Inès Bettaïeb|titre=Intérêts et limites du débat sur les causes du crime drop|périodique=[[Revue française de criminologie et de droit pénal]]|volume=2|mois=avril|année=2014|lire en ligne=http://www.rfcdp.fr/numeros/numero-2-avril-2014#more-130}}</ref>.
 == Facteurs de risques ==
-Un facteur de risque est défini comme une variable qui prédit une forte probalbilité de délinquance<ref>{{article|langue=fr|auteur=Farrington, Ttofi, Loeber|titre=Facteurs de protection contre la délinquance|périodique=''[[Revue française de criminologie et de droit pénal]]''|volume=2|mois=avril|année=2014|lire en ligne=http://www.rfcdp.fr/numeros/numero-2-avril-2014#more-130}}</ref>. Ces facteurs ne sont pas forcément des causes de la délinquance. La ''Cambridge Study in Delinquent Development''<ref>[https://library.carleton.ca/sites/default/files/find/data/surveys/pdf_files/csdd-uk-61-81-cbk.pdf Cambridge Study in Deliquent Development]</ref> a notamment révélé que trois types de facteurs étaient statistiquement associés à la délinquance:
+Un facteur de risque est défini comme une variable qui prédit une forte probabilité de délinquance<ref>{{article|langue=fr|auteur=Farrington, Ttofi, Loeber|titre=Facteurs de protection contre la délinquance|périodique=[[Revue française de criminologie et de droit pénal]]|volume=2|mois=avril|année=2014|lire en ligne=http://www.rfcdp.fr/numeros/numero-2-avril-2014#more-130}}</ref>. Ces facteurs ne sont pas forcément des causes de la délinquance. La ''Cambridge Study in Delinquent Development''<ref>[https://library.carleton.ca/sites/default/files/find/data/surveys/pdf_files/csdd-uk-61-81-cbk.pdf Cambridge Study in Deliquent Development]</ref> a notamment révélé que trois types de facteurs étaient statistiquement associés à la délinquance:
 * les facteurs individuels, tels que la grande impulsivité ou l'intelligence limitée
 * les influences familiales, telles que la criminalité des parents
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 == Prévention de la délinquance ==
 {{Article détaillé|Prévention de la criminalité}}
-Issu en [[1992]] du ''Forum Européen pour la Sécurité Urbaine'', le ''Forum Français pour la Sécurité Urbaine''<ref>http://www.ffsu.org</ref> réunit plus de cent trente collectivités territoriales. Il est dirigé par un Comité Exécutif de vingt-et-un membres élus représentatifs des sensibilités politiques et des diversités urbaines de la France.
+Issu en [[1992]] du ''Forum Européen pour la Sécurité Urbaine'', le ''Forum Français pour la Sécurité Urbaine''<ref>{{lien web |titre=Le Forum Français pour la Sécurité Urbaine |url=http://www.ffsu.org |site=Forum Français pour la Sécurité Urbaine |consulté le=14-04-2023}}.</ref> réunit plus de cent trente collectivités territoriales. Il est dirigé par un Comité Exécutif de vingt-et-un membres élus représentatifs des sensibilités politiques et des diversités urbaines de la France.
 Le Forum Français pour la Sécurité Urbaine dit se reconnaître dans les principes de la ''Charte "Démocratie et Sécurité"''. Pour cela, il demande le renforcement du rôle des collectivités territoriales et des élus locaux et présente sa politique de sécurité selon trois axes : prévention, répression et solidarité.
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 * {{Ouvrage|nom1=Einaudi|prénom1=Jean Luc|titre=Les mineurs délinquants|éditeur=Fayard|date=1995|pages=308}}.
 * {{Ouvrage|titre=L'Encyclopédie de l'Agora|sous-titre=Délinquance|url=http://agora.qc.ca/mot.nsf/Dossiers/Delinquance}}.
-* Esterle Maryse, « Contribution à l'étiologie de la conduite délinquante à travers l'étude d'une bande », Revue Internationale de Criminologie et de Police Technique 2/90, p.203
+* Esterle Maryse, « Contribution à l'étiologie de la conduite délinquante à travers l'étude d'une bande », Revue Internationale de Criminologie et de Police Technique 2/90, {{p.|203}}
 * L'Express, Insécurité en France, Violence des jeunes, http://www.lexpress.fr/info/societe/criminalite/dossier.asp?ida=427357, État des lieux : Gouverneur Cédric, Lebourcq Sébastien, La loi du silence, Albert Laurence, Bodet Cédric, Pelletier Eric, Spirale de l'ultraviolence, etc., Quelles solutions ?
 * Dragan Brkić, ''Comprendre la délinquance française'', Paris, [[L' Harmattan|L'Harmattan]], coll. « Les logiques des pénalités contemporaines », 2016, 146 p.
-* Dragan Brkić, [[:Fichier:Tony Ferri,.JPG|Tony Ferri]], ''La condition [[pénitentiaire]]. Essai sur le traitement corporel de la délinquance'', Paris, [[L' Harmattan|L'Harmattan]], coll. « Questions contemporaines », 2013, 166 p.
+* Dragan Brkić, Tony Ferri, ''La condition [[pénitentiaire]]. Essai sur le traitement corporel de la délinquance'', Paris, [[L'Harmattan]], coll. « Questions contemporaines », 2013, 166 p.
-* [[Michel Foucault]], Tony Ferri ''et al'', ''Alternatives à la prison'', Paris, Éditions Divergences, 2021, 112 p. {{ISBN|9791097088316]])
+* [[Michel Foucault]], Tony Ferri ''et al'', ''Alternatives à la prison'', Paris, Éditions Divergences, 2021, 112 p. {{ISBN|9791097088316}}
 *{{Ouvrage |langue=fr |prénom1=Michel |nom1=Foucault |lien auteur1=Michel Foucault |titre=[[Surveiller et punir]] |sous-titre=Naissance de la prison |éditeur=[[Gallimard]] |lieu=Paris |année=1975 |pages totales=328 |isbn=2-07-072968-0}}
-* Jacques Trémintin, Qu’est donc devenue la [[délinquance juvénile]] ?, ed.[[Lien social (journal)|Lien social]]. Publication n° 730 du 18 novembre 2004
+* Jacques Trémintin, Qu’est donc devenue la [[délinquance juvénile]] ?, ed.[[Lien social (journal)|Lien social]]. Publication {{n°|730}} du 18 novembre 2004
 * {{Ouvrage|auteur1=C. Faugeron|auteur2=J.M. Le Boulaire|titre=Quelques remarques à propos de la récidive|lieu=Paris|éditeur=CESDIP|date=1992|url=ftp://ftp.msh-paris.fr/pub/cesdip/edp65.pdf}}.
-* Futuribles, Délinquance (La) des jeunes, Série d'articles, Futuribles 2002, n°274 : 3 - 96
+* Futuribles, Délinquance (La) des jeunes, Série d'articles, Futuribles 2002, {{n°|274}} : 3 - 96
 * {{Ouvrage|auteur=Michel Born|titre=Psychologie de la délinquance|éditeur=De Boeck|date=2005}}.
 * {{Ouvrage|auteur=Jacques Faget|titre=Sociologie de la délinquance et de la justice pénale|lieu=Toulouse|éditeur=Erès|date=2013}}.
@@ Ligne 63 : / Ligne 68 : @@
 * [[Délinquance juvénile]]
 * {{Lien|langue=en|trad=Office of Juvenile Justice and Delinquency Prevention|fr=}}
+* [[Brimade]]
+* [[Harcèlement scolaire]]
 === Liens externes ===
+{{Liens}}
-*[http://www.enm.justice.fr/centre_de_ressources/dossiers_reflexions/nouveaux_aspects/nouveaux_aspects.htm Nouveaux aspects de la délinquance des jeunes.]
+* [http://www.enm.justice.fr/centre_de_ressources/dossiers_reflexions/nouveaux_aspects/nouveaux_aspects.htm Nouveaux aspects de la délinquance des jeunes.]
-*[http://www.cesdip.fr Le Centre de recherches sociologiques sur les délinquances et les institutions pénales]
+* [http://www.cesdip.fr Le Centre de recherches sociologiques sur les délinquances et les institutions pénales]
-*[http://www.laurent-mucchielli.org Le site personnel du sociologue Laurent Mucchielli]
-*[http://www.inhes.interieur.gouv.fr/observatoire_national_de_la_delinquance-h20.html Observatoire national de la délinquance (France)]
+* [http://www.laurent-mucchielli.org Le site personnel du sociologue Laurent Mucchielli]
+* [http://www.inhes.interieur.gouv.fr/observatoire_national_de_la_delinquance-h20.html Observatoire national de la délinquance (France)]
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