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« André Dunoyer de Segonzac » : différence entre les versions

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Le titre de l'ouvrage est "La Treille muscate" et non "La Treille musicale". Voir le catalogue de l'exposition organisée par Roger Passeron "Hommage à Dunoyer De Segonzac Chateau de Blois, Mai - juillet 1967" page 43
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{{Voir homonymes|Dunoyer|Segonzac}}
{{Voir homonymes|Dunoyer|Segonzac}}
{{sources à lier|date=juillet 2021}}
{{Infobox Artiste
{{Infobox Artiste
| nom = André Dunoyer de Segonzac
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| nom de naissance = André Albert Marie Dunoyer de Segonzac
| nom de naissance = Albert André Marie Dunoyer de Segonzac
| date de naissance = {{date de naissance|7|juillet|1884|en arts plastiques}}
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| nationalité = {{FRA-d}} Française
| activités = [[Artiste peintre|Peintre]], [[dessinateur]], [[gravure|graveur]], [[illustrateur]]
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'''André Albert Marie Dunoyer de Segonzac''', né le {{date de naissance|7|juillet|1884|en arts plastiques}} à [[Boussy-Saint-Antoine]] ([[Seine-et-Oise]], aujourd'hui [[Essonne (département)|Essonne]]) et mort le {{date de décès|17|septembre|1974|en arts plastiques}} à [[Paris]], est un [[Artiste peintre|peintre]], [[dessinateur]], [[Gravure|graveur]] et [[illustrateur]] [[France|français]].
'''André Albert Marie Dunoyer de Segonzac''', né le {{date de naissance|6|juillet|1884|en arts plastiques}} à [[Boussy-Saint-Antoine]] ([[Seine-et-Oise]], aujourd'hui [[Essonne (département)|Essonne]]) et mort le {{date de décès|17|septembre|1974|en arts plastiques}} à [[Paris]], est un [[Artiste peintre|peintre]], [[dessinateur]], [[Gravure|graveur]] et [[illustrateur]] [[France|français]].


On retient qu'{{citation|il apparut, dès 1918, comme le principal représentant du réalisme traditionnel}}<ref name="PEI"> Sous la direction de Michel Laclotte et Jean-Pierre Cuzin, ''Dictionnaire de la peinture'', éditions Larousse, 2003, {{p.|278}}.</ref>.
On retient qu'{{citation|il apparut, dès 1918, comme le principal représentant du réalisme traditionnel}}<ref name="PEI">Sous la direction de Michel Laclotte et Jean-Pierre Cuzin, ''Dictionnaire de la peinture'', éditions Larousse, 2003, {{p.|278}}.</ref>.


== Biographie ==
== Biographie ==
[[Fichier:Jean-Charles Persil 1833 by Daumier.JPG|vignette|gauche|100px|[[Honoré Daumier]], ''Le Père-Scie'']]
André Dunoyer de Segonzac naît le {{date-|7 juillet 1884}} à Boussy-Saint-Antoine{{sfn|Distel|1980|p=8}}{{,}}<ref>{{lien web|langue=en|url=https://www.oxfordartonline.com/groveart/search?siteToSearch=groveart&q=%22Dunoyer+de+Segonzac%2C+Andr%C3%A9+%28Albert+Maris%29%22&searchBtn=Search&isQuickSearch=true|titre=Dunoyer de Segonzac, André|auteur=Eric Hild-Ziem|date=2003|consulté le=6 septembre 2022|site=oxfordartonline.com}}.</ref>, du mariage de Louis Dunoyer de Segonzac (1843-1937), officier de marine, et Clémence Persil (1854-1918). Il est issu d'une [[Famille subsistante de la noblesse française|famille de la noblesse française]] d'extraction (1558), originaire du [[Quercy]].
André Dunoyer de Segonzac naît le {{date-|6 juillet 1884}} à Boussy-Saint-Antoine<ref>[https://archives.essonne.fr/ark:/28047/x1qts9d4k5r3/351b6b56-702c-4fbd-8d2c-f2168768ca9b Archives départementales de l'Essonne, commune de Boussy-Saint-Antoine, année 1884, acte de naissance {{numéro|7}}, vues 13-14/108, avec mentions marginales de mariage et de décès]</ref>{{,}}<ref>{{lien web|langue=en|url=https://www.oxfordartonline.com/groveart/search?siteToSearch=groveart&q=%22Dunoyer+de+Segonzac%2C+Andr%C3%A9+%28Albert+Maris%29%22&searchBtn=Search&isQuickSearch=true|titre=Dunoyer de Segonzac, André|auteur=Eric Hild-Ziem|date=2003|consulté le=6 septembre 2022|site=oxfordartonline.com}}.</ref>, du mariage de Louis Dunoyer de Segonzac (1843-1937), officier de marine, et Clémence Amélie Persil (1854-1918). Côté paternel, il est issu d'une [[Famille subsistante de la noblesse française|famille de la noblesse française]] d'extraction (1558), originaire du [[Quercy]]<ref>Raymond Nacenta, ''School of Paris - The painters ans the artistic climate of paris since 1910'', Oldbourne Book Company Ltd., 1960.</ref>.


Il a pour arrière-grand-père maternel [[Jean-Charles Persil]] qui fut garde des sceaux du roi [[Louis-Philippe Ier]] et qu'[[Honoré Daumier]] caricatura sous le sobriquet de ''Père-Scie''<ref name="JAM">Paul Jamot, ''Dunoyer de Segonzac'', Librairie Floury, Paris, 1941.</ref>.
Il passe majoritairement dans son village natal à propos duquel [[Jean Vallery-Radot]] restitue des réminiscences durables : {{citation|L'[[Yerres]] traversait la propriété de sa grand-mère. Cette charmante petite rivière qu'ombragent des saules et des aulnes demeurera liée à ses souvenirs d'enfance. Il n'oubliera pas les reflets du ciel éclairant de manière intermittente l'eau qui courait sous les arbres. Plus tard, il saura rendre ces délicats effets, car l'eau et l'arbre demeureront à jamais ses thèmes de prédilection}}<ref name="JVR"> Jean Vallery-Radot et Jean Adhémar, ''Dunoyer de Segonzac - Gravures, dessins, aquarelles'', éditions de la Bibliothèque nationale de France, 1958.</ref>. Il est {{citation|médiocre élève}} du [[lycée Henri-IV]] à [[Paris]] où {{citation|il croque déjà les professeurs sur les copies de version latine}}<ref> André Brincourt, ''Noir sur blanc'', Fayard, 1973.</ref> - cette vocation précoce décevra l'ambition parentale de le destiner à [[École spéciale militaire de Saint-Cyr|Saint-Cyr]]<ref name="DOR"/> - et où il rencontre [[Gus Bofa]] qui restera un de ses proches.


=== Jeunesse et formation ===
En [[1900]], il est élève libre de l'[[École nationale supérieure des beaux-arts]] de Paris. En [[1903]], il entre dans l’atelier privé de [[Luc-Olivier Merson]] qu'il quitte après son service militaire pour, en [[1907]], devenir à l'[[Académie Julian]] l'élève de [[Jean-Paul Laurens]] puis dispose d'un atelier ensuite à l'[[Académie de la Palette]] à [[Quartier du Montparnasse|Montparnasse]], où il reçoit les conseils de [[Georges Desvallières]] et [[Charles-François-Prosper Guérin|Charles Guérin]]<ref name="BEN"/> et où lui-même enseignera<ref name="DOR"/>. Il fait la connaissance de [[Luc-Albert Moreau]] et de [[Jean-Louis Boussingault]] avec lequel il partage un atelier au 37, [[rue Saint-André-des-Arts]]<ref name="DOR"> Bernard Dorival, ''Les peintres du vingtième siècle - Du cubisme à l'abstraction, 1914-1957'', éditions Pierre Tisné, 1957, {{pp.|24-26, 156}}.</ref>. C'est aux côtés de ces deux derniers qu'il va {{citation|participer à un mouvement que [[Bernard Dorival]] va qualifier de [[Néoréalisme (art)|néo-réaliste]], s'opposant aussi bien à la tradition académique qu'aux courants d'avant-garde, sans toutefois posséder "une doctrine explicitement formulée}}<ref name="MUS"> « Dunoyer de Segonzac », ''Les Muses - Encyclopédie des arts'', Grange Batelière, Paris, tome 6, {{pp.|1988_1989}}.</ref>. Ses premiers dessins sont publiés en [[1908]] dans ''La Grande revue'' et ''[[Le Témoin (journal)|Le Témoin]]'', hebdomadaire créé par son ami [[Paul Iribe]].<ref name="PEI"/>.
[[Fichier:Boussy-Saint-Antoine Saint-Pierre 467.jpg|vignette|gauche|180px|[[Boussy-Saint-Antoine]]]]
Il passe la plus grande partie de sa jeunesse dans son village natal à propos duquel [[Jean Vallery-Radot]] restitue des réminiscences durables : {{citation|L'[[Yerres]] traversait la propriété de sa grand-mère. Cette charmante petite rivière qu'ombragent des saules et des aulnes demeurera liée à ses souvenirs d'enfance. Il n'oubliera pas les reflets du ciel éclairant de manière intermittente l'eau qui courait sous les arbres. Plus tard, il saura rendre ces délicats effets, car l'eau et l'arbre demeureront à jamais ses thèmes de prédilection}}<ref name="JVR">Jean Vallery-Radot et Jean Adhémar, ''Dunoyer de Segonzac - Gravures, dessins, aquarelles'', éditions de la Bibliothèque nationale de France, 1958.</ref>. Il est {{citation|médiocre élève}} du [[lycée Henri-IV]] à [[Paris]] où {{citation|il croque déjà les professeurs sur les copies de version latine}}<ref>André Brincourt, ''Noir sur blanc'', Fayard, 1973.</ref> - cette vocation précoce décevra l'ambition parentale de le destiner à [[École spéciale militaire de Saint-Cyr|Saint-Cyr]]<ref name="DOR"/> - et où il rencontre [[Gus Bofa]] qui restera un de ses proches.

En [[1900]], il est élève libre de l'[[École nationale supérieure des beaux-arts]] de Paris. En [[1903]], parallèlement à l'étude du [[Langues mandingues|malinké]] qui, à l'[[Institut national des langues et civilisations orientales|École nationale des langues orientales]], lui vaudra une licence en dialectes soudanais<ref name="JAM"/>, il entre dans l’atelier privé de [[Luc-Olivier Merson]] qu'il quitte, en mauvais termes avec ce maître, après son service militaire pour, en [[1907]], devenir à l'[[Académie Julian]] l'élève de [[Jean-Paul Laurens]], puis dispose ensuite d'un atelier à l'[[Académie de la Palette]] à [[Quartier du Montparnasse|Montparnasse]], où il reçoit les conseils de [[Georges Desvallières]] et [[Charles-François-Prosper Guérin|Charles Guérin]]<ref name="BEN"/> et où lui-même enseignera<ref name="DOR"/>. Il fait la connaissance de [[Luc-Albert Moreau]] et de [[Jean-Louis Boussingault]] avec lequel il partage un atelier au 37, [[rue Saint-André-des-Arts]]<ref name="DOR">Bernard Dorival, ''Les peintres du vingtième siècle - Du cubisme à l'abstraction, 1914-1957'', éditions Pierre Tisné, 1957, {{pp.|24-26, 156}}.</ref>. C'est aux côtés de ces deux derniers qu'il va {{citation|participer à un mouvement que [[Bernard Dorival]] va qualifier de [[Néoréalisme (art)|néo-réaliste]], s'opposant aussi bien à la tradition académique qu'aux courants d'avant-garde, sans toutefois posséder "une doctrine explicitement formulée}}<ref name="MUS">« Dunoyer de Segonzac », ''Les Muses - Encyclopédie des arts'', Grange Batelière, Paris, tome 6, {{pp.|1988-1989}}.</ref>. Ses premiers dessins sont publiés en [[1908]] dans ''La Grande revue'' et ''[[Le Témoin (journal)|Le Témoin]]'', hebdomadaire créé par son ami [[Paul Iribe]]<ref name="PEI"/>.
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Luc-Olivier Merson 1909.jpg|[[Luc-Olivier Merson]]
Luc-Olivier Merson 1909.jpg|[[Luc-Olivier Merson]]
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Port99.jpg|[[Charles-François-Prosper Guérin|Charles Guérin]]
Port99.jpg|[[Charles-François-Prosper Guérin|Charles Guérin]]
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=== Le jeune peintre ===
En 1908, il commence à exposer au [[Salon d'automne]] et au [[Salon des indépendants]], avec [[Paul Signac]] et [[Maximilien Luce]]. Son installation d'alors avenue Sainte-Marie à [[Chaville]] (alors en [[Seine-et-Oise]], aujourd'hui dans les [[Hauts-de-Seine]]), ville qu'il habitera jusqu'à sa mort<ref>François Murez. Tribune : Sauvegardons la maison et le jardin du peintre Dunoyer de Segonzac à Chaville. [[Connaissance des Arts]], 28 mai 2020. [https://www.connaissancedesarts.com/monuments-patrimoine/tribune-sauvegardons-la-maison-et-le-jardin-du-peintre-dunoyer-de-segonzac-a-chaville-11139580/ Lire en ligne]</ref>{{,}}<ref>https://www.leparisien.fr/hauts-de-seine-92/chaville-bientot-une-residence-dans-le-jardin-du-peintre-andre-dunoyer-de-segonzac-les-riverains-excedes-26-08-2020-8373633.php</ref>, est liée à son attachement à la cité voisine de Versailles dont il évoque lui-même l'ancienneté : {{citation|Dès mon enfance, j'ai connu Versailles, ce merveilleux témoignage de l'esprit de France}} écrit-il pour souligner que, depuis l'âge de sept ans, il s'y rend chez un oncle conseiller d'État. C'est ainsi qu'il sera considéré que {{citation|les artistes formant l'École de Versailles resteront les héritiers de Dunoyer de Segonzac}}<ref name="LAM">[https://lambinet.versailles.fr/ws/musee-lambinet/app/file/forcedownload/Journal-d-exposition----Versailles-au-XXe-siecle--muse-des-artistes.pdf?key=36adcdn15ekpzoy94qij71b00khg4uod9 Musée Lambinet, ''Versailles au XX{{e}} siècle, muse des artistes'', journal d'exposition'', 2020]</ref> qui, cependant, continue de travailler dans son atelier parisien, au n°13 de la [[rue Bonaparte]]<ref>[[Guillaume Gillet (architecte)|Guillaume Gillet]]. Mon voisin Dunoyer de Ségonzac. [[Revue des Deux Mondes]], novembre 2016, pp. 342-352. [https://www.revuedesdeuxmondes.fr/wp-content/uploads/2016/11/b6d094e305a77d5b154a0ce98a3d0ac6.pdf Lire en ligne]</ref>.
En 1908, il commence à exposer au [[Salon d'automne]] et au [[Salon des indépendants]], avec [[Paul Signac]] et [[Maximilien Luce]]. Son installation d'alors avenue Sainte-Marie à [[Chaville]] (alors en [[Seine-et-Oise]], aujourd'hui dans les [[Hauts-de-Seine]]), ville qu'il habitera jusqu'à sa mort<ref>François Murez. Tribune : Sauvegardons la maison et le jardin du peintre Dunoyer de Segonzac à Chaville. [[Connaissance des Arts]], {{date-|28 mai 2020}}. [https://www.connaissancedesarts.com/monuments-patrimoine/tribune-sauvegardons-la-maison-et-le-jardin-du-peintre-dunoyer-de-segonzac-a-chaville-11139580/ Lire en ligne].</ref>{{,}}<ref>{{Lien web|titre=Chaville : bientôt une résidence dans le jardin du peintre André Dunoyer de Segonzac, les riverains excédés |url=https://www.leparisien.fr/hauts-de-seine-92/chaville-bientot-une-residence-dans-le-jardin-du-peintre-andre-dunoyer-de-segonzac-les-riverains-excedes-26-08-2020-8373633.php |site=leparisien.fr |date=26 août 2020}}.</ref>, est liée à son attachement à la cité voisine de Versailles dont il évoque lui-même l'ancienneté : {{citation|Dès mon enfance, j'ai connu Versailles, ce merveilleux témoignage de l'esprit de France}} écrit-il pour souligner que, depuis l'âge de sept ans, il s'y rend chez un oncle conseiller d'État. C'est ainsi qu'il sera considéré que {{citation|les artistes formant l'École de Versailles resteront les héritiers de Dunoyer de Segonzac}}<ref name="LAM">[https://lambinet.versailles.fr/ws/musee-lambinet/app/file/forcedownload/Journal-d-exposition----Versailles-au-XXe-siecle--muse-des-artistes.pdf?key=36adcdn15ekpzoy94qij71b00khg4uod9 Musée Lambinet, ''Versailles au {{s-|XX}}, muse des artistes'', journal d'exposition, 2020].</ref> qui, cependant, continue de travailler dans son atelier parisien, au {{n°|13}} de la [[rue Bonaparte]]<ref>[[Guillaume Gillet (architecte)|Guillaume Gillet]]. Mon voisin Dunoyer de Ségonzac. [[Revue des Deux Mondes]], novembre 2016, {{p.|342-352}}. [https://www.revuedesdeuxmondes.fr/wp-content/uploads/2016/11/b6d094e305a77d5b154a0ce98a3d0ac6.pdf Lire en ligne].</ref>.

[[Fichier:Saint-Tropez - panoramio - Javier Branas (7).jpg|vignette|180px|[[Saint-Tropez]]]]
À partir de cette même année 1908, louant une maison appartenant à [[Paul Signac]], Dunoyer découvre les paysages de [[Saint-Tropez]], auxquels il restera fidèle et où il vécut jusqu'à la fin de sa vie. Pierre Cabanne restitue : {{citation|[[Luc-Albert Moreau]] et [[André Villeboeuf]] viennent l'y rejoindre. Il ne la quitte maintenant que devant l'invasion bruyante et colorée de l'été. [[Léon-Paul Fargue]] l'y voit vivre dans cette maison du "Maquis" que, de fait, avec Luc-Albert-Moreau et André Villeboeuf, il a acheté à [[Charles Camoin]], sous les oliviers ou le long des vignes dont il fera les paysages gravés de ses ''Géorgiques'', sur les plages où des multitudes de corps se rôtissent au soleil et qu'il contemple "de son œil d'oiseau endormi"}}<ref> Pierre Cabanne, ''Le Midi des peintres'', collection « Tout par l'image », Hachette, 1964, {{pp.|79-80}}.</ref>. Pour le reste, il mène une véritable vie de nomade, à la recherche du motif surtout à travers l’[[Île-de-France]], la vallée du [[Grand Morin]], [[Feucherolles]], [[Chennevières-sur-Marne]], [[Guyancourt]], etc.
À partir de cette même année 1908, louant une maison appartenant à [[Paul Signac]], Dunoyer découvre les paysages de [[Saint-Tropez]], auxquels il restera fidèle en y séjournant jusqu'à la fin de sa vie. Paul Jamot situe là, puisque sa peinture d'avant 1898 demeurait confinée dans la nature morte, l'inauguration de sa peinture de paysages<ref name="JAM"/> et Pierre Cabanne restitue : {{citation|[[Luc-Albert Moreau]] et [[André Villeboeuf]] viennent l'y rejoindre. Il ne la quitte maintenant que devant l'invasion bruyante et colorée de l'été. [[Léon-Paul Fargue]] l'y voit vivre<ref>[[Jean-Paul Goujon]], ''Léon-Paul Fargue'', collection « Biographies », Gallimard, 1997, {{p.|248}}.</ref> dans cette maison du "Maquis" que, de fait, avec Luc-Albert-Moreau et André Villeboeuf, il a acheté à [[Charles Camoin]] (il y aura pour voisine [[Colette]] qui, dans ses livres, l'appellera « le grand Dédé » et chez qui il gravera les planches de ''La Treille musicale''<ref name="JVR"/>), sous les oliviers ou le long des vignes dont il fera les paysages gravés de ses ''Géorgiques'', sur les plages où des multitudes de corps se rôtissent au soleil et qu'il contemple "de son œil d'oiseau endormi"}}<ref>Pierre Cabanne, ''Le Midi des peintres'', collection « Tout par l'image », Hachette, 1964, {{pp.|79-80}}.</ref>. Pour le reste, il mène une véritable vie de nomade, à la recherche du motif surtout à travers l’[[Île-de-France]], la vallée du [[Grand Morin]], [[Feucherolles]], [[Chennevières-sur-Marne]], [[Guyancourt]], etc.
[[File:Paulpoiret.jpg|thumb|100px|left|[[Paul Poiret]]]]
[[File:Isadora Duncan2.jpg|thumb|150px|[[Isadora Duncan]]]]
[[Fichier:Paulpoiret.jpg|vignette|100px|gauche|[[Paul Poiret]]]]
[[Fichier:Anna Duncan dancing LOC agc 7a09906.jpg|vignette|150px|[[Isadora Duncan]]]]
En [[1910]], il se lie d'amitié avec le couturier [[Paul Poiret]] et rencontre [[Max Jacob]], [[Raoul Dufy]] et [[Maurice de Vlaminck]]. Il brosse les décors des fêtes données par Paul Poiret comme, avec Raoul Dufy, ceux de la « Mille et deuxième nuit » dans les jardins du Faubourg Saint-Honoré, ou ceux de la « soirée des Butard » où, dans les bois de [[Vaucresson]], dansa [[Isadora Duncan]]<ref name="JVR"/>.
En [[1910]], il se lie d'amitié avec le couturier [[Paul Poiret]] et rencontre [[Max Jacob]], [[Raoul Dufy]] et [[Maurice de Vlaminck]]. Il brosse les décors des fêtes données par Paul Poiret comme, avec Raoul Dufy, ceux de la « Mille et deuxième nuit » dans les jardins du Faubourg Saint-Honoré, ou ceux de la « soirée des Butard » où, dans les bois de [[Vaucresson]], dansa [[Isadora Duncan]]<ref name="JVR"/>.


De [[1910]] à [[1914]], il voyage en [[Italie]], en [[Espagne]], en [[Afrique du Nord]], et s’intéresse au sport et à la [[danse]] (dessins des ''Ballets russes'' d’[[Isadora Duncan]], [[1911]], ''Les Boxeurs'' [[1910]]) à propos desquels Dunoyer de Segonzac restitue lui-même que, de tous les sports, c'est de fait la boxe qui l'a le plus passionné : {{citation|j'allais aux grands combats, [[salle Wagram]], à l'Hippodrome et à la Grande Roue, mais j'affectionnais particulièrement une salle modeste : Les Arènes de Boxe où paraissaient les débutants dans de petits matches à quatre à six rounds maximum}}<ref name="BOX">[https://www.academiedesbeauxarts.fr/le-sport-vu-par-un-sympathisant André Dunoyer de Segonzac, ''Le sport vu par un sympathisant'', Académie des Beaux-Arts, novembre 1958]</ref>.
De [[1910]] à [[1914]], il voyage en [[Italie]], en [[Espagne]], en [[Afrique du Nord]], et s’intéresse au sport et à la [[danse]] (dessins des ''Ballets russes'' d’[[Isadora Duncan]], [[1911]], ''Les Boxeurs'' [[1910]]) à propos desquels Dunoyer de Segonzac restitue lui-même que, de tous les sports, c'est de fait la boxe qui l'a le plus passionné : {{citation|j'allais aux grands combats, [[salle Wagram]], à l'Hippodrome et à la Grande Roue, mais j'affectionnais particulièrement une salle modeste : Les Arènes de Boxe où paraissaient les débutants dans de petits matches à quatre à six rounds maximum}}<ref name="BOX">[https://www.academiedesbeauxarts.fr/le-sport-vu-par-un-sympathisant André Dunoyer de Segonzac, ''Le sport vu par un sympathisant'', Académie des Beaux-Arts, novembre 1958].</ref>. Il est alors, avec [[Roger de La Fresnaye]] et [[Luc-Albert Moreau]], bel et bien situé dans la mouvance [[Cubisme|cubiste]] dont il se désolidarisera rapidement<ref name="HAD"/>. De fait, dans sa visite du [[Salon des indépendants]] de 1914, André Salmon observe {{citation|une tentative de renouveau du cubisme}} qu'il évoque sous l'appellation de {{citation|naturalisme organisé}} et qu'il situe, proche de Roger de La Fresnaye, autour d'[[André Lhote]], André Dunoyer de Segonzac et [[Luc-Albert Moreau]]<ref>André Salmon, « Le Salon », ''Montjoie !'', 1914, {{n°|3}}, {{pp.|21-28}}.</ref>.

[[File:Charles Despiau (1874–1946).jpg|thumb|150px|[[Charles Despiau]]]]
=== Première Guerre mondiale ===
De [[Première Guerre mondiale|1914 à 1918]], mobilisé dans l’infanterie, il fait la guerre durement, avant d’être affecté au [[Camouflage (militaire)|camouflage]] dans la [[3e armée (France)|3e armée]] : il dirige l'atelier de camouflage d'[[Amiens]], puis celui de [[Noyon]], se spécialisant dans la pose des faux arbres<ref> André Dunoyer de Segonzac, « L'art au service de la guerre - Souvenirs d'un camoufleur (1915-1918) », ''Le Figaro, 26 septembre 1939.</ref>{{,}}<ref> Cécile Coutin, ''Tromper l'ennemi - L'invention du camouflage moderne en 1914-1918'', éditions Pierre de Taillac, 2015.</ref> et ayant sous ses ordres le sculpteur [[Charles Despiau]] (le buste de Dunoyer de Segonzac que celui-ci exécutera en 1943-1944 témoignera de leur amitié pérenne<ref name="BUF"/>), les peintres [[Charles Dufresne (artiste)|Charles Dufresne]], [[Charles Camoin]], [[Jean Puy]] et [[Jean-Louis Boussingault]] qui, avec lui, [[Jean Marchand (peintre)|Jean Marchand]] et [[Luc-Albert Moreau]] qui, dans une revendication commune de l'héritage de [[Gustave Courbet]], forment le groupe de « la [[Bande noire (peinture)|bande noire]] »<ref name="DOR"/>. Il exécute de nombreux dessins de guerre, précieux par leur valeur artistique et documentaire.
[[Fichier:Charles Despiau (1874–1946).jpg|vignette|150px|[[Charles Despiau]]]]
De [[Première Guerre mondiale|1914 à 1918]], mobilisé en tant que sergent au [[353e régiment d'infanterie]], il fait la guerre durement, avant d’être affecté dans une section [[Camouflage (militaire)|camouflage]] ddu [[Groupe d'armées du Nord]], puis de commander celle de la [[3e armée (France)|{{3e|armée}}]]<ref name="JVR"/> : il dirige l'atelier de camouflage d'[[Amiens]], puis celui de [[Noyon]], se spécialisant dans la pose des faux arbres<ref>André Dunoyer de Segonzac, « L'art au service de la guerre - Souvenirs d'un camoufleur (1915-1918) », ''Le Figaro'', {{date-|26 septembre 1939}}.</ref>{{,}}<ref>Cécile Coutin, ''Tromper l'ennemi - L'invention du camouflage moderne en 1914-1918'', éditions Pierre de Taillac, 2015.</ref> et ayant sous ses ordres le sculpteur [[Charles Despiau]] (le buste de Dunoyer de Segonzac que celui-ci exécutera en 1943-1944 témoignera de leur amitié pérenne<ref name="BUF"/>), les peintres [[Charles Dufresne (artiste)|Charles Dufresne]], [[Charles Camoin]], [[Jean Puy]] et [[Jean-Louis Boussingault]] qui, avec lui, [[Jean Marchand (peintre)|Jean Marchand]] et [[Luc-Albert Moreau]], dans une revendication commune de l'héritage de [[Gustave Courbet]], forment le groupe de « la [[Bande noire (peinture)|bande noire]] »<ref name="DOR"/>.

Il exécute de nombreux dessins de guerre, précieux par leur valeur artistique et documentaire, qui sont largement publiés dans ''[[Le Crapouillot]]'' et dans ''L'Élan'', revue fondée par [[Amédée Ozenfant]]<ref name="JVR"/> et où celui-ci ajoute son propre commentaire : {{citation|devant la lucidité de ces lignes, comment imaginer que l'auteur est lui-même un soldat, qu'il se bat, et que la même main, en des instants consécutifs. a commandé l'attaque et construit ce contour ? Admirons cette force qui est la force française}}<ref>Amédée Ozenfant, « Les dessins de guerre d'André Dunoyer de Segonzac », ''L'Élan'', {{n°|2}}, {{date-|15 mai 1915}}.</ref>.

André Dunoyer de Segonzac, perçoit Hadrien Viraben un siècle plus tard dans l'étude qu'il consacre à ce second périodique, {{citation|prisonnier d'une nouvelle manière de combattre, donne à la réalité du front un aspect qui, sans être sanglant, n'en est pas moins pesant et anxiogène}}. Ses dessins ne sont pas la dénégation de massacres que d'autres saisissent par la photographie, mais {{citation|proposent une lecture plus humaine et plus calme du front, sans être pourtant parfaitement sereine. Face au reportage et à l'anonymat des photographes, Segonzac témoigne de l'identité des hommes avec lesquels il partage l'expérience du front}}<ref name="HAD">[https://journals.openedition.org/cel/506?lang=en Hadrien Viraben, « L'image de la guerre dans ''L'Élan'' (1915-1916), un refoulement apparent », ''Les Cahiers de l'École du Louvre'', 2013].</ref>.


=== L'après-guerre ===
Dès 1919, année où il s'initie à l[[eau-forte]] afin d'illustrer ''Les Croix de bois'' de [[Roland Dorgelès]]<ref name="BEN"/>, il figure de nouveau dans de très nombreuses expositions, dont les principaux [[Salon de peinture|salons]] parisiens. Ses premiers paysages à l'aquarelle datent de 1920<ref name="BEN"/>.
Dès 1919, année où il s'initie à l'[[eau-forte]] afin d'illustrer ''Les Croix de bois'' de [[Roland Dorgelès]]<ref name="BEN"/>, il figure de nouveau dans de très nombreuses expositions, dont les principaux [[Salon de peinture|salons]] parisiens. Ses premiers paysages à l'aquarelle datent de 1920<ref name="BEN"/>.


En 1921, il rencontre [[Paul Valéry]], [[Léon-Paul Fargue]], [[Valéry Larbaud]] et [[Jean Cocteau]]<ref name="BEN"/>. En 1928, il fait un voyage aux [[États-Unis]] où il rencontre un vif succès. En 1930, il se lie d’amitié avec [[André Derain]].
En 1921, il rencontre [[Paul Valéry]], [[Léon-Paul Fargue]], [[Valéry Larbaud]] et [[Jean Cocteau]]<ref name="BEN"/>. En 1928, il fait un voyage aux [[États-Unis]] où il rencontre un vif succès. En 1930, il se lie d’amitié avec [[André Derain]].
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Il est membre du comité d'honneur de l'Association du foyer de l’[[abbaye de Royaumont]] et président de la [[Société des peintres-graveurs français]].
Il est membre du comité d'honneur de l'Association du foyer de l’[[abbaye de Royaumont]] et président de la [[Société des peintres-graveurs français]].


Sous l'[[Vie en France sous l'Occupation allemande|Occupation]], il participe, en [[novembre 1941]] à un « voyage d’études » en Allemagne, organisé par [[Arno Breker]], acceptant, comme d'autres artistes parmi les plus renommés, de partir visiter les hauts lieux de la culture allemande ainsi que des ateliers d’artistes<ref name="LAU"> Laurence Bertrand Dorléac, ''L'art de la défaite, 1940-1944'', Seuil, 1993.</ref>{{,}}<ref> Limore Yagil, ''Au nom de l'art, 1933-1945 - Exils, solidarités et engagements'', Fayard, 2015.</ref>.
Sous l'[[Occupation de la France par l'Allemagne pendant la Seconde Guerre mondiale|Occupation]], il participe, en [[novembre 1941]] à un « voyage d’études » en Allemagne, organisé par [[Arno Breker]], acceptant, comme d'autres artistes parmi les plus renommés, de partir visiter les hauts lieux de la culture allemande ainsi que des ateliers d’artistes<ref name="LAU">Laurence Bertrand Dorléac, ''L'art de la défaite, 1940-1944'', Seuil, 1993.</ref>{{,}}<ref>Limore Yagil, ''Au nom de l'art, 1933-1945 - Exils, solidarités et engagements'', Fayard, 2015.</ref>{{,}}<ref>[https://journals.openedition.org/marges/1392?lang=en Tamara Ostriakova, « Instrumentalisations de l'art - Notes de lecture : Werner Lange, ''Les artists français sous l'Occupation'', éditions Dean, Saint-Petersbourg, 2017 », ''Marges'', {{n°|26}}, 2018].</ref>.


En 1947, il est élu membre de la [[Royal Academy]] de [[Londres]]. À partir de 1951, ses œuvres peintes et gravées font l'objet d'expositions multiples en France, en Europe et aux États-Unis. De nombreuses études lui sont consacrées.
En 1947, il est élu membre de la [[Royal Academy]] de [[Londres]]. À partir de 1951, ses œuvres peintes et gravées font l'objet d'expositions multiples en France, en Europe et aux États-Unis. De nombreuses études lui sont consacrées.


=== Mort et postérité ===
=== Mort et postérité ===
[[Fichier:Saint-Tropez - Cimetière marin.jpg|vignette|gauche|180px|[[Cimetière marin de Saint-Tropez]]]]
[[File:ThereseDorny1921.tif|thumb|120px|[[Thérèse Dorny]] (1891-1976)]]
[[Fichier:ThereseDorny1921.tif|vignette|120px|[[Thérèse Dorny]] (1891-1976)]]
Quittant ce monde dans une mort douce le 17 septembre 1974 - {{citation|Dunoyer de Segonzac est mort ce matin dans l'ignorance qu'il trépassait. La fin que lâchement je me souhaite}} note ce jour-là son ami [[Michel Ciry]]<ref> Michel Ciry, « 17 septembre - Dunoyer de Segonzac est mort ce matin… », ''Détruire la nuit - Journal 1974-1975'', Plon, 1977, {{pp.|182-183}}.</ref> -, l'artiste est inhumé au [[Cimetière marin de Saint-Tropez|cimetière de Saint-Tropez]] auprès de l'actrice [[Thérèse Dorny]] (1891-1976) qu'il avait épousé le 19 décembre 1964<ref>[http://www.landrucimetieres.fr/spip/spip.php?article1250 Cimetières de France et d’ailleurs – Saint-Tropez].</ref>.
Quittant ce monde dans une mort douce le {{date-|17 septembre 1974}} - {{citation|Dunoyer de Segonzac est mort ce matin dans l'ignorance qu'il trépassait. La fin que lâchement je me souhaite}} note ce jour-là son ami [[Michel Ciry]]<ref>Michel Ciry, « 17 septembre - Dunoyer de Segonzac est mort ce matin… », ''Détruire la nuit - Journal 1974-1975'', Plon, 1977, {{pp.|182-183}}.</ref> -, l'artiste est inhumé au [[cimetière marin de Saint-Tropez]] auprès de l'actrice [[Thérèse Dorny]] (1891-1976) qu'il avait épousé le {{date-|19 décembre 1964}}<ref>[http://www.landrucimetieres.fr/spip/spip.php?article1250 Cimetières de France et d’ailleurs – Saint-Tropez].</ref>.


On peut être surpris de voir André Dunoyer de Segonzac, après sa mort, situé par certains historiens de l'art dans le courant expressionniste. Ainsi en va-t-il en 1980 de Hans L.C. Jaffé qui retient rétrospectivement que {{citation|l'[[expressionnisme]]}} des années qui suivirent la [[Première Guerre mondiale]] eut peu d'influence en France. En dehors de [[Marcel Gromaire]], avec ses compositions solidement construites, aux couleurs sombres, le principal représentant de cette tendance en France fut Dunoyer de Segonzac. Le paysage fut son thème de prédilection, mais, au lieu des touches extatiques de couleur qui caractérisaient les [[Fauvisme|Fauves]], au lieu de la véhémence passionnée de [[Chaïm Soutine]], on remarque dans ses tableaux une atmosphère opprimante et lourde qui les rattache aux écoles nordiques. Segonzac s'efforça de faire revivre un style classique fondé sur le retour à [[Paul Cézanne]], mais son tempérament romantique et nordique imprima à son œuvre le sceau de sa propre personnalité<ref> Hans L.C. Jaffé, « Les dix-neuvième et vingtième siècles » dans, sous la direction de L.C. Jaffé, ''Le monde de la peinture des origines à nos jours'', V.N.U. Books International, 1980, {{p.|346}}.</ref>.
On peut être surpris de voir André Dunoyer de Segonzac, après sa mort, situé par certains historiens de l'art dans le courant expressionniste. Ainsi en va-t-il en 1980 de Hans L.C. Jaffé qui retient rétrospectivement que {{citation|l'[[expressionnisme]]}} des années qui suivirent la [[Première Guerre mondiale]] eut peu d'influence en France. En dehors de [[Marcel Gromaire]], avec ses compositions solidement construites, aux couleurs sombres, le principal représentant de cette tendance en France fut Dunoyer de Segonzac. Le paysage fut son thème de prédilection, mais, au lieu des touches extatiques de couleur qui caractérisaient les [[Fauvisme|Fauves]], au lieu de la véhémence passionnée de [[Chaïm Soutine]], on remarque dans ses tableaux une atmosphère opprimante et lourde qui les rattache aux écoles nordiques. Segonzac s'efforça de faire revivre un style classique fondé sur le retour à [[Paul Cézanne]], mais son tempérament romantique et nordique imprima à son œuvre le sceau de sa propre personnalité<ref>Hans L.C. Jaffé, « Les dix-neuvième et vingtième siècles » dans, sous la direction de L.C. Jaffé, ''Le monde de la peinture des origines à nos jours'', V.N.U. Books International, 1980, {{p.|346}}.</ref>.


En 1985, [Georges Charensol préfère retenir que l'œuvre d'André Dunoyer de Segonzac se situe tout simplement {{citation|hors du temps}}, s'en justifiant par le constat que, pour l'artiste, il n'était pas {{citation|question de remettre en cause l'[[impressionnisme]], le [[divisionnisme]], le [[symbolisme]], le [[fauvisme]], le [[cubisme]], les multiples formes d'[[art abstrait]]. Segonzac les a connus, comme tous les peintres de sa génération, mais, seul ou presque, il a refusé l'influence du cubisme. C'est ce refus qui fait de lui une des personnalités majeures de l'histoire de notre temps}}<ref name="CHA"/>.
En 1985, [Georges Charensol préfère retenir que l'œuvre d'André Dunoyer de Segonzac se situe tout simplement {{citation|hors du temps}}, s'en justifiant par le constat que, pour l'artiste, il n'était pas {{citation|question de remettre en cause l'[[impressionnisme]], le [[divisionnisme]], le [[symbolisme (art)|symbolisme]], le [[fauvisme]], le [[cubisme]], les multiples formes d'[[art abstrait]]. Segonzac les a connus, comme tous les peintres de sa génération, mais, seul ou presque, il a refusé l'influence du cubisme. C'est ce refus qui fait de lui une des personnalités majeures de l'histoire de notre temps}}<ref name="CHA"/>.


Michel Charzat, constatant pour sa part en 2021 que le nom d'André Dunoyer de Segonzac, qui {{citation|était sans doute l'un des peintres français les plus connus et les plus admirés du {{s-|XX}}}}, n'est plus, un demi-siècle après sa mort, {{citation|retenu que par une génération de collectionneurs de gravures et de livres illustrés}}, retient cependant que, {{citation|célèbre dans les années 1920-1025, Dunoyer de Segonzac reste une figure incontournable de la peinture française. Associé à [[André Derain]] et [[Henri Matisse]] avec lesquels il forme le trio des maîtres de la peinture française contemporaine, figure "contraire" de [[Pablo Picasso]], comme se plaisait à le définir [[Claude Roger-Marx]], il en a été le parfait contemporain et ami. Son art ne s'est intéressé que furtivement au [[cubisme]] et à l'[[art abstrait|abstraction]] et reste marqué par le goût de la figuration commun à toute une génération d'artistes européens de l'entre-deux-guerres. Sa peinture s'impose comme l'une des plus représentatives du {{s-|XX}}, par la somme des éloges reçus et par sa diffusion dans le monde entier, même si l'homme reste peu connu}}<ref> Michel Charzat, ''André Dunoyer de Segonzac (1884-1974) - La force, la nature, l'amour de la vie'', éditions Gourcuff Gradenigo, Montreuil, 2021.</ref>.
Michel Charzat, constatant pour sa part en 2021 que le nom d'André Dunoyer de Segonzac, qui {{citation|était sans doute l'un des peintres français les plus connus et les plus admirés du {{s-|XX}}}}, n'est plus, un demi-siècle après sa mort, {{citation|retenu que par une génération de collectionneurs de gravures et de livres illustrés}}, retient cependant que, {{citation|célèbre dans les années 1920-1025, Dunoyer de Segonzac reste une figure incontournable de la peinture française. Associé à [[André Derain]] et [[Henri Matisse]] avec lesquels il forme le trio des maîtres de la peinture française contemporaine, figure "contraire" de [[Pablo Picasso]], comme se plaisait à le définir [[Claude Roger-Marx]], il en a été le parfait contemporain et ami. Son art ne s'est intéressé que furtivement au [[cubisme]] et à l'[[art abstrait|abstraction]] et reste marqué par le goût de la figuration commun à toute une génération d'artistes européens de l'entre-deux-guerres. Sa peinture s'impose comme l'une des plus représentatives du {{s-|XX}}, par la somme des éloges reçus et par sa diffusion dans le monde entier, même si l'homme reste peu connu}}<ref>Michel Charzat, ''André Dunoyer de Segonzac (1884-1974) - La force, la nature, l'amour de la vie'', éditions Gourcuff Gradenigo, Montreuil, 2021.</ref>.


== Œuvre ==
== Œuvre ==
À peu près indifférent aux révolutions esthétiques contemporaines, Dunoyer de Segonzac entreprend, avec ses amis [[Jean-Louis Boussingault]] et [[Luc-Albert Moreau]], de ressusciter le réalisme de [[Gustave Courbet]] en exécutant, par la peinture à l'huile qu'il ne pratiquera plus qu'épisodiquement, au bénéfice de l'aquarelle à partir de 1925, des [[nature morte|natures mortes]], des nus, des paysages, {{citation|à partir de compositions de l'ensemble plastiquement structurées et d'un dessin des parties synthétique et énergiquement cerné. Il s'élaboré là une technique personnelle par épaisses couches pigmentaires superposées, maçonnées au couteau… Il utilise alors une gamme sobre et chaude d'ocres, de terres et de bruns généralisée, valorisée de bleus et de verts sombres et froids, aux forts contrastes entre clairs et ombres, pour après 1919 éclaircir notablement l'austérité de sa palette}}
À peu près indifférent aux révolutions esthétiques contemporaines, Dunoyer de Segonzac entreprend, avec ses amis [[Jean-Louis Boussingault]] et [[Luc-Albert Moreau]], de ressusciter le réalisme de [[Gustave Courbet]] en exécutant, par la peinture à l'huile qu'il ne pratiquera plus qu'épisodiquement, au bénéfice de l'aquarelle à partir de 1925, des [[nature morte|natures mortes]], des nus, des paysages, {{citation|à partir de compositions de l'ensemble plastiquement structurées et d'un dessin des parties synthétique et énergiquement cerné. Il s'élaboré là une technique personnelle par épaisses couches pigmentaires superposées, maçonnées au couteau… Il utilise alors une gamme sobre et chaude d'ocres, de terres et de bruns généralisée, valorisée de bleus et de verts sombres et froids, aux forts contrastes entre clairs et ombres, pour après 1919 éclaircir notablement l'austérité de sa palette}}
<ref name="BEN"/>. Pour [[Claude Roger-Marx]], {{citation|pas plus qu'on ne saurait séparer les travaux du peintre de ceux du graveur et du dessinateur et de l'aquafortiste, on ne saurait diviser l'œuvre en époques. Tant de constance dans le sentiment, dans l'exécution, dans le choix des thèmes, risque de laisser insatisfaits ceux qui aiment par-dessus tout qu'on les brusque ou qu'on les déconcerte}}<ref name="DUR">Claude Roger-Marx, ''Dunoyer de Segonzac - Soixante années de peinture'', Galerie Durand-Ruel / imprimerie Busson, Paris, 1972.</ref>.
<ref name="BEN"/>.


Il donne sa définition de l'art dans l'une de ses lettres au peintre [[Maurice Boitel]] où il écrit, dans les [[années 1950]] :
Il donne sa définition de l'art dans l'une de ses lettres au peintre [[Maurice Boitel]] où il écrit, dans les [[années 1950]] :
{{citation|Je n'ai pas oublié la période héroïque des indépendants {{Incise|quand nous étions groupés autour de [[Paul Signac]], du charmant et vaillant [[Maximilien Luce]]}} dans ces baraques où l'Art vivant et authentique se groupait en dehors des formules académiques {{Incise|ou des tendances littéraires et systématiques}} qui devaient aboutir à cette esthétique abstraite dont crève la peinture.}}{{refnec}}
{{citation|Je n'ai pas oublié la période héroïque des indépendants {{Incise|quand nous étions groupés autour de [[Paul Signac]], du charmant et vaillant [[Maximilien Luce]]}} dans ces baraques où l'Art vivant et authentique se groupait en dehors des formules académiques {{Incise|ou des tendances littéraires et systématiques}} qui devaient aboutir à cette esthétique abstraite dont crève la peinture.}}{{refnec}}


Initié à la gravure par [[Jean Émile Laboureur]], il réalisa près de {{formatnum:1600}} cuivres de 1919 à 1970<ref name="AIM"> Aimée Lioré et Pierre Cailler, ''Catalogue de l'œuvre gravé de Dunoyer de Segonzac'', 8 volumes, 1.595 numéros décrits, éditions Pierre Cailler, Genève, 1959.</ref>.
Initié à la gravure par [[Jean Émile Laboureur]], il réalisa près de {{nombre|1600|cuivres}} de 1919 à 1970<ref name="AIM">Aimée Lioré et Pierre Cailler, ''Catalogue de l'œuvre gravé de Dunoyer de Segonzac'', 8 volumes, 1.595 numéros décrits, éditions Pierre Cailler, Genève, 1959.</ref>.


=== Dessin et gravure de portraits ===
=== Dessin et gravure de portraits ===
On doit à André Dunoyer de Segonzac les portraits de [[Paul Signac]]<ref name="SIG"/>, [[Francis Carco]]<ref name="KYR"> Jean Melas Kyriazi, ''André Dunoyer de Segonzac, sa vie, son œuvre'', Harmonies et couleurs, Lausanne, 1976, {{pp.|76-78}}.</ref>[[André Gide]], [[Jules Romains]], [[Marcel Proust]] sur son lit de mort, [[Paul Léautaud]], [[André Dignimont]], [[Léon-Paul Fargue]], [[Colette]]<ref name="ROB"/>{{,}}<ref name="SOI">[https://lessoireesdeparis.com/2021/06/24/dunoyer-de-segonzac-is-back Yves Brocard, « Dunoyer de Segonzac is back », ''Les soirées de Paris'', 24 juin 1921]</ref>.
On doit à André Dunoyer de Segonzac les portraits de [[Paul Signac]]<ref name="SIG"/>, [[Francis Carco]]<ref name="KYR">Jean Melas Kyriazi, ''André Dunoyer de Segonzac, sa vie, son œuvre'', Harmonies et couleurs, Lausanne, 1976, {{pp.|76-78}}.</ref>, [[André Gide]]<ref name="EUG"/>, [[Jules Romains]], [[Marcel Proust]] sur son lit de mort<ref name="PRO"/>, [[Colette]]<ref name="EUG"/>, [[Thérèse Dorny]]<ref name="JAM"/>, [[Paul Léautaud]], [[André Dignimont]], [[Léon-Paul Fargue]]<ref name="EUG"/>, [[Henri Mondor]]<ref name="ROB"/>{{,}}<ref name="SOI">[https://lessoireesdeparis.com/2021/06/24/dunoyer-de-segonzac-is-back Yves Brocard, « Dunoyer de Segonzac is back », ''Les soirées de Paris'', {{date-|24 juin 1921}}].</ref>.


On ne connaît de l'artiste, ce dont il s'est justifié en disant que son physique ne l'intéressait pas, qu'un seul autoportrait, daté 1925<ref name="KYR"/>.
On ne connaît de l'artiste, ce dont il s'est justifié en disant que son physique ne l'intéressait pas, qu'un seul autoportrait, daté 1925<ref name="KYR"/>.


=== Contributions bibliophiliques ===
=== Contributions bibliophiliques ===
[[Fichier:Rouché-Jacques-1910-DansL'HôtelRueD'Offémont-C-2.png|vignette|180px|[[Jacques Rouché]]]]
[[File:Roland Dorgelès b Meurisse 1923.jpg|thumb|120px|[[Roland Dorgelès]]]]
[[File:Tristan Bernard 1923.jpg|thumb|120px|[[Tristan Bernard]]]]
[[Fichier:Roland Dorgelès b Meurisse 1923.jpg|vignette|120px|[[Roland Dorgelès]]]]
[[Fichier:Tristan Bernard 1923.jpg|vignette|120px|[[Tristan Bernard]]]]
[[File:Charles-Louis Philippe by Dornac 1904.png|thumb|180px|[[Charles-Louis Philippe]]]]
[[Fichier:Charles-Louis Philippe by Dornac 1904.png|vignette|180px|[[Charles-Louis Philippe]]]]
[[File:Colette 1932 (2).jpg|thumb|120px|[[Colette]]]]
[[File:Jean Giraudoux.jpg|thumb|120px|[[Jean Giraudoux]]]]
[[Fichier:Régis Gignoux, homme de lettres, dramaturge.jpg|vignette|120px|[[Régis Gignoux]]]]
[[Fichier:Colette 1932 (2).jpg|vignette|120px|[[Colette]]]]
* [[Jacques Rouché, ''L'Art théâtral moderne'', illustrations d'André Dunoyer de Segonzac, E. Cornély, Paris, 1910.
[[Fichier:André Gide 1947.jpg|vignette|120px|[[André Gide]]]]
* André Dunoyer de Segonzac, ''Dessins sur les danses d'Isadora Duncan'' précédés de ''La danseuse de Diane'', glose de [Fernand Divoire]], À la belle Édition, Paris, 1911.
[[Fichier:Jean Giraudoux.jpg|vignette|120px|[[Jean Giraudoux]]]]
* [[Francis Carco]], ''Chansons aigres-douces'', dessins d'André Dunoyer de Segonzac, [[John Duncan Fergusson]], [[Jean Hess]], [[Luc-Albert Moreau]] er {{Lien|langue=en|fr=Anne Estelle Rice|texte=Anne Estelle Rice}}, éditions « Collection des Cinq », 1913.
* [[Jacques Rouché]], ''L'Art théâtral moderne'', illustrations d'André Dunoyer de Segonzac, E. Cornély, Paris, 1910.
* André Dunoyer de Segonzac, ''XXX dessins'' (30 dessins dont 10 nus, 14 mouvements de danse par [[Ida Rubinstein]] et [[Isadora Duncan]], 4 scènes de boxe), 530 exemplaires numérotés, éditions du Temps présent, Paris, 1913.
* André Dunoyer de Segonzac, ''Notes prises au front'', suite de 12 planches illustrées de dessins 26,5x35,5cm, 6 exemplaires numérotés tirés sur Chine constituant l'édition originale, Société littéraire de France, Paris, 1917.
* André Dunoyer de Segonzac, ''Dessins sur les danses d'Isadora Duncan'' précédés de ''La danseuse de Diane'', glose de [[Fernand Divoire]], À la belle Édition, Paris, 1911.
* [[Francis Carco]], ''Chansons aigres-douces'', dessins d'André Dunoyer de Segonzac, [[John Duncan Fergusson]], [[Jean Hess]], [[Luc-Albert Moreau]] er {{Lien|langue=en|trad=Anne Estelle Rice|fr=Anne Estelle Rice|texte=Anne Estelle Rice}}, éditions « Collection des Cinq », 1913.
* [[Roland Dorgelès]], ''Les Croix de bois'', dessins dans le texte et 10 pointes-sèches hors texte d'André Dunoyer de Segonzac, 519 exemplaires numérotés sur Lafuma teinté, éditions de La Banderole, Paris, 1921.
* André Dunoyer de Segonzac, ''XXX dessins'' ({{nobr|30 dessins}} dont {{nobr|10 nus}}, {{nobr|14 mouvements}} de danse par [[Ida Rubinstein]] et [[Isadora Duncan]], {{nobr|4 scènes}} de boxe), {{nobr|530 exemplaires}} numérotés, éditions du Temps présent, Paris, 1913.
* André Dunoyer de Segonzac, ''Notes prises au front'', suite de {{nobr|12 planches}} illustrées de dessins {{Dunité|26.5|35.5|cm}}, six exemplaires numérotés tirés sur Chine constituant l'édition originale, Société littéraire de France, Paris, 1917.
* [[Roland Dorgelès]], ''Les Croix de bois'', dessins dans le texte et {{nobr|10 pointes}}-sèches hors texte d'André Dunoyer de Segonzac, {{nobr|519 exemplaires}} numérotés sur Lafuma teinté, éditions de La Banderole, Paris, 1921.
* [[Jules Romains]], ''Amour couleur de Paris'' suivi de ''Plusieurs poèmes'', portrait e Jules Romains gravé par André Dunoyer de Segonzac en frontispice, éditions de la Nouvelle Revue française, 1921.
* [[Jules Romains]], ''Amour couleur de Paris'' suivi de ''Plusieurs poèmes'', portrait e Jules Romains gravé par André Dunoyer de Segonzac en frontispice, éditions de la Nouvelle Revue française, 1921.
* [[Paul Valéry]] (sous la direction d'[[André Mare]] et [[Louis Süe]]), ''Architectures - Comprenant un dialogue socratique de Paul Valéry et la présentation d'ouvrages d'architecture, décoration intérieure, peinture, sculpture et gravure contribuant depuis 1914 à former le goût français'', {{nobr|34 gravures}} sur cuivre, {{nobr|4 gravures}} sur bois, une lithographie par [[Jean-Louis Boussingault]], [[Bernard Boutet de Monvel]], Auguste-Louis Chapon, [[Georges Desvallières]], [[Raymond Duchamp-Villon]], André Dunoyer de Segonzac, [[Jules Germain]], [[Jean-Émile Laboureur]], [[Roger de La Fresnaye]], [[Marie Laurencin]], [[André Mare]], [[Paul Véra]], [[Jacques Villon]], Gallimard / Nouvelle Revue française, 1921.
* [[Gustave Flaubert]],''[[L'Éducation sentimentale]]'', édition du centenaire 1821-1921, illustrations d'André Dunoyer de Segonzac, Librairie de France, Paris, 1922.
* [[Tristan Bernard]], ''Tableaux de la boxe'', 29 eaux-fortes d'André Dunoyer de Segonzac, éditions de la Nouvelle Revue française, Paris, 1922<ref name="BOX"/>{{,}}<ref name="SPO"> Robert Parenté, ''Dunoyer de Segonzac, témoin du sport''; éditions Pedro Palaclos, 1995.</ref>.
* [[Gustave Flaubert]], ''[[L'Éducation sentimentale]]'', édition du centenaire 1821-1921, illustrations d'André Dunoyer de Segonzac, Librairie de France, Paris, 1922.
* [[Tristan Bernard]], ''Tableaux de la boxe'', {{nobr|29 eaux}}-fortes d'André Dunoyer de Segonzac, éditions de la Nouvelle Revue française, Paris, 1922<ref name="BOX"/>{{,}}<ref name="SPO">Robert Parenté, ''Dunoyer de Segonzac, témoin du sport''; éditions Pedro Palaclos, 1995.</ref>.
* Roland Dorgelès, ''La Boule de gui'', illustrations d'André Dunoyer de Segonzac, 519 exemplaires numérotés sur Lafuma teinté, éditions de La Banderole, Paris, 1922.
* Roland Dorgelès, ''La Boule de gui'', illustrations d'André Dunoyer de Segonzac, {{nobr|519 exemplaires}} numérotés sur Lafuma teinté, éditions de La Banderole, Paris, 1922.
* Roland Dorgelès, ''Le Cabaret de la belle femmes'', illustrations d'André Dunoyer de Segonzac, 60 exemplaires numérotés sur papier Hollande, Émile-Paul Frères éditeurs, Paris, 1924.
* Roland Dorgelès, ''Le Cabaret de la belle femmes'', illustrations d'André Dunoyer de Segonzac, {{nobr|60 exemplaires}} numérotés sur papier Hollande, Émile-Paul Frères éditeurs, Paris, 1924.
* [[Paul Morand]], ''Ouvert la nuit'', 6 aquarelles hors-texte par [[Raoul Dufy]], [[André Favory]], [[Roger de La Fresnaye]], [[André Lhote]], [[Luc-Albert Moreau]] et André Dunoyer de Segonzac, 320 exemplaires numérotés (5 sur Whatman, 19 sur vieux Japon teinté, 305 sur vergé d'Arches), Gallimard / Nouvelle Revue française, 1924.
* [[Paul Morand]], ''Ouvert la nuit'', {{nobr|6 aquarelles}} hors-texte par [[Raoul Dufy]], [[André Favory]], [[Roger de La Fresnaye]], [[André Lhote]], [[Luc-Albert Moreau]] et André Dunoyer de Segonzac, {{nobr|320 exemplaires}} numérotés (5 sur Whatman, 19 sur vieux Japon teinté, 305 sur vergé d'Arches), Gallimard / Nouvelle Revue française, 1924.
* ''Huit illustrations de guerre dessinées et gravées sur cuivre par André Dunoyer de Segonzac'', {{nobr|97 exemplaires}} numérotés, chez Henri M. Petiet, Paris, 1926.
* [[Paul Valéry]], [[Roger Allard]], [[Francis Carco]], [[Jean Cocteau]], [[Colette]], [[Tristan Derème]], [[Georges Duhamel]], [[Raymond Escholier]], [[Jean Giraudoux]], [[Max Jacob]], [[Edmond Jaloux]], [[Jacques de Lacretelle]], [[Valéry Larbaud]], [[Paul Morand]], [[Pierre Mac Orlan]], [[André Salmon]], [[Jean-Louis Vaudoyer]], [[Charles Vildrac]], [[André Warnod]] et [[André Suarès]], ''Tableaux de Paris'', vingt eaux-fortes et lithographies par [[Pierre Bonnard]], [[Edmond Ceria]], [[Jean-Gabriel Daragnès]], [[Hermine David]], [[Maurice de Vlaminck]], [[Henry de Waroquier]], André Dunoyer de Segonzac (''Football'', eau-forte), [[Pierre Falké]], [[Tsugouharu Foujita]], [[Chas Laborde]], [[Marie Laurencin]], [[Albert Marquet]], [[Charles Martin (dessinateur)|Charles Martin]], [[Henri Matisse]], [[Luc-Albert Moreau]], [[Jean Oberlé]], [[Jules Pascin]], [[Georges Rouault]], [[Maurice Utrillo]] et [[Kees Van Dongen]], 225 exemplaires numérotés, Émile-Paul Frères éditeurs, Paris, 1927.
* [[Paul Valéry]], [[Roger Allard]], [[Francis Carco]], [[Jean Cocteau]], [[Colette]], [[Tristan Derème]], [[Georges Duhamel]], [[Raymond Escholier]], [[Jean Giraudoux]], [[Max Jacob]], [[Edmond Jaloux]], [[Jacques de Lacretelle]], [[Valéry Larbaud]], [[Paul Morand]], [[Pierre Mac Orlan]], [[André Salmon]], [[Jean-Louis Vaudoyer]], [[Charles Vildrac]], [[André Warnod]] et [[André Suarès]], ''Tableaux de Paris'', vingt eaux-fortes et lithographies par [[Pierre Bonnard]], [[Edmond Ceria]], [[Jean-Gabriel Daragnès]], [[Hermine David]], [[Maurice de Vlaminck]], [[Henry de Waroquier]], André Dunoyer de Segonzac (''Football'', eau-forte), [[Pierre Falké]], [[Tsugouharu Foujita]], [[Chas Laborde]], [[Marie Laurencin]], [[Albert Marquet]], [[Charles Martin (dessinateur)|Charles Martin]], [[Henri Matisse]], [[Luc-Albert Moreau]], [[Jean Oberlé]], [[Jules Pascin]], [[Georges Rouault]], [[Maurice Utrillo]] et [[Kees Van Dongen]], {{nobr|225 exemplaires}} numérotés, Émile-Paul Frères éditeurs, Paris, 1927.
* [[Charles-Louis Philippe]], ''[[Bubu de Montparnasse (roman)|Bubu de Montparnasse]]'', 67 eaux-fortes d'André Dunoyer de Segonzac, 130 exemplaires numérotés sur papier vélin d'Arches, Société lyonnaise les XXX, Lyon, 1929.
* [[Charles-Louis Philippe]], ''[[Bubu de Montparnasse (roman)|Bubu de Montparnasse]]'', {{nobr|67 eaux}}-fortes d'André Dunoyer de Segonzac, {{nobr|130 exemplaires}} numérotés sur papier vélin d'Arches, Société lyonnaise les XXX, Lyon, 1929.
* [[Marcel Valotaire]], ''Laboureur'', illustrations d'André Dunoyer de Segonzac, H. Babou et J. Kahane, Paris, 1929.
* [[Marcel Valotaire]], ''Laboureur'', illustrations d'André Dunoyer de Segonzac, H. Babou et J. Kahane, Paris, 1929.
* [[Régis Gignoux]], ''L'Appel du clown'', illustrations d'André Dunoyer de Segonzac, Les Auteurs, Paris, 1930.
* [[Régis Gignoux]], ''L'Appel du clown'', {{nobr|26 eaux}}-fortes originales ({{nobr|12 hors-texte}}, {{nobr|12 in-texte}}, une en frontispice, une à l'achevé d'imprimer) d'André Dunoyer de Segonzac, {{nobr|135 exemplaires}} numérotés, Brumel imprimeur / Les Auteurs, Paris, 1930.
* [[Georges Courteline]] (préface de [[Gaston Chérau]]), ''Boubouroche'' suivi de ''Philosophie'', Librairie de France, Paris, 1931.
* [[Georges Courteline]] (préface de [[Gaston Chérau]]), ''Boubouroche'' suivi de ''Philosophie'', illustrations d'André Dunoyer de Segonzac, Librairie de France, Paris, 1931.
* [[Colette]], ''La Treille musicale'', 36 eaux-fortes (13 hors-texte, 23 in-texte) gravées par André Dunoyer de Segonzac en la maison de Colette à Saint-Tropez, 165 exemplaires sur hollande van Gelder numérotés, chez l'artiste, Paris, 1932.
* [[Colette]], ''La Treille muscate'', {{nobr|36 eaux}}-fortes ({{nobr|13 hors-texte}}, {{nobr|23 in-texte}}) gravées par André Dunoyer de Segonzac en la maison de Colette à Saint-Tropez, {{nobr|165 exemplaires}} sur hollande van Gelder numérotés, chez l'artiste, Paris, 1932.
* Henry-Jean Laroche, ''Cuisine (recueil de {{nobr|117 recettes}})'', eaux-fortes d'[[Édouard Vuillard]], André Dunoyer de Segonzac et [[André Villeboeuf]], Arts et métiers graphiques, 1935.
* [[Guy de Maupassant]] (préface de [[René Dumesnil]]), ''Contes du jour et de la nuit'' suivi de ''Les Sœurs Rondoli'', illustrations d'André Dunoyer de Segonzac, Librairie de France, Paris, 1938.
* [[Guy de Maupassant]] (préface de [[René Dumesnil]]), ''Contes du jour et de la nuit'' suivi de ''Les Sœurs Rondoli'', illustrations d'André Dunoyer de Segonzac, Librairie de France, Paris, 1938.
* [[Pierre Ronsard]], [[Joachim du Bellay]], [[Louise Labé]], [[Rémy Belleau]], [[Étienne Jodelle]], [[Agrippa d'Aubigné]], [[José Maria de Heredia]], ''Sonnets d'amour'', frontispice gravépar André Dunoyer de Segonzac, vignette de titre et bandeau de [[Robert Bonfils (artiste français)|Robert Bonfils]], eaux-fortes de Camille Berg, [[Michel Ciry]], [[Luc-Albert Moreau]], [[Jean-Gabriel Daragnès]], [[Jean Frélaut]], [[Maurice Savin]], [[André Jacquemin]], [[Démétrios Galanis]], [[Henri Vergé-Sarrat]], [[Jacques Boullaire]], Roger Wild, [[Jean-Eugène Bersier]], [[Hermine David]], [[Marie Laurencin]], [[Henry de Waroquier]], [[Édouard Goerg]], [[André Dignimont]] et [[Yves Brayer]], 326 exemplaires numérotés, Compagnie française des arts graphiques, 1943.
* [[Pierre Ronsard]], [[Joachim du Bellay]], [[Louise Labé]], [[Rémy Belleau]], [[Étienne Jodelle]], [[Agrippa d'Aubigné]], [[José Maria de Heredia]], ''Sonnets d'amour'', frontispice gravé par André Dunoyer de Segonzac, vignette de titre et bandeau de [[Robert Bonfils (artiste français)|Robert Bonfils]], eaux-fortes de Camille Berg, [[Michel Ciry]], [[Luc-Albert Moreau]], [[Jean-Gabriel Daragnès]], [[Jean Frélaut]], [[Maurice Savin]], [[André Jacquemin]], [[Démétrios Galanis]], [[Henri Vergé-Sarrat]], [[Jacques Boullaire]], Roger Wild, [[Jean-Eugène Bersier]], [[Hermine David]], [[Marie Laurencin]], [[Henry de Waroquier]], [[Édouard Goerg]], [[André Dignimont]] et [[Yves Brayer]], {{nobr|326 exemplaires}} numérotés, Compagnie française des arts graphiques, 1943.
* [[Virgile]] (traduction de [[Michel de Marolles]]), ''Les [[Géorgiques]]'', 2 volumes, 119 eaux-fortes originales d'André Dunoyer de Segonzac, 250 exemplaires numérotés sur vélin d'Arches, les 50 premiers enrichis de la suite de 119 eaux-fortes sur vélin de Rives, sous serpente en un 3{{e}} volume signé au colophon par l'artiste, aux dépens de l'artiste, Imprimerie nationale, 1944-1947. Aimée Lioré et Pierre Cailler disent cet ouvrage comme étant {{citation|le plus important de ceux qu'a illustré André Dunoyer de Segonzac et un des plus beaux et des plus recherchés parmi les livres illustrés modernes}}<ref name="AIM"/>. {{citation|Un des chefs-d'œuvre de la bibliophilie moderne}} confirme le ''''Dictionnaire universel de la peinture''<ref name="ROB"/>.
* [[Virgile]] (traduction de [[Michel de Marolles]]), ''Les [[Géorgiques]]'', {{nobr|2 volumes}}, {{nobr|119 eaux}}-fortes originales d'André Dunoyer de Segonzac, {{nobr|250 exemplaires}} numérotés sur vélin d'Arches, les 50 premiers enrichis de la suite de {{nobr|119 eaux}}-fortes sur vélin de Rives, sous serpente en un {{3e|volume}} signé au colophon par l'artiste, aux dépens de l'artiste, Imprimerie nationale, 1944-1947. Aimée Lioré et Pierre Cailler disent cet ouvrage comme étant {{citation|le plus important de ceux qu'a illustré André Dunoyer de Segonzac et un des plus beaux et des plus recherchés parmi les livres illustrés modernes}}<ref name="AIM"/>. {{citation|Un des chefs-d'œuvre de la bibliophilie moderne}} confirme le ''''Dictionnaire universel de la peinture''<ref name="ROB"/>.
* André Guilmin (présentation de [[Raymond Escholier]]), ''À la manière de…'', 20 planches couleurs par [[Gus Bofa]], [[Hermine David]], [[André Dignimont]], André Dunoyer de Segonzac, [[Chas Laborde]], [[Jean-Émile Laboureur]], [[Mariette Lydis]], [[Berthold Mahn]], imprimerie Besson, Grenoble, 1945.
* [[André Gide]], ''Poétique'', portrait d'André Gide en frontispice par André Dunoyer de Segonzac, Ides et Calendes, Paris, 1948.
* [[Jean Verrier]] (préfaces de [[Léo Larguier]] et Charles Lochmann), '' [[Saint-Germain-des-Prés, carrefour des lettres et des arts'', illustrations d'André Dunoyer de Segonzac, éditions du Comité de la Quinzaine de Saint-Germaion-des-Prés, Paris, 1950.
* [[André Gide]], ''Poétique'', portrait d'André Gide, eau-forte en frontispice par André Dunoyer de Segonzac, Ides et Calendes, Paris, 1948.
* [[André Gide]], ''Poésie - Journal - Souvenirs'', 2 volumes, frontispice (plume et lavis) par André Dunoyer de Segonzac, 59 aquarelles ou gouaches par [[Pierre Berger]], [[Yves Brayer]], [[Maurice Brianchon]], [[Roger Chapelain-Midy]], [[Pierre-Eugène Clairin]], [[Antoni Clavé]], [[Lucien Fontanarosa]], [[Emili Grau i Sala|Émile Grau-Sala]], [[André Jordan]], [[Élie Lascaux]], [[Roland Oudot]], Francis Savel, André Dunoyer de Segonzac et [[Jacques Thévenet]], Gallimard, Paris, 1952.
* [[Jean Verrier]] (préfaces de [[Léo Larguier]] et Charles Lochmann), '' [[Quartier Saint-Germain-des-Prés|Saint-Germain-des-Prés]], carrefour des lettres et des arts'', illustrations d'André Dunoyer de Segonzac, éditions du Comité de la Quinzaine de Saint-Germaion-des-Prés, Paris, 1950.
* [[André Gide]], ''Poésie - Journal - Souvenirs'', 2 volumes, frontispice (plume et lavis) par André Dunoyer de Segonzac, {{nobr|59 aquarelles}} ou gouaches par Pierre Berge, [[Yves Brayer]], [[Maurice Brianchon]], [[Roger Chapelain-Midy]], [[Pierre-Eugène Clairin]], [[Antoni Clavé]], [[Lucien Fontanarosa]], [[Emili Grau i Sala|Émile Grau-Sala]], [[André Jordan]], [[Élie Lascaux]], [[Roland Oudot]], Francis Savel, André Dunoyer de Segonzac et [[Jacques Thévenet]], Gallimard, Paris, 1952.
* [[Pierre Ronsard]], ''Quelques sonnets'', 51 eaux-fortes d'André Dunoyer de Segonzac, 210 exemplaires numérotés, chez l'artiste, 1955.
* [[Pierre Brisson]], ''Le lierre'', {{nobr|28 eaux}}-fortes d'André Dunoyer de Segonzac, {{nobr|99 exemplaires}} numérotés, A. Sauret, Paris, 1953.
* [[Jean Giraudoux]], ''Le Sport'',15 eaux-fortes in-texte dont vignette de titre d'André Dunoyer de Segonzac, éditions d'Auteuil, Boulogne-sur-Seine, 1962.
* [[Pierre Ronsard]], ''Quelques sonnets'', {{nobr|51 eaux}}-fortes d'André Dunoyer de Segonzac, {{nobr|210 exemplaires}} numérotés, chez l'artiste, 1955.
* [[Jehan Despert]], ''Psaume selon ma Seine-et-Oise'', illustrations d'André Dunoyer de Segonzac, éditions Subervie, Rodez, 1964.
* [[Jean Giraudoux]], ''Le Sport'', {{nobr|15 eaux}}-fortes in-texte dont vignette de titre d'André Dunoyer de Segonzac, éditions d'Auteuil, Boulogne-sur-Seine, 1962.
* [[Paul Geraldy]], ''Vous qui passez…'', illustrations d'André Dunoyer de Segonzac, Stock, Paris, 1967.
* [[Jehan Despert]], ''Psaume selon ma Seine-et-Oise'', gravure d'André Dunoyer de Segonzac, éditions Subervie, Rodez, 1964.
* [[René Héron de Villefosse]], ''L'[[Île-de-France]]'', illustrations d'André Dunoyer de Segonzac, éditions [[Pierre de Tartas]], Paris, 1966.
* ''Vingt [[fables de La Fontaine]]'' (sous la direction de [[Jean Cassou]], au profit de la [[Croix-Rouge française]]), lithographies originales par [[Yves Alix (artiste)|Yves Alix]], [[Alexander Calder]], Cassandre, [[Jules Cavaillès]], [[Antoni Clavé]], [[Paul Colin (affichiste)|Paul Colin]], [[Lucien Coutaud]], [[Salvador Dali]], [[Hermine David]], André Dunoyer de Segonzac, [[Valentine Hugo]], [[Félix Labisse]], [[Jacques Lagrange (peintre)|Jacques Lagrange]], [[André Marchand]], [[Édouard Pignon]], [[Dom Robert]], [[Georges Rohner]], [[Marc Saint-Saëns]] et [[Louis Touchagues]], {{nobr|41 exemplaires}} numérotés, éditions C. de Acevedo, 1961.
* [[Paul Géraldy]], ''Vous qui passez…'', frontispice d'André Dunoyer de Segonzac, Stock, Paris, 1967.
* [[Maurice Genevoix]] (préface de [[Joseph Kessel]]), ''Les éparges'', illustrations d'André Dunoyer de Segonzac, éditions Rombaldi, Paris, 1967.
* [[Maurice Genevoix]] (préface de [[Joseph Kessel]]), ''Les éparges'', illustrations d'André Dunoyer de Segonzac, éditions Rombaldi, Paris, 1967.
* André Dunoyer de Segonzac (préface de [[Claude Roger-Marx]]), ''huit lithographies en couleurs d'après les œuvres de la collection [[Pierre Lévy (industriel)|Pierre Lévy]]'', vol.2 de la série de portfolios « Collection Pierre Lévy », 600 exemplaires numérotés sur papier vélin d'Arches, [[Fernand Mourlot]] éditeur, 1967.
* André Dunoyer de Segonzac (préface de [[Claude Roger-Marx]]), ''huit lithographies en couleurs d'après les œuvres de la collection [[Pierre Lévy (industriel)|Pierre Lévy]]'', vol.2 de la série de portfolios « Collection Pierre Lévy », {{nobr|600 exemplaires}} numérotés sur papier vélin d'Arches, [[Fernand Mourlot]] éditeur, 1967.
* [[André Maurois]], ''Œuvres'', 5 volumes, illustrations d'André Dunoyer de Segonzac, [[Gabriel Dauchot]], [[Louis Touchagues]], [[Emili Grau i Sala|Émile Grau-Sala]], éditions Rombaldi, 1969.
* [[Jean Giono]], ''Œuvres'', {{nobr|10 volumes}}, illustrations hors-texte de [[Louis Berthomme Saint-André]], [[Alain Bonnefoit]], [[Maurice Boitel]], [[Jacques Van den Bussche]], Jannick Caron, [[Jean Carzou]], [[Jean Cluseau-Lanauve]], [[Jean Commère]], André Dunoyer de Segonzac, Jean Le Guennec, [[Charles Guillaud]], [[Pierre Lelong (peintre)|Pierre Lelong]], Daniel Lourradour, [[Serge Markó]], [[Jacques Pecnard]], [[Gaston Sébire]], Aimé-Daniel Steinlen et Jean-Baptiste Valadié, {{nombre|1750|exemplaires}} numérotés, Pierre de Tartas / Gallimard, 1975-1975.


=== Décors de théâtre ===
=== Décors de théâtre ===
* [[Maurice de Faramond]], ''Nabuchodonosor'', pièce en un acte, décors d'André Dunoyer de Segonzac, costumes de [[Paul Poiret]], [[Théâtre Hébertot|théâtre des Arts]], Paris, 1911<ref> « La semaine théâtrale », ''Le Monde artiste'', 5 février 1911.</ref>.
* [[Maurice de Faramond]], ''Nabuchodonosor'', pièce en un acte, décors d'André Dunoyer de Segonzac, costumes de [[Paul Poiret]], [[Théâtre Hébertot|théâtre des Arts]], Paris, 1911<ref>« La semaine théâtrale », ''Le Monde artiste'', {{date-|5 février 1911}}.</ref>.
* [[Henry Bernstein]], ''Le Messager'', pièce en un acte, décors d'André Dunoyer de Segonzac, [[Théâtre du Gymnase Marie-Bell|théâtre du Gymnase]], 1933<ref name="BEN"/>.
* [[Henry Bernstein]], ''Le Messager'', pièce en un acte, décors d'André Dunoyer de Segonzac, [[Théâtre du Gymnase Marie-Bell|théâtre du Gymnase]], 1933<ref name="BEN"/>.

=== Cinéma ===
André Dunoyer de Segonzac joue son propre rôle dans ''[[Donne-moi tes yeux]]'', film de [[Sacha Guitry]] en 1943.


=== Écrits ===
=== Écrits ===
==== Auteur ====
* André Dunoyer de Segonzac, [[André Villeboeuf]], [[Louis Valdo-Barbey]] et [[Luc-Albert Moreau]], ''Boussingault par ses amis'', éditions du Vieux-Colombier, Paris, 1944.
* André Dunoyer de Segonzac, [[André Villeboeuf]], [[Louis Valdo-Barbey]] et [[Luc-Albert Moreau]], ''Boussingault par ses amis'', éditions du Vieux-Colombier, Paris, 1944.
==== Préfacier ====
* René Blaise et Sabine Gervais, ''[[Crécy-en-Brie]] et la vallée du Morin'', imprimerie Gruot et Bonne, Crécy-en-Brie, 1955.
* [[Paul Noël]], ''Au fil des jours'', Imprimerie nationale, Paris, 1959.
* [[Louis Süe]], ''Chefs-d'œuvre du {{s-|XX}} et de l'époque fauve'', musée de l'Annonciade, Saint-Tropez / Art et Style, Paris, 1959.
* Pierre Cailler, ''Catalogue raisonné de l'œuvre gravé et lithographié d'[[Aristide Maillol]]'', éditions Pierre Cailler, Genève, 1965.


André Dunoyer de Segonzac a également préfacé des catalogues d'expositions : ''[[René Durey]], [[André Planson]] (peintures) et [[Raymond Martin (sculpteur)|Raymond Martin]] (sculptures)'', [[Musée Galliera]], Paris, 1960 ; ''[[Guy-Pierre Fauconnet]]'', musée Alfred-Bonno, [[Chelles]], novembre-décembre 1960 (co-préfacé avec [[Jean Cocteau]] et Jacques Fauconnet) ; ''[[Jean Commère]]'', galerie David et Garnier, Paris, 1961 ; ''[[Jean Marchand (peintre)|Jean Marchand]]'', galerie René Drouet, Paris, 1961 ; ''[[Herbert Lespinasse]]'', Bibliothèque d'Art et d'Archéologie de l'Université de Paris, 1964 (co-préfacé avec [[Julien Cain]] et Suzanne Dameron, 1964 ; ''[[Henri de Toulouse-Lautrec|Toulouse-Lautrec]] - Elles'', galerie Berès, Paris, 1964 ; ''[[Yves Brayer]]'', galerie de Paris, Paris, 1965 (co-préfacé avec [[Gérard Bauër]]), ''[[Michel Ciry]]'', galerie Le Griffon, [[Lyon]], 1965 (co-préfacé avec [[François Mauriac]]) ; ''Hommage à [[André Warnod]]'', [[galerie Charpentier]], Paris, 1965 (co-préfacé avec [[Pierre Brisson]]).
* André Dunoyer de Segonzac a préfacé des catalogues d'expositions de ses amis artistes : [[Michel Ciry]], galerie Le Griffon, [[Lyon]], 1965 (co-préfacé avec [[François Mauriac]]).


== Collections publiques ==
== Collections publiques ==
=== {{Drapeau|Australie}} Australie ===
=== {{Drapeau|Australie}} Australie ===
* [[Adélaïde (Australie)|Adelaïde]], [[Art Gallery of South Australia]], ''La mêlée'', eau-forte, 1927.
* [[Adélaïde (Australie)|Adelaïde]], [[Art Gallery of South Australia]], ''La mêlée'', eau-forte, 1927.
* [[Melbourne]], [[National Gallery of Victoria]]<ref>[https://www.ngv.vic.gov.au/explore/collection/artist/4340/ National Gallery of Victoria, ''André Dunoyer de Segonzac dans les collections'']</ref>.
* [[Melbourne]], [[National Gallery of Victoria]]<ref>[https://www.ngv.vic.gov.au/explore/collection/artist/4340/ National Gallery of Victoria, ''André Dunoyer de Segonzac dans les collections''].</ref>.
* [[Sydney]], [[Galerie d'art de Nouvelle-Galles du Sud]], ''Deux femmes dans un bois'', gravure 21,6x8,6cm<ref>[https://www.artgallery.nsw.gov.au/collection/works/DO6.1966/ Galerie d'art de Nouvelle-Galles du Sud, ''André Dunoyer de Segonzac dans les collections'']</ref>.
* [[Sydney]], [[Galerie d'art de Nouvelle-Galles du Sud]], ''Deux femmes dans un bois'', gravure {{Dunité|21.6|8.6|cm}}<ref>[https://www.artgallery.nsw.gov.au/collection/works/DO6.1966/ Galerie d'art de Nouvelle-Galles du Sud, ''André Dunoyer de Segonzac dans les collections''].</ref>.
=== {{Drapeau|Canada}} Canada ===
=== {{Drapeau|Canada}} Canada ===
* [[Ottawa]], [[Musée des beaux-arts du Canada]]<ref>[https://www.beaux-arts.ca/collection/artiste/andre-dunoyer-de-segonzac Musée des beaux-arts du Canada, ''André Dunoyer de Segonzac dans les collections'']</ref> :
* [[Ottawa]], [[Musée des beaux-arts du Canada]]<ref>[https://www.beaux-arts.ca/collection/artiste/andre-dunoyer-de-segonzac Musée des beaux-arts du Canada, ''André Dunoyer de Segonzac dans les collections''].</ref> :
** ''Fernande, les mains croisées'', estampe.
** ''Fernande, les mains croisées'', estampe.
** ''La moissonneuse debout'', estampe.
** ''La moissonneuse debout'', estampe.
Ligne 148 : Ligne 182 :
* [[Copenhague]], [[Statens Museum for Kunst]].
* [[Copenhague]], [[Statens Museum for Kunst]].
=== {{USA-d}} États-Unis ===
=== {{USA-d}} États-Unis ===
{{colonnes|nombre=2|
{{Début de colonnes|taille=30|nombre=2}}
* [[Ann Arbor]], {{Lien|langue=en|fr=University of Michigan Museum of Art|texte=University of Michigan Museum of Art}}, ''Un blessé léger'', crayon 23x27,5cm, 1914-1918<ref>[https://exchange.umma.umich.edu/resources/29885/view University of Michigan Museum of Art, ''André Dunoyer de Segonzac dans les collections'']</ref>.
* [[Ann Arbor]], {{Lien|langue=en|trad=University of Michigan Museum of Art|fr=University of Michigan Museum of Art|texte=University of Michigan Museum of Art}}, ''Un blessé léger'', crayon {{Dunité|23|27.5|cm}}, 1914-1918<ref>[https://exchange.umma.umich.edu/resources/29885/view University of Michigan Museum of Art, ''André Dunoyer de Segonzac dans les collections''].</ref>.
* [[Bloomington (Indiana)]], [[musée d'Art de l'université de l'Indiana]].
* [[Bloomington (Indiana)]], [[musée d'Art de l'université de l'Indiana]].
* [[Boston]], [[musée des Beaux-Arts]], 119 eaux-fortes pour les ''[[Géorgiques ]]'' de [[Virgile]], 1944-1947.
* [[Boston]], [[Musée des Beaux-Arts (Boston)|musée des Beaux-Arts]], {{nobr|119 eaux}}-fortes pour les ''[[Géorgiques]] '' de [[Virgile]], 1944-1947.
* [[Cambridge (Massachusetts)]], [[Fogg Art Museum]], ''Caricature de Paul Signac'', dessin, vers 1920<ref name="SIG">[https://harvardartmuseums.org/collections/object/295882 Fogg Art Museum, ''"Caricature de Paul Signac" dans les collections'']</ref>.
* [[Cambridge (Massachusetts)]], [[Fogg Art Museum]], ''Caricature de Paul Signac'', dessin, vers 1920<ref name="SIG">[https://harvardartmuseums.org/collections/object/295882 Fogg Art Museum, ''"Caricature de Paul Signac" dans les collections''].</ref>.
* [[Chicago]], [[Art Institute of Chicago]], donation {{Lien|langue=en|fr=Arthur Jerome Eddy|texte=Arthur Jerome Eddy}}<ref name="VAL"/>.
* [[Chicago]], [[Art Institute of Chicago]], donation {{Lien|langue=en|trad=Arthur Jerome Eddy|fr=Arthur Jerome Eddy|texte=Arthur Jerome Eddy}}<ref name="VAL"/>.
* [[Colombus (Ohio)]], [[Columbus Museum of Art]], ''Notre-Dame de Paris'', huile sur toile, 1913.
* [[Colombus (Ohio)]], [[Columbus Museum of Art]], ''Notre-Dame de Paris'', huile sur toile, 1913.
* [[Détroit (Michigan)]], [[Detroit Institute of Arts]].
* [[Détroit (Michigan)]], [[Detroit Institute of Arts]].
* [[Flint (Michigan)]], {{Lien|langue=en|fr=Flint Institute of Arts|texte=Flint Institute of Arts}}, donation Arthur Jérome Eddy<ref name="VAL"/>.
* [[Flint (Michigan)]], {{Lien|langue=en|trad=Flint Institute of Arts|fr=Flint Institute of Arts|texte=Flint Institute of Arts}}, donation Arthur Jérome Eddy<ref name="VAL"/>.
* [[Hanover (New Hampshire)]], [[Hood Museum of Art]].
* [[Hanover (New Hampshire)]], [[Hood Museum of Art]].
* [[Kansas City]], [[musée d'art Nelson-Atkins]], ''Sur le quai'', gravure 16,2x11,4cm<ref>[https://art.nelson-atkins.org/objects/16692/sur-la-quai?ctx=b25bbe84-de2b-4598-9b31-0b6049d3ca5a&idx=0 Musée d'art Nelson-Atkins, ''André Dunoyer de Segonzac dans les collections'']</ref>.
* [[Kansas City (Missouri)|Kansas City]], [[musée d'art Nelson-Atkins]], ''Sur le quai'', gravure {{Dunité|16.2|11.4|cm}}<ref>[https://art.nelson-atkins.org/objects/16692/sur-la-quai?ctx=b25bbe84-de2b-4598-9b31-0b6049d3ca5a&idx=0 Musée d'art Nelson-Atkins, ''André Dunoyer de Segonzac dans les collections''].</ref>.
* [[Los Angeles]], [[musée Hammer]], [[Université de Californie à Los Angeles|Université de Californie]] :
* [[Los Angeles]], [[musée Hammer]], [[Université de Californie à Los Angeles|Université de Californie]] :
** ''Fernande'', [[pointe-sèche]] 11,3x12,1cm, 1921<ref>[https://hammer.ucla.edu/collections/grunwald-center-collection/loss-and-restitution-the-story-of-the-grunwald-family-collection/art/art/fernande-medium-plate Musée Hammer, ''"Fernande" par André Dunoyer de Segonzac dans les collections'']</ref>.
** ''Fernande'', [[pointe-sèche]] {{Dunité|11.3|12.1|cm}}, 1921<ref>[https://hammer.ucla.edu/collections/grunwald-center-collection/loss-and-restitution-the-story-of-the-grunwald-family-collection/art/art/fernande-medium-plate Musée Hammer, ''"Fernande" par André Dunoyer de Segonzac dans les collections''].</ref>.
** ''Chêne-liège en hiver'', gravure 23,8x29,5cm, 1926<ref>[https://hammer.ucla.edu/collections/grunwald-center-collection/loss-and-restitution-the-story-of-the-grunwald-family-collection/art/art/cork-oak-in-winter Musée Hammer, '"Chêne-liège en hiver" par André Dunoyer de Segonzac'' dans les collections'']</ref>.
** ''Chêne-liège en hiver'', gravure {{Dunité|23.8|29.5|cm}}, 1926<ref>[https://hammer.ucla.edu/collections/grunwald-center-collection/loss-and-restitution-the-story-of-the-grunwald-family-collection/art/art/cork-oak-in-winter Musée Hammer, '"Chêne-liège en hiver" par André Dunoyer de Segonzac'' dans les collections''].</ref>.
* [[Memphis (Tennessee)]], {{Lien|langue=en|fr=Memphis Brooks Museum of Art|texte=Memphis Brooks Museum of Art}}.
* [[Memphis (Tennessee)]], {{Lien|langue=en|trad=Memphis Brooks Museum of Art|fr=Memphis Brooks Museum of Art|texte=Memphis Brooks Museum of Art}}.
* [[New York]] :
* [[New York]] :
** [[Metropolitan Museum of Art]] :
** [[Metropolitan Museum of Art]] :
*** ''Le bouquet'', aquarelle et encre 73,7x54cm, 1938<ref>[https://www.metmuseum.org/art/collection/search/489120?searchField-All&sort+By-Relevance&ft=André-Dunoyer+de+Segonzac&offset=0&rpp=20&pos=1 Metropolitan Museum of Art, ''"Le bouquet" dans les collections'']</ref>.
*** ''Le bouquet'', aquarelle et encre {{Dunité|73.7|54|cm}}, 1938<ref>[https://www.metmuseum.org/art/collection/search/489120?searchField-All&sort+By-Relevance&ft=André-Dunoyer+de+Segonzac&offset=0&rpp=20&pos=1 Metropolitan Museum of Art, ''"Le bouquet" dans les collections''].</ref>.
*** ''La bouteille de vin'', encre, aquarelle et gouache 55,2x77,8cm, 1955-1960<ref>[https://www.metmuseum.org/art/collection/search/460106 Metropolitan Museum of Art, ''"La bouteille de vin" dans les collections'']</ref>.
*** ''La bouteille de vin'', encre, aquarelle et gouache {{Dunité|55.2|77.8|cm}}, 1955-1960<ref>[https://www.metmuseum.org/art/collection/search/460106 Metropolitan Museum of Art, ''"La bouteille de vin" dans les collections''].</ref>.
** [[Museum of Modern Art]], 19 œuvres<ref>[https://www.moma.org/artists/5318 Museum of Modern Art, ''André Dunoyer de Segonzac dans les collections'']</ref>.
** [[Museum of Modern Art]], {{nobr|19 œuvres}}<ref>[https://www.moma.org/artists/5318 Museum of Modern Art, ''André Dunoyer de Segonzac dans les collections''].</ref>.
* [[Norman (Oklahoma)]], {{Lien|langue=en|fr=Fred Jones Jr. Museum of Art|texte=Fred Jones Jr. Museum of Art}}, ''Nature morte'', aquarelle (ancienne collection Aaron Weitzenhoffer)<ref>[https://www.ou.edu/fjjma/collections0/featured-collections/WeitzenhofferCollection1/Segonzac_StillLife Fred Jones Jr. Museum of Art, ''André Dunoyer de Segonzac dans les collections'']</ref>.
* [[Norman (Oklahoma)]], {{Lien|langue=en|trad=Fred Jones Jr. Museum of Art|fr=Fred Jones Jr. Museum of Art|texte=Fred Jones Jr. Museum of Art}}, ''Nature morte'', aquarelle (ancienne collection Aaron Weitzenhoffer)<ref>[https://www.ou.edu/fjjma/collections0/featured-collections/WeitzenhofferCollection1/Segonzac_StillLife Fred Jones Jr. Museum of Art, ''André Dunoyer de Segonzac dans les collections''].</ref>.
* [[Philadelphie]], [[Philadelphia Museum of Art]], ''Sur la table'', huile sur toile 33,7x80cm, 1926<ref>[https://philamuseum.org/collection/object/52049 Philadelphia Museum of Art, ''André Dunoyer de Segonzac dans les collections'']</ref>.
* [[Philadelphie]], [[Philadelphia Museum of Art]], ''Sur la table'', huile sur toile {{Dunité|33.7|80|cm}}, 1926<ref>[https://philamuseum.org/collection/object/52049 Philadelphia Museum of Art, ''André Dunoyer de Segonzac dans les collections''].</ref>.
* [[Saint-Louis (Missouri)]], {{Lien|langue=en|fr=Mildred Lane Kemper Art Museum|texte=Mildred Lane Kemper Art Museum}}, ''Paysage à la rivière'', gravure<ref>[https://www.kemperartmuseum.wustl.edu/collection/explore/artist/334 Mildred Lane Kemper Art Museum, ''André Dunoyer de Segonzac dans les collections'']</ref>.
* [[Saint-Louis (Missouri)]], {{Lien|langue=en|trad=Mildred Lane Kemper Art Museum|fr=Mildred Lane Kemper Art Museum|texte=Mildred Lane Kemper Art Museum}}, ''Paysage à la rivière'', gravure<ref>[https://www.kemperartmuseum.wustl.edu/collection/explore/artist/334 Mildred Lane Kemper Art Museum, ''André Dunoyer de Segonzac dans les collections''].</ref>.
* [[San Francisco]], [[Musée des Beaux-Arts de San Francisco|musée des Beaux-Arts]] :
* [[San Francisco]], [[Musée des Beaux-Arts de San Francisco|musée des Beaux-Arts]] :
** ''Le gros chêne à [[Chaville]]'', gravure 18,6x21,9cm, 1924<ref>[https://art.famsf.org/andré-dunoyer-de-segonzac/le-gros-chene-chaville-1961642 Musée des Beaux-Arts de San Francisco, ''"Le gros chêne à Chaville" dans les collections]</ref>.
** ''Le gros chêne à [[Chaville]]'', gravure {{Dunité|18.6|21.9|cm}}, 1924<ref>[https://art.famsf.org/andré-dunoyer-de-segonzac/le-gros-chene-chaville-1961642 Musée des Beaux-Arts de San Francisco, ''"Le gros chêne à Chaville"'' dans les collections].</ref>.
** ''Un puits ancien'', gravure 29,1x24,4cm<ref>[https://art.famsf.org/andré-dunoyer-de-segonzac/un-puits-ancien-19761461 Musée des Beaux-Arts de San Francisco, ''"Un puits ancien" dans les collections'']</ref>.
** ''Un puits ancien'', gravure {{Dunité|29.1|24.4|cm}}<ref>[https://art.famsf.org/andré-dunoyer-de-segonzac/un-puits-ancien-19761461 Musée des Beaux-Arts de San Francisco, ''"Un puits ancien" dans les collections''].</ref>.
* [[Washington (district de Columbia)|Washington]] :
* [[Washington (district de Columbia)|Washington]] :
** {{Lien|langue=en|fr=Georgetown University Library|texte=Georgetown University Library Art Collection}} :
** {{Lien|langue=en|trad=Georgetown University Library|fr=Georgetown University Library|texte=Georgetown University Library Art Collection}} :
*** ''Football'', gravure à la pointe-sèche.
*** ''Football'', gravure à la pointe-sèche.
*** ''Versailles - Les grands peupliers'', gravure.
*** ''Versailles - Les grands peupliers'', gravure.
** [[National Gallery of Art]], 30 œuvres<ref>[https://www.nga.gov/collection/artist-info.2739.html National Gallery of Art, ''André Dunoyer de Segonzac dans les collections'']</ref>.
** [[National Gallery of Art]], {{nobr|30 œuvres}}<ref>[https://www.nga.gov/collection/artist-info.2739.html National Gallery of Art, ''André Dunoyer de Segonzac dans les collections''].</ref>.
** [[National Portrait Gallery (États-Unis)|National Portrait Gallery]], ''Isadora Duncan'', encre sur papier 42,5x25cm<ref name="NPG">[https://npg.si.edu/object/npg_1951-7-14-12 National Portrait Gallery, ''"Isadora Duncan" par André Dunoyer de Segonzac dans les collections'']</ref>.
** [[National Portrait Gallery (États-Unis)|National Portrait Gallery]], ''Isadora Duncan'', encre sur papier {{Dunité|42.5|25|cm}}<ref name="NPG">[https://npg.si.edu/object/npg_1951-7-14-12 National Portrait Gallery, ''"Isadora Duncan" par André Dunoyer de Segonzac dans les collections''].</ref>.
** [[The Phillips Collection]], donation Jean Goriany<ref>[https://www.phillipscollection.org/collection/isadora-duncan The Phillips Collection, ''André Dunoyer de Segonzac dans les collections'']</ref> :
** [[The Phillips Collection]], donation Jean Goriany<ref>[https://www.phillipscollection.org/collection/isadora-duncan The Phillips Collection, ''André Dunoyer de Segonzac dans les collections''].</ref> :
*** ''L'hôpital'', dessin à l'encre 26x42,5cm.
*** ''L'hôpital'', dessin à l'encre {{Dunité|26|42.5|cm}}.
*** ''Isadora Duncan'', 4 dessins à l'encre 43,2x26,3cm, 41,9x26,7cm, 26,7x42,9cm, 28,6x25,4cm.
*** ''Isadora Duncan'', 4 dessins à l'encre {{Dunité|43.2|26.3|cm}}, {{Dunité|41.9|26.7|cm}}, {{Dunité|26.7|42.9|cm}}, {{Dunité|28.6|25.4|cm}}.
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=== {{FRA-d}} France ===
=== {{FRA-d}} France ===
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* [[Aix-en-Provence]], Fondation [[Saint-John Perse]]<ref>[http://fondationsaintjohnperse.fr/les-collections/les-collections-patrimoniales/ Fondation Saint-John Perse, ''présentation des collections''].</ref>.
* [[Albi]], [[musée Toulouse-Lautrec]], ''Le golfe'', aquarelle<ref name="BEN"> Jacques Busse, « André Dunoyer de Segonzac », ''Dictionnaire Bénézit'', Gründ, 1999, vol.4, {{pp.|867-869}}}.</ref>.
* [[Albi]], [[musée Toulouse-Lautrec]], ''Le golfe'', aquarelle<ref name="BEN">Jacques Busse, « André Dunoyer de Segonzac », ''Dictionnaire Bénézit'', Gründ, 1999, vol.4, {{pp.|867-869}}.</ref>.
* [[Argentan]], [[musée Fernand Léger - André Mare]].
* [[Argentan]], [[musée Fernand Léger - André Mare]].
* [[Bagnols-sur-Cèze]], [[musée Albert-André]], ''L'église'', dessin<ref name="BEN"/>.
* [[Bagnols-sur-Cèze]], [[musée Albert-André]], ''L'église'', dessin<ref name="BEN"/>.
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* [[Épinal]], [[musée départemental des Vosges]], ''Maison à l'arbre abattu''<ref name="BEN"/>.
* [[Épinal]], [[musée départemental des Vosges]], ''Maison à l'arbre abattu''<ref name="BEN"/>.
* [[Grenoble]], [[Musée de Grenoble|musée de Peinture et de Sculpture]]<ref name="BEN"/> :
* [[Grenoble]], [[Musée de Grenoble|musée de Peinture et de Sculpture]]<ref name="BEN"/> :
** ''Paysage de Saint-Tropez'', huile sur toile 63,5x1125cm, 1927<ref>[https://www.museedegrenoble.fr/oeuvre/4030/1922-paysage-de-saint-tropez.htm Musée de Grenoble, ''"Paysage de Saint-Tropez" dans les collections'']</ref>.
** ''Paysage de Saint-Tropez'', huile sur toile {{Dunité|63.5|1125|cm}}, 1927<ref>[https://www.museedegrenoble.fr/oeuvre/4030/1922-paysage-de-saint-tropez.htm Musée de Grenoble, ''"Paysage de Saint-Tropez" dans les collections''].</ref>.
** ''L'église'', dessin et aquarelle.
** ''L'église'', dessin et aquarelle.
* [[La Rochelle]], [[Musée des Beaux-Arts de La Rochelle|musée des Beaux-Arts]].
* [[La Rochelle]], [[Musée des Beaux-Arts de La Rochelle|musée des Beaux-Arts]].
* [[Le Havre]], [[musée d'Art moderne André-Malraux]], ''Tête de femme'', encre de Chine {{Dunité|17.5|27|cm}} (ancienne collection Édouard Senn, donation Hélène Senn-Foulds)<ref name="HAV"/>.
* [[Lille]], [[Palais des Beaux-Arts de Lille|palais des Beaux-Arts]], ''La côtelette'', 1933<ref name="BEN"/>.
* [[Lille]], [[Palais des Beaux-Arts de Lille|palais des Beaux-Arts]], ''La côtelette'', 1933<ref name="BEN"/>.
* [[Lyon]], [[Musée des Beaux-Arts de Lyon|musée des Beaux-Arts]], ''Vue de [[Saint-Tropez]], aquarelle<ref name="BEN"/>.
* [[Lyon]], [[Musée des Beaux-Arts de Lyon|musée des Beaux-Arts]], ''Vue de [[Saint-Tropez]]'', aquarelle<ref name="BEN"/>.
* [[Meudon]], [[Musée d'Art et d'Histoire de Meudon|musée d'Art et d'Histoire]].
* [[Meudon]], [[Musée d'Art et d'Histoire de Meudon|musée d'Art et d'Histoire]].
* [[Montpellier]], bibliothèque municipale, donation Frédéric Sabatier d'Espeyran<ref>[https://bbf.enssib.fr/consulter/bbf-1967-12-0427-001 Jacques Guignard, « À propos de la collection Frédéric Sabatier d'Espeyran : les livres d'art modernes dans les bibliothèques municipales », ''Bulletin des bibliothèques de France'', décembre 1967].</ref>{{,}}<ref name="OEI">Françoise Mourgue-Molines, « La collection Sabatier d'Espeyran », ''[[L'Œil]]'', juillet-août 1992, {{pp.|48-53}}.</ref>{{,}}<ref>[https://bbf.enssib.fr/consulter/bbf-1997-02-0036-006 Gilles Guion de Vallerin, « La bibliophilie contemporaine : un pôle d'excellence à Montpellier », ''Bulletin des bibliothèques de France'', février 1997].</ref>.
* [[Nanterre]], [[La Contemporaine]] - Bibliothèque, archives, musée des mondes contemporains, ex-BDIC et ex-musée des deux Guerres, 56 dessins et aquarelles de guerre signalés en ligne <ref name="BEN"/>{{,}}<ref>Voir sur la base [http://www.calames.abes.fr/pub/lacontemporaine.aspx#details?id=Calames-202111101711543561 Calames]</ref>
* Paris :
* Paris :
** [[Bibliothèque nationale de France]].
** [[Département des estampes et de la photographie de la Bibliothèque nationale de France]]<ref name="JVR"/>.
** [[musée d'art moderne de la ville de Paris]] :
** [[musée d'art moderne de la ville de Paris]] :
*** ''Nu couché'', huile sur toile, 1910<ref name="BEN"/>.
*** ''Nu couché'', huile sur toile, 1910<ref name="BEN"/>.
*** ''Personnages'', huile sur toile, vers 1920<ref>[https://www.parismuseescollections.paris.fr/fr/musee-d-art-moderne/oeuvres/personnages-0#infos-principales Musée d'art moderne de la ville de Paris, ''"Personnages" dans les collections'']</ref>.
*** ''Personnages'', huile sur toile, vers 1920<ref>[https://www.parismuseescollections.paris.fr/fr/musee-d-art-moderne/oeuvres/personnages-0#infos-principales Musée d'art moderne de la ville de Paris, ''"Personnages" dans les collections''].</ref>.
** musée des Deux Guerres, dessins et aquarelles de guerre<ref name="BEN"/>.
** musée des Deux Guerres (autrefois Vincennes, puis Invalides): aujourd'hui partie de La Contemporaine, Nanterre (voir plus haut).
** [[musée du Louvre]] (cabinet des dessins, département des arts graphiques), ''Les Baliveaux et une vallée où l'on distingue des maisons'', dessin<ref>[https://collections.louvre.fr/en/ark:/5355/cl020031237 Musée du Louvre, ''André Dunoyer de Segonzac dans les collections'']</ref>.
** [[musée du Louvre]] (cabinet des dessins, département des arts graphiques) :
*** ''Les Baliveaux et une vallée où l'on distingue des maisons'', dessin<ref>[https://collections.louvre.fr/en/ark:/5355/cl020031237 Musée du Louvre, ''"Les Baliveaux et une vallée où l'on distingue des maisons" dans les collections''].</ref>.
** [[musée national d'art moderne]]<ref>[https://www.centrepompidou.fr/fr/ressources/personne/cEnngGX Centre Pompidou, ''André Dunoyer de Segonzac dans les collections'']</ref>.
*** ''[[Marcel Proust]] sur son lit de mort'', encre sur Bristol {{Dunité|31.7|48.4|cm}} (ancienne collection [[Claude Roger-Marx]])<ref name="PRO">>[https://collections.louvre.fr/en/ark:/53355/cl020038680 Musée du Louvre, ''"Marcel Proust sur son lit de mort" dans les collections''].</ref>.
** [[musée national d'Art moderne]]<ref>[https://www.centrepompidou.fr/fr/ressources/personne/cEnngGX Centre Pompidou, ''André Dunoyer de Segonzac dans les collections''].</ref>.
* [[Rodez]], [[musée des Beaux-Arts Denys-Puech]], ''Nu assis'', dessin, 1939<ref name="BEN"/>.
* [[Rodez]], [[musée des Beaux-Arts Denys-Puech]], ''Nu assis'', dessin, 1939<ref name="BEN"/>.
* [[Les Sables-d'Olonne]], [[Musée Sainte-Croix des Sables-d'Olonne|Musée de l'Abbaye Sainte-Croix]].
* [[Les Sables-d'Olonne]], [[Musée Sainte-Croix des Sables-d'Olonne|Musée de l'Abbaye Sainte-Croix]].
* [[Saint-Claude (Jura)]], [[Musée de l'Abbaye (Saint-Claude)|musée de l'abbaye]], 3 eaux-fortes (donation [[René Genis]])<ref>[http://museedelabbaye.fr/musee/artiste-36-andre-dunoyer-de-segonzac.html Musée de l'abbaye de Saint-Claude, ''André Dunoyer de Segonzac dans les collections'']</ref> :
* [[Saint-Claude (Jura)]], [[Musée de l'Abbaye (Saint-Claude)|musée de l'abbaye]], {{nobr|3 eaux}}-fortes (donation [[René Genis]])<ref>[http://museedelabbaye.fr/musee/artiste-36-andre-dunoyer-de-segonzac.html Musée de l'abbaye de Saint-Claude, ''André Dunoyer de Segonzac dans les collections''].</ref> :
** ''[[Colette]] et sa chienne Souci'', 26,5x22cm.
** ''[[Colette]] et sa chienne Souci'', {{Dunité|26.5|22|cm}}.
** ''Paysage de Provence'', 41,5x32,5cm.
** ''Paysage de Provence'', {{Dunité|41.5|32.5|cm}}.
** ''Paysage'', 24x29cm, 1958.
** ''Paysage'', {{Dunité|24|29|cm}}, 1958.
* [[Saint-Tropez]], [[musée de l'Annonciade]].
* [[Saint-Tropez]], [[musée de l'Annonciade]].
* [[Sceaux]], [[Musée du Domaine départemental de Sceaux|musée du Domaine départemental]].
* [[Sceaux (Hauts-de-Seine)|Sceaux]], [[Musée du Domaine départemental de Sceaux|musée du Domaine départemental]].
* [[Strasbourg]], [[musée des Beaux-Arts de Strasbourg|Musée des Beaux-Arts]]<ref name="BEN"/> :
* [[Strasbourg]], [[musée des Beaux-Arts de Strasbourg|Musée des Beaux-Arts]]<ref name="BEN"/> :
** ''Paysage d'Île-de-France'', aquarelle.
** ''Paysage d'Île-de-France'', aquarelle.
** ''La fleur au fusil'', dessin, 1914-1918.
** ''La fleur au fusil'', dessin, 1914-1918.
* [[Toulouse]], [[musée des arts précieux Paul-Dupuy]] :
* [[Toulouse]], [[musée des arts précieux Paul-Dupuy]] :
** ''Le soldat blessé à [[Noyon]]'', plume 14,4x22,4cm, 19117<ref>[https://musees-occitanie.fr/oeuvre/le-soldat-blesse/ Musée des arts précieux Paul-Dupuy, ''"Le soldat blessé" dans les collections'']</ref>.
** ''Le soldat blessé à [[Noyon]]'', plume {{Dunité|14.4|22.4|cm}}, 19117<ref>[https://musees-occitanie.fr/oeuvre/le-soldat-blesse/ Musée des arts précieux Paul-Dupuy, ''"Le soldat blessé" dans les collections''].</ref>.
** ''Dans les tranchées'', plume et lavis 25,6x18,7cm<ref>[https://musees-occitanie.fr/oeuvre/dans-les-tranchee/ Musée des arts précieux Paul-Dupuy, ''"Dans les tranchées" dans les collections'']</ref>.
** ''Dans les tranchées'', plume et lavis {{Dunité|25.6|18.7|cm}}<ref>[https://musees-occitanie.fr/oeuvre/dans-les-tranchee/ Musée des arts précieux Paul-Dupuy, ''"Dans les tranchées" dans les collections''].</ref>.
* [[Troyes]], [[Musée d'Art moderne de Troyes|musée d'art moderne]] : donation [[Pierre Lévy (industriel)|Pierre Lévy]]<ref name="DON"/> :
* [[Troyes]], [[Musée d'Art moderne de Troyes|musée d'art moderne]] : donation [[Pierre Lévy (industriel)|Pierre Lévy]]<ref name="DON"/> :
** ''Paysage à la petite route à [[Périgny]]'', huile sur toile 60x92cm, 1912-1913.
** ''Paysage à la petite route à [[Périgny (Val-de-Marne)|Périgny]]'', huile sur toile {{Dunité|60|92|cm}}, 1912-1913.
** ''Les dormeuses'', huile sur toile 50x100cm, 1922-1924.
** ''Les dormeuses'', huile sur toile {{Dunité|50|100|cm}}, 1922-1924.
** ''Étude pour les canotiers'', huile sur toile 61x92cm, vers 1923.
** ''Étude pour les canotiers'', huile sur toile {{Dunité|61|92|cm}}, vers 1923.
** ''Paysage à [[Villepreux]], huile sur toile 72x90cm, vers 1920-1925.
** ''Paysage à [[Villepreux]]'', huile sur toile {{Dunité|72|90|cm}}, vers 1920-1925.
** ''Nature morte, fleurs, pain et chapeau'', huile sur toile 101x81cm, 1933 (tableau présenté sous le titre ''Le pain et le vin'' dans l'exposition ''Dunoyer de Segonzac'', galerie Durand-Ruel, Paris, 1972.
** ''Nature morte, fleurs, pain et chapeau'', huile sur toile {{Dunité|101|81|cm}}, 1933 (tableau présenté sous le titre ''Le pain et le vin'' dans l'exposition ''Dunoyer de Segonzac'', galerie Durand-Ruel, Paris, 1972.
** ''Nature morte au panier'', huile sur toile 100x81cm, 1936.
** ''Nature morte au panier'', huile sur toile {{Dunité|100|81|cm}}, 1936.
** ''La baie de Saint-Tropez'', encre de chine et lavis 55,5x76cm,
** ''La baie de Saint-Tropez'', encre de chine et lavis {{Dunité|55.5|76|cm}},
** ''Port de Saint-Tropez'' (étude pour ''La Treille Muscate'' de [[Colette]]), 26x32cm, 1928-1932.
** ''Port de Saint-Tropez'' (étude pour ''La Treille Muscate'' de [[Colette]]), {{Dunité|26|32|cm}}, 1928-1932.
** ''Paysage d'hiver (route de [[Lagny-sur-Marne]] à [[Annet-sur-Marne]]), plume et aquarelle 55,5x76cm, 1934.
** ''Paysage d'hiver (route de [[Lagny-sur-Marne]] à [[Annet-sur-Marne]])'', plume et aquarelle {{Dunité|55.5|76|cm}}, 1934.
** ''L'éveil du printemps'', (étude pour ''Les Géorgiques''), encre de Chine 32x26cm.
** ''L'éveil du printemps'', (étude pour ''Les Géorgiques''), encre de Chine {{Dunité|32|26|cm}}.
* [[Versailles]], [[musée Lambinet]] :
* [[Versailles]], [[musée Lambinet]] :
** ''L'escalier du Grand-Trianon vu du Grand-Canal'', aquarelle<ref name="BEN"/>.
** ''L'escalier du Grand-Trianon vu du Grand-Canal'', aquarelle<ref name="BEN"/>.
* ''La porte Saint-Antoine, Versailles'', aquarelle<ref name="LAM"/>.
* ''La porte Saint-Antoine, Versailles'', aquarelle<ref name="LAM"/>.
** Ensemble d'aquarelles et dessins sur Versailles (don d'André Dunoyer de Segonzac, 1963)<ref name="LAM"/>.
** Ensemble d'aquarelles et dessins sur Versailles (don d'André Dunoyer de Segonzac, 1963)<ref name="LAM"/>.
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=== {{Drapeau|Iran}} Iran ===
* [[Téhéran]], [[Musée d'Art contemporain de Téhéran|musée d'Art contemporain]]
=== {{Drapeau|Japon}} Japon ===
=== {{Drapeau|Japon}} Japon ===
* [[Hiroshima]], [[Musée d'Art de Hiroshima|musée de'Art]], ''Vue de [[Saint-Tropez]]'', aquarelle 56,8x77,8cm<ref>[https://www.hiroshima-museum.jp/en/collection/eu/segonzac.html Musée d'Art de Hiroshima, ''André Dunoyer de Segonzac dans les collections'']</ref>.
* [[Hiroshima]], [[Musée d'Art de Hiroshima|musée d'Art]], ''Vue de [[Saint-Tropez]]'', aquarelle {{Dunité|56.8|77.8|cm}}<ref>[https://www.hiroshima-museum.jp/en/collection/eu/segonzac.html Musée d'Art de Hiroshima, ''André Dunoyer de Segonzac dans les collections''].</ref>.
* [[Kurashiki]], [[Musée d'Art Ōhara]].
* [[Tokyo]] :
* [[Tokyo]] :
** [[musée Artizon]], ''Paysage'', aquarelle<ref>[https://www.artizon.museum/en/collection/creater/SEGONZAC,%20André%20Dunoyer%20de Musée Artizon, ''André Dunoyer de Segonzac dans les collections'']</ref>.
** [[musée Artizon]], ''Paysage'', aquarelle<ref>[https://www.artizon.museum/en/collection/creater/SEGONZAC,%20André%20Dunoyer%20de Musée Artizon, ''André Dunoyer de Segonzac dans les collections''].</ref>.
** [[Musée national de l'Art occidental]], ''Paysage à [[Guyancourt]]'', aquarelle et gouache, 1950<ref>[https://collection.nmwa.go.jp/en/D.1990-0007.html Musée national de l'art occidental, ''André Dunoyer de Segonzac dans les collections'']</ref>.
** [[Musée national de l'Art occidental]], ''Paysage à [[Guyancourt]]'', aquarelle et gouache, 1950<ref>[https://collection.nmwa.go.jp/en/D.1990-0007.html Musée national de l'art occidental, ''André Dunoyer de Segonzac dans les collections''].</ref>.


=== {{UK-d}} Royaume-Uni ===
=== {{UK-d}} Royaume-Uni ===
* [[Cambridge]], [[Fitzwilliam Museum]] :
* [[Cambridge]], [[Fitzwilliam Museum]] :
** ''Nature morte'', huile sur toile 48,5x62,9cm, 1920-1921<ref>[https://artuk.org/discover/artworks/still-life-4552/search/actor:dunoyer-de-segonzac-andre-18841974/page/1/view_as/grid Fitzwilliam Museum, ''"Nature morte" dans les collections]</ref>.
** ''Nature morte'', huile sur toile {{Dunité|48.5|62.9|cm}}, 1920-1921<ref>[https://artuk.org/discover/artworks/still-life-4552/search/actor:dunoyer-de-segonzac-andre-18841974/page/1/view_as/grid Fitzwilliam Museum, ''"Nature morte"'' dans les collections].</ref>.
** ''Paysages aux toits rouges'', huile sur toile 60,3x92,7cm, 1919-1920<ref>[https://artuk.org/discover/artworks/landscape-with-red-roofs-4551/search/actor:dunoyer-de-segonzac-andre-18841974/page/1/view_as/grid Fitzwilliam Museum, ''"Paysage aux toits rouges" dans les collections'']</ref>.
** ''Paysages aux toits rouges'', huile sur toile {{Dunité|60.3|92.7|cm}}, 1919-1920<ref>[https://artuk.org/discover/artworks/landscape-with-red-roofs-4551/search/actor:dunoyer-de-segonzac-andre-18841974/page/1/view_as/grid Fitzwilliam Museum, ''"Paysage aux toits rouges" dans les collections''].</ref>.
* [[Edimbourg]], [[Galerie nationale d'Écosse]].
* [[Londres]] :
* [[Londres]] :
** [[Palais de Buckingham]] ([[Royal Collection]]), ''Paysage au village'', aquarelle 105x126cm<ref name="ROY">[https://www.rct.uk/collection/453060/village-landscape Royal Collection Trust, ''André Dunoyer de Segonzac dans les collections'']</ref>.
** [[British Museum]], ''[[Isadora Duncan]] dansant'', dessin<ref>[https://www.britishmuseum.org/collection/object/P_1951-0714-12 British Museum, ''André Dunoyer de Segonzac dans les collections''].</ref>.
** [[Institut Courtauld]] : ''Nature morte aux œufs'', huile sur toile 55,3x38,2cm, 1929<ref>[https://artuk.org/discover/artworks/still-life-with-eggs-207126/search/actor:dunoyer-de-segonzac-andré-18841974/page/1/view_as/grid Institut Courtauld, ''"Nature morte aux œufs" dans les collections'']</ref>.
** [[Palais de Buckingham]] ([[Royal Collection]]), ''Paysage au village'', aquarelle {{Dunité|105|126|cm}}<ref name="ROY">[https://www.rct.uk/collection/453060/village-landscape Royal Collection Trust, ''André Dunoyer de Segonzac dans les collections''].</ref>.
** [[Institut Courtauld]] : ''Nature morte aux œufs'', huile sur toile {{Dunité|55.3|38.2|cm}}, 1929<ref>[https://artuk.org/discover/artworks/still-life-with-eggs-207126/search/actor:dunoyer-de-segonzac-andré-18841974/page/1/view_as/grid Institut Courtauld, ''"Nature morte aux œufs" dans les collections''].</ref>.
** [[Tate Modern]] :
** [[Tate Modern]] :
*** ''Nature morte au chou'', huile sur toile 73x92,1cm, 1919-1920<ref>[https://artuk.org/discover/artworks/still-life-with-a-cabbage-nature-morte-au-chou-198624/search/actor:dunoyer-de-segonzac-andre-18841974/page/1/view_as/grid Tate Modern, ''"Nature morte au chou" dans les collections'']</ref>.
*** ''Nature morte au chou'', huile sur toile {{Dunité|73|92.1|cm}}, 1919-1920<ref>[https://artuk.org/discover/artworks/still-life-with-a-cabbage-nature-morte-au-chou-198624/search/actor:dunoyer-de-segonzac-andre-18841974/page/1/view_as/grid Tate Modern, ''"Nature morte au chou" dans les collections''].</ref>.
*** ''Nu au journal'', huile sur toile 92,4x60cm, 1921<ref>[https://artuk.org/discover/artworks/nude-with-a-newspaper-nu-au-journal-198625/ Tate Modern, ''"Nu au journal" dans les collections'']</ref>.
*** ''Nu au journal'', huile sur toile {{Dunité|92.4|60|cm}}, 1921<ref>[https://artuk.org/discover/artworks/nude-with-a-newspaper-nu-au-journal-198625/ Tate Modern, ''"Nu au journal" dans les collections''].</ref>.
*** ''La ferme dans la terre'', huile sur toile 60x81cm, 1923<ref>[https://artuk.org/discover/artworks/the-farm-on-the-estate-la-ferme-dans-la-terre-198623/search/actor:dunoyer-de-segonzac-andre-18841974/page/1/view_as/grid Tate Modern, ''"La ferme dans la terre" dans les collections'']</ref>.
*** ''La ferme dans la terre'', huile sur toile {{Dunité|60|81|cm}}, 1923<ref>[https://artuk.org/discover/artworks/the-farm-on-the-estate-la-ferme-dans-la-terre-198623/search/actor:dunoyer-de-segonzac-andre-18841974/page/1/view_as/grid Tate Modern, ''"La ferme dans la terre" dans les collections''].</ref>.
*** ''La route de [[Grimaud]]'', encre et aquarelle 49,5x71,5cm, 1937<ref>[https://www.tate.org.uk/art/artworks/dunoyer-de-segonzac-the-road-from-grimaud-n05043 Tate Modern, ''"La route de Grimaud" dans les collections'']</ref>.
*** ''La route de [[Grimaud (Var)|Grimaud]]'', encre et aquarelle {{Dunité|49.5|71.5|cm}}, 1937<ref>[https://www.tate.org.uk/art/artworks/dunoyer-de-segonzac-the-road-from-grimaud-n05043 Tate Modern, ''"La route de Grimaud" dans les collections''].</ref>.
* [[Oxford]], [[Ashmolean Museum]], ''L'écluse'', huile sur toile 81x100cm, après 1918<ref>[https://artuk.org/discover/artworks/the-lockgate-142729/search/actor:dunoyer-de-segonzac-andre-18841974/page/1/view_as/grid Ashmolean Museum, ''"L'écluse" dans les collections'']</ref>.
* [[Oxford]], [[Ashmolean Museum]], ''L'écluse'', huile sur toile {{Dunité|81|100|cm}}, après 1918<ref>[https://artuk.org/discover/artworks/the-lockgate-142729/search/actor:dunoyer-de-segonzac-andre-18841974/page/1/view_as/grid Ashmolean Museum, ''"L'écluse" dans les collections''].</ref>.


=== {{Drapeau|Uruguay}} Uruguay ===
=== {{Drapeau|Uruguay}} Uruguay ===
* [[Montevideo]], [[Museo Nacional de Artes Visuales]]<ref>[http://acervo.mnav.gub.uy/obras.php?q=na:597 Museo Nacional de Artes Visuales, ''André Dunoyer de Segonzac dans les collections'']</ref> :
* [[Montevideo]], [[Museo Nacional de Artes Visuales]]<ref>[http://acervo.mnav.gub.uy/obras.php?q=na:597 Museo Nacional de Artes Visuales, ''André Dunoyer de Segonzac dans les collections''].</ref> :
** ''Bacchantes'', eau-forte 24x17cm.
** ''Bacchantes'', eau-forte {{Dunité|24|17|cm}}.
** ''Le bosquet de [[Chaville]], gravure 25x20,5cm.
** ''Le bosquet de [[Chaville]]'', gravure {{Dunité|25|20.5|cm}}.


== Collections privées ==
== Collections privées ==
=== {{Drapeau|Belgique}} Bejgique ===
=== {{Drapeau|Belgique}} Belgique ===
* [[Émile Verhaeren]], ''Isadora Duncan'', dessin<ref name="JVR"/>.
* [[Émile Verhaeren]], ''Isadora Duncan'', dessin<ref name="JVR"/>.
=== {{USA-d}} États-Unis ===
=== {{USA-d}} États-Unis ===
{{Début de colonnes|taille=30|nombre=2}}
* {{Lien|langue=en|fr=Stephen Carlton Clark|texte=Stephen Carlton Clark}}, [[New York]]<ref name="VAL"/>.
* {{Lien|langie=en|fr=Anson Congar|texte=Anson Congar Goodyear}}, New York<ref name="VAL"/>.
* {{Lien|langue=en|trad=Stephen Carlton Clark|fr=Stephen Carlton Clark|texte=Stephen Carlton Clark}}, [[New York]]<ref name="VAL"/>.
* {{Lien|langue=en|fr=Adolph Lewisohn|texte=Adolph Lewisohn}}, New York<ref name="VAL"/>.
* {{Lien|langue=en|trad=Anson Goodyear|fr=Anson Conger Goodyear|texte=Anson Conger Goodyear}}, New York<ref name="VAL"/>.
* {{Lien|langue=en|trad=Adolph Lewisohn|fr=Adolph Lewisohn|texte=Adolph Lewisohn}}, New York<ref name="VAL"/>.
* [[Duncan Phillips]], [[Washington (district de Columbia)|Washington]]<ref name="VAL"/>.
* [[Duncan Phillips]], [[Washington (district de Columbia)|Washington]]<ref name="VAL"/>.
* [[John Quinn]], New York<ref name="VAL"/>.
* [[John Quinn]], New York<ref name="VAL"/>.
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=== {{FRA-d}} France ===
=== {{FRA-d}} France ===
{{Début de colonnes|taille=30|nombre=2}}
* [[Paul Poiret]], Paris, ''Les Buveurs'', huile sur toile<ref> ''Catalogue de la collection Paul Poiret'', [[Hôtel Drouot]], Paris, 18 novembre 1925.</ref>.
* [[Marguerite Caetani|Princesse de Bassiano]], [[Versailles]]<ref name="JAM"/>.
* [[André Villeboeuf]], Paris<ref> Claude Robert, commissaire-priseur, ''catalogue de l'atelier et de la collection André Villeboeuf'', Hôtel Drouot, 17 mai 1982.</ref>.
* [[Henri Bernstein]], Paris<ref name="JAM"/>.
* [[Jean Patou]]<ref name="JAM"/>.
* [[Paul Poiret]], Paris, ''Les Buveurs'', huile sur toile<ref>''Catalogue de la collection Paul Poiret'', [[Hôtel Drouot]], Paris, 18 novembre 1925.</ref>.
* [[Claude Roger-Marx]], Paris<ref name="JAM"/>.
* [[André Villeboeuf]], Paris<ref>Claude Robert, commissaire-priseur, ''catalogue de l'atelier et de la collection André Villeboeuf'', Hôtel Drouot, 17 mai 1982.</ref>.
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=== {{UK-d}} Royaume-Uni ===
* [[Paul Maze]]<ref name="JAM"/>.
* [[Ivor Spencer-Churchill]]<ref name="JAM"/>.


== Expositions ==
== Expositions ==
[[Fichier:Gallerie Bernheim-Jeune avenue Matignon à Paris.JPG|vignette|120px|[[Galerie Bernheim-Jeune]], [[Paris]], 1928]]
[[Fichier:Paris - Palais du Louvre - PA00085992 - 1322.jpg|vignette|120px|[[Pavillon Marsan]], Paris, 1939]]
[[Fichier:Musée d'Art et d'Histoire de Genève.jpg|vignette|120px|[[Musée d'Art et d'Histoire de Genève]], 1951]]
[[Fichier:Royal Academy (5125746823).jpg|vignette|120px|[[Royal Academy]], [[Londres]], 1959, 1982]]
[[Fichier:Le Musée olympique (Ank Kumar, infosys limited) 14.jpg|vignette|120px|[[Musée olympique]], [[Lausanne]], 1995]]
=== Expositions personnelles ===
=== Expositions personnelles ===
<!-- liste non exhaustive -->
<!-- liste non exhaustive -->
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{{Début de colonnes|taille=30|nombre=2}}
* Février 1914 : [[Galerie Barbazanges|Galerie Lévesque et Barbazanges]], Paris.
* Février 1914 : [[Galerie Barbazanges|Galerie Lévesque et Barbazanges]], Paris.
* 1917 ; ''André Dunoyer de Segonzac - Dessins et aquarelles de guerre'', galerie Marseille, Paris.
* 1920 : ''André Dunoyer de Segonzac - Peintures et dessins'', galerie Levesque, 109 [[rue du Faubourg Saint-Honoré]], Paris.
* 1920 : ''André Dunoyer de Segonzac - Peintures et dessins'', galerie Levesque, 109 [[rue du Faubourg Saint-Honoré]], Paris.
* 1925, 1926 : ''André Dunoyer de Segonsac - Aquarelles et dessins'', galerie Marseille, Paris<ref name="JAM"/>.
* 1920 : exposition particulière, [[Londres]].
* Novembre 1927 - janvier 1928 : Valentine Gallery, [[New York]]<ref name="VAL">[http://thevalentinegallery.org/blog/2021/8/8/andr-dunoyer-de-segonzac Julia May Boddewyn,« André Dunoyer de Segonzac at the Valentine Gallery », ''Valentine Gallery'', 8 août 2021]</ref>.
* 1927 : Independent Gallery, [[Londres]]<ref> François Fosca, « Aquarelles et dessins de Dunoyer de Segonzac », ''L'Amour de l'art'', n°1, janvier 1927, {{pp.|11-16}}..</ref>{{,}}<ref name="JAM"/>.
* Novembre 1927 - janvier 1928 : Valentine Gallery, [[New York]]<ref name="VAL">[http://thevalentinegallery.org/blog/2021/8/8/andr-dunoyer-de-segonzac Julia May Boddewyn, « André Dunoyer de Segonzac at the Valentine Gallery », ''Valentine Gallery'', 8 août 2021].</ref>.
* août 1928 : [[Galerie Bernheim-Jeune]], Paris<ref>« Critics evaluate Segonzac's art, which draws throngs in Paris », ''Art Digest TT'', 19 août 1928.</ref>.
* 1935 : Brummer Gallery, [[New York]]<ref name="JAM"/>.
* 1936 : Svensk-Franska Konstgalleriet, [[Stockholm]]<ref name="JAM"/>.
* 1937 : ''André Dunoyer de Segonzac - Œuvre gravé'', [[Bibliothèque nationale de France]]<ref name="BEN"/>.
* 1937 : ''André Dunoyer de Segonzac - Œuvre gravé'', [[Bibliothèque nationale de France]]<ref name="BEN"/>.
* 1938 : Art Club of [[Chicago]]<ref name="JAM"/>.
* Août 1928 : [[Galerie Bernheim-Jeune]], Paris<ref> « Critics evaluate Segonzac's art, which draws throngs in Paris », ''Art Digest II', 19 août 1928.</ref>.
* 1938 : [[Chicago]]<ref name="BEN"/>.
* 1939 : ''André Dunoyer de Segonzac - Œuvres de guerre'', [[pavillon de Marsan]], Paris<ref name="BEN"/>.
* 1939 : ''André Dunoyer de Segonzac - Œuvres de guerre'', [[pavillon de Marsan]], Paris<ref name="BEN"/>.
* avril-mai 1939 : ''The Graphic Art of Dunoyer de Segonzac'', galerie [[Georges Wildenstein|Wildenstein]], [[Londres]].
* avril-mai 1939 : ''The Graphic Art of Dunoyer de Segonzac'', galerie [[Georges Wildenstein|Wildenstein]], [[Londres]].
* 1939 : Galerie Carstairs, [[New York]].
* Janvier-février 1940 : ''Franzôsiche Graphik der Gegenwart und des 19 Jahshunderts ; André Dunoyer de Segonzac'', [[Kunsthalle Basel]], [[Bâle]].
* Janvier-février 1940 : ''Franzôsiche Graphik der Gegenwart und des 19 Jahshunderts ; André Dunoyer de Segonzac'', [[Kunsthalle Basel]], [[Bâle]].
* Mai 1948<ref name="CIR"/>, 1949-1950 : [[galerie Charpentier]], Paris<ref>[https://www.lemonde.fr/archives/article/1948/05/19/un-magnifique-ensemble-resume-l-uvre-d-andre-dunoyer-de-segonzac_1900911_1819218.html René-Jean, « Un magnifique ensemble résume l'œuvre d'André Dunoyer de Segonzac », ''Le Monde'', 19 mai 1948]</ref>, [[Bâle]].
* Mai 1948<ref name="CIR"/>, 1949-1950 : [[galerie Charpentier]], Paris<ref>[https://www.lemonde.fr/archives/article/1948/05/19/un-magnifique-ensemble-resume-l-uvre-d-andre-dunoyer-de-segonzac_1900911_1819218.html René-Jean, « Un magnifique ensemble résume l'œuvre d'André Dunoyer de Segonzac », ''Le Monde'', 19 mai 1948].</ref>, [[Bâle]].
* 1951 : [[musée d'art et d'histoire de Genève]]<ref name="BEN"/>.
* 1951 : ''André Dunoyer de Segonzac - Rétrospective'', [[musée d'Art et d'Histoire de Genève]]<ref name="BEN"/>.
* 1955 : [[musée des Beaux-Arts de Nice]]<ref name="BEN"/>.
* 1955 : [[musée des Beaux-Arts de Nice]]<ref name="BEN"/>.
* Juin-octobre 1958 : ''André Dunoyer de Segonzac - Gravures, dessins, aquarelles'', galerie Mansart, [[Bibliothèque nationale de France]] (site Richelieu), Paris<ref> « André Dunoyer de Segonzac à la Bibliothèque nationale », ''[[Les Nouvelles littéraires]]'', n°1608, 26 juin 1958.</ref>.
* Juin-octobre 1958 : ''André Dunoyer de Segonzac - Gravures, dessins, aquarelles'', galerie Mansart, [[Bibliothèque nationale de France]] (site Richelieu), Paris<ref>« André Dunoyer de Segonzac à la Bibliothèque nationale », ''[[Les Nouvelles littéraires]]'', {{|1608}}, 26 juin 1958.</ref>{{,}}<ref>[[Yvon Taillandier]], « Récapitulation de l'œuvre dessiné de Dunoyer de Segonzac », '' Connaissance des arts'', n°78, août 1958, {{p.|83}}.</ref>.
* 1959 : [[Royal Academy]], Londres<ref name="BEN"/>.
* 1959 : [[Royal Academy]], Londres<ref name="BEN"/>.
* 1960 : ''Dunoyer de Segonzac - Cinquante ans de peinture'', Galerie Charpentier, Paris.
* 1960 : ''Dunoyer de Segonzac - Cinquante ans de peinture'', Galerie Charpentier, Paris.
* 1964 : Bibliothèque de [[Versailles]]<ref name="BEN"/>.
* 1964 : Bibliothèque de [[Versailles]]<ref name="BEN"/>.
* 1969 : Galerie Vallotton, [[Lausanne]]<ref name="BEN"/>.
* 1969 : Galerie Vallotton, [[Lausanne]]<ref name="BEN"/>.
* 1972 : Galerie [[Durand-Ruel]], Paris<ref name="BEN"/>.
* février-mars 1972 : ''Dunoyer de Segonzac - Soixante années de peinture'', Galerie [[Durand-Ruel]], Paris<ref name="BEN"/>{{,}}<ref name="DUR"/>.
* 1974 : ''Les 90 ans d'André Dunoyer de Segonzac'', galerie Vallotton, [[Lausanne]]<ref name="BEN"/>.
* 1972 : ''Eaux-fortes d'André Dunoyer de Segonzac'', [[musée d'Art et d'Archéologie de Valence]].
* 1974 : ''Les {{nobr|90 ans}} d'André Dunoyer de Segonzac'', galerie Vallotton, [[Lausanne]]<ref name="BEN"/>.
* juillet-septembre 1975 : ''Hommage à Dunoyer de Segonzac - Rétrospective'', musée de l'Athénée, [[Genève]]<ref name="BEN"/>.
* juillet-septembre 1975 : ''Hommage à Dunoyer de Segonzac - Rétrospective'', musée de l'Athénée, [[Genève]]<ref name="BEN"/>.
* 1976 : ''Dunoyer de Segonzac - Soixante-cinq ans de peinture'', orangerie des Tuileries, Paris<ref name="BEN"/>.
* 1976 : ''Dunoyer de Segonzac - Soixante-cinq ans de peinture'', orangerie des Tuileries, Paris<ref name="BEN"/>.
* 1978 : ''Donation André Dunoyer de Segonzac'', musée de l'Île-de-France, [[château de Sceaux]].
* 1978 : ''Donation André Dunoyer de Segonzac'', musée de l'Île-de-France, [[château de Sceaux]].
* Mars-avril 1979 : ''Dunoyer de Segonzac - Chefs-d'œuvre gravés - Aquarelles, dessins, peinture'', galerie Nouvel essor, Paris.
* Mars-avril 1979 : ''Dunoyer de Segonzac - Chefs-d'œuvre gravés - Aquarelles, dessins, peinture'', galerie Nouvel essor, Paris.
* Octobre-novembre 1982 : ''André Dunoyer de Segonzac - Water-colours, drawings, engravings'', [[Royal Academy|Royal Academy of Arts]], [[Londres]].
* Août-septembre 1984 : ''André Dunoyer de Segonzac - 210 gravures de la collection de sa famille'', maison Pullierane, [[Pully]].
* Août-septembre 1984 : ''André Dunoyer de Segonzac - 210 gravures de la collection de sa famille'', maison Pullierane, [[Pully]].
* Octobre-décembre 1984 : ''La Provence vue par André Dunoyer de Segonzac - Aquarelles, dessins, gravures'', chapelle de la Charité, [[Marseille]].
* Octobre-décembre 1984 : ''La Provence vue par André Dunoyer de Segonzac - Aquarelles, dessins, gravures'', chapelle de la [[Vieille Charité]], [[Marseille]].
* Mars-juin 1985 : ''Dunoyer de Segonzac'', [[musée Marmottan]], Paris<ref name="CHA">[https://www.revuedesdeuxmondes.fr/wp-content/uploads/2016/11/5b22da33a74da9341282461e8ab7a0cf.pdf Georges Charensol, « Dunoyer de Segonzac au musée Marmottan », ''Revue des Deux Mondes'', avril 1985, {{pp.|450-455}}]</ref>.
* Mars-juin 1985 : ''Dunoyer de Segonzac'', [[musée Marmottan]], Paris<ref name="CHA">[https://www.revuedesdeuxmondes.fr/wp-content/uploads/2016/11/5b22da33a74da9341282461e8ab7a0cf.pdf Georges Charensol, « Dunoyer de Segonzac au musée Marmottan », ''Revue des Deux Mondes'', avril 1985, {{pp.|450-455}}].</ref>.
* mai-septembre 1990 : ''La nature morte dans l'œuvre de Dunoyer de Segonzac'', [[musée Mainssieux]], [[Voiron]].
* mai-septembre 1990 : ''La nature morte dans l'œuvre de Dunoyer de Segonzac'', [[musée Mainssieux]], [[Voiron]].
* 1995 : ''Dunoyer de Segonzac, témoin du sport'',[[Musée olympique]], [[Lausanne]]<ref name="SPO"/>.
* 1995 : ''Dunoyer de Segonzac, témoin du sport'', [[Musée olympique]], [[Lausanne]]<ref name="SPO"/>.
* Mars-avril 2009 : '' André Dunoyer de Segonzac - Vues d'Île-de-France'', [[musée d'Art et d'Histoire de Meudon]].
* Mars-avril 2009 : '' André Dunoyer de Segonzac - Vues d'Île-de-France'', [[musée d'Art et d'Histoire de Meudon]].
* Décembre 2021 - avril 2022 : ''André Dunoyer de Segonzac, un tropézien de cœur'', [[musée de l'Annonciade]], [[Saint-Tropez]]<ref>[https://www.saint-tropez.fr/andre-dunoyer-de-segonzac-un-tropezien-de-coeur/ Musée de l'Annonciade, ''André Dunoyer de Segonzac, un tropézien de cœur'', présentation de l'exposition, 2021]</ref>{{,}}<ref>[https://www.varmatin.com/index.php/arts/dans-lintimite-du-peintre-andre-dunoyer-de-segonzac-au-musee-de-lannonciade-a-saint-tropez-729718 « Dans l'intimité du peintre André Dunoyer de Segonzac au musée de l'Annonciade à Saint-Tropez », ''Var-matin'', 27 novembre 2021]</ref>.
* Décembre 2021 - avril 2022 : ''André Dunoyer de Segonzac, un tropézien de cœur'', [[musée de l'Annonciade]], [[Saint-Tropez]]<ref>[https://www.saint-tropez.fr/andre-dunoyer-de-segonzac-un-tropezien-de-coeur/ Musée de l'Annonciade, ''André Dunoyer de Segonzac, un tropézien de cœur'', présentation de l'exposition, 2021].</ref>{{,}}<ref>[https://www.varmatin.com/index.php/arts/dans-lintimite-du-peintre-andre-dunoyer-de-segonzac-au-musee-de-lannonciade-a-saint-tropez-729718 « Dans l'intimité du peintre André Dunoyer de Segonzac au musée de l'Annonciade à Saint-Tropez », ''Var-matin'', 27 novembre 2021].</ref>.
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}}

=== Expositions collectives ===
=== Expositions collectives ===
[[File:ArmoryShow poster.jpg|thumb|150px|[[Armory Show]], [[New York]], affiche, 1913]]
[[Fichier:ArmoryShow poster.jpg|vignette|150px|[[Armory Show]], [[New York]], affiche, 1913]]
* 1910 : ''[[Luc-Albert Moreau]], [[Jean-Louis Boussingault]], André Dunoyer de Segonzac'', Galerie Barbazanges, Paris<ref name="PEI"/>.
* 1910 : ''[[Luc-Albert Moreau]], [[Jean-Louis Boussingault]], André Dunoyer de Segonzac'', Galerie Barbazanges, Paris<ref name="PEI"/>.
* 1910 : [[Salon d'automne]], Paris<ref name="ROB"> ''Dictionnaire universel de la peinture'', Le Robert, 1975, vol.2, {{pp.|278-279}}.</ref>.
* À partir de 1910 : [[Salon d'automne]], Paris<ref name="ROB">''Dictionnaire universel de la peinture'', Le Robert, 1975, vol.2, {{pp.|278-279}}.</ref>.
* 1911 : [[Salon des indépendants]], Paris<ref name="ROB"/>.
* À partir de 1911 : [[Salon des indépendants]], Paris<ref name="ROB"/>.
* 1911 : ''Deuxième exposition de la [[Société normande de peinture moderne]]'', Galerie d'art ancien et d'art contemporain, Paris, 1911<ref name="JAM"/>{{,}}<ref>[https://oneartyminute.com/lexique=artistique/societe-normande-de-peinture-moderne One arty minute, ''Société normande de peinture moderne''].</ref>.
* 1911 : Salon des indépendants, [[Bruxelles]]<ref name="JAM"/>.
* 1912 ; galerie See, [[Londres]]<ref name="JAM"/>.
* Février 1913 : [[Armory Show]], [[New York]].
* Février 1913 : [[Armory Show]], [[New York]].
* 1914 : galerie Neufer, [[Zurich]]<ref name="JAM"/>.
* Janvier 1920 : ''Œuvres nouvelles : [[Yves Alix]], [[Jean-Louis Boussingault]], André Dunoyer de Segonzac, [[Marcel Gromaire]], [[Jean Marchand]], [[Luc-Albert Moreau]]'', [[Eugène Druet|galerie Druet]], Paris.
* 1914 : galerie Manès, [[Prague]]<ref name="JAM"/>.
* Janvier 1920 : ''Œuvres nouvelles : [[Yves Alix (artiste)|Yves Alix]], [[Jean-Louis Boussingault]], André Dunoyer de Segonzac, [[Marcel Gromaire]], [[Jean Marchand (peintre)|Jean Marchand]], [[Luc-Albert Moreau]]'', [[Eugène Druet|galerie Druet]], Paris.
* Juin-juillet 1920 : ''La jeune peinture française : [[Maurice Asselin]], [[Roger Bissière]], [[Louis Charlot]], [[André Derain]], André Dunoyer de Segonzac, [[Charles Dufresne (artiste)|Charles Dufresne]], [[Raoul Dufy]], [[Jean Fernand-Trochain]], [[Othon Friesz]], [[André Lhote]], [[Robert Lotiron]], [[Maurice Utrillo]], [[Henry de Waroquier]]'', galerie Manzu-Joyant, Paris<ref>J.-M., « L'actualité », ''L'Art et les Artistes'', tome I, 1920, {{p.|351}}.</ref>.
* Décembre 1922 : ''Exposition d'art américain-latin'', [[musée Galliera]] décembre 1922.
* Décembre 1922 : ''Exposition d'art américain-latin'', [[musée Galliera]] décembre 1922.
* Septembre-octobre 1923 : ''Essai d'une collection : douze peintres - [[Yves Alix (artiste)|Yves Alix]], [[Valdo Barbey]], [[Jean-Louis Boussingault]], [[Pierre Dubreuil (artiste)|Pierre Dubreuil]], [[Charles Dufresne (artiste)|Charles Dufresne]], [[Marcel Gromaire]], [[Conrad Kickert]], [[Albert Huyot]], [[Robert Lotiron]], [[Jean Marchand (peintre)|Jean Marchand]], André Dunoyer de Segonzac'', galerie van Deene, [[Amsterdam]].
* Mars-mai 1936, ''The fifteenth international water color exhibition - Watercolors, pastels, drawings and monotypes by [[Hermine David]], André Dunoyer de Segonzac, [[Jean Dufy]], [[Henri Farge]], [[Jean Lurçat]], [[Aristide Maillol]], [[Jules Pascin]], [[Georges Rouault]], [[Paul Signac]], [[Henri Vergé-Sarrat]], [[Maurice de Vlaminck]]'', [[Art Institute of Chicago]].
* 1937 : ''Les maîtres de l'art indépendant'' (dans le cadre de l'[[Exposition universelle de 1937]]), [[Petit Palais]], Paris<ref name="BEN"/>.
* 1937 : ''Les maîtres de l'art indépendant'' (dans le cadre de l'[[Exposition universelle de 1937]]), [[Petit Palais]], Paris<ref name="BEN"/>.
* Janvier 1942 : ''Le dessin français contemporain - Exposition au profit de l'Entraide des artistes : trois cents dessins par [[Auguste Rodin]], [[Edgar Degas]], [[Raoul Dufy]],André Dunoyer de Segonzac'', [[bibliothèque municipale de Lyon]]<ref name="LAU"/>.
* Janvier 1942 : ''Le dessin français contemporain - Exposition au profit de l'Entraide des artistes : trois cents dessins par [[Auguste Rodin]], [[Edgar Degas]], [[Raoul Dufy]],André Dunoyer de Segonzac'', [[bibliothèque municipale de Lyon]]<ref name="LAU"/>.
* 1951 : ''Plaisir de France'', [[galerie Charpentier]], Paris<ref name="DON"/>.
* 1951 : ''Plaisir de France'', [[galerie Charpentier]], Paris<ref name="DON"/>.
* 1954 : ''Plaisir de la campagne'', [[galerie Charpentier]], Paris<ref name="DON"/>.
* 1954 : ''Plaisir de la campagne'', [[galerie Charpentier]], Paris<ref name="DON"/>.
* 1954 : [[Salon du dessin et de la peinture à l'eau]], Paris.
* 1957 : ''Cent chefs-d'œuvre de l'art français'', [[galerie Charpentier]], Paris<ref name="DON"/>.
* 1957 : ''Cent chefs-d'œuvre de l'art français'', [[galerie Charpentier]], Paris<ref name="DON"/>.
* 1963 : ''Le paysage français de [[Paul Cézanne|Cézanne]] à nos jours'', musée Boymans-van-Beuningen, [[Rotterdam]].
* 1961 : ''Le paysage dans l'art - [[Henri Marret]], [[Frank Myers Boggs|Frank-Boggs]], [[Frank-Will]], André Dunoyer de Segonzac'', [[musée d'Art et d'Histoire de Meudon]].
* 1961 : ''Souvenir de [[Jean-Baptiste Camille Corot|Corot]] - André Dunoyer de Segonzac, Richard Bellias, [[Philippe Cara Costea]], [[André Dignimont]], [[Jacques Van den Bussche]]'', Maison des enfants, [[Viroflay]].
* 1962 : ''Aquarelles et gouaches - [[Jean Bazaine]], [[Marc Chagall]], [[Roger Chastel]], [[Georges Dayez]], [[Maurice Estève]], [[Alexandre Garbell]], [[Léon Gischia]], [[Jacques Lagrange (peintre)|Jacques Lagrange]], [[Charles Lapicque]], [[Robert Lapoujade]], [[Henri Matisse]], [[Joan Miró]], [[Pablo Picasso]], [[Georges Rouault]], André Dunoyer de Segonzac, [[Gustave Singier]], [[Maria Elena Vieira da Silva]], [[Jacques Villon]]'', galerie Cinq-Mars, Paris.
* 1963 : ''Le paysage français de [[Paul Cézanne|Cézanne]] à nos jours'', [[musée Boijmans Van Beuningen]], [[Rotterdam]].
* Mai-juin 1964 : ''André Dunoyer de Segonzac, [[Albert Marquet]] et d'autres illustrateurs de "[[Bubu de Montparnasse (roman)|Bubu de Montparnasse]]"'', centre culturel Valéry-Larbaud, [[Vichy]].
* Décembre 1964 : ''Grands maîtres, petits formats - [[Pierre Bonnard]], [[Philippe Cara Costea]], [[Jean Commère]], [[Henri-Edmond Cross]], [[Honoré Daumier]], [[André Derain]], [[Charles Despiau]], [[Charles Dufresne (artiste)|Charles Dufresne]], [[Raoul Dufy]], André Dunoyer de Segonzac, [[Georges Feher]], [[Tsugouharu Foujita]], [[Édouard Goerg]], [[Jean Jansem]], Charles Marcon, [[André Marchand]], [[Henri Matisse]], [[André Minaux]], [[Alain Mongrenier]], [[Roger Mühl]], [[Jules Pascin]], [[Pierre-Auguste Renoir]], [[Georges Seurat]], [[Paul Signac]], [[Maurice de Vlaminck]], [[Jacques Van den Bussche]]'', galerie Jean-Claude Bellier, Paris.
* 1965 : ''Les jardins et les fleurs de Brueghel à [[Pierre Bonnard]]'', Galerie Charpentier, Paris.
* 1965 : ''Les jardins et les fleurs de Brueghel à [[Pierre Bonnard]]'', Galerie Charpentier, Paris.
* Octobre-novembre 1969 : ''Antoinette Schulte entourée de ses amis - [[Charles Despiau]], [[Charles Dufresne]], [[Jules Cavaillès]], [[Raymond Legueult]], [[Roland Oudot]], André Dunoyer de Segonzac'', galerie de Paris, Paris.
* Octobre-novembre 1969 : ''Antoinette Schulte entourée de ses amis - [[Charles Despiau]], [[Charles Dufresne (artiste)|Charles Dufresne]], [[Jules Cavaillès]], [[Raymond Legueult]], [[Roland Oudot]], André Dunoyer de Segonzac'', galerie de Paris, Paris.
* Juillet-septembre 1972, ''Hommage de Villeneuve-sur-Lot à André Dunoyer de Segonzac et Charles Despiau'', [[Villeneuve-sur-Lot]]<ref> Collectif, ''Hommage de Villeneuve-sur-Lot à André Dunoyer de Segonzac et Charles Despiau'', catalogue d'exposition, imprimerie Moulinié, 1972.</ref>
* Juillet-septembre 1972, ''Hommage de Villeneuve-sur-Lot à André Dunoyer de Segonzac et Charles Despiau'', [[Villeneuve-sur-Lot]]<ref>Collectif, ''Hommage de Villeneuve-sur-Lot à André Dunoyer de Segonzac et Charles Despiau'', catalogue d'exposition, imprimerie Moulinié, 1972.</ref>
* Février-avril 1978 : ''Donation Pierre Lévy'', orangerie des [[Tuileries]], Paris<ref name="DON"> Hubert Landais (avant-propos) et Michel Hoog (introduction), ''Donation Pierre Jévy'', éditions de la Réunion des musées nationaux, Paris, 1978, {{pp.|115-121}}.</ref>.
* Février-avril 1978 : ''Donation Pierre Lévy'', [[Musée de l'Orangerie|orangerie des Tuileries]], Paris<ref name="DON">Hubert Landais (avant-propos) et Michel Hoog (introduction), ''Donation Pierre Jévy'', éditions de la Réunion des musées nationaux, Paris, 1978, {{pp.|115-121}}.</ref>.
* 1991 : ''Vingt ans de bibliophilie dans la collection Frédéric Sabatier d'Espeyran'', bibliothèque municipale de [[Montpellier]]<ref name="OEI"/>.
* Septembre 2009 : ''La collection de la collection d'Édouard Senn'', [[musée d'Art moderne André-Malraux]], [[Le Havre]]<ref name="HAV">[http://muma-lehavre.fr/fr/expositions/la-donation-de-la-collection-dedouard-senn/en-images Musée d'Art moderne André Malraux, ''La donation de la collection d'Édouard Senn'', présentation de l'exposition, septembre 2009].</ref>.
* Mai-juin 2013 : ''Prints and drawings exhibition landscape from the drawing collection of the National Museum of Western Art'', [[Musée national de l'Art occidental]], [[Tokyo]].
* Mai-juin 2013 : ''Prints and drawings exhibition landscape from the drawing collection of the National Museum of Western Art'', [[Musée national de l'Art occidental]], [[Tokyo]].
* Septembre-octobre 2018 : ''Hommage aux artistes camoufleurs de 1914-1918'', galerie « À l'Écu de France », [[Viroflay]]<ref>[https://www.ville-viroflay.fr/agenda/hommage-aux-artistes-camoufleurs-de-1914-1918-1329.html Ville de Viroflay, ''Hommage aux artistes camoufleurs de 1914-1918'', présentation de l'exposition (entretien avec Cécile Coutin), septembre 2018]</ref>.
* Septembre-octobre 2018 : ''Hommage aux artistes camoufleurs de 1914-1918'', galerie « À l'Écu de France », [[Viroflay]]<ref>[https://www.ville-viroflay.fr/agenda/hommage-aux-artistes-camoufleurs-de-1914-1918-1329.html Ville de Viroflay, ''Hommage aux artistes camoufleurs de 1914-1918'', présentation de l'exposition (entretien avec Cécile Coutin), septembre 2018].</ref>.
* Septembre-novembre 2020 : ''Versailles au {{s-|XX}}, muse des artistes'', [[musée Lambinet]], [[Versailles]]<ref name="LAM"/>.
* Septembre-novembre 2020 : ''Versailles au {{s-|XX}}, muse des artistes'', [[musée Lambinet]], [[Versailles]]<ref name="LAM"/>.


== Citations ==
== Citations ==
=== Dits d'André Dunoyer de Segonzac ===
=== Dits d'André Dunoyer de Segonzac ===
* {{citation|Ma conception de la gravure est assez proche de celle que j'ai du dessin. C'est une réaction spontanée et directe devant la vie, le paysage, le mouvement, la lumière. L'[[eau-forte]] a été pour moi un complément du dessin, elle en est la sœur.}} - André Dunoyer de Segonzac<ref>{{lien web |auteur=Cariss Beaune|titre=André Dunoyer de Segonzac|url=https://www.universalis.fr/encyclopedie/andre-dunoyer-de-segonzac/|consulté le=6 septembre 2022|site=[[universalis.fr]]}}</ref>
* {{citation|Ma conception de la gravure est assez proche de celle que j'ai du dessin. C'est une réaction spontanée et directe devant la vie, le paysage, le mouvement, la lumière. L'[[eau-forte]] a été pour moi un complément du dessin, elle en est la sœur.}} - André Dunoyer de Segonzac<ref>{{lien web |auteur=Cariss Beaune|titre=André Dunoyer de Segonzac|url=https://www.universalis.fr/encyclopedie/andre-dunoyer-de-segonzac/|consulté le=6 septembre 2022|site=[[universalis.fr]]}}.</ref>
* {{citation|Le graveur doit se pénétrer de l'esprit du livre et, avant tout, en créer l'atmosphère. C'est pour retrouver celle-ci que j'ai toujours vécu les livres que j'ai illustrés.}} - André Dunoyer de Segonzac<ref name="MUS"/>
* {{citation|Le graveur doit se pénétrer de l'esprit du livre et, avant tout, en créer l'atmosphère. C'est pour retrouver celle-ci que j'ai toujours vécu les livres que j'ai illustrés.}} - André Dunoyer de Segonzac<ref name="MUS"/>
* {{citation|Même dans l'obscurité d'une salle de spectacle, j'ai gravé directement sur cuivre - guidé par la seule luminosité du brillant de la taille sur la planche noircie - des scènes de music-hall, ou des spectateurs dans les loges ou dans la salle.}} - André Dunoyer de Segonzac<ref name="JVR"/>


=== Réception critique ===
=== Réception critique ===
[[Fichier:Francis Carco (portrait gros plan) (...)Agence de btv1b9023636g.jpg|vignette|100px|[[Francis Carco]]]]
* {{Citation|Une probité insolite par ces temps de tricherie. Personne, au zénith de la création contemporaine, ne témoigne actuellement d'une aussi totale loyauté. Très noble artiste que ce seigneur terrien rompu aux salons mais aimant ses galoches. Œuvre dionysiaque où l'amour de la vie supplante la pensée. Hymne païen que l'intensité de sa ferveur rapproche d'une adoration religieuse.}} - [[Michel Ciry]]<ref name="CIR"> Michel Ciry, « 19 mai 1949 : vernissage de Segonzac à la galerie Charpentier », ''Le Temps des promesses - Journal 1942-1949'', Plon, 1979, {{pp.|438-439}}.</ref>
[[Fichier:Portrait-René-Jean.JPG|vignette|100px|[[René Jean]]]]
* {{citation|Ce qu'il y a d'abord de saisissant chez lui, c'est l'unité d'une carrière où pourtant les moyens d'expression sont particulièrement nombreux. Tous les thèmes l'intéressent, et aussi toutes les techniques, celles de l'aquarelle, de l'huile, de la gravure ; au surplus il restera toujours le plus éblouissant des dessinateurs. Celui qui débite par ''[[Isadora Duncan]]'' illustrera bientôt ''[[L'Éducation sentimentale]]'', puis, continuant cette passionnante enquête à travers un pays de France qui fait de son œuvre d'aquarelliste une des plus admirables de notre temps, il réfléchira pendant de longues années à un des ensembles les plus mûris, les plus riches de pensée : les planches qui illustrent les ''[[Géorgiques]]'' de [[Virgile]]. Il mène ainsi de front les travaux les plus variés, et on peut affirmer que l'œuvre du dessinateur soutient celle de l'aquarelliste, qui, à son tour, épaule celle du graveur et du peintre… En suivant la tradition de [[Gustave Courbet]] autant que celle de [[Paul Cézanne]], il donne aux divers éléments d'un paysage les solides assises qui dont sa grandeur.}} - [[Jean Alazard]]<ref>[https://www.revuedesdeuxmondes.fr/wp-content/uploads/2016/11/1cb2542e24a9350823785de8ff60d544.pdf Jean Alazard, « André Dunoyer de Segonzac », ''La Revue des Deux Mondes'', n°7, avril 1953, {{pp.|481-488}}]</ref>
[[Fichier:Paul Jamot-Photo (1bis).jpg|vignette|100px|[[Paul Jamot]]]]
* {{citation|Qu'il ait peint le réel en réaliste, soucieux de respecter la vérité tangible, sans la déformer, sans en proposer même une interprétation subjective à l'excès, on ne saurait s'en étonner… Mais voici qu'à être animées par cette intention réaliste, les œuvres de Segonzac en finissent par présenter un aspect éloigné des apparences extérieures. Ses empâtements uniformes donnent à tout - eau, terre, arbres, chair humaine - ce même grain pulpeux et lourd qu'il recherche pour d'autres motifs encore : amour de l'artisanat, sans doute, et du tableau beau en soi, mais goût de la construction aussi, amour du permanent et de l'universel, besoin, enfin, du style et de la tenue… Son goût du style, d'un style un peu crispé à force d'être voulu, au moins dans ses peintures, et auquel il accède avec plus d'aisance dans ses lavis et dans ses aquarelles qui ne sont, à la vérité, que des lavis rehaussés de quelques tons, tous très sobres. C'est là que s'affirment le mieux ses qualités les meilleures : largeur et autorité d'un dessin qui n'en demeure pas moins léger et laisse frémir dans la lumière d'argent les formes cependant robustes et définies ; fougue réfléchie d'une facture assez élaborée pour sembler spontanée ; vérité d'une vision qui se veut objective, mais n'en parvient pas moins à la poésie, une poésie faite d'accord avec les choses de la nature, les forces de la nature, élémentaires et éternelles, la permanence de la vie universelle et toujours singulière.}} - [[Bernard Dorival]]<ref name="DOR"/>
* {{citation|Dunoyer de Segonzac a beaucoup travaillé. Il observe plus encore et la loyauté n'est pas chez lui qu'une qualité. Elle est la première de ses qualités et quand nous feuilletons ses albums consacrés à la Danse, nous comprenons combien un peintre qui possède à ce point son dessin puisse et doive passer parmi les premiers de ses contemporains pour un jeune maître capable de réaliser bientôt l'œuvre pour laquelle il est né.}} - [[Francis Carco]]<ref>Francis Carco, « Dunoyer de Segonzac », ''Le Carnet des artistes'', n°18, 1917.</ref>
* {{citation|André Dunoyer de Segonzac, gentilhomme terrien de [[Boussy-Saint-Antoine]], marque délibérément son retour à la nature où la terre, les feuillages drus et les corps nus, dans un même élan, se mêlent à la matière épaisse avec laquelle il triture, laboure et construit son univers. C'est le retour aux "vraies richesses" qui relève de [[Gustave Courbet|Courbet]], de [[Jean-Baptiste Millet|Millet]] ou de Le Nain, au cours duquel Dunoyer de Segonzac n'a peut-être pas complètement oublié les leçons de [[Jean-Paul Laurens]], son ancien professeur… Hostile à toute pression extérieure, à toute théorie, au risque de paraître inactuel, il n'a songé qu'à servir ses dons personnels qui furent évidents dès 1909 et conformés en 1933 par le prix Carnegie. Bien que marqué par un certain [[fauvisme]] fr la forme, il limite sa palette à des teintes spartiates, où l'on trouve, en particulier, des ocres, des terres qui représentaient son amour pour les réalités solides à côté de l'animation des cadmiums. Il fut - quels que soient le thème choisi et le lieu, picturalement transposé - soucieux de ne pas créer de dissonances, de ne pas disperser les formes essentielles qu'il entendait traduire dans sa toile. Pour lui, la qualité pictuale se trouve non dans l'éclat, mais dans la densité, non dans les contrastes et la violence, mais dans l'unité.}} - [[René Huyghe]] de l'[[Académie française]] et Jean Rudel<ref name="HUY"> René Huyghe de l'Académie française et Jean Rudel, ''L'art et le monde moderne'', Larousse, 1970, tome 2, {{p.|64}}</ref>.
* {{citation|Il ne faut pas hésiter à placer Dunoyer de Segonzac au premier rang des artistes de notre époque. Il s'avère comme un des plus importants. Il s'impose comme un des mieux doués, comme un de ceux dont la vision personnelle sait renouveler l'apparence des êtres, des sites et des choses, pour nous montrer, sous une facette nouvelle, un des aspects de leur multiple et éternelle beauté.}} - [[René-Jean]]<ref>René-Jean, « A. Dunoyer de Segonzac et son œuvre », ''Les Peintres français nouveaux'', n°11, N.R.F., 1022.</ref>
* {{citation|Tout dans cette œuvre est fait d'emportement. Point de spéculations transcendantes ni de grands chocs d'imagination. L'artiste est tendu dans son effort pour voir et pour sentir. Préoccupation trop intense pour permettre d'élaborer des théories sur l'objet même de cette vision et de cette sensation. C'est le besoin de se toujours rapprocher de l'expression directe qui a permis à Dunoyer de Segonzac de maintenir, au milieu des données si complexes de l'art contemporain, l'harmonie et l'unité de son effort.}} - [[Christian Zervos]]<ref>Christian Zervos, « Dunoyer de Segonzac », ''L'Art d'aujourd'hui'', printemps-été 1924.</ref>
* {{citation|On savait, bien entendu, que Segonzac était, de toute sa génération, celui dont on pouvait envisager l'avenir avec le plus de confiance. La marche régulière de ce talent fort et sain en était la meilleure preuve. Mais qu'il y eût en lui de quoi nous présenter un pareil ensemble, voilà ce qu'on n'osait pas espérer. Car il ne faut pas hésiter à le dire : cette exposition est un événement artistique dont l'importance est capitale. Segonzac n'est pas seulement un bel artiste, c'est un grand artiste.}} - [[François Fosca]]<ref name="BER">François Fosca, « Dunoyer de Segonzac », ''L'Amour de l'art'', 1928, {{p.|225}}.</ref>
* {{citation|Son œuvre gravé est plein de charme, de variété et de liberté : il suffirait à la gloire d'un artiste. Quelques-unes de planches pour ''[[Bubu de Montparnasse (roman)|Bubu de Montparnasse]]'' sont exécutées au grattoir, ce qui donne un métier gras et coloré, des effets de lithographie associés à ceux de l'eau-forte ordinaire. Partout des types vivants, des silhouettes d'une vérité saisissante et cependant inattendue, définies d'un trait incisif. Cette vérité est de la même espèce que celle des tableaux, fort au-dessus d'un réalisme terre à terre où d'aucuns voudraient enfermer notre artiste. Il a vu, il a senti, et, devant son imagination, une vision a surgi, combinant, selon un dosage que la critique ne peut mesurer, ce que la réalité extérieure offre à l'artiste et ce que l'artiste, de son intérieur, lui rend. C'est cette vision qu'il nous impose, soit, dans le dessin, par la surprise d'une impression fraîche et vive, soit, dans la peinture, par le magnétisme d'une élaboration lente et méditée. Quand l'artiste est de la race des grands, c'est cette vision que nous appelons encore la vérité.}} - [[Paul Jamot]]<ref name="JAM"/>
* {{Citation|Une probité insolite par ces temps de tricherie. Personne, au zénith de la création contemporaine, ne témoigne actuellement d'une aussi totale loyauté. Très noble artiste que ce seigneur terrien rompu aux salons mais aimant ses galoches. Œuvre dionysiaque où l'amour de la vie supplante la pensée. Hymne païen que l'intensité de sa ferveur rapproche d'une adoration religieuse.}} - [[Michel Ciry]]<ref name="CIR">Michel Ciry, « {{date-|19 mai 1949}} : vernissage de Segonzac à la galerie Charpentier », ''Le Temps des promesses - Journal 1942-1949'', Plon, 1979, {{pp.|438-439}}.</ref>
* {{citation|Ce qu'il y a d'abord de saisissant chez lui, c'est l'unité d'une carrière où pourtant les moyens d'expression sont particulièrement nombreux. Tous les thèmes l'intéressent, et aussi toutes les techniques, celles de l'aquarelle, de l'huile, de la gravure ; au surplus il restera toujours le plus éblouissant des dessinateurs. Celui qui débite par ''[[Isadora Duncan]]'' illustrera bientôt ''[[L'Éducation sentimentale]]'', puis, continuant cette passionnante enquête à travers un pays de France qui fait de son œuvre d'aquarelliste une des plus admirables de notre temps, il réfléchira pendant de longues années à un des ensembles les plus mûris, les plus riches de pensée : les planches qui illustrent les ''[[Géorgiques]]'' de [[Virgile]]. Il mène ainsi de front les travaux les plus variés, et on peut affirmer que l'œuvre du dessinateur soutient celle de l'aquarelliste, qui, à son tour, épaule celle du graveur et du peintre… En suivant la tradition de [[Gustave Courbet]] autant que celle de [[Paul Cézanne]], il donne aux divers éléments d'un paysage les solides assises qui font sa grandeur.}} - [[Jean Alazard]]<ref>[https://www.revuedesdeuxmondes.fr/wp-content/uploads/2016/11/1cb2542e24a9350823785de8ff60d544.pdf Jean Alazard, « André Dunoyer de Segonzac », ''La Revue des Deux Mondes'', {{n°|7}}, avril 1953, {{pp.|481-488}}].</ref>
[[Fichier:Bernard Dorival 1995 - copie 2.jpg|vignette|130px|[[Bernard Dorival]]]]
* {{citation|Qu'il ait peint le réel en réaliste, soucieux de respecter la vérité tangible, sans la déformer, sans en proposer même une interprétation subjective à l'excès, on ne saurait s'en étonner… Mais voici qu'à être animées par cette intention réaliste, les œuvres de Segonzac en finissent par présenter un aspect éloigné des apparences extérieures. Ses empâtements uniformes donnent à tout - eau, terre, arbres, chair humaine - ce même grain pulpeux et lourd qu'il recherche pour d'autres motifs encore : amour de l'artisanat, sans doute, et du tableau beau en soi, mais goût de la construction aussi, amour du permanent et de l'universel, besoin, enfin, du style et de la tenue… Son goût du style, d'un style un peu crispé à force d'être voulu, au moins dans ses peintures, et auquel il accède avec plus d'aisance dans ses lavis et dans ses aquarelles qui ne sont, à la vérité, que des lavis rehaussés de quelques tons, tous très sobres. C'est là que s'affirment le mieux ses qualités les meilleures : largeur et autorité d'un dessin qui n'en demeure pas moins léger et laisse frémir dans la lumière d'argent les formes cependant robustes et définies ; fougue réfléchie d'une facture assez élaborée pour sembler spontanée ; vérité d'une vision qui se veut objective, mais n'en parvient pas moins à la poésie, une poésie faite d'accord avec les choses de la nature, les forces de la nature, élémentaires et éternelles, la permanence de la vie universelle et toujours singulière.}} - [[Bernard Dorival]]<ref name="DOR"/>
* {{citation|André Dunoyer de Segonzac, gentilhomme terrien de [[Boussy-Saint-Antoine]], marque délibérément son retour à la nature où la terre, les feuillages drus et les corps nus, dans un même élan, se mêlent à la matière épaisse avec laquelle il triture, laboure et construit son univers. C'est le retour aux "vraies richesses" qui relève de [[Gustave Courbet|Courbet]], de [[Jean-Baptiste Millet|Millet]] ou de Le Nain, au cours duquel Dunoyer de Segonzac n'a peut-être pas complètement oublié les leçons de [[Jean-Paul Laurens]], son ancien professeur… Hostile à toute pression extérieure, à toute théorie, au risque de paraître inactuel, il n'a songé qu'à servir ses dons personnels qui furent évidents dès 1909 et conformés en 1933 par le prix Carnegie. Bien que marqué par un certain [[fauvisme]] fr la forme, il limite sa palette à des teintes spartiates, où l'on trouve, en particulier, des ocres, des terres qui représentaient son amour pour les réalités solides à côté de l'animation des cadmiums. Il fut - quels que soient le thème choisi et le lieu, picturalement transposé - soucieux de ne pas créer de dissonances, de ne pas disperser les formes essentielles qu'il entendait traduire dans sa toile. Pour lui, la qualité pictuale se trouve non dans l'éclat, mais dans la densité, non dans les contrastes et la violence, mais dans l'unité.}} - [[René Huyghe]] de l'[[Académie française]] et Jean Rudel<ref name="HUY">René Huyghe de l'Académie française et Jean Rudel, ''L'art et le monde moderne'', Larousse, 1970, tome 2, {{p.|64}}.</ref>.
* {{citation|En 1918, quelques artistes sincères, recherchant le calme après la tempête et faisant fi de toutes étiquettes, gravent loyalement ce qu'ils ont sous les yeux ; ce sont les réalistes. Le plus grand de tous, le génial Dunoyer de Segonzac, célèbre les horizons du Midi à [[Saint-Tropez]] dans les remarquables eaux-fortes de la ''Ferma à l'aire''. Il chante aussi l'[[Île-de-France]] dans les célèbres ''Paysages du Morin''. Il a conservé le souvenir de ses amis dans les portraits gravés de [[Colette]], [[Léon-Paul Fargue]] et [[André Gide]]. De sa première à sa dernière œuvre, Segonzac reste égal à lui-même. Artiste de plein air, il emporte ses cuivres sur le terrain et il grave, comme un autre dessinerait, saisissant directement et d'instinct ce qui doit être dit. Segonzac peut être considéré comme un des plus grands aquafortistes du {{s-|XX}}.}} - Eugène Rouir<ref name="EUG">Eugène Rouir, ''L'estampe, valeur de placement'', Guy Le Prat éditeur, Paris, 1970, {{p.|90}}.</ref>
* {{citation|Aussi peu soucieux de conformisme que d'anticonformisme, il s'est toujours tenu à l'écart des préoccupations des peintres de sa génération, restant fidèle aux spectacles de la vie quotidienne et de la nature, comme on peut le constater en étudiant son œuvre qui, selon [[Élie Faure]], est "sensualité directe, totale, intelligente, éprise des arabesques expressives que chargent la sève et le sang, mouvement des fonds et des formes vers l'unité globale et remuante de l'objet"… Comparé à celui d'autres graveurs plus déformateurs techniquement et visuellement, écrira [[Jean Bouret]], l'art de Dunoyer de Segonzac reste traditionnel ; il enclôt néanmoins un ton de modernité qui ne trompe pas. Il a aussi pour lui une grande qualité : sa jeunesse d'émotion et d'expression.}} - ''Les Muses - Encyclopédie des arts''<ref name="MUS"/>
* {{citation|Aussi peu soucieux de conformisme que d'anticonformisme, il s'est toujours tenu à l'écart des préoccupations des peintres de sa génération, restant fidèle aux spectacles de la vie quotidienne et de la nature, comme on peut le constater en étudiant son œuvre qui, selon [[Élie Faure]], est "sensualité directe, totale, intelligente, éprise des arabesques expressives que chargent la sève et le sang, mouvement des fonds et des formes vers l'unité globale et remuante de l'objet"… Comparé à celui d'autres graveurs plus déformateurs techniquement et visuellement, écrira [[Jean Bouret]], l'art de Dunoyer de Segonzac reste traditionnel ; il enclôt néanmoins un ton de modernité qui ne trompe pas. Il a aussi pour lui une grande qualité : sa jeunesse d'émotion et d'expression.}} - ''Les Muses - Encyclopédie des arts''<ref name="MUS"/>
* {{citation|Il s'est toujours senti solidaire de [[Camille Corot]], de [[Gustave Courbet]], de [[Johan Barthold Jongkind]] et des grands [[Impressionnisme|Impressionnistes]] que la galerie [[Durand-Ruel]] fut la toute première à deviner et à soutenir héroïquement. À l'inverse des habiles et des incertains passant de vérité en vérité et de style en style pour renaître, méconnaissables, de leurs cendres, déjà avant la Grande Guerre, Segonzac s'était trouvé sans presque avoir eu à se chercher. Son aristocratie foncière, sa résistance à tout ce qui est mode, attitude, maniérisme, l'ont préservé des faux pas et des volte-face. L'âme aussi limpide que le regard, cœur solide qu'aucune sensiblerie n'égare, dessiner, graver, peindre, il ne connut jamais d'autre raison d'être ; c'est là le meilleur moyen pour lui d'oublier, si émerveillé qu'il fût par elle, le peu qu'est la vie. Cet ennemi des honneurs et de toute consécration offisielle n'usa de son charme, de sa fantaisie d'observation, de sa sociabilité, que pour protéger sa solitude, autrement dit son travail… C'est en différenciant les tons et les valeurs les plus rapprochées - quelque procédé dont il use - que Segonzac s'est surpassé. Toute bonne peinture est, pour citer un mot qu'il aime, faite avant tout de ''tenue'' et de retenue, et non des contrastes, des provocations, des désaccords où notre époque désaxée a cru trop souvent voir les signes de la puissance et de l'originalité.}} - [[Claude Roger-Marx]]<ref name="DUR"/>
* {{citation|Sans abandonner complètement la peinture à l'huile, Dunoyer de Segonzac s'orientera de plus en plus vers l'aquarelle, le dessin et l'illustration. Maniant avec une science consommée l'aquarelle à laquelle il mêle volontiers le crayon, la plume et la gouache, il en fera son medium préféré, produisant des œuvres ayant une puissance et une ampleur digne de la peinture à l'huile. Le dessinateur n'est pas moins important, car dès 1909, Dunoyer de Segonac s'est intéressé au monde de la danse ([[Nijinsky]], [[Isadora Duncan]]<ref name="NPG"/>, [[Ida Rubinstein]], à celui du cirque, celui de la boxe, semant tout au long e sa carrière d'innombrables croquis. Il convient aussi de faire état du graveur qui compte parmi les plus importants de notre époque… Dunoyer de Segonzac compte parmi le petit nombre des peintres qui ont voulu rester fidèles aux leçons du passé. Il y a apporté une robustesse, mais aussi un sens de l'harmonie et de la mesure où ses admirateurs ont voulu voir la persistance d'une certaine tradition française.}} - ''Dictionnaire universel de la peinture - [[Le Robert]]''<ref name="ROB"/>
* {{citation|Sans abandonner complètement la peinture à l'huile, Dunoyer de Segonzac s'orientera de plus en plus vers l'aquarelle, le dessin et l'illustration. Maniant avec une science consommée l'aquarelle à laquelle il mêle volontiers le crayon, la plume et la gouache, il en fera son medium préféré, produisant des œuvres ayant une puissance et une ampleur digne de la peinture à l'huile. Le dessinateur n'est pas moins important, car dès 1909, Dunoyer de Segonac s'est intéressé au monde de la danse ([[Vaslav Nijinski|Nijinsky]], [[Isadora Duncan]]<ref name="NPG"/>, [[Ida Rubinstein]], à celui du cirque, celui de la boxe, semant tout au long e sa carrière d'innombrables croquis. Il convient aussi de faire état du graveur qui compte parmi les plus importants de notre époque… Dunoyer de Segonzac compte parmi le petit nombre des peintres qui ont voulu rester fidèles aux leçons du passé. Il y a apporté une robustesse, mais aussi un sens de l'harmonie et de la mesure où ses admirateurs ont voulu voir la persistance d'une certaine tradition française.}} - ''Dictionnaire universel de la peinture - [[Le Robert]]''<ref name="ROB"/>
* {{citation|Son univers oscille entre le soleil de Provence et la vie parisienne, entre l'Afrique, l'Espagne et l'Italie. Autant de thèmes d'inspiration que l'on retrouve dans l'œuvre d'un peintre qui crie sa passion de la terre et le bien-être qu'il éprouve à s'en sentir le maître respectueux. Dunoyer de Segonzac érige ce qu'il appelle la "tenue" en principe essentiel de l'œuvre d'art. Il s'agit d'être capable de dominer son sujet, d'attribuer à chaque chose son importance. C'est de la "tenue" que viennent le rythme, l'harmonie, et cette satisfaction complète dont l'essentiel de ses œuvres témoigne.}} - Patrick-F. Barrer<ref> Patrick-F. Barrer, ''L'histoire du Salon d'automne de 1903 à nos jours'', Les éditions Arts et Images du Monde, 1992, {{pp.|112-113}}.</ref>
* {{citation|Son univers oscille entre le soleil de Provence et la vie parisienne, entre l'Afrique, l'Espagne et l'Italie. Autant de thèmes d'inspiration que l'on retrouve dans l'œuvre d'un peintre qui crie sa passion de la terre et le bien-être qu'il éprouve à s'en sentir le maître respectueux. Dunoyer de Segonzac érige ce qu'il appelle la "tenue" en principe essentiel de l'œuvre d'art. Il s'agit d'être capable de dominer son sujet, d'attribuer à chaque chose son importance. C'est de la "tenue" que viennent le rythme, l'harmonie, et cette satisfaction complète dont l'essentiel de ses œuvres témoigne.}} - Patrick-F. Barrer<ref>Patrick-F. Barrer, ''L'histoire du Salon d'automne de 1903 à nos jours'', Les éditions Arts et Images du Monde, 1992, {{pp.|112-113}}.</ref>
* {{citation|Il se situe dans l'histoire de l'art moderne comme le peintre le plus classique et le plus strictement indépendant au sens du terme de l'[[École de Paris]] entre les deux guerres : hors des modes, il a toujours accompli son œuvre et même sa carrière sans se soucier des différents mouvements qui s'échafaudaient autour de lui. Pas d'évolution non plus : on aurait tort de chercher à distinguer chez lui des périodes. Il s'épanouit au contact direct de la nature ("Segonzac ne peut rêver que face au motif et l'œil grand ouvert" disait [[Claude Roger-Marx]]), reprenant sans cesse ses thèmes favoris : la rivière, l'arbre, la ferme, l'oliveraie, le village et son église, dans des harmonies de verts de bleus et d'ocres. Ses tons sourds, aux valeurs rapprochées, exaltent les contours d'un paysage, d'un nu, d'une nature morte. Segonzac les fait vibrer avec plus de bonheur dans ses aquarelles que dans ses toiles, si l'on excepte ses huiles signées avant 1920, chefs-d'œuvre de robustesse paysanne et sensuelle.}} - [[Gérald Schurr]]<ref> Gérald Schurr, ''Le Guidargus de la peinture'', Les Éditions de l'Amateur, 1993, {{p.|362}}.</ref>
* {{citation|Il se situe dans l'histoire de l'art moderne comme le peintre le plus classique et le plus strictement indépendant au sens du terme de l'[[École de Paris]] entre les deux guerres : hors des modes, il a toujours accompli son œuvre et même sa carrière sans se soucier des différents mouvements qui s'échafaudaient autour de lui. Pas d'évolution non plus : on aurait tort de chercher à distinguer chez lui des périodes. Il s'épanouit au contact direct de la nature ("Segonzac ne peut rêver que face au motif et l'œil grand ouvert" disait [[Claude Roger-Marx]]), reprenant sans cesse ses thèmes favoris : la rivière, l'arbre, la ferme, l'oliveraie, le village et son église, dans des harmonies de verts de bleus et d'ocres. Ses tons sourds, aux valeurs rapprochées, exaltent les contours d'un paysage, d'un nu, d'une nature morte. Segonzac les fait vibrer avec plus de bonheur dans ses aquarelles que dans ses toiles, si l'on excepte ses huiles signées avant 1920, chefs-d'œuvre de robustesse paysanne et sensuelle.}} - [[Gérald Schurr]]<ref>Gérald Schurr, ''Le Guidargus de la peinture'', Les Éditions de l'Amateur, 1993, {{p.|362}}.</ref>


== Prix et distinctions ==
== Prix et distinctions ==
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== Hommages ==
== Hommages ==
* Lors du couronnement d'[[Elizabeth II]] à [[Londres]] en 1953, le président de la République [[Vincent Auriol]] offrit à la jeune reine deux aquarelles d'André Dunoyer de Segonzac<ref name="ROY"/>{{,}}<ref name="SOI"/>.
* Lors du couronnement d'[[Élisabeth II]] à [[Londres]] en 1953, le président de la République [[Vincent Auriol]] offrit à la jeune reine deux aquarelles d'André Dunoyer de Segonzac<ref name="ROY"/>{{,}}<ref name="SOI"/>.
* La [[galerie d'art Albright-Knox]] de [[Buffalo (New York)]] conserve l'un des six exemplaires du buste en bronze d'André Dunoyer de Segonzac, œuvre de [[Charles Despiau]]<ref name="BUF">[https://buffaloakg.org/person/andre-dunoyer-de-segonzac Galerie d'art Albright-Knox, ''"André Dunoyer de Segonzac" par Charles Despiau dans les collections]</ref>.
* La [[galerie d'art Albright-Knox]] de [[Buffalo (New York)]] conserve l'un des six exemplaires du buste en bronze d'André Dunoyer de Segonzac, œuvre de [[Charles Despiau]]<ref name="BUF">[https://buffaloakg.org/person/andre-dunoyer-de-segonzac Galerie d'art Albright-Knox, ''"André Dunoyer de Segonzac"'' par Charles Despiau dans les collections].</ref>.
* Le [[musée national d'Art moderne]] de Paris conserve le portrait d'André Dunoyer de Segonzac dessiné par {{lien|langue=en|fr=Marie Elisabeth Wrede|texte=Marie Elisabeth Wrede}}<ref>[https://www.centrepompidou.fr/fr/ressources/oeuvre/car8kx Musée national d'Art moderne, ''Marie Elisabeth Wrede dans les collections'']</ref>.
* Le nom d'André Dunoyer de Segonzac a été attribué au collège de sa commune natale de Boussy-Saint-Antoine, à une résidence universitaire à [[Guyancourt]], une allée à [[Vannes]] et à une école à [[Antony]].
* Le nom d'André Dunoyer de Segonzac a été attribué au collège de sa commune natale de Boussy-Saint-Antoine, à une résidence universitaire à [[Guyancourt]], une allée à [[Vannes]] et à une école à [[Antony]].


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=== Bibliographie ===
=== Bibliographie ===
{{légende plume}}
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* [[Ulrich Thieme]] et [[Felix Becker (historien de l'art)|Felix Becker]], ''[[Thieme-Becker|Allgemeines Lexikon der bildenden Künstler von der Antike bis zur Gegenwart]]'', Vol.30, [[E. A. Seemann]], Leipzig, 1914.
*[[René-Jean]], ''A. Dunoyer de Segonzac'', ''Les Peintres français nouveaux'', {{n°|11}}, Paris, NRF, 1922.
* [[Claude Roger-Marx]], « Dunoyer de Segonzac », ''Cahier d'aujourd'hui'', Paris, 1925.
* [[Tristan Klingsor]], ''La peinture (l'art depuis vingt ans)'', Rieder, Paris, 1921.
* [[René-Jean]], « A. Dunoyer de Segonzac et son œuvre », ''Les Peintres français nouveaux'', {{n°|11}}, Paris, N.R.F., 1922.
* [[Florent Fels]]n ''Propos d'artistes'', La Renaissance du livre, 1925.
* [[Claude Roger-Marx]], « Dunoyer de Segonzac », ''Les Cahiers nouveaux'', G. Crès & Cie, Paris, 1925.
* [[François Fosca]], « Aquarelles et dessins de Dunoyer de Segonzac », ''L'Amour de l'art'', n°1, janvier 1927 [https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k42262130/f23.item (consulter en ligne)].
* [[Pierre Courthion]], ''Panorama de la peinture française contemporaine'', S. Kra, Paris, 1927.
* Jacques Guenne, ''André Dunoyer de Segonzac'', éditions Marcel Seheur, Paris, 1928.
* Claude Roger-Marx, ''Dunoyer de Segonzac - L'œuvre gravé - Dessins - Aquarelles'', imprimerie Dumoulin, 1937.
* Claude Roger-Marx, ''Dunoyer de Segonzac - L'œuvre gravé - Dessins - Aquarelles'', imprimerie Dumoulin, 1937.
* [[Paul Jamot]], ''Dunoyer de Segonzac'', Paris, 1941.
* [[René Huyghe]], ''Les Contemporains'', éditions Pierre Tisné, Paris, 1939.
* [[Paul Jamot]], ''Dunoyer de Segonzac'', collection « Anciens et modernes », Librairie Floury, Paris, 1941 [https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k96916642.texteImage (consulter en ligne)].
* [[Maximilien Gauthier]], ''Dunoyer de Segonzac'', imprimerie Union, Paris, 1949.
* [[Maximilien Gauthier]], ''Dunoyer de Segonzac'', imprimerie Union, Paris, 1949.
* [[Claude Roger-Marx]], ''Dunoyer de Segonzac'', 225 exemplaires numérotés enrichis de 4 eaux-fortes originales d'André Dunoyer de Segonzac, collection « Peintres et sculpteurs d'hier et d'aujourd'hui », éditions Pierre Cailler, Genève, 1951.
* [[Claude Roger-Marx]], ''Dunoyer de Segonzac'', {{nobr|225 exemplaires}} numérotés enrichis de {{nobr|4 eaux}}-fortes originales d'André Dunoyer de Segonzac, collection « Peintres et sculpteurs d'hier et d'aujourd'hui », éditions Pierre Cailler, Genève, 1951.
* [[Hans Vollmer (historien de l'art)|Hans Vollmer]], ''Allgemeines Lexikon der bildenden Künstler des XX Jahshunderts'', vol.1, [[E. A. Seemann]], Leipzig, 1953.
* [[Jerzy Waldemar Jarocinski|Waldemar-George]], ''Dunoyer de Segonzac'', éditions Laboratoire Chantereau, Arcueil, 1956.
* [[Waldemar-George]], ''Dunoyer de Segonzac'', éditions Laboratoire Chantereau, Arcueil, 1956.
* [[Bernard Dorival]] (photographies de Roger Hauert), ''Segonzac'', collection « Les grand peintres », éditions René Kister, Genève / Union européenne d'éditions, Monaco, 1956.
* [[Bernard Dorival]], ''Les peintres du vingtième siècle - Du cubisme à l'abstraction, 1914-1957'', éditions Pierre Tisné, Paris, 1957.
* [[Bernard Dorival]], ''Les peintres du vingtième siècle - Du cubisme à l'abstraction, 1914-1957'', éditions Pierre Tisné, Paris, 1957.
* [[Jean Vallery-Radot]] et [[Jean Adhémar]] (préface de [[Julien Cain]], '' Dunoyer de Segonzac - Gravures, dessins, aquarelles'', éditions de la Bibliothèque nationale de France, 1958 [http://editions.bnf.fr/andré-dunoyer-de-segonzac (présentation en ligne)] ; [https://archive.org/details/bnf-bpt6k64568628/page/n9/mode/2up?view=theater (consulter en ligne)].
* [[Jean Vallery-Radot]] et [[Jean Adhémar]] (préface de [[Julien Cain]], '' Dunoyer de Segonzac - Gravures, dessins, aquarelles'', éditions de la Bibliothèque nationale de France, 1958 [http://editions.bnf.fr/andré-dunoyer-de-segonzac (présentation en ligne)] ; [https://archive.org/details/bnf-bpt6k64568628/page/n9/mode/2up?view=theater (consulter en ligne)].
* Aimée Lioré et Pierre Cailler, ''Catalogue de l'œuvre gravé de Dunoyer de Segonzac'', 8 volumes, 1.595 numéros décrits, Genève, Pierre Cailler, 1958-1970.
* Aimée Lioré et Pierre Cailler, ''Catalogue de l'œuvre gravé de Dunoyer de Segonzac'', 8 volumes, 1.595 numéros décrits, Genève, Pierre Cailler, 1958-1970.
* Raymond Nacenta, ''School of Paris - The painters and the artistic climate of Paris since 1910'', Oldbourne Book Company Ltd., Londres, 1960 [https://archive.org/stream/schoolofparispai00nace/schoolofparispai00nace_djvu.txt (consulter en ligne)].
* [[René Huyghe]] de l'[[Académie française]], ''L'Art et l'homme'', vol.3, Librairie Larousse, 1961.
* [[René Huyghe]] de l'[[Académie française]], ''L'Art et l'homme'', vol.3, Librairie Larousse, 1961.
* Pierre Cabanne, ''Le Midi des peintres'', collection « Tout par l'image », Hachette, 1964 {{plume}}.
* Pierre Cabanne, ''Le Midi des peintres'', collection « Tout par l'image », Hachette, 1964 {{plume}}.
* François Talva, ''André Dunoyer de Segonzac, [[Albert Marquet]] et d'autres illustrateurs de "Bubu de Montparnasse"'', Les Amis de Charles-Louis Philippe / imprimerie A. Pottier, Moulins, 1984.
* [[Max-Pol Fouchet]], ''Segonzac, Saint-Tropez et la Provence'', Paris, 1965.
* [[Max-Pol Fouchet]], ''Segonzac, Saint-Tropez et la Provence'', Paris, 1965.
* [[Georges Charensol]], ''Dunoyer de Segonzac'', in ''Les grands maîtres de la peinture moderne'', Lausanne, 1967.
* [[Georges Charensol]], ''Dunoyer de Segonzac'', in ''Les grands maîtres de la peinture moderne'', Lausanne, 1967.
* René Huyghe de l'Académie française et Jean Rudel, ''L'art et le monde moderne'', tome 2, [[éditions Larousse]], 1970 {{plume}}.
* René Huyghe de l'Académie française et Jean Rudel, ''L'art et le monde moderne'', tome 2, [[éditions Larousse]], 1970 {{plume}}.
* Roger Passeron, ''Les gravures de Dunoyer de Segonzac'', Bibliothèque des Arts, Paris, 1970.
* Roger Passeron, ''Les gravures de Dunoyer de Segonzac'', Bibliothèque des Arts, Paris, 1970.
* Eugène Rouir, ''L'estampe, valeur de placement'', Guy Le Prat éditeur d'art, Paris, 1970.
* Pierre Cailler, ''Dessins de Segonzac de 1910 à 1971'', éditions Pierre Cailler, Genève, 1971.
* Pierre Cailler, ''Dessins de Segonzac de 1910 à 1971'', éditions Pierre Cailler, Genève, 1971.
* ''Les Muses - Encyclopédie des arts'', tome 6, Grange Batelière, Paris, 1971 {{plume}}.
* ''Les Muses - Encyclopédie des arts'', tome 6, Grange Batelière, Paris, 1971 {{plume}}.
* ''[[Grande Encyclopédie Larousse]]'', éditions Larousse, 1971-1976 [https://www.larousse.fr/encyclopedie/personnage/Andre_Dunoyer_de_Segonzac/117379 (Consulter en ligne)].
* ''[[Grande Encyclopédie Larousse]]'', éditions Larousse, 1971-1976 [https://www.larousse.fr/encyclopedie/personnage/Andre_Dunoyer_de_Segonzac/117379 (Consulter en ligne)].
* [[Claude Roger-Marx]], ''Dunoyer de Segonzac - Soixante années de peinture'', Galerie [[Durand-Ruel]], Paris / imprimerie Busson, Paris, 1972 {{plume}}.
* Henri Hugault, ''Dunoyer de Segonzac'', Bibliothèque des Arts, Paris, 1973.
* Henri Hugault, ''Dunoyer de Segonzac'', Bibliothèque des Arts, Paris, 1973.
* [[André Brincourt]], ''Noir sur Blanc'', Fayard, 1973 [https://books.google.fr/books?id=6KCODwAAQBAJ&pg=PT175&lpg=PT174&dq=andré+dunoyer+de+segonzac&source=bl&ots=4EWAS9nIgn&sig=ACfU3U1ub5lTEew959oT1mb7E5wMCNCJBg&hl=fr&sa=X&ved=2ahUKEwj5pInQ4f35AhXJMMAKHQ1JD3s4jAEQ6AF6BAgaEAM#v=onepage&q=andré%20dunoyer%20de%20segonzac&f=false (consulter en ligne)].
* [[André Brincourt]], ''Noir sur Blanc'', Fayard, 1973 [https://books.google.fr/books?id=6KCODwAAQBAJ&pg=PT175&lpg=PT174&dq=andré+dunoyer+de+segonzac&source=bl&ots=4EWAS9nIgn&sig=ACfU3U1ub5lTEew959oT1mb7E5wMCNCJBg&hl=fr&sa=X&ved=2ahUKEwj5pInQ4f35AhXJMMAKHQ1JD3s4jAEQ6AF6BAgaEAM#v=onepage&q=andré%20dunoyer%20de%20segonzac&f=false (consulter en ligne)].
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* Sous la direction de Hans L.C. Jaffé, ''Le monde de la peinture des origines à nos jours'', V.N.U. Books International, 1980 {{plume}}.
* Sous la direction de Hans L.C. Jaffé, ''Le monde de la peinture des origines à nos jours'', V.N.U. Books International, 1980 {{plume}}.
* Ronald Alley, ''Catalogue of the Tate Gallery's Collection of Modern Art other than works by British artists'', Tate Gallery / Sotheby Parke-Bernet, Londres, 1981.
* Ronald Alley, ''Catalogue of the Tate Gallery's Collection of Modern Art other than works by British artists'', Tate Gallery / Sotheby Parke-Bernet, Londres, 1981.
* [[André Beucler]], ''Plaisir de mémoire - De [[Saint-Pétersbourg]] à [[Quartier Saint-Germain-des-Prés|Saint-Germain-des-Prés]] - Tome 2'', Gallimard, 1982.
* Sous la direction de Simone Bourland-Colin, ''La Provence vue par André Dunoyer de Segonzac'', éditions Musées d'archéologie, Marseille, 1984.
* Sous la direction de Simone Bourland-Colin, ''La Provence vue par André Dunoyer de Segonzac'', éditions Musées d'archéologie, Marseille, 1984.
* Marianne Delafond, ''Dunoyer de Segonzac'', éditions du [[Musée Marmottan]] / Bibliothèque des Arts, Paris, 1985.
* Marianne Delafond, ''Dunoyer de Segonzac'', éditions du [[Musée Marmottan]] / Bibliothèque des Arts, Paris, 1985.
* Patrick-F. Barrer, ''L'histoire du Salon d'automne de 1903 à nos jours'', Les éditions Arts et Images du Monde, Paris, 1992 {{plume}}.
* Patrick-F. Barrer, ''L'histoire du Salon d'automne de 1903 à nos jours'', Les éditions Arts et Images du Monde, Paris, 1992 {{plume}}.
* Andreas Beyer, Bénédicte Savoy, Wolf Tegethoff et Eberhard König, ''[[Allgemeines Künstlerlexikon]] : die bildenden KÜnstler aller Zeiten und Völker'', vol.31, [[K. G. Saur Verlag]], Munich et Leipzig, 1992.
* [[Laurence Bertrand Dorléac]], ''L'art de la défaite'', Seuil, 1993 {{plume}}.
* [[Laurence Bertrand Dorléac]], ''L'art de la défaite'', Seuil, 1993 {{plume}}.
* [[Gérald Schurr]], ''[[Le Guidargus de la peinture]]'', Les [[Éditions de l'Amateur]], 1993 {{plume}}.
* [[Gérald Schurr]], ''[[Le Guidargus de la peinture]]'', Les [[Éditions de l'Amateur]], 1993 {{plume}}.
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* [[Limore Yagil]], ''Au nom de l'art, 1933-1945 - Exils, solidarités et engagements'', Fayard, 2015.
* [[Limore Yagil]], ''Au nom de l'art, 1933-1945 - Exils, solidarités et engagements'', Fayard, 2015.
* {{chapitre|libellé=Chilvers 2017|langue=en|auteur= Ian Chilvers |titre chapitre=Dunoyer de Segonzac, André|titre ouvrage=The Oxford Dictionary of Art and Artists|numéro édition=5|année=2017|url=https://www.google.fr/books/edition/The_Oxford_Dictionary_of_Art_and_Artists/HFExDwAAQBAJ?hl=fr&gbpv=1&dq=%22Dunoyer+de+Segonzac,+Andr%C3%A9%22+%2B+%221884%22&pg=PT485&printsec=frontcover|plume=oui}}.
* {{chapitre|libellé=Chilvers 2017|langue=en|auteur= Ian Chilvers |titre chapitre=Dunoyer de Segonzac, André|titre ouvrage=The Oxford Dictionary of Art and Artists|numéro édition=5|année=2017|url=https://www.google.fr/books/edition/The_Oxford_Dictionary_of_Art_and_Artists/HFExDwAAQBAJ?hl=fr&gbpv=1&dq=%22Dunoyer+de+Segonzac,+Andr%C3%A9%22+%2B+%221884%22&pg=PT485&printsec=frontcover|plume=oui}}.
* Werner Lange (préface de Mikhail Chemiakine), ''Les artistes français sous l'Occupation'', éditions Dean, Saint-Pétersbourg, 2017.
* Michel Charzat, ''André Dunoyer de Segonzac : la force de la nature, l'amour de la vie'', Gourcuff Gradenigo éditeur, 2021 {{plume}}.
* Michel Charzat, ''André Dunoyer de Segonzac : la force de la nature, l'amour de la vie'', Gourcuff Gradenigo éditeur, 2021 {{plume}}.


=== Presse ===
=== Presse ===
* [[Claude Roger-Marx]], « Dunoyer de Segonzac », ''L'Amour de l'art'', mai 1921.
* ''[[Le Crapouillot]]'', 16 mai 1921, dessin d'André Dunoyer de Segonzac (''Nu'') en couverture.
* [[Roger Allard]], « Dunoyer de Segonzac », ''La Revue universelle'', 1{{er}} novembre 1921.
* ''[[Le Crapouillot]]'', {{date-|16 mai 1921}}, dessin d'André Dunoyer de Segonzac (''Nu'') en couverture.
* Jacques de Laprade, « Dunoyer de Segonzac », ''Beaux-Arts'', 25 décembre 1936.


=== Radiophonie ===
=== Radiophonie ===
* ''Interview d'André Dunoyer de Segonzac'', Radio-Nice, 1955, Fonds Archives départementales des Alpes-Maritimes, ''Documents sonores isolés'', 1AV107, mis en ligne le 1{{er}} décembre 2014 [https://www.dailymotion.com/video/x2bh0x2 (écouter en ligne)].
* ''Interview d'André Dunoyer de Segonzac'', Radio-Nice, 1955, Fonds Archives départementales des Alpes-Maritimes, ''Documents sonores isolés'', 1AV107, mis en ligne le {{date-|1er décembre 2014}} [https://www.dailymotion.com/video/x2bh0x2 (écouter en ligne)].


=== Filmographie ===
=== Filmographie ===
* ''Dunoyer de Segonzac'' (1962), film documentaire en couleur réalisé par [[Michèle Brabo]] (1916-2013), musique de [[Tony Aubin]], commentaires de [[Robert Rey]] lus par [[Françoise Spira]] et [[Colette]], production des films Septentrion. Il a obtenu la plaque du Lion de Saint-Marc à la {{5e}} Exposition internationale du film sur l'art à Venise en 1962 {{OCLC|77219194}}.
* ''Dunoyer de Segonzac'' (1962), film documentaire en couleur réalisé par [[Michèle Brabo]] (1916-2013), musique de [[Tony Aubin]], commentaires de [[Robert Rey]] lus par [[Françoise Spira]] et [[Colette]], production des films Septentrion. Il a obtenu la plaque du Lion de Saint-Marc à la {{5e}} Exposition internationale du film sur l'art à Venise en 1962 {{OCLC|77219194}}.
* Jean Melchior Delpias, ''Au long de l'Yerres à Boussy-Saint-Antoine, sur les pas d'André Dunoyer de Segonzac'',2020 [https://www.youtube.com/watch?v=0fRQxWlSHFU (visionner en ligne - Source : YouTube ; durée : 4'12")].
* Jean Melchior Delpias, ''Au long de l'Yerres à Boussy-Saint-Antoine, sur les pas d'André Dunoyer de Segonzac'', 2020 [https://www.youtube.com/watch?v=0fRQxWlSHFU (visionner en ligne - Source : YouTube ; durée : 4'12")].


=== Iconographie ===
=== Iconographie ===
* Photographie d'André Dunoyer de Segonzac par [[George Platt Lynes]], 1934, collections [[Art Institute of Chicago]] [https://www.artic.edu/artworks/123576/andre-dunoyer-de-segonzac (consulter en ligne)]..
* Photographie d'André Dunoyer de Segonzac par [[George Platt Lynes]], 1934, collections [[Art Institute of Chicago]] [https://www.artic.edu/artworks/123576/andre-dunoyer-de-segonzac (consulter en ligne)].
* Photographie d'André Dunoyer de Segonzac dessinant sur le motif par [[Todd Webb]], 1948, collections du [[musée des Beaux-Arts de Houston]] [https://emuseum.mfah.org/objects/107761/french-painter-andre-dunoyer-de-segonzac-paris;jsessionid=6C403265F4F358CF64DC5D8C31845CF1 (consulter en ligne)].
* Photographie d'André Dunoyer de Segonzac dessinant sur le motif par [[Todd Webb]], 1948, collections du [[musée des Beaux-Arts de Houston]] [https://emuseum.mfah.org/objects/107761/french-painter-andre-dunoyer-de-segonzac-paris;jsessionid=6C403265F4F358CF64DC5D8C31845CF1 (consulter en ligne)].


=== Liens externes ===
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[[Catégorie:Personnalité inhumée au cimetière marin de Saint-Tropez]]
[[Catégorie:Personnalité inhumée au cimetière marin de Saint-Tropez]]

Version du 12 avril 2024 à 19:51

André Dunoyer de Segonzac
Naissance
Décès
Sépulture
Nom de naissance
Albert André Marie Dunoyer de Segonzac
Nationalité
Française
Activité
Formation
Maître
Représenté par
Mouvement
Famille
Père
Louis Dunoyer de Segonzac (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Mère
Amélie Persil (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Distinction
Archives conservées par
Archives départementales des Yvelines (166J, Ms 10001-10003, 3 pièces, -)[1]Voir et modifier les données sur Wikidata

André Albert Marie Dunoyer de Segonzac, né le à Boussy-Saint-Antoine (Seine-et-Oise, aujourd'hui Essonne) et mort le à Paris, est un peintre, dessinateur, graveur et illustrateur français.

On retient qu'« il apparut, dès 1918, comme le principal représentant du réalisme traditionnel »[2].

Biographie

Honoré Daumier, Le Père-Scie

André Dunoyer de Segonzac naît le à Boussy-Saint-Antoine[3],[4], du mariage de Louis Dunoyer de Segonzac (1843-1937), officier de marine, et Clémence Amélie Persil (1854-1918). Côté paternel, il est issu d'une famille de la noblesse française d'extraction (1558), originaire du Quercy[5].

Il a pour arrière-grand-père maternel Jean-Charles Persil qui fut garde des sceaux du roi Louis-Philippe Ier et qu'Honoré Daumier caricatura sous le sobriquet de Père-Scie[6].

Jeunesse et formation

Boussy-Saint-Antoine

Il passe la plus grande partie de sa jeunesse dans son village natal à propos duquel Jean Vallery-Radot restitue des réminiscences durables : « L'Yerres traversait la propriété de sa grand-mère. Cette charmante petite rivière qu'ombragent des saules et des aulnes demeurera liée à ses souvenirs d'enfance. Il n'oubliera pas les reflets du ciel éclairant de manière intermittente l'eau qui courait sous les arbres. Plus tard, il saura rendre ces délicats effets, car l'eau et l'arbre demeureront à jamais ses thèmes de prédilection »[7]. Il est « médiocre élève » du lycée Henri-IV à Paris« il croque déjà les professeurs sur les copies de version latine »[8] - cette vocation précoce décevra l'ambition parentale de le destiner à Saint-Cyr[9] - et où il rencontre Gus Bofa qui restera un de ses proches.

En 1900, il est élève libre de l'École nationale supérieure des beaux-arts de Paris. En 1903, parallèlement à l'étude du malinké qui, à l'École nationale des langues orientales, lui vaudra une licence en dialectes soudanais[6], il entre dans l’atelier privé de Luc-Olivier Merson qu'il quitte, en mauvais termes avec ce maître, après son service militaire pour, en 1907, devenir à l'Académie Julian l'élève de Jean-Paul Laurens, puis dispose ensuite d'un atelier à l'Académie de la Palette à Montparnasse, où il reçoit les conseils de Georges Desvallières et Charles Guérin[10] et où lui-même enseignera[9]. Il fait la connaissance de Luc-Albert Moreau et de Jean-Louis Boussingault avec lequel il partage un atelier au 37, rue Saint-André-des-Arts[9]. C'est aux côtés de ces deux derniers qu'il va « participer à un mouvement que Bernard Dorival va qualifier de néo-réaliste, s'opposant aussi bien à la tradition académique qu'aux courants d'avant-garde, sans toutefois posséder "une doctrine explicitement formulée »[11]. Ses premiers dessins sont publiés en 1908 dans La Grande revue et Le Témoin, hebdomadaire créé par son ami Paul Iribe[2].

Le jeune peintre

En 1908, il commence à exposer au Salon d'automne et au Salon des indépendants, avec Paul Signac et Maximilien Luce. Son installation d'alors avenue Sainte-Marie à Chaville (alors en Seine-et-Oise, aujourd'hui dans les Hauts-de-Seine), ville qu'il habitera jusqu'à sa mort[12],[13], est liée à son attachement à la cité voisine de Versailles dont il évoque lui-même l'ancienneté : « Dès mon enfance, j'ai connu Versailles, ce merveilleux témoignage de l'esprit de France » écrit-il pour souligner que, depuis l'âge de sept ans, il s'y rend chez un oncle conseiller d'État. C'est ainsi qu'il sera considéré que « les artistes formant l'École de Versailles resteront les héritiers de Dunoyer de Segonzac »[14] qui, cependant, continue de travailler dans son atelier parisien, au no 13 de la rue Bonaparte[15].

Saint-Tropez

À partir de cette même année 1908, louant une maison appartenant à Paul Signac, Dunoyer découvre les paysages de Saint-Tropez, auxquels il restera fidèle en y séjournant jusqu'à la fin de sa vie. Paul Jamot situe là, puisque sa peinture d'avant 1898 demeurait confinée dans la nature morte, l'inauguration de sa peinture de paysages[6] et Pierre Cabanne restitue : « Luc-Albert Moreau et André Villeboeuf viennent l'y rejoindre. Il ne la quitte maintenant que devant l'invasion bruyante et colorée de l'été. Léon-Paul Fargue l'y voit vivre[16] dans cette maison du "Maquis" que, de fait, avec Luc-Albert-Moreau et André Villeboeuf, il a acheté à Charles Camoin (il y aura pour voisine Colette qui, dans ses livres, l'appellera « le grand Dédé » et chez qui il gravera les planches de La Treille musicale[7]), sous les oliviers ou le long des vignes dont il fera les paysages gravés de ses Géorgiques, sur les plages où des multitudes de corps se rôtissent au soleil et qu'il contemple "de son œil d'oiseau endormi" »[17]. Pour le reste, il mène une véritable vie de nomade, à la recherche du motif surtout à travers l’Île-de-France, la vallée du Grand Morin, Feucherolles, Chennevières-sur-Marne, Guyancourt, etc.

Paul Poiret
Isadora Duncan

En 1910, il se lie d'amitié avec le couturier Paul Poiret et rencontre Max Jacob, Raoul Dufy et Maurice de Vlaminck. Il brosse les décors des fêtes données par Paul Poiret comme, avec Raoul Dufy, ceux de la « Mille et deuxième nuit » dans les jardins du Faubourg Saint-Honoré, ou ceux de la « soirée des Butard » où, dans les bois de Vaucresson, dansa Isadora Duncan[7].

De 1910 à 1914, il voyage en Italie, en Espagne, en Afrique du Nord, et s’intéresse au sport et à la danse (dessins des Ballets russes d’Isadora Duncan, 1911, Les Boxeurs 1910) à propos desquels Dunoyer de Segonzac restitue lui-même que, de tous les sports, c'est de fait la boxe qui l'a le plus passionné : « j'allais aux grands combats, salle Wagram, à l'Hippodrome et à la Grande Roue, mais j'affectionnais particulièrement une salle modeste : Les Arènes de Boxe où paraissaient les débutants dans de petits matches à quatre à six rounds maximum »[18]. Il est alors, avec Roger de La Fresnaye et Luc-Albert Moreau, bel et bien situé dans la mouvance cubiste dont il se désolidarisera rapidement[19]. De fait, dans sa visite du Salon des indépendants de 1914, André Salmon observe « une tentative de renouveau du cubisme » qu'il évoque sous l'appellation de « naturalisme organisé » et qu'il situe, proche de Roger de La Fresnaye, autour d'André Lhote, André Dunoyer de Segonzac et Luc-Albert Moreau[20].

Première Guerre mondiale

Charles Despiau

De 1914 à 1918, mobilisé en tant que sergent au 353e régiment d'infanterie, il fait la guerre durement, avant d’être affecté dans une section camouflage ddu Groupe d'armées du Nord, puis de commander celle de la 3e armée[7] : il dirige l'atelier de camouflage d'Amiens, puis celui de Noyon, se spécialisant dans la pose des faux arbres[21],[22] et ayant sous ses ordres le sculpteur Charles Despiau (le buste de Dunoyer de Segonzac que celui-ci exécutera en 1943-1944 témoignera de leur amitié pérenne[23]), les peintres Charles Dufresne, Charles Camoin, Jean Puy et Jean-Louis Boussingault qui, avec lui, Jean Marchand et Luc-Albert Moreau, dans une revendication commune de l'héritage de Gustave Courbet, forment le groupe de « la bande noire »[9].

Il exécute de nombreux dessins de guerre, précieux par leur valeur artistique et documentaire, qui sont largement publiés dans Le Crapouillot et dans L'Élan, revue fondée par Amédée Ozenfant[7] et où celui-ci ajoute son propre commentaire : « devant la lucidité de ces lignes, comment imaginer que l'auteur est lui-même un soldat, qu'il se bat, et que la même main, en des instants consécutifs. a commandé l'attaque et construit ce contour ? Admirons cette force qui est la force française »[24].

André Dunoyer de Segonzac, perçoit Hadrien Viraben un siècle plus tard dans l'étude qu'il consacre à ce second périodique, « prisonnier d'une nouvelle manière de combattre, donne à la réalité du front un aspect qui, sans être sanglant, n'en est pas moins pesant et anxiogène ». Ses dessins ne sont pas la dénégation de massacres que d'autres saisissent par la photographie, mais « proposent une lecture plus humaine et plus calme du front, sans être pourtant parfaitement sereine. Face au reportage et à l'anonymat des photographes, Segonzac témoigne de l'identité des hommes avec lesquels il partage l'expérience du front »[19].

L'après-guerre

Dès 1919, année où il s'initie à l'eau-forte afin d'illustrer Les Croix de bois de Roland Dorgelès[10], il figure de nouveau dans de très nombreuses expositions, dont les principaux salons parisiens. Ses premiers paysages à l'aquarelle datent de 1920[10].

En 1921, il rencontre Paul Valéry, Léon-Paul Fargue, Valéry Larbaud et Jean Cocteau[10]. En 1928, il fait un voyage aux États-Unis où il rencontre un vif succès. En 1930, il se lie d’amitié avec André Derain.

Il est membre du comité d'honneur de l'Association du foyer de l’abbaye de Royaumont et président de la Société des peintres-graveurs français.

Sous l'Occupation, il participe, en novembre 1941 à un « voyage d’études » en Allemagne, organisé par Arno Breker, acceptant, comme d'autres artistes parmi les plus renommés, de partir visiter les hauts lieux de la culture allemande ainsi que des ateliers d’artistes[25],[26],[27].

En 1947, il est élu membre de la Royal Academy de Londres. À partir de 1951, ses œuvres peintes et gravées font l'objet d'expositions multiples en France, en Europe et aux États-Unis. De nombreuses études lui sont consacrées.

Mort et postérité

Cimetière marin de Saint-Tropez
Thérèse Dorny (1891-1976)

Quittant ce monde dans une mort douce le - « Dunoyer de Segonzac est mort ce matin dans l'ignorance qu'il trépassait. La fin que lâchement je me souhaite » note ce jour-là son ami Michel Ciry[28] -, l'artiste est inhumé au cimetière marin de Saint-Tropez auprès de l'actrice Thérèse Dorny (1891-1976) qu'il avait épousé le [29].

On peut être surpris de voir André Dunoyer de Segonzac, après sa mort, situé par certains historiens de l'art dans le courant expressionniste. Ainsi en va-t-il en 1980 de Hans L.C. Jaffé qui retient rétrospectivement que « l'expressionnisme » des années qui suivirent la Première Guerre mondiale eut peu d'influence en France. En dehors de Marcel Gromaire, avec ses compositions solidement construites, aux couleurs sombres, le principal représentant de cette tendance en France fut Dunoyer de Segonzac. Le paysage fut son thème de prédilection, mais, au lieu des touches extatiques de couleur qui caractérisaient les Fauves, au lieu de la véhémence passionnée de Chaïm Soutine, on remarque dans ses tableaux une atmosphère opprimante et lourde qui les rattache aux écoles nordiques. Segonzac s'efforça de faire revivre un style classique fondé sur le retour à Paul Cézanne, mais son tempérament romantique et nordique imprima à son œuvre le sceau de sa propre personnalité[30].

En 1985, [Georges Charensol préfère retenir que l'œuvre d'André Dunoyer de Segonzac se situe tout simplement « hors du temps », s'en justifiant par le constat que, pour l'artiste, il n'était pas « question de remettre en cause l'impressionnisme, le divisionnisme, le symbolisme, le fauvisme, le cubisme, les multiples formes d'art abstrait. Segonzac les a connus, comme tous les peintres de sa génération, mais, seul ou presque, il a refusé l'influence du cubisme. C'est ce refus qui fait de lui une des personnalités majeures de l'histoire de notre temps »[31].

Michel Charzat, constatant pour sa part en 2021 que le nom d'André Dunoyer de Segonzac, qui « était sans doute l'un des peintres français les plus connus et les plus admirés du XXe siècle », n'est plus, un demi-siècle après sa mort, « retenu que par une génération de collectionneurs de gravures et de livres illustrés », retient cependant que, « célèbre dans les années 1920-1025, Dunoyer de Segonzac reste une figure incontournable de la peinture française. Associé à André Derain et Henri Matisse avec lesquels il forme le trio des maîtres de la peinture française contemporaine, figure "contraire" de Pablo Picasso, comme se plaisait à le définir Claude Roger-Marx, il en a été le parfait contemporain et ami. Son art ne s'est intéressé que furtivement au cubisme et à l'abstraction et reste marqué par le goût de la figuration commun à toute une génération d'artistes européens de l'entre-deux-guerres. Sa peinture s'impose comme l'une des plus représentatives du XXe siècle, par la somme des éloges reçus et par sa diffusion dans le monde entier, même si l'homme reste peu connu »[32].

Œuvre

À peu près indifférent aux révolutions esthétiques contemporaines, Dunoyer de Segonzac entreprend, avec ses amis Jean-Louis Boussingault et Luc-Albert Moreau, de ressusciter le réalisme de Gustave Courbet en exécutant, par la peinture à l'huile qu'il ne pratiquera plus qu'épisodiquement, au bénéfice de l'aquarelle à partir de 1925, des natures mortes, des nus, des paysages, « à partir de compositions de l'ensemble plastiquement structurées et d'un dessin des parties synthétique et énergiquement cerné. Il s'élaboré là une technique personnelle par épaisses couches pigmentaires superposées, maçonnées au couteau… Il utilise alors une gamme sobre et chaude d'ocres, de terres et de bruns généralisée, valorisée de bleus et de verts sombres et froids, aux forts contrastes entre clairs et ombres, pour après 1919 éclaircir notablement l'austérité de sa palette » [10]. Pour Claude Roger-Marx, « pas plus qu'on ne saurait séparer les travaux du peintre de ceux du graveur et du dessinateur et de l'aquafortiste, on ne saurait diviser l'œuvre en époques. Tant de constance dans le sentiment, dans l'exécution, dans le choix des thèmes, risque de laisser insatisfaits ceux qui aiment par-dessus tout qu'on les brusque ou qu'on les déconcerte »[33].

Il donne sa définition de l'art dans l'une de ses lettres au peintre Maurice Boitel où il écrit, dans les années 1950 : « Je n'ai pas oublié la période héroïque des indépendants — quand nous étions groupés autour de Paul Signac, du charmant et vaillant Maximilien Luce — dans ces baraques où l'Art vivant et authentique se groupait en dehors des formules académiques — ou des tendances littéraires et systématiques — qui devaient aboutir à cette esthétique abstraite dont crève la peinture. »[réf. nécessaire]

Initié à la gravure par Jean Émile Laboureur, il réalisa près de 1 600 cuivres de 1919 à 1970[34].

Dessin et gravure de portraits

On doit à André Dunoyer de Segonzac les portraits de Paul Signac[35], Francis Carco[36], André Gide[37], Jules Romains, Marcel Proust sur son lit de mort[38], Colette[37], Thérèse Dorny[6], Paul Léautaud, André Dignimont, Léon-Paul Fargue[37], Henri Mondor[39],[40].

On ne connaît de l'artiste, ce dont il s'est justifié en disant que son physique ne l'intéressait pas, qu'un seul autoportrait, daté 1925[36].

Contributions bibliophiliques

Jacques Rouché
Roland Dorgelès
Tristan Bernard
Charles-Louis Philippe
Régis Gignoux
Colette
André Gide
Jean Giraudoux

Décors de théâtre

Cinéma

André Dunoyer de Segonzac joue son propre rôle dans Donne-moi tes yeux, film de Sacha Guitry en 1943.

Écrits

Auteur

Préfacier

  • René Blaise et Sabine Gervais, Crécy-en-Brie et la vallée du Morin, imprimerie Gruot et Bonne, Crécy-en-Brie, 1955.
  • Paul Noël, Au fil des jours, Imprimerie nationale, Paris, 1959.
  • Louis Süe, Chefs-d'œuvre du XXe siècle et de l'époque fauve, musée de l'Annonciade, Saint-Tropez / Art et Style, Paris, 1959.
  • Pierre Cailler, Catalogue raisonné de l'œuvre gravé et lithographié d'Aristide Maillol, éditions Pierre Cailler, Genève, 1965.

André Dunoyer de Segonzac a également préfacé des catalogues d'expositions : René Durey, André Planson (peintures) et Raymond Martin (sculptures), Musée Galliera, Paris, 1960 ; Guy-Pierre Fauconnet, musée Alfred-Bonno, Chelles, novembre-décembre 1960 (co-préfacé avec Jean Cocteau et Jacques Fauconnet) ; Jean Commère, galerie David et Garnier, Paris, 1961 ; Jean Marchand, galerie René Drouet, Paris, 1961 ; Herbert Lespinasse, Bibliothèque d'Art et d'Archéologie de l'Université de Paris, 1964 (co-préfacé avec Julien Cain et Suzanne Dameron, 1964 ; Toulouse-Lautrec - Elles, galerie Berès, Paris, 1964 ; Yves Brayer, galerie de Paris, Paris, 1965 (co-préfacé avec Gérard Bauër), Michel Ciry, galerie Le Griffon, Lyon, 1965 (co-préfacé avec François Mauriac) ; Hommage à André Warnod, galerie Charpentier, Paris, 1965 (co-préfacé avec Pierre Brisson).

Collections publiques

Drapeau de l'Australie Australie

Drapeau du Canada Canada

  • Ottawa, Musée des beaux-arts du Canada[45] :
    • Fernande, les mains croisées, estampe.
    • La moissonneuse debout, estampe.
    • La ferme à l'Aire l'après-midi, estampe, 1926.
    • Paysage près de Saint-Tropez, dessin, vers 1947.

Drapeau du Danemark Danemark

États-Unis

France

Drapeau de l'Iran Iran

Drapeau du Japon Japon

Royaume-Uni

Drapeau de l'Uruguay Uruguay

Collections privées

Drapeau de la Belgique Belgique

États-Unis

France

Royaume-Uni

Expositions

Galerie Bernheim-Jeune, Paris, 1928
Pavillon Marsan, Paris, 1939
Musée d'Art et d'Histoire de Genève, 1951
Royal Academy, Londres, 1959, 1982
Musée olympique, Lausanne, 1995

Expositions personnelles

Expositions collectives

Armory Show, New York, affiche, 1913

Citations

Dits d'André Dunoyer de Segonzac

  • « Ma conception de la gravure est assez proche de celle que j'ai du dessin. C'est une réaction spontanée et directe devant la vie, le paysage, le mouvement, la lumière. L'eau-forte a été pour moi un complément du dessin, elle en est la sœur. » - André Dunoyer de Segonzac[105]
  • « Le graveur doit se pénétrer de l'esprit du livre et, avant tout, en créer l'atmosphère. C'est pour retrouver celle-ci que j'ai toujours vécu les livres que j'ai illustrés. » - André Dunoyer de Segonzac[11]
  • « Même dans l'obscurité d'une salle de spectacle, j'ai gravé directement sur cuivre - guidé par la seule luminosité du brillant de la taille sur la planche noircie - des scènes de music-hall, ou des spectateurs dans les loges ou dans la salle. » - André Dunoyer de Segonzac[7]

Réception critique

Francis Carco
René Jean
Paul Jamot
  • « Dunoyer de Segonzac a beaucoup travaillé. Il observe plus encore et la loyauté n'est pas chez lui qu'une qualité. Elle est la première de ses qualités et quand nous feuilletons ses albums consacrés à la Danse, nous comprenons combien un peintre qui possède à ce point son dessin puisse et doive passer parmi les premiers de ses contemporains pour un jeune maître capable de réaliser bientôt l'œuvre pour laquelle il est né. » - Francis Carco[106]
  • « Il ne faut pas hésiter à placer Dunoyer de Segonzac au premier rang des artistes de notre époque. Il s'avère comme un des plus importants. Il s'impose comme un des mieux doués, comme un de ceux dont la vision personnelle sait renouveler l'apparence des êtres, des sites et des choses, pour nous montrer, sous une facette nouvelle, un des aspects de leur multiple et éternelle beauté. » - René-Jean[107]
  • « Tout dans cette œuvre est fait d'emportement. Point de spéculations transcendantes ni de grands chocs d'imagination. L'artiste est tendu dans son effort pour voir et pour sentir. Préoccupation trop intense pour permettre d'élaborer des théories sur l'objet même de cette vision et de cette sensation. C'est le besoin de se toujours rapprocher de l'expression directe qui a permis à Dunoyer de Segonzac de maintenir, au milieu des données si complexes de l'art contemporain, l'harmonie et l'unité de son effort. » - Christian Zervos[108]
  • « On savait, bien entendu, que Segonzac était, de toute sa génération, celui dont on pouvait envisager l'avenir avec le plus de confiance. La marche régulière de ce talent fort et sain en était la meilleure preuve. Mais qu'il y eût en lui de quoi nous présenter un pareil ensemble, voilà ce qu'on n'osait pas espérer. Car il ne faut pas hésiter à le dire : cette exposition est un événement artistique dont l'importance est capitale. Segonzac n'est pas seulement un bel artiste, c'est un grand artiste. » - François Fosca[109]
  • « Son œuvre gravé est plein de charme, de variété et de liberté : il suffirait à la gloire d'un artiste. Quelques-unes de planches pour Bubu de Montparnasse sont exécutées au grattoir, ce qui donne un métier gras et coloré, des effets de lithographie associés à ceux de l'eau-forte ordinaire. Partout des types vivants, des silhouettes d'une vérité saisissante et cependant inattendue, définies d'un trait incisif. Cette vérité est de la même espèce que celle des tableaux, fort au-dessus d'un réalisme terre à terre où d'aucuns voudraient enfermer notre artiste. Il a vu, il a senti, et, devant son imagination, une vision a surgi, combinant, selon un dosage que la critique ne peut mesurer, ce que la réalité extérieure offre à l'artiste et ce que l'artiste, de son intérieur, lui rend. C'est cette vision qu'il nous impose, soit, dans le dessin, par la surprise d'une impression fraîche et vive, soit, dans la peinture, par le magnétisme d'une élaboration lente et méditée. Quand l'artiste est de la race des grands, c'est cette vision que nous appelons encore la vérité. » - Paul Jamot[6]
  • « Une probité insolite par ces temps de tricherie. Personne, au zénith de la création contemporaine, ne témoigne actuellement d'une aussi totale loyauté. Très noble artiste que ce seigneur terrien rompu aux salons mais aimant ses galoches. Œuvre dionysiaque où l'amour de la vie supplante la pensée. Hymne païen que l'intensité de sa ferveur rapproche d'une adoration religieuse. » - Michel Ciry[95]
  • « Ce qu'il y a d'abord de saisissant chez lui, c'est l'unité d'une carrière où pourtant les moyens d'expression sont particulièrement nombreux. Tous les thèmes l'intéressent, et aussi toutes les techniques, celles de l'aquarelle, de l'huile, de la gravure ; au surplus il restera toujours le plus éblouissant des dessinateurs. Celui qui débite par Isadora Duncan illustrera bientôt L'Éducation sentimentale, puis, continuant cette passionnante enquête à travers un pays de France qui fait de son œuvre d'aquarelliste une des plus admirables de notre temps, il réfléchira pendant de longues années à un des ensembles les plus mûris, les plus riches de pensée : les planches qui illustrent les Géorgiques de Virgile. Il mène ainsi de front les travaux les plus variés, et on peut affirmer que l'œuvre du dessinateur soutient celle de l'aquarelliste, qui, à son tour, épaule celle du graveur et du peintre… En suivant la tradition de Gustave Courbet autant que celle de Paul Cézanne, il donne aux divers éléments d'un paysage les solides assises qui font sa grandeur. » - Jean Alazard[110]
Bernard Dorival
  • « Qu'il ait peint le réel en réaliste, soucieux de respecter la vérité tangible, sans la déformer, sans en proposer même une interprétation subjective à l'excès, on ne saurait s'en étonner… Mais voici qu'à être animées par cette intention réaliste, les œuvres de Segonzac en finissent par présenter un aspect éloigné des apparences extérieures. Ses empâtements uniformes donnent à tout - eau, terre, arbres, chair humaine - ce même grain pulpeux et lourd qu'il recherche pour d'autres motifs encore : amour de l'artisanat, sans doute, et du tableau beau en soi, mais goût de la construction aussi, amour du permanent et de l'universel, besoin, enfin, du style et de la tenue… Son goût du style, d'un style un peu crispé à force d'être voulu, au moins dans ses peintures, et auquel il accède avec plus d'aisance dans ses lavis et dans ses aquarelles qui ne sont, à la vérité, que des lavis rehaussés de quelques tons, tous très sobres. C'est là que s'affirment le mieux ses qualités les meilleures : largeur et autorité d'un dessin qui n'en demeure pas moins léger et laisse frémir dans la lumière d'argent les formes cependant robustes et définies ; fougue réfléchie d'une facture assez élaborée pour sembler spontanée ; vérité d'une vision qui se veut objective, mais n'en parvient pas moins à la poésie, une poésie faite d'accord avec les choses de la nature, les forces de la nature, élémentaires et éternelles, la permanence de la vie universelle et toujours singulière. » - Bernard Dorival[9]
  • « André Dunoyer de Segonzac, gentilhomme terrien de Boussy-Saint-Antoine, marque délibérément son retour à la nature où la terre, les feuillages drus et les corps nus, dans un même élan, se mêlent à la matière épaisse avec laquelle il triture, laboure et construit son univers. C'est le retour aux "vraies richesses" qui relève de Courbet, de Millet ou de Le Nain, au cours duquel Dunoyer de Segonzac n'a peut-être pas complètement oublié les leçons de Jean-Paul Laurens, son ancien professeur… Hostile à toute pression extérieure, à toute théorie, au risque de paraître inactuel, il n'a songé qu'à servir ses dons personnels qui furent évidents dès 1909 et conformés en 1933 par le prix Carnegie. Bien que marqué par un certain fauvisme fr la forme, il limite sa palette à des teintes spartiates, où l'on trouve, en particulier, des ocres, des terres qui représentaient son amour pour les réalités solides à côté de l'animation des cadmiums. Il fut - quels que soient le thème choisi et le lieu, picturalement transposé - soucieux de ne pas créer de dissonances, de ne pas disperser les formes essentielles qu'il entendait traduire dans sa toile. Pour lui, la qualité pictuale se trouve non dans l'éclat, mais dans la densité, non dans les contrastes et la violence, mais dans l'unité. » - René Huyghe de l'Académie française et Jean Rudel[111].
  • « En 1918, quelques artistes sincères, recherchant le calme après la tempête et faisant fi de toutes étiquettes, gravent loyalement ce qu'ils ont sous les yeux ; ce sont les réalistes. Le plus grand de tous, le génial Dunoyer de Segonzac, célèbre les horizons du Midi à Saint-Tropez dans les remarquables eaux-fortes de la Ferma à l'aire. Il chante aussi l'Île-de-France dans les célèbres Paysages du Morin. Il a conservé le souvenir de ses amis dans les portraits gravés de Colette, Léon-Paul Fargue et André Gide. De sa première à sa dernière œuvre, Segonzac reste égal à lui-même. Artiste de plein air, il emporte ses cuivres sur le terrain et il grave, comme un autre dessinerait, saisissant directement et d'instinct ce qui doit être dit. Segonzac peut être considéré comme un des plus grands aquafortistes du XXe siècle. » - Eugène Rouir[37]
  • « Aussi peu soucieux de conformisme que d'anticonformisme, il s'est toujours tenu à l'écart des préoccupations des peintres de sa génération, restant fidèle aux spectacles de la vie quotidienne et de la nature, comme on peut le constater en étudiant son œuvre qui, selon Élie Faure, est "sensualité directe, totale, intelligente, éprise des arabesques expressives que chargent la sève et le sang, mouvement des fonds et des formes vers l'unité globale et remuante de l'objet"… Comparé à celui d'autres graveurs plus déformateurs techniquement et visuellement, écrira Jean Bouret, l'art de Dunoyer de Segonzac reste traditionnel ; il enclôt néanmoins un ton de modernité qui ne trompe pas. Il a aussi pour lui une grande qualité : sa jeunesse d'émotion et d'expression. » - Les Muses - Encyclopédie des arts[11]
  • « Il s'est toujours senti solidaire de Camille Corot, de Gustave Courbet, de Johan Barthold Jongkind et des grands Impressionnistes que la galerie Durand-Ruel fut la toute première à deviner et à soutenir héroïquement. À l'inverse des habiles et des incertains passant de vérité en vérité et de style en style pour renaître, méconnaissables, de leurs cendres, déjà avant la Grande Guerre, Segonzac s'était trouvé sans presque avoir eu à se chercher. Son aristocratie foncière, sa résistance à tout ce qui est mode, attitude, maniérisme, l'ont préservé des faux pas et des volte-face. L'âme aussi limpide que le regard, cœur solide qu'aucune sensiblerie n'égare, dessiner, graver, peindre, il ne connut jamais d'autre raison d'être ; c'est là le meilleur moyen pour lui d'oublier, si émerveillé qu'il fût par elle, le peu qu'est la vie. Cet ennemi des honneurs et de toute consécration offisielle n'usa de son charme, de sa fantaisie d'observation, de sa sociabilité, que pour protéger sa solitude, autrement dit son travail… C'est en différenciant les tons et les valeurs les plus rapprochées - quelque procédé dont il use - que Segonzac s'est surpassé. Toute bonne peinture est, pour citer un mot qu'il aime, faite avant tout de tenue et de retenue, et non des contrastes, des provocations, des désaccords où notre époque désaxée a cru trop souvent voir les signes de la puissance et de l'originalité. » - Claude Roger-Marx[33]
  • « Sans abandonner complètement la peinture à l'huile, Dunoyer de Segonzac s'orientera de plus en plus vers l'aquarelle, le dessin et l'illustration. Maniant avec une science consommée l'aquarelle à laquelle il mêle volontiers le crayon, la plume et la gouache, il en fera son medium préféré, produisant des œuvres ayant une puissance et une ampleur digne de la peinture à l'huile. Le dessinateur n'est pas moins important, car dès 1909, Dunoyer de Segonac s'est intéressé au monde de la danse (Nijinsky, Isadora Duncan[60], Ida Rubinstein, à celui du cirque, celui de la boxe, semant tout au long e sa carrière d'innombrables croquis. Il convient aussi de faire état du graveur qui compte parmi les plus importants de notre époque… Dunoyer de Segonzac compte parmi le petit nombre des peintres qui ont voulu rester fidèles aux leçons du passé. Il y a apporté une robustesse, mais aussi un sens de l'harmonie et de la mesure où ses admirateurs ont voulu voir la persistance d'une certaine tradition française. » - Dictionnaire universel de la peinture - Le Robert[39]
  • « Son univers oscille entre le soleil de Provence et la vie parisienne, entre l'Afrique, l'Espagne et l'Italie. Autant de thèmes d'inspiration que l'on retrouve dans l'œuvre d'un peintre qui crie sa passion de la terre et le bien-être qu'il éprouve à s'en sentir le maître respectueux. Dunoyer de Segonzac érige ce qu'il appelle la "tenue" en principe essentiel de l'œuvre d'art. Il s'agit d'être capable de dominer son sujet, d'attribuer à chaque chose son importance. C'est de la "tenue" que viennent le rythme, l'harmonie, et cette satisfaction complète dont l'essentiel de ses œuvres témoigne. » - Patrick-F. Barrer[112]
  • « Il se situe dans l'histoire de l'art moderne comme le peintre le plus classique et le plus strictement indépendant au sens du terme de l'École de Paris entre les deux guerres : hors des modes, il a toujours accompli son œuvre et même sa carrière sans se soucier des différents mouvements qui s'échafaudaient autour de lui. Pas d'évolution non plus : on aurait tort de chercher à distinguer chez lui des périodes. Il s'épanouit au contact direct de la nature ("Segonzac ne peut rêver que face au motif et l'œil grand ouvert" disait Claude Roger-Marx), reprenant sans cesse ses thèmes favoris : la rivière, l'arbre, la ferme, l'oliveraie, le village et son église, dans des harmonies de verts de bleus et d'ocres. Ses tons sourds, aux valeurs rapprochées, exaltent les contours d'un paysage, d'un nu, d'une nature morte. Segonzac les fait vibrer avec plus de bonheur dans ses aquarelles que dans ses toiles, si l'on excepte ses huiles signées avant 1920, chefs-d'œuvre de robustesse paysanne et sensuelle. » - Gérald Schurr[113]

Prix et distinctions

Prix

Distinctions

Hommages

Notes et références

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  50. Musée Hammer, '"Chêne-liège en hiver" par André Dunoyer de Segonzac dans les collections.
  51. Metropolitan Museum of Art, "Le bouquet" dans les collections.
  52. Metropolitan Museum of Art, "La bouteille de vin" dans les collections.
  53. Museum of Modern Art, André Dunoyer de Segonzac dans les collections.
  54. Fred Jones Jr. Museum of Art, André Dunoyer de Segonzac dans les collections.
  55. Philadelphia Museum of Art, André Dunoyer de Segonzac dans les collections.
  56. Mildred Lane Kemper Art Museum, André Dunoyer de Segonzac dans les collections.
  57. Musée des Beaux-Arts de San Francisco, "Le gros chêne à Chaville" dans les collections.
  58. Musée des Beaux-Arts de San Francisco, "Un puits ancien" dans les collections.
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  78. Musée Artizon, André Dunoyer de Segonzac dans les collections.
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  81. Fitzwilliam Museum, "Paysage aux toits rouges" dans les collections.
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  85. Tate Modern, "Nature morte au chou" dans les collections.
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  88. Tate Modern, "La route de Grimaud" dans les collections.
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Annexes

Bibliographie

Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

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Presse

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  • Roger Allard, « Dunoyer de Segonzac », La Revue universelle, 1er novembre 1921.
  • Le Crapouillot, , dessin d'André Dunoyer de Segonzac (Nu) en couverture.
  • Jacques de Laprade, « Dunoyer de Segonzac », Beaux-Arts, 25 décembre 1936.

Radiophonie

  • Interview d'André Dunoyer de Segonzac, Radio-Nice, 1955, Fonds Archives départementales des Alpes-Maritimes, Documents sonores isolés, 1AV107, mis en ligne le (écouter en ligne).

Filmographie

Iconographie

Liens externes