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'''''L’Union''''' est un quotidien régional français, dont le siège se trouve à [[Reims]] (Marne). Il est diffusé dans les départements de la [[Marne (département)|Marne]], de l'[[Aisne (département)|Aisne]] et des [[Ardennes (département)|Ardennes]].
'''''L’union''''' est un quotidien régional français fondé en 1944. Il est diffusé dans les départements de la [[Marne (département)|Marne]], de l'[[Aisne (département)|Aisne]] et des [[Ardennes (département)|Ardennes]]. Le siège du journal se trouve à [[Reims]].

Il est détenu par le [[groupe Rossel]].


== Historique ==
== Historique ==
Le journal ''L'Union'' a été fondé par les résistants [[Michel Sicre]] et Henri Kinet, assistés d'Edmond Forboteaux et de [[Robert Duterque]] du groupe [[Libération-Nord]]. Ces deux derniers furent déportés en 1944 au camp de concentration de [[Neuengamme]] en Allemagne et assassinés le {{date|3|mai|1945}}. À l'instar du ''Monde'' qui bénéficiait des presses du ''Temps'', le quotidien put commencer sa carrière avec les presses du ci-devant ''Éclaireur de l'Est'', du député-maire radical Paul Marchandeau, quotidien dissous en 1944 pour avoir paru après le {{date-|25 juin 1940}}. Le premier numéro du journal L'union s'appelait "L'union champenoise" et est paru le {{date-|30 août 1944}}. Le journal a pour secrétaire général le leader des résistants dans la Marne [[Léon Borgniet]], ami proche du scientifique [[Marcel Prenant]]<ref name=affaireborgniet/>, ex-dirigeant national des FTP et député de la Marne<ref name= LéonBorgniet>Biographie [[Le Maitron]] de [[Léon Borgniet]] [https://maitron.fr/spip.php?article17302].</ref>, qui dirige aussi l’hebdomadaire communiste de la Marne, ''La Champagne'' et qui en est écarté en 1950<ref name=affaireborgniet>"L'affaire Tito - Borgniet dans la Marne", par Anette Merle-Borgniet[http://annette.merle.borgniet.over-blog.com/article-l-affaire-tito-borgniet-marne-vue-par-mes-yeux-de-15-ans-118247560.html].</ref>{{,}}<ref name= LéonBorgniet/>.
Le journal ''L'union'' a été fondé par les résistants [[Michel Sicre]] et Henri Kinet, assistés d'Edmond Forboteaux et de [[Robert Duterque]] du groupe [[Libération-Nord]]. Ces deux derniers furent déportés en 1944 au camp de concentration de [[Neuengamme]] en Allemagne et assassinés le {{date|3|mai|1945}}. À l'instar du ''Monde'' qui bénéficiait des presses du ''Temps'', le quotidien put commencer sa carrière avec les presses du ci-devant ''Éclaireur de l'Est'', du député-maire radical Paul Marchandeau, quotidien dissous en 1944 pour avoir paru après le {{date-|25 juin 1940}}. Le premier numéro du journal L'union s'appelait "L'union champenoise" et est paru le {{date-|30 août 1944}}. Le journal a pour secrétaire général le leader des résistants dans la Marne Léon Borgniet, ami proche du scientifique [[Marcel Prenant]]<ref name=affaireborgniet/>, ex-dirigeant national des FTP et député de la Marne<ref name="LéonBorgniet">Biographie [[Le Maitron]] de Léon Borgniet [https://maitron.fr/spip.php?article17302].</ref>, qui dirige aussi l’hebdomadaire communiste de la Marne, ''La Champagne'' et qui en est écarté en 1950<ref name="affaireborgniet">"L'affaire Tito - Borgniet dans la Marne", par Anette Merle-Borgniet[http://annette.merle.borgniet.over-blog.com/article-l-affaire-tito-borgniet-marne-vue-par-mes-yeux-de-15-ans-118247560.html].</ref>{{,}}<ref name= LéonBorgniet/>.


Le journal a été dirigé jusqu'au début des années 1980 par un conseil de gérance composé de six membres nommés par les associations d'anciens résistants ou d'anciens combattants ayant présidé à sa création. Le quotidien régional était présent sur six départements : l'Aube, la Marne, l'Aisne, les Ardennes, la Haute-Marne et la Seine et Marne, et publiait douze éditions différentes. Il possédait des agences à Provins, Romilly-sur-Seine, Troyes, Saint-Dizier, Chaumont, Vitry-le-François, Château-Thierry, Laon, Saint-Quentin, Hirson, Epernay, Châlons en Champagne, Reims, Charleville-Mézières, Sedan et Carignan. Jusqu’à sa prise de contrôle par le [[Groupe Hersant Média|groupe Hersant Media]] (alors France-Antilles) de [[Philippe Hersant (patron de presse)|Philippe Hersant]], son bandeau le définissait comme un « Grand quotidien d'information issu de la Résistance ». Après avoir réduit sa zone de diffusion (fermeture des éditions et agences de [[Provins]], Romilly-sur-Seine, Saint-Dizier, Chaumont et [[Troyes]]), il la redéploya à partir des [[années 1990]], alors que la concurrence de ''[[L’Est républicain]]'', qui avait implanté une agence à Châlons-sur-Marne (actuellement [[Châlons-en-Champagne]]) au début des [[années 1980]], avait échoué à le supplanter.
Le journal a été dirigé jusqu'au début des années 1980 par un conseil de gérance composé de six membres nommés par les associations d'anciens résistants ou d'anciens combattants ayant présidé à sa création. Le quotidien régional était présent sur six départements : l'Aube, la Marne, l'Aisne, les Ardennes, la Haute-Marne et la Seine et Marne, et publiait douze éditions différentes. Il possédait des agences à Provins, Romilly-sur-Seine, Troyes, Saint-Dizier, Chaumont, Vitry-le-François, Château-Thierry, Laon, Saint-Quentin, Hirson, Epernay, Châlons en Champagne, Reims, Charleville-Mézières, Sedan et Carignan. Jusqu’à sa prise de contrôle par le [[Groupe Hersant Média|groupe Hersant Media]] (alors France-Antilles) de [[Philippe Hersant (patron de presse)|Philippe Hersant]], son bandeau le définissait comme un « Grand quotidien d'information issu de la Résistance ». Après avoir réduit sa zone de diffusion (fermeture des éditions et agences de [[Provins]], Romilly-sur-Seine, Saint-Dizier, Chaumont et [[Troyes]]), il la redéploya à partir des [[années 1990]], alors que la concurrence de ''[[L’Est républicain]]'', qui avait implanté une agence à Châlons-sur-Marne (actuellement [[Châlons-en-Champagne]]) au début des [[années 1980]], avait échoué à le supplanter.


Le journal est dirigé actuellement par [[Pascal Dejean|Daniel Picault]]<ref>http://www.lunion.presse.fr/Mentions-legales.</ref>, qui travaille au siège du journal à Reims.
Le journal est dirigé actuellement par Daniel Picault<ref>{{Lien brisé |url= http://www.lunion.presse.fr/Mentions-legales |titre=lunion.presse.fr/Mentions-lega… |brisé le=27-05-2023}}.</ref>, qui travaille au siège du journal à Reims.


== La société ==
== Vie organisationnelle ==
Le journal emploie {{nobr|226 personnes}} {{incise|dont {{nobr|97 femmes}}}}, parmi lesquelles {{nobr|33 [[cadre d'entreprise|cadres]]}}, {{nobr|18 [[employés]]}} (comptabilité, archives, entretien), {{nobr|43 [[ouvriers]]}}, (ceux qui impriment, notamment) et {{nobr|132 [[journalistes]]}} ([[photographe]]s, [[reporter|reporters]], et [[Secrétaire de rédaction|secrétaires de rédaction]]).
Le journal emploie {{nobr|226 personnes}} {{incise|dont {{nobr|97 femmes}}}}, parmi lesquelles {{nobr|33 [[cadre d'entreprise|cadres]]}}, {{nobr|18 [[employés]]}} (comptabilité, archives, entretien), {{nobr|43 [[ouvriers]]}}, (ceux qui impriment, notamment) et {{nobr|132 [[journalistes]]}} ([[photographe]]s, [[reporter|reporters]], et [[Secrétaire de rédaction|secrétaires de rédaction]]).


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En 2006, ''L'Union'' tenta de s'implanter à [[Amiens]] (Somme), d'abord sous le nom de ''Planète Amiens'', puis ''L'Union édition d'Amiens'', arrêtée à l'été 2008.
En 2006, ''L'Union'' tenta de s'implanter à [[Amiens]] (Somme), d'abord sous le nom de ''Planète Amiens'', puis ''L'Union édition d'Amiens'', arrêtée à l'été 2008.


En 2017, l'[[Association des journalistes LGBT]] lui décerne le Out d'Or de la rédaction engagée pour le travail réalisé par celle de Châlons-en-Champagne.
En 2017, l'[[Association des journalistes LGBT]] lui décerne le [[Out d'or|Out d'Or]] de la rédaction engagée pour le travail réalisé par celle de Châlons-en-Champagne.


== Les rédacteurs en chef ==
== Rédacteurs en chef ==
* [[Aldo Ferrini]] (1945-1982) Secrétaire Général de la rédaction
* Aldo Ferrini (1945-1982) Secrétaire Général de la rédaction
* [[Pascal Sellier]] (1982-1986)
* [[Pascal Sellier]] (1982-1986)
* Jacques Richard (1986-1991)
* Jacques Richard (1986-1991)
* [[Michel Grenouilloux]] (1991-2000)
* Michel Grenouilloux (1991-2000)
* [[Thierry de Cabarrus]] (2000-2006) Directeur de la rédaction
* [[Thierry de Cabarrus]] (2000-2006) Directeur de la rédaction
* [[Guilhem Beauquier]] (2006-[[Jacques Tillier|2013]]) Directeur de la rédaction
* Guilhem Beauquier (2006-[[Jacques Tillier|2013]]) Directeur de la rédaction
* [[Didier Louis]] (2013-2020)
* Didier Louis (2013-2020)
*Géraldine Baehr & Carole Lardot (2021-actuel)
*Géraldine Baehr & Carole Lardot (2021-actuel)


== Les directeurs ==
== Directeurs ==
* Arnaud de Beauregard (1986-1987)
* Arnaud de Beauregard (1986-1987)
* [[Pierre-Jean Bozo]] (1987-1992)
* [[Pierre-Jean Bozo]] (1987-1992)
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* [[Jacques Tillier]] (2008-2012)
* [[Jacques Tillier]] (2008-2012)
* Daniel Hutier (2012-2013)
* Daniel Hutier (2012-2013)
* [[Pascal Dejean]] (2013-2017)
* Pascal Dejean (2013-2017)
* Daniel Picault (2017-actuel)
* Daniel Picault (2017-actuel)


== Audience web (sites + application) ==
== Audience web (sites + application) ==
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== Les éditions locales ==
== Éditions locales ==
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;* [[Pays d'Othe]]
;* [[Pays d'Othe]]
;* [[Plaine d'Arcis]]
;* Plaine d'Arcis
;* [[Romilly-sur-Seine]]
;* [[Romilly-sur-Seine]]
;* [[Troyes]]
;* [[Troyes]]
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* [[Reims]]
* [[Reims]]
* [[Vitry-le-François]]
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* [[Amiens]] de 2006 à l'été 2008.
* [[Amiens]] de 2006 à l'été 2008.

Version du 2 mai 2024 à 09:57

L'union
Image illustrative de l’article L'Union (journal français)
Logo du journal

Pays Drapeau de la France France
Zone de diffusion Grand Est
Langue français
Périodicité Quotidienne
Format Tabloïd
Genre Presse régionale
Prix au numéro Lundi au vendredi et dimanche : 1,50 
Samedi : 2,00 
Diffusion 72 495 ex. (2021)
Date de fondation 1944
Ville d’édition Reims

Propriétaire Groupe Rossel[1]
Directeur de publication Daniel Picault
Rédactrice en chef Géraldine Baehr & Carole Lardot
ISSN 2110-5952
Site web www.lunion.fr

L’union est un quotidien régional français fondé en 1944. Il est diffusé dans les départements de la Marne, de l'Aisne et des Ardennes. Le siège du journal se trouve à Reims.

Il est détenu par le groupe Rossel.

Historique

Le journal L'union a été fondé par les résistants Michel Sicre et Henri Kinet, assistés d'Edmond Forboteaux et de Robert Duterque du groupe Libération-Nord. Ces deux derniers furent déportés en 1944 au camp de concentration de Neuengamme en Allemagne et assassinés le . À l'instar du Monde qui bénéficiait des presses du Temps, le quotidien put commencer sa carrière avec les presses du ci-devant Éclaireur de l'Est, du député-maire radical Paul Marchandeau, quotidien dissous en 1944 pour avoir paru après le . Le premier numéro du journal L'union s'appelait "L'union champenoise" et est paru le . Le journal a pour secrétaire général le leader des résistants dans la Marne Léon Borgniet, ami proche du scientifique Marcel Prenant[2], ex-dirigeant national des FTP et député de la Marne[3], qui dirige aussi l’hebdomadaire communiste de la Marne, La Champagne et qui en est écarté en 1950[2],[3].

Le journal a été dirigé jusqu'au début des années 1980 par un conseil de gérance composé de six membres nommés par les associations d'anciens résistants ou d'anciens combattants ayant présidé à sa création. Le quotidien régional était présent sur six départements : l'Aube, la Marne, l'Aisne, les Ardennes, la Haute-Marne et la Seine et Marne, et publiait douze éditions différentes. Il possédait des agences à Provins, Romilly-sur-Seine, Troyes, Saint-Dizier, Chaumont, Vitry-le-François, Château-Thierry, Laon, Saint-Quentin, Hirson, Epernay, Châlons en Champagne, Reims, Charleville-Mézières, Sedan et Carignan. Jusqu’à sa prise de contrôle par le groupe Hersant Media (alors France-Antilles) de Philippe Hersant, son bandeau le définissait comme un « Grand quotidien d'information issu de la Résistance ». Après avoir réduit sa zone de diffusion (fermeture des éditions et agences de Provins, Romilly-sur-Seine, Saint-Dizier, Chaumont et Troyes), il la redéploya à partir des années 1990, alors que la concurrence de L’Est républicain, qui avait implanté une agence à Châlons-sur-Marne (actuellement Châlons-en-Champagne) au début des années 1980, avait échoué à le supplanter.

Le journal est dirigé actuellement par Daniel Picault[4], qui travaille au siège du journal à Reims.

Vie organisationnelle

Le journal emploie 226 personnes — dont 97 femmes —, parmi lesquelles 33 cadres, 18 employés (comptabilité, archives, entretien), 43 ouvriers, (ceux qui impriment, notamment) et 132 journalistes (photographes, reporters, et secrétaires de rédaction).

Depuis le , les journaux du pôle Champagne-Ardenne-Picardie (CAP), sont désormais officiellement contrôlés par le groupe de presse belge Rossel[5].

L'ensemble de la production est désormais imprimé sur le site de production de Reims.

En 2006, L'Union tenta de s'implanter à Amiens (Somme), d'abord sous le nom de Planète Amiens, puis L'Union édition d'Amiens, arrêtée à l'été 2008.

En 2017, l'Association des journalistes LGBT lui décerne le Out d'Or de la rédaction engagée pour le travail réalisé par celle de Châlons-en-Champagne.

Rédacteurs en chef

  • Aldo Ferrini (1945-1982) Secrétaire Général de la rédaction
  • Pascal Sellier (1982-1986)
  • Jacques Richard (1986-1991)
  • Michel Grenouilloux (1991-2000)
  • Thierry de Cabarrus (2000-2006) Directeur de la rédaction
  • Guilhem Beauquier (2006-2013) Directeur de la rédaction
  • Didier Louis (2013-2020)
  • Géraldine Baehr & Carole Lardot (2021-actuel)

Directeurs

  • Arnaud de Beauregard (1986-1987)
  • Pierre-Jean Bozo (1987-1992)
  • Daniel Hutier (1992-2004)
  • Christian Hervé + Bernard Pruvost (2004-2005)
  • Bruno Franceschi (2005-2008)
  • Jacques Tillier (2008-2012)
  • Daniel Hutier (2012-2013)
  • Pascal Dejean (2013-2017)
  • Daniel Picault (2017-actuel)

Audience web (sites + application)

Audience quotidienne moyenne, source Google Analytics 360
Année Audience totale
2019 120 818
2018 107 740
2017 99 363
2016 87 757
2015 65 181
2014 60 976

En parallèle de l'audience web, la diffusion papier est passée de 83 147 exemplaires en moyenne en 2015 à 73 121 en 2019[6].

Diffusion

  • L'Union - L'Ardennais[7]
Diffusion quotidienne moyenne, source ACPM
2015 2016 2017 2018 2019 2020 2021
Totale 84 740 81 706 78 867 77 642 74 622 73 453 72 495
Payée 83 147 80 155 77 276 75 884 73 121 71 539 71 076

Éditions locales

Les anciens bureaux rue de Courcelles à Reims.
02 Aisne
08 Ardennes sous les titres « L'Union » et « L'Ardennais »
10 Aube
51 Marne
77 Ile de France
80 Somme
  • Amiens de 2006 à l'été 2008.

Notes et références

  1. « Nouvelle gouvernance dans les sociétés du pôle Champagne-Ardennes-Picardie », Groupe Rossel, (consulté le )
  2. a et b "L'affaire Tito - Borgniet dans la Marne", par Anette Merle-Borgniet[1].
  3. a et b Biographie Le Maitron de Léon Borgniet [2].
  4. « lunion.presse.fr/Mentions-lega… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  5. « Rossel prend le contrôle des journaux du pôle Champagne-Ardenne-Picardie », Télérama, (consulté le ).
  6. « L'Union - L'Ardennais - ACPM », sur www.acpm.fr (consulté le )
  7. « L'Union - L'Ardennais - ACPM », sur www.acpm.fr (consulté le )

Liens externes