« Mick Jagger » : différence entre les versions

Titre de noblesse
Knight Bachelor
Naissance	26 juillet 1943 (80 ans); Dartford (Kent) ( Angleterre, Royaume-Uni)
Nom dans la langue maternelle	Sir Michael Philip Jagger
Nom de naissance	Michael Philip Jagger
Surnoms	Mike, Mick
Nom court	Mick Jagger
Nationalité	britannique
Formation	London School of Economics; Dartford Grammar School (en); Wentworth Primary School (en)
Activités	Acteur, producteur de cinéma, poète, producteur de disques, chanteur, guitariste, compositeur, auteur-compositeur-interprète, producteur
Période d'activité	depuis 1960
Père	Joe Jagger (d)
Mère	Eva Ensley Mary Scutts (d)
Fratrie	Chris Jagger
Conjoints	Bianca Jagger (de 1971 à 1978); Jerry Hall (de 1990 à 1999)
Enfants	Corrina Jagger (d); Karis Jagger (en); Jade Jagger; Elizabeth Jagger; James Jagger (d); Georgia May Jagger; Gabriel Jagger (d); Lucas Jagger (d); Dev Jagger (d)
Membre de	Little Boy Blue & The Blue Boys (d); The Rolling Stones
Tessiture	Baryton
Instrument	Guitare, harmonica, chant
Labels	Virgin Music, Universal Music Group, ABKCO Records, Rolling Stones Records (en)
Partenaire	Keith Richards
Genre artistique	Blues, rock
Site web	www.mickjagger.com
Distinctions	Liste détaillée MTV Video Music Award for Best Overall Performance (1986); Knight Bachelor (2002); Critics' Choice Movie Award de la meilleure chanson originale (2004); Golden Globe de la meilleure chanson originale (2004); Las Vegas Film Critics Society Award for Best Song (2004); World Soundtrack Award for Best Original Song Written Directly for a Film (2005)
Discographie	Discographie de Mick Jagger (en)
Sir

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Michael Philip Jagger dit Mick Jagger, né le 26 juillet 1943 à Dartford (Kent, Angleterre), est un auteur-compositeur-interprète, musicien et acteur britannique, cofondateur en 1962, avec Brian Jones (guitare), Keith Richards (guitare), Dick Taylor (basse, rapidement remplacé par Bill Wyman), Mick Avory (batterie) et Ian Stewart (piano) du célèbre groupe de rock britannique The Rolling Stones, dont la formation se stabilise l'année suivante avec l'arrivée de Charlie Watts à la batterie qui a remplacé Mick Avory. Sous la signature « The Glimmer Twins » (Les Jumeaux Etincelants), il est avec Keith Richards l'auteur-compositeur de la plupart des titres du groupe. Outre le chant, il lui arrive de jouer au sein du groupe de l'harmonica et de la guitare.

Mick Jagger est l'un des chanteurs les plus célèbres en raison de la popularité et de la longévité des Rolling Stones. Véritable star depuis le milieu des années 1960, il est, par son jeu de scène démonstratif, son attitude et son charisme, considéré comme l'archétype du chanteur de rock, souvent cité comme référence par de nombreux artistes. En 2010, il est classé 16^e dans le classement des 100 plus grands chanteurs de tous les temps par le mensuel Rolling Stone^[1].

Il a aussi travaillé pour le cinéma en tant qu'acteur dans plusieurs films, notamment : Performance, Ned Kelly, L'Homme d'Elysian Fields ou encore Bent.

Le 12 décembre 2003, Mick Jagger a été solennellement adoubé chevalier par le prince Charles, au nom de la reine, en présence de son père et de deux de ses filles, devenant ainsi Sir Michael Jagger^[2]. Mick Jagger et ses partenaires, continuent dans les années 2020 à tourner avec succès dans le monde entier et ne manifestent aucune intention de mettre un terme à l'existence de leur groupe, malgré la mort de leur batteur Charlie Watts en 2021.

Biographie[modifier | modifier le code]

Son père, Basil Fanshawe « Joe » Jagger (né le 6 avril 1913 et mort le 11 novembre 2006) est professeur d'éducation physique ; sa mère, Eva Ensley Mary Scutts, coiffeuse (née le 13 avril 1913 et morte le 18 mai 2000)^[3]. En 1957, son père anime une émission de télévision sur la gymnastique, Mick apparaît plusieurs fois dans les reportages, accomplissant des mouvements de gym^[4]. Son père Basil s'est intéressé au basket-ball; il y a initié Mick, et a écrit un livre à ce sujet en 1971^[5]. En 1954, il réussit l'eleven-plus et intègre la Dartford Grammar School (en). Élève dans cette école réputée de 1954 à 1961, il se révèle bon en anglais, français, et en sport, notamment au cricket qui restera toute sa vie une grande passion^[6]. Il a un frère cadet Chris, qui est musicien, chanteur, auteur, compositeur.

Dès l'âge de 15 ans, Mick s'intéresse au rhythm and blues. Tout en continuant ses études, il débute à l'harmonica et s'exerce au chant. Il forme son premier groupe, baptisé Little Boy Blue & The Blues Boys en 1959 avec son copain de quartier Dick Taylor^[7].

Le matin du 17 octobre 1961^[8]^,^[9], il rencontre Keith Richards sur le quai de la gare de Dartford^{[N 1]}, qui avait été élève dans la même école primaire que lui, et qui est attiré par les albums de rhythm and blues que Mick vient d'acheter. Ils s'aperçoivent rapidement qu'ils partagent non seulement un engouement commun pour la musique noire américaine mais aussi un ami : Dick Taylor qui joue dans Little Boy Blue and The Blue Boys.

À partir de là, Mick et Keith commencent à jouer ensemble. En parallèle avec son groupe, Mick joue aussi en amateur dans le Blues Incorporated d'Alexis Korner, qui intègre de nombreux musiciens de passage, allant et venant, dont Cyril Davies à l'harmonica, Charlie Watts à la batterie, Ginger Baker à la batterie et Jack Bruce à la contrebasse^{[N 2]}. En 1961, Mick entre à la London School of Economics mais la quitte pour se consacrer à la musique, malgré les conseils de son père. Il rejoint Ian Stewart et Brian Jones, rencontrés au Ealing Club où se produit le Blues Incorporated, qui cherchent d'autres musiciens pour former un groupe. Keith Richards rejoint bientôt la formation qui se compose de Mick Jagger au chant, Ian Stewart au piano, Brian Jones à la guitare, Dick Taylor à la basse et Mick Avory à la batterie. Après un hiver difficile pour Mick, Keith et Brian, passé en colocation avec un certain James Phelge^{[N 3]} au désormais célèbre 102 Edith Grove à Londres, avec comme ultimes ressources les maigres cachets de quelques concerts, ils fondent les Rolling Stones. Dick Taylor quitte rapidement la formation pour former The Pretty Things et le groupe recrute Bill Wyman au poste de bassiste puis Charlie Watts qui remplace Mick Avory à la batterie en 1963. Les Rolling Stones ont désormais leur formation.

Au sein des Rolling Stones[modifier | modifier le code]

La place de Mick Jagger au sein de la formation est au début assez discrète. Bien qu'il se révèle rapidement être une bête de scène, ce n'est pas lui qui fait office de leader ou qui décide des orientations musicales du groupe. Ce rôle échoit à l'origine à Brian Jones. Cependant, son physique androgyne, son attitude outrancière et son sex-appeal poussent Andrew Loog Oldham à faire de Mick l'une des figures principales du groupe. Malgré des capacités limitées comme chanteur, Mick jouit d'une certaine aura auprès du public qui tranche avec l'attitude plus sage et conventionnelle des autres groupes anglais du moment (notamment les Beatles). Alors que Brian Jones était au début le négociateur des contrats pour les Rolling Stones, Mick prend cette place petit à petit, poussé par Andrew Loog Oldham. Il devient au fil des années (avec Keith Richards, dans une moindre mesure) la tête pensante des Rolling Stones.

Ce rôle au sein du groupe est renforcé par le fait que, poussé par Oldham, il va à partir de 1964, se lancer avec Keith Richards dans l'écriture des chansons du groupe. De leur collaboration vont naître quelques-uns des plus grands succès du rock comme (I Can't Get No) Satisfaction, Jumpin' Jack Flash, Sympathy for the Devil ou Paint It Black. Keith Richards a décrit leur manière de travailler dans son autobiographie intitulée Life. Le guitariste est souvent à l'origine des chansons et présente à Mick, une ébauche avec parfois un premier vers ou un refrain. Mick Jagger se charge alors d'écrire (ou de réécrire) le reste des paroles avec la mélodie du chant. Néanmoins, certains titres crédités Jagger/Richards sont parfois écrits et composés par Jagger seul. C'est le cas par exemple de Brown Sugar. L'association artistique entre Jagger et Richards leur vaudra le surnom de « The Glimmer Twins » (« les jumeaux étincelants »).

Les textes écrits par Jagger aident à façonner l'image des Rolling Stones : ils parlent de sexe, de drogues et tournent en dérision les femmes et la société. Mick Jagger se construit une image de mauvais garçon, impertinent et rebelle. Cette image qui prend forme à partir du milieu des années 1960 se perpétuera ensuite à grand renfort de coups médiatiques et de déclarations fracassantes.

Carrière solo[modifier | modifier le code]

Les premiers projets artistiques que Mick Jagger concrétise hors des Rolling Stones concernent le cinéma. Il joue en 1968 dans Performance un film de Nicolas Roeg, avec James Fox et Anita Pallenberg, dans lequel il incarne le personnage de Turner, une rock star décadente, peu éloignée de ce qu'il est à l'époque. Il s'agit sûrement de son rôle le plus convaincant au cinéma : les deux suivants Ned Kelly (1970) et Freejack (1992) seront beaucoup plus anecdotiques. En 1997, il revient au cinéma avec le rôle d'un transsexuel dans Bent de Sean Mathias.

Dans les années 1980, Mick Jagger se fâche avec Keith Richards et, en 1985, il décide de se lancer dans une carrière musicale solo en marge des Rolling Stones. Les albums She's the Boss (1985), Primitive Cool (1987) et Wandering Spirit (1993) n'arriveront pas vraiment à convaincre le public, malgré quelques bonnes ventes. En 1989, il se réconcilie avec Richards et recommence à se produire avec les Rolling Stones, jusqu'à aujourd'hui. Néanmoins, il continue de mener des projets parallèles : en 2001 sort son quatrième album solo, Goddess in the Doorway, auquel ont participé des artistes comme Lenny Kravitz, Bono ou Pete Townshend. Comme ses précédents albums solos, il peine à convaincre le public malgré un certain succès critique. En 2007, Mick Jagger sort une compilation de son travail solo, The Very Best Of Mick Jagger.

En 2011, il collabore avec Damian Marley, Joss Stone, Dave Stewart et A. R. Rahman pour l'album SuperHeavy.

Personnage médiatique[modifier | modifier le code]

Performer du rock[modifier | modifier le code]

Avec Elvis Presley et Freddie Mercury ou Bruce Springsteen, Mick Jagger est considéré comme l'un des personnages les plus emblématiques du rock. Comme le King, il doit sa popularité à la dimension sexuelle du rock qu'il mettait en scène. Son physique particulier (lèvres amplement dimensionnées, taille de guêpe), androgyne, ses postures arrogantes et ses déhanchements féminins participaient à la construction de cette dimension sexuelle (souvent présentée comme ambivalente^[10]). Jagger déclarera même avoir été influencé dans les années 1960 par le jeu de scène sensuel et sexuel de Tina Turner^[11] pour développer le sien. Lui-même influencera de multiples chanteurs par son jeu de scène comme Steven Tyler, Jim Morrison, Iggy Pop ou Michael Hutchence^[12].

Mick Jagger reste l'un des premiers chanteurs d'un groupe à s'être véritablement imposé sur scène comme la figure principale du groupe. Cette posture (qui sera imitée par la suite par de nombreux autres chanteurs : Jim Morrison, etc.) fera beaucoup pour la popularité des Rolling Stones. On remarquera que le logo des Stones représente une bouche lippue avec une langue : les attributs les plus remarquables de Mick Jagger.

Vie privée[modifier | modifier le code]

En dehors de la scène, Mick Jagger accréditait son attitude en ayant une vie amoureuse assez importante et agitée : il a estimé un jour à 4 000 le nombre de ses conquêtes^[13]. Mari et amant volage, il aurait eu des liaisons avec Chrissie Shrimpton^{[N 4]}, Pamela Des Barres, Anita Pallenberg, Marsha Hunt^[15] , Janice Dickinson, Angelina Jolie, Carla Bruni^[16]^,^[17], Carly Simon, le mannequin Sophie Dahl.

Mick Jagger, en compagnie de Marianne Faithfull et Brian Jones, après une conférence de Maharishi Mahesh Yogi, « guru des Beatles, » en 1967 au Concertgebouw (Amsterdam).

À partir de 1965 et jusqu'en 1970, il aura une liaison tumultueuse avec Marianne Faithfull sur fond de drogues. Marianne et Mick seront même arrêtés en 1967 avec Keith Richards à Redlands, dans la maison de Keith, en possession de cannabis. L'influence de Marianne Faithfull, très cultivée, va se faire sentir sur les textes de Mick pendant leur relation. Elle va lui permettre de s'ouvrir aux arts et à la littérature. C'est elle qui lui présente le livre Le Maître et Marguerite de Mikhaïl Boulgakov, qui va lui servir à écrire Sympathy for the Devil. En 1969, Marianne Faithfull écrira la chanson Sister Morphine qui sera créditée en 1971 dans l'album des Rolling Stones Sticky Fingers aux noms de Jagger et Richards. Ce n'est que bien des années plus tard après une bataille juridique que Marianne Faithfull en sera reconnue coauteur.

Après leur relation, Mick va connaître, à partir des années 1970, un intérêt croissant pour la jet set et la grande bourgeoisie britannique^{[N 5]}. En 1971, son mariage avec Bianca Pérez-Mora y Macias, à Saint-Tropez, convie une multitude de stars et est très médiatisé. Le couple, qui a l'habitude de parler français en son sein, se fait remarquer jusqu'au début des années 1980 dans les soirées mondaines. Mick Jagger divorcera de Bianca en 1980, après l'avoir trompée avec Jerry Hall. Mick et Jerry se marieront en 1990, mais ce mariage sera annulé en 1999^{[N 6]}, après que Mick l'a aussi trompée avec Luciana Gimenez Morad, un mannequin brésilien.

L'Wren Scott, top model américaine et créatrice de mode, est sa compagne entre 2001 et 2014 ; elle se suicide le 17 mars 2014 à New York^[18].

Un article de Paris Match relate les confidences de l'ex-épouse de David Bowie au journal britannique The Sun où elle révèle avoir découvert son mari dans un lit avec Mick Jagger, précisant que les deux hommes étaient nus et ivres. Match estime que cette révélation n'est qu'un « secret de polichinelle »^[19]. Toutefois, Keith Richards, dans son autobiographie Life, n'évoque pas ces points^[20].

Mick Jagger a eu huit enfants :

Karis Jagger, née en 1970, d'une liaison avec Marsha Hunt ;
Jade Jagger, née en 1971, avec Bianca Jagger ;
Elizabeth Jagger (née en 1984), James (né en 1985), Georgia May Jagger (née en 1992) et Gabriel (né en 1997) avec Jerry Hall ;
Lucas Maurice Morad, né en 1999, d'une liaison avec Luciana Gimenez Morad.
Deveraux Octavian Basil, né le 8 décembre 2016, avec Melanie Hamrick, ex-ballerine, Mick avait 73 ans lors de sa naissance.

En 2014, deux ans avant la naissance de ce dernier enfant, Mick est devenu arrière-grand-père, la fille de Jade, Assisi Jackson, étant devenue mère d'une petite Ezra tandis que Jade avait un nouvel enfant la même année^[21]^,^[22].

En 2017, il possède une maison à Richmond, deux appartements et une maison à New York, une maison sur l'île Moustique et le château de Fourchette (Touraine)^[23].

Il est opéré du cœur le 5 avril 2019, bénéficiant de la technique TAVI^[24]^,^[25], qui lui permet de se rétablir très rapidement et de reprendre les tournées dès l'été suivant^[26]^,^[27]^,^[28]^,^[29].

En juin 2022, lors de la tournée européenne, il est testé positif au Covid-19, ce qui entraîne l'annulation des concerts des Rolling Stones prévus à Amsterdam^[30] et à Berne.

En septembre 2023, il évoque dans une interview au Wall Street Journal son souhait d'offrir les droits du catalogue des Rolling Stones à des œuvres de charité^[31].

Drogues[modifier | modifier le code]

L'usage de la drogue étant intimement lié à la légende des Rolling Stones, Mick Jagger fut pendant une grande partie de sa carrière musicale associé à des affaires de consommation de drogues (bien que la plupart n'aient jamais fait l'objet de procédures judiciaires). Sa première arrestation pour possession de drogue remonte à une descente de police dans la maison de Keith Richards en 1967. Les deux Stones risquèrent un temps la prison à cause du cannabis qui fut trouvé, avant d'être relâchés et après avoir provoqué l'émoi du journal The Times, qui prit leur défense^{[N 7]}. Bien qu'ayant moins flirté avec la mort que Keith Richards, qui fut dans les années 1970 un héroïnomane notoire, Mick Jagger a avoué qu'à de multiples reprises, il avait consommé des drogues durant sa carrière. Il a déclaré notamment qu'il était sous l'effet du LSD lors de la séance photo pour la pochette de l'album Their Satanic Majesties Request en 1967. Dans le documentaire Cocksucker Blues tourné en 1972, on le voit même sniffer de la cocaïne en coulisses.

Tony Sanchez, surnommé « Spanish Tony », dans son autobiographie Up and Down With the Rolling Stones, déclarait qu'il fournissait Mick Jagger en cocaïne^[32]. Certaines des chansons écrites ont pour référence plus ou moins explicites certaines drogues : Mother's Little Helper (le valium), Dead Flowers ou Brown sugar (l'héroïne) ou Sister Morphine.

Mick Jagger et la France[modifier | modifier le code]

Sa maîtrise de la langue française s'explique par ses cours à l'école, ses vacances passées en France lors de son enfance, par sa relation amoureuse avec Bianca Perez-Mora y Macias avec laquelle il conversait en français, par son exil fiscal dans le sud de la France au début des années 1970.

Il est propriétaire du château de Fourchette^{[N 8]} à Pocé-sur-Cisse près d'Amboise, en Touraine.

Discographie[modifier | modifier le code]

Pour la discographie avec les Rolling Stones voir :

Article détaillé : Discographie des Rolling Stones.

Albums[modifier | modifier le code]

Albums studio

Compilation

2007 : The Very Best of Mick Jagger

Albums en collaboration

1972 : Jamming with Edward! : avec Charlie Watts, Bill Wyman, Nicky Hopkins et Ry Cooder
2004 : Alfie : bande originale du film Irrésistible Alfie coécrite avec Dave Stewart (récompensée par un Grammy Awards de la meilleure bande originale de film)
2011 : SuperHeavy : avec le supergroupe SuperHeavy composé de Jagger, Damian Marley, Joss Stone, Dave Stewart et A. R. Rahman

Participations

1966 : The Art of Chris Farlowe de Chris Farlowe : Mick aux chœurs et à la production.
1967 : All You Need Is Love des Beatles sur l'album Magical Mystery Tour: Mick aux chœurs, avec Keith Richards, Marianne Faithfull, Eric Clapton, etc.
1971 : You're So Vain de Carly Simon de l'album No Secrets : chœurs à partir du 2e refrain.
1974 : I've Got My Own Album to Do de Ron Wood guitare sur 1 chanson, chœurs sur 2 chansons.
1979 : Gimme Some Neck de Ron Wood - Mick aux chœurs.
1984 : State Of Shock des Jackson 5 : Mick au chant.
1985 : Dancing in the Street avec David Bowie - Single pour collecter des fonds pour la cause de secours contre la famine Live Aid.
1995 : The Long Black Veil des Chieftains : Mick sur la chanson-titre.
2001 : Pay Pack & Follow de John Phillips - Mick aux chœurs et à la production avec Keith Richards et Harvey Jay Goldberg.
2004 : Old Habits Die Hard de Sheryl Crow et David A. Stewart ; Mick chante sur cette chanson sortie en single.
2006 : The Rocky Road to Dublin des Chieftains ; les Rolling Stones jouent sur cette chanson tirée de la compilation The Essential Chieftains.
2006 : Paint It Black - Symphonic Music Of The Rolling Stones du London Symphony Orchestra Featuring Mick Jagger, Michael Hutchence & Marianne Faithfull.
2007 : Putamayo Presents World Hits - Artistes variés - Mick Jagger chante avec Peter Tosh sur une chanson de Smokey Robinson (You Gotta Walk) Don't Look Back. Parmi les autres artistes qui se retrouvent sur cette compilation, il y a Touré Kunda (E'mma), Youssou N'Dour avec Neneh Cherry (7 Seconds), Mango Santamaria (Watermelon Man une reprise de Herbie Hancock), Santana Oye Come Va, Jimmy Cliff The Harder They Come, etc.
2015 : Cass County de Don Henley ; harmonica et chant sur Bramble Rose.
2017 : DJ Blues de Chris Jagger de l'album All the Best ; Mick aux chœurs.
2018 : The Blues Is Alive And Well de Buddy Guy ; Mick au chant sur You Did The Crime, Keith Richards aussi joue sur l'album avec Jeff Beck sur Cognac.

Singles[modifier | modifier le code]

1970 : Memo from Turner
1978 : (You Gotta Walk) Don't Look Back : en duo avec Peter Tosh
1984 : State of Shock : en duo avec The Jacksons
1985 : Just Another Night
1985 : Lucky in Love
1985 : Hard Woman
1985 : Dancing in the Street : en duo avec David Bowie
1986 : Ruthless People
1987 : Let's Work
1987 : Throwaway
1987 : Say You Will
1988 : Primitive Cool
1993 : Sweet Thing
1993 : Don't Tear Me Up
1993 : Out of Focus
2001 : God Gave Me Everything
2002 : Visions of Paradise
2004 : Old Habits Die Hard : en duo avec Dave Stewart
2008 : Charmed Life
2011 : Miracle Worker : avec SuperHeavy
2011 : T.H.E. (The Hardest Ever) de Will.i.am avec Mick Jagger et Jennifer Lopez
2017 : Gotta Get A Grip / England Lost

Filmographie[modifier | modifier le code]

Acteur[modifier | modifier le code]

1967 : Tonight Let's All Make Love in London de Peter Whitehead : Lui-même
1970 : Performance de Nicolas Roeg : Turner
1971 : Ned Kelly de Tony Richardson : Ned Kelly
1978 : All You Need Is Cash de Eric Idle : Lui-même
1982 : Burden of Dreams de Les Blank : Lui même
1987 : The nightingale de Ivan Passer : L'Empereur
1987 : Running Out of Luck, de Julien Temple : Lui même
1992 : Freejack de Geoff Murphy : Victor Vacendak
1997 : Bent de Sean Mathias : Greta/George
1999 : Ennemis intimes de Werner Herzog : Mick/Wilbur
2001 : L'Homme d'Elysian Fields — Les âmes perdues de George Hickenlooper : Luther Fox
2008 : Shine a Light de Martin Scorsese : Lui même
2019 : The Burnt Orange Heresy de Giuseppe Capotondi : Joseph Cassidy

Mick Jagger devait jouer un rôle important dans Fitzcarraldo de Werner Herzog mais la maladie de l'acteur principal Jason Robards provoqua l'interruption du tournage. Robards fut remplacé par Klaus Kinski mais, quand le tournage put recommencer après six semaines d'interruption, Mick Jagger n'était plus disponible : son personnage fut alors supprimé du scénario^[33].
Il apparaît aux côtés de Keith Richards dans un des épisodes de la saison 14 des Simpson, Like A Rolling Stone.
On peut l'apercevoir dans le public de la deuxième soirée du concert de janvier 1972 immortalisé dans le documentaire de Sydney Pollack, Amazing Grace-Aretha Franklin (en), sorti en 2019^[34]^,^[35]^,^[36]. Il est visible à 49 min 18 s et 59 min 54 s accompagné de Charlie Watts et seul et en gros plan à 1 h 05 min 45 s.

Producteur[modifier | modifier le code]

2001 : L'Homme d'Elysian Fields — Les âmes perdues de George Hickenlooper
2014 : Get On Up de Tate Taylor
2016 : Vinyl de Martin Scorsese (série Télévisée)
2022 : Jerry Lee Lewis: Trouble in Mind (documentaire) d'Ethan Coen

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Revues et magazines[modifier | modifier le code]

Best, nº 54, janvier 1973
Best, nº 55, février 1973
RTL'Rock, « Spécial Rolling Stones », octobre 1973
Best
Rock & Folk, nº 186, juillet 1982
Best, nº 169, août 1982
Rock & Folk, nº 217, mars 1985
Musicien, Hors-série nº 2, « Spécial Rolling Stones », 1990
Rock & Folk, Spécial Hors-série nº 1, « 1966-1990 Nos années Stones », 1990
Philippe Manœuvre, MegaMick, Rock & Folk, nº 306, février 1993, repris in Rock & Folk, Spécial Hors-série nº 10, « Nos années Stones : 1963-1995 », juin 1995, p. 82-87.
Jukebox magazine, nº 231, juin 2006
Rock & Folk, nº 466, juin 2006

Livres[modifier | modifier le code]

(en) Tony Scaduto, Mick Jagger : Everybody's Lucifer, Berkeley Publishing Corporation, New York, 1974, 297 p. + 16 p. H.T.
François Bon, Les Rolling Stones, une biographie, 2002 (ISBN 2-213-61308-7)
Philipp Norman (trad. Éditions Robert Laffont), Les Stones, Éditions Robert Laffont, 1984, 410 p. + 8 p. H. T. (ISBN 2-221-04575-0)
(en) Christopher Anderson Jagger unauthorized, Delacorte Press, États-Unis, 1993 (ISBN 0-385-30825-6) ; traduction française : Mick Jagger le scandaleux, Robert Laffont, 1993, (ISBN 2-221-07637-0)
Christopher Sandford, Mick Jagger : Primitive cool, Victor Gollancz Ltd, Londres, 1993 ; Traduction Française : Mick Jagger: la voix des Stones, Albin Michel, 1994, (ISBN 2-226-07480-5)
(en) James Phelge, Nankering With the Rolling Stones, 2000 (ISBN 1-55652-373-4)
(en) Bill Wyman, Rolling with the Stones, 2003 (ISBN 0-7894-9998-3)
The Rolling Stones (traduction française), Selon les Rolling Stones, Fayard, 2003 (ISBN 2-213-61679-5)
(en) Andrew Loog Oldham, Rolling Stoned, Flammarion, 2006 ^{[réf. nécessaire]}
Jerry Hall Du Texas à Mick Jagger, Michel Lafon, 1990 (ISBN 978-2-86391-361-1)

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

↑ « … Tu sais combien j'aime Chuck Berry, et je t'avais dit que je pensais être le seul fan à des kilomètres à la ronde, or l'autre matin à la gare de Dartford, j'avais un disque de Chuck à la main et un gars que j'ai connu à l'école primaire, entre sept et onze ans, s'est approché de moi… » Extrait d'une lettre de Keith Richards à sa tante Patty et publiée page 108 de l'édition française de Life, son autobiographie).
↑ Les deux derniers cités créeront Cream avec Eric Clapton en 1966.
↑ Nom qui servira de base au pseudonyme Nanker Phelge utilisé par les Stones à leur début pour certains de leurs titres.
↑ Mick Jagger a une relation avec le mannequin des années 1960 Chrissie Shrimpton, sœur de Jean Shrimpton, avant de fréquenter Marianne Faithfull^[14].
↑ La prise en main des affaires des Stones par le prince Rupert Lowenstein en sera un des signes.
↑ Il n'y aura pas de divorce car le mariage avait été contracté à Bali, qui n'a aucun accord de reconnaissance pour les actes de mariage avec le Royaume-Uni. Le mariage était donc nul.
↑ Dans un article de William Rees-Mogg en juillet 1967 : « Who breaks a butterfly on a wheel? ».
↑ Où fut enregistré leur dernier album.

Références[modifier | modifier le code]

↑ « 100 Greatest Singers of All Time », sur Rolling Stone (consulté le 19 novembre 2016).
↑ (en) Stones frontman becomes Sir Mick sur news.bbc.co.uk, 12 décembre 2003.
↑ François Bon, Rolling Stone, éditions Fayard, 2002, p. 54.
↑ Voir sur monstersandcritics.com.
↑ Voir sur amazon.com.
↑ Philip Norman, Mick Jagger, Robert Laffont, 2013, p. 17.
↑ François Bon, op. cit., p. 60.
↑ Christopher Sandford, Mick Jagger. La voix des Stones, Albin Michel, 1994, pages 43 et 45.
↑ « Rolling Stones blue plaque: Jagger-Richards Dartford train meet marked », sur BBC News, 5 février 2015.
↑ Voir sur baltimoresun.com.
↑ Voir sur people.com.
↑ Voir sur lesoir.be.
↑ « Mick Jagger et ses 4 000 femmes », sur leparisien.fr, 3 juillet 2012.
↑ (en) « Jean Shrimpton in Melbourne », sur milesago.com (consulté le 30 novembre 2013).
↑ (en) Ann Kolson, « Marsha Hunt's Life is Filled with 'Joy': The Irrepressible Performer has Mick Jagger in her past, old ties to Philadelphia, and a New Book », Philadelphia Inquirer,‎ 16 février 1991.
↑ Voir sur independent.co.uk.
↑ Voir sur premiere.fr.
↑ Frédérique Andréani, « Mick Jagger et L'Wren Scott : un couple trop parfait ? », sur Le Point, 18 mars 2014 (consulté le 21 novembre 2020).
↑ Jennifer Sanchis, « Les nuits torrides de David Bowie et Mick Jagger », sur Paris Match, 11 mars 2013 (consulté le 7 juin 2013).
↑ Keith Richards, James Fox, Life, Robert Laffont, 2011.
↑ « Jade Jagger, mère et grand-mère dans l’année », Paris Match,‎ 12 février 2014 (lire en ligne).
↑ (en) Ruth Corbett, « Jade Jagger's white haven in Ibiza », The Daily Telegraph,‎ 27 août 2014 (lire en ligne).
↑ Sacha Reins, « Les Rolling Stones, un business qui roule », Paris Match, semaine du 19 au 25 octobre 2017, pages 9-11.
↑ « Mick Jagger : qu'est-ce que la technique TAVI qui a réparé son coeur ? », sur Franceinfo, 10 avril 2019 (consulté le 29 octobre 2019).
↑ « En quoi consiste l'opération à cœur ouvert que va subir Mick Jagger? », sur Le Huffington Post, 2 avril 2019 (consulté le 29 octobre 2019).
↑ « Que sait-on de l'opération du cœur "révolutionnaire" de Mick Jagger ? », sur RTL.fr, 8 avril 2019 (consulté le 29 octobre 2019).
↑ « Mick Jagger se sent "beaucoup mieux" après son opération du cœur », sur Le Huffington Post, 5 avril 2019 (consulté le 29 octobre 2019).
↑ « Mick Jagger en grande forme, un mois après son opération du cœur », sur 20minutes.fr, 16 mai 2019 (consulté le 29 octobre 2019).
↑ Closermag.fr, « Mick Jagger : cette étonnante exigence depuis son opération du cœur », sur closermag.fr, 19 août 2019 (consulté le 29 octobre 2019).
↑ « Mick Jagger positif au Covid à 78 ans », sur parismatch.com (consulté le 14 juin 2022).
↑ « Mick Jagger suggère d'offrir les droits du catalogue des Rolling Stones à des oeuvres de charité », sur Franceinfo, 29 septembre 2023 (consulté le 3 octobre 2023)
↑ Voir sur thehistoryofrockmusic.com.
↑ Fitzcarraldo de Werner Herzog (1982) sur dvdclassik.com.
↑ « Les secrets de tournage du film Amazing Grace - Aretha Franklin », sur AlloCine.fr (consulté le 31 janvier 2020).
↑ « « Amazing Grace », le film sur le concert mythique d’Aretha Franklin va enfin sortir », sur Nova, 6 juin 2019 (consulté le 31 janvier 2020).
↑ « "Amazing Grace": Le concert mythique d’Aretha Franklin se dévoile enfin sur grand écran », sur www.lalibre.be, 23 octobre 2019 (consulté le 31 janvier 2020).

Paint It Black - Symphony Music Of The Rolling Stones de The London Symphony Orchestra Featuring Mick Jagger, Michael Hutchence & Marianne Faithfull : https://www.discogs.com/fr/The-London-Symphony-Orchestra-Featuring-Mick-Jagger-Michael-Hutchence-Marianne-Faithfull-Paint-It-Bl/release/8395093

Liens externes[modifier | modifier le code]

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[10] « … Tu sais combien j'aime Chuck Berry, et je t'avais dit que je pensais être le seul fan à des kilomètres à la ronde, or l'autre matin à la gare de Dartford, j'avais un disque de Chuck à la main et un gars que j'ai connu à l'école primaire, entre sept et onze ans, s'est approché de moi… » Extrait d'une lettre de Keith Richards à sa tante Patty et publiée page 108 de l'édition française de Life, son autobiographie).

[11] Les deux derniers cités créeront Cream avec Eric Clapton en 1966.

[12] Nom qui servira de base au pseudonyme Nanker Phelge utilisé par les Stones à leur début pour certains de leurs titres.

[18] Mick Jagger a une relation avec le mannequin des années 1960 Chrissie Shrimpton, sœur de Jean Shrimpton, avant de fréquenter Marianne Faithfull^[14].

[22] La prise en main des affaires des Stones par le prince Rupert Lowenstein en sera un des signes.

[23] Il n'y aura pas de divorce car le mariage avait été contracté à Bali, qui n'a aucun accord de reconnaissance pour les actes de mariage avec le Royaume-Uni. Le mariage était donc nul.

[38] Dans un article de William Rees-Mogg en juillet 1967 : « Who breaks a butterfly on a wheel? ».

[40] Où fut enregistré leur dernier album.

[1] « 100 Greatest Singers of All Time », sur Rolling Stone (consulté le 19 novembre 2016).

[2] (en) Stones frontman becomes Sir Mick sur news.bbc.co.uk, 12 décembre 2003.

[3] François Bon, Rolling Stone, éditions Fayard, 2002, p. 54.

[4] Voir sur monstersandcritics.com.

[5] Voir sur amazon.com.

[6] Philip Norman, Mick Jagger, Robert Laffont, 2013, p. 17.

[7] François Bon, op. cit., p. 60.

[8] Christopher Sandford, Mick Jagger. La voix des Stones, Albin Michel, 1994, pages 43 et 45.

[Jagger-Richard-Dartford-9] « Rolling Stones blue plaque: Jagger-Richards Dartford train meet marked », sur BBC News, 5 février 2015.

[13] Voir sur baltimoresun.com.

[14] Voir sur people.com.

[15] Voir sur lesoir.be.

[16] « Mick Jagger et ses 4 000 femmes », sur leparisien.fr, 3 juillet 2012.

[17] (en) « Jean Shrimpton in Melbourne », sur milesago.com (consulté le 30 novembre 2013).

[:0-19] (en) Ann Kolson, « Marsha Hunt's Life is Filled with 'Joy': The Irrepressible Performer has Mick Jagger in her past, old ties to Philadelphia, and a New Book », Philadelphia Inquirer,‎ 16 février 1991.

[20] Voir sur independent.co.uk.

[21] Voir sur premiere.fr.

[24] Frédérique Andréani, « Mick Jagger et L'Wren Scott : un couple trop parfait ? », sur Le Point, 18 mars 2014 (consulté le 21 novembre 2020).

[25] Jennifer Sanchis, « Les nuits torrides de David Bowie et Mick Jagger », sur Paris Match, 11 mars 2013 (consulté le 7 juin 2013).

[26] Keith Richards, James Fox, Life, Robert Laffont, 2011.

[27] « Jade Jagger, mère et grand-mère dans l’année », Paris Match,‎ 12 février 2014 (lire en ligne).

[28] (en) Ruth Corbett, « Jade Jagger's white haven in Ibiza », The Daily Telegraph,‎ 27 août 2014 (lire en ligne).

[29] Sacha Reins, « Les Rolling Stones, un business qui roule », Paris Match, semaine du 19 au 25 octobre 2017, pages 9-11.

[30] « Mick Jagger : qu'est-ce que la technique TAVI qui a réparé son coeur ? », sur Franceinfo, 10 avril 2019 (consulté le 29 octobre 2019).

[31] « En quoi consiste l'opération à cœur ouvert que va subir Mick Jagger? », sur Le Huffington Post, 2 avril 2019 (consulté le 29 octobre 2019).

[32] « Que sait-on de l'opération du cœur "révolutionnaire" de Mick Jagger ? », sur RTL.fr, 8 avril 2019 (consulté le 29 octobre 2019).

[33] « Mick Jagger se sent "beaucoup mieux" après son opération du cœur », sur Le Huffington Post, 5 avril 2019 (consulté le 29 octobre 2019).

[34] « Mick Jagger en grande forme, un mois après son opération du cœur », sur 20minutes.fr, 16 mai 2019 (consulté le 29 octobre 2019).

[35] Closermag.fr, « Mick Jagger : cette étonnante exigence depuis son opération du cœur », sur closermag.fr, 19 août 2019 (consulté le 29 octobre 2019).

[36] « Mick Jagger positif au Covid à 78 ans », sur parismatch.com (consulté le 14 juin 2022).

[37] « Mick Jagger suggère d'offrir les droits du catalogue des Rolling Stones à des oeuvres de charité », sur Franceinfo, 29 septembre 2023 (consulté le 3 octobre 2023)

[39] Voir sur thehistoryofrockmusic.com.

[41] Fitzcarraldo de Werner Herzog (1982) sur dvdclassik.com.

[42] « Les secrets de tournage du film Amazing Grace - Aretha Franklin », sur AlloCine.fr (consulté le 31 janvier 2020).

[43] « « Amazing Grace », le film sur le concert mythique d’Aretha Franklin va enfin sortir », sur Nova, 6 juin 2019 (consulté le 31 janvier 2020).

[44] « "Amazing Grace": Le concert mythique d’Aretha Franklin se dévoile enfin sur grand écran », sur www.lalibre.be, 23 octobre 2019 (consulté le 31 janvier 2020).

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 {{Voir homonymes|Jagger}}
 {{Infobox Biographie2
  | charte            = chanteur
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-Sir '''Michael Philip Jagger''' [[Pseudonyme|dit]] '''Mick Jagger''', né le {{Date de naissance|26|juillet|1943}} à [[Dartford]] ([[Kent]], [[Angleterre]]), est un [[auteur-compositeur-interprète]], [[musicien]] et [[acteur]] [[Royaume-Uni|britannique]], cofondateur en 1962, avec [[Brian Jones (musicien)|Brian Jones]] ([[guitare]]), [[Keith Richards]] (guitare), [[Dick Taylor]] ([[guitare basse|basse]], rapidement remplacé par  [[Bill Wyman]]), [[Mick Avory]] ([[batterie (instrument)|batterie]]) et [[Ian Stewart (musicien)|Ian Stewart]] ([[piano]]) du célèbre [[Groupe musical|groupe]] de [[rock]] [[Royaume-Uni|britannique]] [[The Rolling Stones]], dont la formation se stabilise l'année suivante avec l'arrivée de [[Charlie Watts]] à la batterie. Sous la signature « ''The Glimmer Twins'' » (Les Jumeaux Etincelants), il est avec [[Keith Richards]] l'[[auteur-compositeur]] de la plupart des titres du groupe. Outre le [[chant]], il lui arrive de jouer au sein du groupe de l'[[harmonica]] et de la [[guitare]].
+'''Michael Philip Jagger''' [[Pseudonyme|dit]] '''Mick Jagger''', né le {{Date de naissance|26|juillet|1943}} à [[Dartford]] ([[Kent]], [[Angleterre]]), est un [[auteur-compositeur-interprète]], [[musicien]] et [[acteur]] [[Royaume-Uni|britannique]], cofondateur en 1962, avec [[Brian Jones (musicien)|Brian Jones]] ([[guitare]]), [[Keith Richards]] (guitare), [[Dick Taylor]] ([[guitare basse|basse]], rapidement remplacé par  [[Bill Wyman]]), [[Mick Avory]] ([[batterie (instrument)|batterie]]) et [[Ian Stewart (musicien)|Ian Stewart]] ([[piano]]) du célèbre [[Groupe musical|groupe]] de [[rock]] [[Royaume-Uni|britannique]] [[The Rolling Stones]], dont la formation se stabilise l'année suivante avec l'arrivée de [[Charlie Watts]] à la batterie qui a remplacé Mick Avory. Sous la signature « ''The Glimmer Twins'' » (Les Jumeaux Etincelants), il est avec [[Keith Richards]] l'[[auteur-compositeur]] de la plupart des titres du groupe. Outre le [[chant]], il lui arrive de jouer au sein du groupe de l'[[harmonica]] et de la [[guitare]].
 Mick Jagger est l'un des [[chanteur]]s les plus célèbres en raison de la popularité et de la longévité des [[The Rolling Stones|Rolling Stones]]. Véritable star depuis le milieu des années 1960, il est, par son jeu de scène démonstratif, son attitude et son charisme, considéré comme l'archétype du [[chanteur]] de [[rock]], souvent cité comme référence par de nombreux artistes. En 2010, il est classé {{16e}} dans le classement des 100 plus grands chanteurs de tous les temps par le mensuel ''[[Rolling Stone]]''<ref>{{Lien web|titre=100 Greatest Singers of All Time|url=https://www.rollingstone.com/music/lists/100-greatest-singers-of-all-time-19691231|site=Rolling Stone|consulté le=2016-11-19}}.</ref>.
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 Il a aussi travaillé pour le [[cinéma]] en tant qu'[[acteur]] dans plusieurs [[Cinéma|film]]s, notamment : ''[[Performance (film)|Performance]]'', ''[[Ned Kelly (film, 1970)|Ned Kelly]]'', ''[[L'Homme d'Elysian Fields]]'' ou encore ''[[Bent (film)|Bent]]''.
-Le {{Date|12|décembre|2003}}, Mick Jagger a été solennellement adoubé [[Knight Bachelor|chevalier]] par le [[Charles de Galles|prince Charles]], au nom de la reine, en présence de son père et de deux de ses filles, devenant ainsi Sir Michael Jagger<ref>{{en}} [http://news.bbc.co.uk/2/hi/entertainment/3312639.stm ''Stones frontman becomes Sir Mick''] sur news.bbc.co.uk, 12 décembre 2003.</ref>. Mick Jagger et ses partenaires, tous septuagénaires, continuent dans les années 2020 à tourner avec succès dans le monde entier et ne manifestent aucune intention de mettre un terme à l'existence de leur groupe, malgré la mort de leur batteur [[Charlie Watts]] en 2021.
+Le {{Date|12|décembre|2003}}, Mick Jagger a été solennellement adoubé [[Knight Bachelor|chevalier]] par le [[Charles de Galles|prince Charles]], au nom de la reine, en présence de son père et de deux de ses filles, devenant ainsi Sir Michael Jagger<ref>{{en}} [http://news.bbc.co.uk/2/hi/entertainment/3312639.stm ''Stones frontman becomes Sir Mick''] sur news.bbc.co.uk, 12 décembre 2003.</ref>. Mick Jagger et ses partenaires, continuent dans les années 2020 à tourner avec succès dans le monde entier et ne manifestent aucune intention de mettre un terme à l'existence de leur groupe, malgré la mort de leur batteur [[Charlie Watts]] en 2021.
 == Biographie ==
 Son père, Basil Fanshawe « Joe » Jagger (né le {{date-|6 avril 1913}} et mort le {{date-|11 novembre 2006}}) est professeur d'éducation physique ; sa mère, Eva Ensley Mary Scutts, coiffeuse (née le {{date-|13 avril 1913}} et morte le {{date-|18 mai 2000}})<ref>François Bon, ''Rolling Stone'', éditions Fayard, 2002, {{p.|54}}.</ref>. En 1957, son père anime une émission de télévision sur la gymnastique, Mick apparaît plusieurs fois dans les reportages, accomplissant des mouvements de gym<ref>[http://www.monstersandcritics.com/people/Mick-Jagger/biography/ Voir sur ''monstersandcritics.com''].</ref>. Son père Basil s'est intéressé au basket-ball; il y a initié Mick, et a écrit un livre à ce sujet en 1971<ref>[https://www.amazon.com/Basketball-Coaching-Playing-Basil-Jagger/dp/0571047432 Voir sur ''amazon.com''].</ref>. En 1954, il réussit l'[[eleven-plus]] et intègre la {{Lien|langue=en|fr=Dartford Grammar School}}. Élève dans cette école réputée de 1954 à 1961, il se révèle bon en anglais, français, et en sport, notamment au [[cricket]] qui restera toute sa vie une grande passion<ref>{{ouvrage|auteur=Philip Norman|titre=Mick Jagger|éditeur=Robert Laffont|date=2013|passage=17}}.</ref>. Il a un frère cadet [[Chris Jagger|Chris]], qui est musicien, chanteur, auteur, compositeur.
 Dès l'âge de 15 ans, Mick s'intéresse au [[rhythm and blues]]. Tout en continuant ses études, il débute à l'[[harmonica]] et s'exerce au chant. Il forme son premier groupe, baptisé ''Little Boy Blue & The Blues Boys'' en [[1959]] avec son copain de quartier [[Dick Taylor]]<ref>François Bon, ''op. cit.'', {{p.|60}}.</ref>.
-[[Fichier:Mick-Jagger-1965b.jpg|vignette|Mick Jagger en 1965.]]
+[[Fichier:Mick-Jagger-1965b.jpg|vignette|gauche|Mick Jagger en 1965.]]
-Le matin du {{date|17 octobre 1961}}<ref>''Mick Jagger. La voix des Stones''. - Christopher Sandford, 1994, Albin Michel, pages 43 et 45</ref>{{,}}<ref name="Jagger-Richard-Dartford">{{Lien web|titre=''Rolling Stones blue plaque: Jagger-Richards Dartford train meet marked''.- BBC News, 5 February 2015|url= https://www.bbc.com/news/uk-england-kent-31152434}}.</ref>, il rencontre [[Keith Richards]] sur le quai de la gare de [[Dartford]]<ref group=N>{{citation|...Tu sais combien j'aime Chuck Berry, et je t'avais dit que je pensais être le seul fan à des kilomètres à la ronde, or l'autre matin à la gare de Dartford, j'avais un disque de Chuck à la main et un gars que j'ai connu à l'école primaire, entre sept et onze ans, s'est approché de moi...}} Extrait d'une lettre de [[Keith Richards]] à sa tante Patty et publiée page 108 de l'édition française de ''[[Life (livre)|Life]]'', son autobiographie).</ref>, qui avait été élève dans la même école primaire que lui, et qui est attiré par les albums de rhythm'n'blues que Mick vient d'acheter. Ils s'aperçoivent rapidement qu'ils partagent non seulement un engouement commun pour la musique noire américaine mais aussi un ami : Dick Taylor qui joue dans ''Little Boy Blue and The Blue Boys''.
+Le matin du {{date|17 octobre 1961}}<ref>Christopher Sandford, ''Mick Jagger. La voix des Stones'', Albin Michel, 1994, pages 43 et 45.</ref>{{,}}<ref name="Jagger-Richard-Dartford">{{Lien web|titre=''Rolling Stones blue plaque: Jagger-Richards Dartford train meet marked''|site=BBC News|date=5 February 2015|url= https://www.bbc.com/news/uk-england-kent-31152434}}.</ref>, il rencontre [[Keith Richards]] sur le quai de la gare de [[Dartford]]<ref group=N>{{citation|… Tu sais combien j'aime Chuck Berry, et je t'avais dit que je pensais être le seul fan à des kilomètres à la ronde, or l'autre matin à la gare de Dartford, j'avais un disque de Chuck à la main et un gars que j'ai connu à l'école primaire, entre sept et onze ans, s'est approché de moi…}} Extrait d'une lettre de [[Keith Richards]] à sa tante Patty et publiée page 108 de l'édition française de ''[[Life (livre)|Life]]'', son autobiographie).</ref>, qui avait été élève dans la même école primaire que lui, et qui est attiré par les albums de [[rhythm and blues]] que Mick vient d'acheter. Ils s'aperçoivent rapidement qu'ils partagent non seulement un engouement commun pour la musique noire américaine mais aussi un ami : Dick Taylor qui joue dans ''Little Boy Blue and The Blue Boys''.
 À partir de là, Mick et Keith commencent à jouer ensemble. En parallèle avec son groupe, Mick joue aussi en amateur dans le ''[[Blues Incorporated]]'' d'[[Alexis Korner]], qui intègre de nombreux musiciens de passage, allant et venant, dont [[Cyril Davies]] à l'harmonica, [[Charlie Watts]] à la batterie, [[Ginger Baker]] à la batterie et [[Jack Bruce]] à la contrebasse<ref group=N>Les deux derniers cités créeront [[Cream]] avec [[Eric Clapton]] en 1966.</ref>. En [[1961]], Mick entre à la [[London School of Economics]] mais la quitte pour se consacrer à la musique, malgré les conseils de son père. Il rejoint [[Ian Stewart (musicien)|Ian Stewart]] et Brian Jones, rencontrés au ''Ealing Club'' où se produit le ''Blues Incorporated'', qui cherchent d'autres musiciens pour former un groupe. Keith Richards rejoint bientôt la formation qui se compose de Mick Jagger au chant, Ian Stewart au piano, Brian Jones à la guitare, Dick Taylor à la basse et [[The Kinks|Mick Avory]] à la batterie. Après un hiver difficile pour Mick, Keith et Brian, passé en colocation avec un certain James Phelge<ref group=N>Nom qui servira de base au pseudonyme ''[[Nanker Phelge]]'' utilisé par les Stones à leur début pour certains de leurs titres.</ref> au désormais célèbre 102 [[Edith Grove]] à [[Londres]], avec comme ultimes ressources les maigres cachets de quelques concerts, ils fondent les Rolling Stones. Dick Taylor quitte rapidement la formation pour former [[The Pretty Things]] et le groupe recrute [[Bill Wyman]] au poste de bassiste puis [[Charlie Watts]] qui remplace Mick Avory à la batterie en [[1963]]. Les Rolling Stones ont désormais leur formation.
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 La place de Mick Jagger au sein de la formation est au début assez discrète. Bien qu'il se révèle rapidement être une bête de scène, ce n'est pas lui qui fait office de leader ou qui décide des orientations musicales du groupe. Ce rôle échoit à l'origine à Brian Jones. Cependant, son physique androgyne, son attitude outrancière et son ''sex-appeal'' poussent [[Andrew Loog Oldham]] à faire de Mick l'une des figures principales du groupe. Malgré des capacités limitées comme chanteur, Mick jouit d'une certaine aura auprès du public qui tranche avec l'attitude plus sage et conventionnelle des autres groupes anglais du moment (notamment les [[The Beatles|Beatles]]). Alors que Brian Jones était au début le négociateur des contrats pour les Rolling Stones, Mick prend cette place petit à petit, poussé par Andrew Loog Oldham. Il devient au fil des années (avec Keith Richards, dans une moindre mesure) la tête pensante des Rolling Stones.
-Ce rôle au sein du groupe est renforcé par le fait que, poussé par Oldham, il va à partir de 1964, se lancer avec Keith Richards dans l'écriture des chansons du groupe. De leur collaboration vont naître quelques-uns des plus grands succès du rock comme ''[[(I Can't Get No) Satisfaction]]'', ''[[Jumpin' Jack Flash]]'', ''[[Sympathy for the Devil (chanson)|Sympathy for the Devil]]'' ou ''[[Paint It Black]]''. Keith Richards a décrit leur manière de travailler dans son autobiographie intitulée ''[[Life (livre)|Life]]''. Le guitariste est souvent à l'origine des chansons et présente à Mick, une ébauche avec parfois un premier vers ou un refrain. Mick Jagger se charge alors d'écrire (ou de réécrire) le reste des paroles avec la mélodie du chant. Néanmoins, certains titres crédités Jagger/Richards sont parfois écrits et composés par Jagger seul. C'est le cas par exemple de ''[[Brown Sugar (chanson des Rolling Stones)|Brown Sugar]]''. L'association artistique entre Jagger et Richards leur vaudra le surnom de « ''[[Jagger/Richards|The Glimmer Twins]]'' » ( ''les jumeaux étincelants'' ).
+Ce rôle au sein du groupe est renforcé par le fait que, poussé par Oldham, il va à partir de 1964, se lancer avec Keith Richards dans l'écriture des chansons du groupe. De leur collaboration vont naître quelques-uns des plus grands succès du rock comme ''[[(I Can't Get No) Satisfaction]]'', ''[[Jumpin' Jack Flash]]'', ''[[Sympathy for the Devil (chanson)|Sympathy for the Devil]]'' ou ''[[Paint It Black]]''. Keith Richards a décrit leur manière de travailler dans son autobiographie intitulée ''[[Life (livre)|Life]]''. Le guitariste est souvent à l'origine des chansons et présente à Mick, une ébauche avec parfois un premier vers ou un refrain. Mick Jagger se charge alors d'écrire (ou de réécrire) le reste des paroles avec la mélodie du chant. Néanmoins, certains titres crédités Jagger/Richards sont parfois écrits et composés par Jagger seul. C'est le cas par exemple de ''[[Brown Sugar (chanson des Rolling Stones)|Brown Sugar]]''. L'association artistique entre Jagger et Richards leur vaudra le surnom de « ''[[Jagger/Richards|The Glimmer Twins]]'' » (« les jumeaux étincelants »).
 Les textes écrits par Jagger aident à façonner l'image des Rolling Stones : ils parlent de sexe, de drogues et tournent en dérision les femmes et la société. Mick Jagger se construit une image de mauvais garçon, impertinent et rebelle. Cette image qui prend forme à partir du milieu des années 1960 se perpétuera ensuite à grand renfort de coups médiatiques et de déclarations fracassantes.
 === Carrière solo ===
+Les premiers projets artistiques que Mick Jagger concrétise hors des Rolling Stones concernent le cinéma. Il joue en 1968 dans ''[[Performance (film)|Performance]]'' un film de [[Nicolas Roeg]], avec [[James Fox (acteur)|James Fox]] et [[Anita Pallenberg]], dans lequel il incarne le personnage de Turner, une rock star décadente, peu éloignée de ce qu'il est à l'époque. Il s'agit sûrement de son rôle le plus convaincant au cinéma : les deux suivants ''[[Ned Kelly]]'' (1970) et ''[[Freejack]]'' (1992) seront beaucoup plus anecdotiques. En 1997, il revient au cinéma avec le rôle d'un transsexuel dans ''[[Bent (film)|Bent]]'' de [[Sean Mathias]].
+[[Fichier:Mick Jagger (1982).jpg|vignette|gauche|Mick Jagger en 1982.]]
-Les premiers projets artistiques que Mick Jagger concrétise hors des Rolling Stones concernent le cinéma. Il joue en 1968 dans ''[[Performance (film)|Performance]]'' un film de [[Nicolas Roeg]], avec [[James Fox (acteur)|James Fox]] et [[Anita Pallenberg]], dans lequel il incarne le personnage de Turner, une rock star décadente, peu éloignée de ce qu'il est à l'époque. Il s'agit sûrement de son rôle le plus convaincant au cinéma : les deux suivants ''[[Ned Kelly]]'' (1970) et ''[[Freejack]]'' (1992) seront beaucoup plus anecdotiques. En 1997, il revient au cinéma avec le rôle d'un transsexuel dans ''[[Bent (film)|Bent]]'' de [[Sean Mathias]].
-[[Fichier:Mick Jagger (1982).jpg|vignette|250px|gauche|Mick Jagger en 1982.]]
 Dans les [[années 1980]], Mick Jagger se fâche avec Keith Richards et, en 1985, il décide de se lancer dans une carrière musicale solo en marge des Rolling Stones. Les albums ''[[She's the Boss]]'' (1985), ''[[Primitive Cool]]'' (1987) et ''[[Wandering Spirit (album)|Wandering Spirit]]'' (1993) n'arriveront pas vraiment à convaincre le public, malgré quelques bonnes ventes. En 1989, il se réconcilie avec Richards et recommence à se produire avec les Rolling Stones, jusqu'à aujourd'hui. Néanmoins, il continue de mener des projets parallèles : en 2001 sort son quatrième album solo, ''[[Goddess in the Doorway]]'', auquel ont participé des artistes comme [[Lenny Kravitz]], [[Bono]] ou [[Pete Townshend]]. Comme ses précédents albums solos, il peine à convaincre le public malgré un certain succès critique. En 2007, Mick Jagger sort une compilation de son travail solo, ''The Very Best Of Mick Jagger''.
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 Avec [[Elvis Presley]] et [[Freddie Mercury]] ou [[Bruce Springsteen]], Mick Jagger est considéré comme l'un des personnages les plus emblématiques du rock. Comme le King, il doit sa popularité à la dimension sexuelle du rock qu'il mettait en scène. Son physique particulier (lèvres amplement dimensionnées, taille de guêpe), androgyne, ses postures arrogantes et ses déhanchements féminins participaient à la construction de cette dimension sexuelle (souvent présentée comme ambivalente<ref>[http://articles.baltimoresun.com/1993-07-11/features/1993192113_1_jagger-mick-bowie Voir sur ''baltimoresun.com''.]</ref>). Jagger déclarera même avoir été influencé dans les années 1960 par le jeu de scène sensuel et sexuel de [[Tina Turner]]<ref>[http://www.people.com/people/archive/article/0,,20080873,00.htm Voir sur ''people.com''].</ref> pour développer le sien. Lui-même influencera de multiples chanteurs par son jeu de scène comme [[Steven Tyler]], [[Jim Morrison]], [[Iggy Pop]] ou [[Michael Hutchence]]<ref>[http://archives.lesoir.be/michael-hutchence-le-dernier-des-perdus-du-rock-un-gars_t-19971124-Z0EHRP.html Voir sur ''lesoir.be''].</ref>.
-Mick Jagger reste l'un des premiers chanteurs d'un groupe à s'être véritablement imposé sur scène comme la figure principale du groupe. Cette posture (qui sera imitée par la suite par de nombreux autres chanteurs : Jim Morrison {{etc.|virgule=non}}) fera beaucoup pour la popularité des Rolling Stones. On remarquera que le logo des Stones représente une bouche lippue avec une langue : les attributs les plus remarquables de Mick Jagger.
+Mick Jagger reste l'un des premiers chanteurs d'un groupe à s'être véritablement imposé sur scène comme la figure principale du groupe. Cette posture (qui sera imitée par la suite par de nombreux autres chanteurs : Jim Morrison, etc.) fera beaucoup pour la popularité des Rolling Stones. On remarquera que le logo des Stones représente une bouche lippue avec une langue : les attributs les plus remarquables de Mick Jagger.
 === Vie privée ===
-[[Fichier:Downe House, Richmond Hill.jpg|vignette|Ancienne maison de Mick Jagger.]]
 En dehors de la scène, Mick Jagger accréditait son attitude en ayant une vie amoureuse assez importante et agitée : il a estimé un jour à {{formatnum:4000}} le nombre de ses conquêtes<ref>{{Lien web|url=http://www.leparisien.fr/actualite-people-medias/jagger-et-ses-4-000-femmes-03-07-2012-2075696.php|titre=Mick Jagger et ses 4 000 femmes|date=3 juillet 2012|site=leparisien.fr}}.</ref>. Mari et amant volage, il aurait eu des liaisons avec [[Chrissie Shrimpton]]{{#tag:ref|Mick Jagger a une relation avec le mannequin des années 1960 [[Chrissie Shrimpton]], sœur de [[Jean Shrimpton]], avant de fréquenter Marianne Faithfull<ref>{{Lien web |langue=en |url= http://www.milesago.com/Features/shrimpton.htm|titre=Jean Shrimpton in Melbourne |date= |site=milesago.com |consulté le= 30 novembre 2013}}.</ref>. |group=N}}, [[Pamela Des Barres]], [[Anita Pallenberg]], [[Marsha Hunt (actrice, née 1946)|Marsha Hunt]]<ref name=":0">{{Article |langue=anglais |auteur1=Ann Kolson |titre=Marsha Hunt's Life is Filled with 'Joy': The Irrepressible Performer has Mick Jagger in her past, old ties to Philadelphia, and a New Book |périodique=Philadelphia Inquirer |date=16 février 1991 |lire en ligne= |pages= }}.</ref> , Janice Dickinson, [[Angelina Jolie]], [[Carla Bruni]]<ref>[https://www.independent.co.uk/news/world/europe/the-life-and-loves-of-carla-bruni-765764.html Voir sur ''independent.co.uk''].</ref>{{,}}<ref>[http://people.premiere.fr/News-People/Carla-Bruni-elle-ne-doit-pas-trop-s-approcher-de-Mick-Jagger-!-1798675 Voir sur ''premiere.fr''.]</ref>, [[Carly Simon]], le mannequin [[Sophie Dahl]].
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 À partir de 1965 et jusqu'en 1970, il aura une liaison tumultueuse avec [[Marianne Faithfull]] sur fond de drogues. Marianne et Mick seront même arrêtés en 1967 avec Keith Richards à Redlands, dans la maison de Keith, en possession de cannabis. L'influence de Marianne Faithfull, très cultivée, va se faire sentir sur les textes de Mick pendant leur relation. Elle va lui permettre de s'ouvrir aux arts et à la littérature. C'est elle qui lui présente le livre ''[[Le Maître et Marguerite]]'' de [[Mikhaïl Boulgakov]], qui va lui servir à écrire ''{{langue|en|[[Sympathy for the Devil (chanson)|Sympathy for the Devil]]}}''. En 1969, Marianne Faithfull écrira la chanson ''[[Sister Morphine]]'' qui sera créditée en 1971 dans l'album des Rolling Stones ''{{langue|en|[[Sticky Fingers]]}}'' aux noms de Jagger et Richards. Ce n'est que bien des années plus tard après une bataille juridique que Marianne Faithfull en sera reconnue coauteur.
-Après leur relation, Mick va connaître à partir des années 1970, un intérêt croissant pour la [[jet set]] et la grande bourgeoisie britannique<ref group=N>La prise en main des affaires des Stones par le prince Rupert Lowenstein en sera un des signes.</ref>. En 1971, son mariage avec [[Bianca Jagger|Bianca Pérez-Mora y Macias]] à [[Saint-Tropez]], convie une multitude de stars et est très médiatisé. Le couple, qui a l'habitude de parler français en son sein, se fait remarquer jusqu'au début des années 1980 dans les soirées mondaines. Mick Jagger divorcera de Bianca en 1980, après l'avoir trompée avec [[Jerry Hall]]. Mick et Jerry se marieront en 1990, mais ce mariage sera annulé en 1999<ref group=N>Il n'y aura pas de divorce car le mariage avait été contracté à [[Bali]], qui n'a aucun accord de reconnaissance pour les actes de mariage avec le Royaume-Uni. Le mariage était donc nul.</ref>, après que Mick l'a aussi trompée avec [[Luciana Gimenez|Luciana Gimenez Morad]], un mannequin brésilien.
+Après leur relation, Mick va connaître, à partir des années 1970, un intérêt croissant pour la [[jet set]] et la grande bourgeoisie britannique<ref group=N>La prise en main des affaires des Stones par le prince Rupert Lowenstein en sera un des signes.</ref>. En 1971, son mariage avec [[Bianca Jagger|Bianca Pérez-Mora y Macias]], à [[Saint-Tropez]], convie une multitude de stars et est très médiatisé. Le couple, qui a l'habitude de parler français en son sein, se fait remarquer jusqu'au début des années 1980 dans les soirées mondaines. Mick Jagger divorcera de Bianca en 1980, après l'avoir trompée avec [[Jerry Hall]]. Mick et Jerry se marieront en 1990, mais ce mariage sera annulé en 1999<ref group=N>Il n'y aura pas de divorce car le mariage avait été contracté à [[Bali]], qui n'a aucun accord de reconnaissance pour les actes de mariage avec le Royaume-Uni. Le mariage était donc nul.</ref>, après que Mick l'a aussi trompée avec [[Luciana Gimenez|Luciana Gimenez Morad]], un mannequin brésilien.
+[[Fichier:Mick Jagger Deauville 2014.jpg|vignette|Mick Jagger en 2014.]]
-[[L'Wren Scott]], [[Mannequinat|top model]] [[États-Unis|américaine]], [[Stylisme|créatrice de mode]], sa compagne entre 2001 et 2014 se suicide le [[17 mars|17]] [[Mars 2014|mars]] [[2014]] à [[New York]]<ref>{{Lien web |langue=fr |prénom=Frédérique |nom=Andréani |titre=Mick Jagger et L'Wren Scott : un couple trop parfait ? |url=https://www.lepoint.fr/people/mick-jagger-et-l-wren-scott-un-couple-trop-parfait-18-03-2014-1802662_2116.php |site=Le Point |date=2014-03-18 |consulté le=2020-11-21}}.</ref>.
+[[L'Wren Scott]], [[Mannequinat|top model]] [[États-Unis|américaine]] et [[Stylisme|créatrice de mode]], est sa compagne entre 2001 et 2014 ; elle se suicide le [[17 mars|17]] [[Mars 2014|mars]] [[2014]] à [[New York]]<ref>{{Lien web |langue=fr |prénom=Frédérique |nom=Andréani |titre=Mick Jagger et L'Wren Scott : un couple trop parfait ? |url=https://www.lepoint.fr/people/mick-jagger-et-l-wren-scott-un-couple-trop-parfait-18-03-2014-1802662_2116.php |site=Le Point |date=2014-03-18 |consulté le=2020-11-21}}.</ref>.
 Un article de ''[[Paris Match]]'' relate les confidences de l'ex-épouse de [[David Bowie]] au journal britannique ''[[The Sun]]'' où elle révèle avoir découvert son mari dans un lit avec Mick Jagger, précisant que les deux hommes étaient nus et ivres. ''Match'' estime que cette révélation n'est qu'un {{citation|secret de polichinelle}}<ref>{{Lien web |auteur= Jennifer Sanchis|url=http://www.parismatch.com/People/Musique/Les-nuits-torrides-de-David-Bowie-et-Mick-Jagger-229551|titre= Les nuits torrides de David Bowie et Mick Jagger |date=11 mars 2013 |site=Paris Match |consulté le= 7 juin 2013 }}.</ref>. Toutefois, [[Keith Richards]], dans son autobiographie ''Life'', n'évoque pas ces points<ref>Keith Richards, James Fox, ''Life'', Robert Laffont, 2011.</ref>.
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 * Lucas Maurice Morad, né en 1999, d'une liaison avec [[Luciana Gimenez|Luciana Gimenez Morad]].
 * Deveraux Octavian Basil, né le {{date-|8 décembre 2016}}, avec [[Melanie Hamrick]], ex-ballerine, Mick avait 73 ans lors de sa naissance.
-[[Fichier:Mick Jagger Deauville 2014.jpg|vignette|150px|Mick Jagger en 2014.]]
-En 2014, Mick est devenu arrière-grand-père, la fille de Jade, Assisi Jackson, étant devenue mère d'une petite Ezra<ref>{{article | titre=Jade Jagger, mère et grand-mère dans l’année | périodique=[[Paris Match]] | jour=12 | mois=février | année=2014 | url=http://www.parismatch.com/People/Musique/Jade-Jagger-mere-et-grand-mere-dans-l-annee-548143}}.</ref>{{,}}<ref>{{article | langue=en | auteur1=Ruth Corbett |titre=Jade Jagger's white haven in Ibiza | url=https://www.telegraph.co.uk/lifestyle/interiors/11056285/Jade-Jaggers-white-haven-in-Ibiza.html | périodique=[[The Daily Telegraph]] | date=27 août 2014}}.</ref>.
+En 2014, deux ans avant la naissance de ce dernier enfant, Mick est devenu arrière-grand-père, la fille de Jade, Assisi Jackson, étant devenue mère d'une petite Ezra tandis que Jade avait un nouvel enfant la même année<ref>{{article | titre=Jade Jagger, mère et grand-mère dans l’année | périodique=[[Paris Match]] | jour=12 | mois=février | année=2014 | url=http://www.parismatch.com/People/Musique/Jade-Jagger-mere-et-grand-mere-dans-l-annee-548143}}.</ref>{{,}}<ref>{{article | langue=en | auteur1=Ruth Corbett |titre=Jade Jagger's white haven in Ibiza | url=https://www.telegraph.co.uk/lifestyle/interiors/11056285/Jade-Jaggers-white-haven-in-Ibiza.html | périodique=[[The Daily Telegraph]] | date=27 août 2014}}.</ref>.
+[[Fichier:Downe House, Richmond Hill.jpg|vignette|gauche|Ancienne maison de Mick Jagger à [[Richmond Hill (Londres)|Richmond Hill]].]]
 En 2017, il possède une maison à Richmond, deux appartements et une maison à New York, une maison sur l'[[Moustique (île)|île Moustique]] et le [[château de Fourchette]] (Touraine)<ref>Sacha Reins, [http://www.parismatch.com/Culture/Musique/Les-Rolling-Stones-les-secrets-de-leur-business-1375703 « Les Rolling Stones, un business qui roule »], ''[[Paris Match]]'', semaine du 19 au 25 octobre 2017, pages 9-11.</ref>.
-Il est opéré du coeur le {{date-|5 avril 2019}}, bénéficiant de la technique [[Implantation percutanée d'une prothèse valvulaire aortique|TAVI]]<ref>{{Lien web|langue=fr|titre=Mick Jagger : qu'est-ce que la technique TAVI qui a réparé son coeur ?|url=https://www.francetvinfo.fr/sante/soigner/mick-jagger-quest-ce-que-la-technique-tavi-qui-a-repare-son-coeur_3273997.html|site=Franceinfo|date=2019-04-10|consulté le=2019-10-29}}.</ref>{{,}}<ref>{{Lien web|titre=En quoi consiste l'opération à cœur ouvert que va subir Mick Jagger?|url=https://www.huffingtonpost.fr/entry/en-quoi-consiste-loperation-du-coeur-que-va-subir-mick-jagger_fr_5ca31e09e4b03e061e399c45|site=Le Huffington Post|date=2019-04-02|consulté le=2019-10-29}}.</ref>, qui lui permet de se rétablir très rapidement et de reprendre les tournées dès l'été suivant<ref>{{Lien web|langue=fr-FR|titre=Que sait-on de l'opération du cœur "révolutionnaire" de Mick Jagger ?|url=https://www.rtl.fr/culture/medias-people/mick-jagger-que-sait-on-de-cette-operation-du-coeur-revolutionnaire-7797387337|site=RTL.fr|date=8 avril 2019|consulté le=2019-10-29}}.</ref>{{,}}<ref>{{Lien web|langue=fr|titre=Mick Jagger se sent "beaucoup mieux" après son opération du cœur|url=https://www.huffingtonpost.fr/entry/mick-jagger-operation-coeur_fr_5ca79629e4b047edf959f083|site=Le Huffington Post|date=2019-04-05|consulté le=2019-10-29}}.</ref>{{,}}<ref>{{Lien web|langue=fr|titre=Mick Jagger en grande forme, un mois après son opération du cœur|url=https://www.20minutes.fr/arts-stars/people/2519219-20190516-mick-jagger-grande-forme-mois-apres-operation-ur|site=www.20minutes.fr|date=16/05/2019|consulté le=2019-10-29}}.</ref>{{,}}<ref>{{Lien web|langue=fr|nom1=Closermag.fr|titre=Mick Jagger : cette étonnante exigence depuis son opération du... - Closer|url=https://www.closermag.fr/people/mick-jagger-cette-etonnante-exigence-depuis-son-operation-du-c-ur-1013582|site=www.closermag.fr|date=2019-08-19|consulté le=2019-10-29}}.</ref>.
+Il est opéré du cœur le {{date-|5 avril 2019}}, bénéficiant de la technique [[Implantation percutanée d'une prothèse valvulaire aortique|TAVI]]<ref>{{Lien web|langue=fr|titre=Mick Jagger : qu'est-ce que la technique TAVI qui a réparé son coeur ?|url=https://www.francetvinfo.fr/sante/soigner/mick-jagger-quest-ce-que-la-technique-tavi-qui-a-repare-son-coeur_3273997.html|site=Franceinfo|date=2019-04-10|consulté le=2019-10-29}}.</ref>{{,}}<ref>{{Lien web|titre=En quoi consiste l'opération à cœur ouvert que va subir Mick Jagger?|url=https://www.huffingtonpost.fr/entry/en-quoi-consiste-loperation-du-coeur-que-va-subir-mick-jagger_fr_5ca31e09e4b03e061e399c45|site=Le Huffington Post|date=2019-04-02|consulté le=2019-10-29}}.</ref>, qui lui permet de se rétablir très rapidement et de reprendre les tournées dès l'été suivant<ref>{{Lien web|langue=fr-FR|titre=Que sait-on de l'opération du cœur "révolutionnaire" de Mick Jagger ?|url=https://www.rtl.fr/culture/medias-people/mick-jagger-que-sait-on-de-cette-operation-du-coeur-revolutionnaire-7797387337|site=RTL.fr|date=8 avril 2019|consulté le=2019-10-29}}.</ref>{{,}}<ref>{{Lien web|langue=fr|titre=Mick Jagger se sent "beaucoup mieux" après son opération du cœur|url=https://www.huffingtonpost.fr/entry/mick-jagger-operation-coeur_fr_5ca79629e4b047edf959f083|site=Le Huffington Post|date=2019-04-05|consulté le=2019-10-29}}.</ref>{{,}}<ref>{{Lien web|langue=fr|titre=Mick Jagger en grande forme, un mois après son opération du cœur|url=https://www.20minutes.fr/arts-stars/people/2519219-20190516-mick-jagger-grande-forme-mois-apres-operation-ur|site=20minutes.fr|date=16/05/2019|consulté le=2019-10-29}}.</ref>{{,}}<ref>{{Lien web|langue=fr|nom1=Closermag.fr|titre=Mick Jagger : cette étonnante exigence depuis son opération du cœur|url=https://www.closermag.fr/people/mick-jagger-cette-etonnante-exigence-depuis-son-operation-du-c-ur-1013582|site=closermag.fr|date=2019-08-19|consulté le=2019-10-29}}.</ref>.
+En juin 2022, lors de la tournée européenne, il est testé positif au [[Maladie à coronavirus 2019|Covid-19]], ce qui entraîne l'annulation des concerts des Rolling Stones prévus à [[Amsterdam]]<ref>{{Lien web |langue=fr |titre=Mick Jagger positif au Covid à 78 ans |url=https://www.parismatch.com/People/Mick-Jagger-positif-au-Covid-a-78-ans-1811720 |site=parismatch.com |consulté le=2022-06-14}}.</ref> et à [[Berne]].
-En juin 2022, lors de la tournée européenne, il est testé positif à la [[Maladie à coronavirus 2019|Covid-19]], ce qui entraîne l'annulation des concerts des Rolling Stones prévus à [[Amsterdam]]<ref>{{Lien web |langue=fr |titre=Mick Jagger positif au Covid à 78 ans |url=https://www.parismatch.com/People/Mick-Jagger-positif-au-Covid-a-78-ans-1811720 |site=parismatch.com |consulté le=2022-06-14}}.</ref> et à [[Berne]].
+En septembre 2023, il évoque dans une interview au Wall Street Journal son souhait d'offrir les droits du catalogue des Rolling Stones à des œuvres de charité<ref>{{Lien web |langue=fr-FR |titre=Mick Jagger suggère d'offrir les droits du catalogue des Rolling Stones à des oeuvres de charité |url=https://www.francetvinfo.fr/culture/musique/rock/mick-jagger-suggere-d-offrir-les-droits-du-catalogue-des-rolling-stones-a-des-oeuvres-de-charite_6091698.html |site=Franceinfo |date=2023-09-29 |consulté le=2023-10-03}}</ref>.
 === Drogues ===
-[[Fichier:Mick_Jagger_Vejlby-Risskov-Hallen.jpg|vignette|redresse|Mick Jagger en 1973.]]
+[[Fichier:Mick_Jagger_Vejlby-Risskov-Hallen.jpg|vignette|Mick Jagger en 1973.]]
-L'usage de la drogue étant intimement lié à la légende des Rolling Stones, Mick Jagger fut pendant une grande partie de sa carrière musicale associé à des affaires de consommation de drogues (bien que la plupart n'aient jamais fait l'objet de procédures judiciaires). Sa première arrestation pour possession de drogue remonte à une descente de police dans la maison de [[Keith Richards]] en 1967. Les deux Stones risquèrent un temps la prison à cause du cannabis qui fut trouvé, avant d'être relâchés et après avoir provoqué l'émoi du journal ''[[The Times]]'', qui prit leur défense<ref group=N>dans un article de [[William Rees-Mogg]] en juillet 1967 : « Who breaks a butterfly on a wheel? ».</ref>. Bien qu'ayant moins flirté avec la mort que Keith Richards, qui fut dans les [[années 1970]] un héroïnomane notoire, Mick Jagger a avoué qu'à de multiples reprises, il avait consommé des drogues durant sa carrière. Il a déclaré notamment qu'il était sous l'effet du [[LSD]] lors de la séance photo pour la pochette de l'album ''[[Their Satanic Majesties Request]]'' en 1967. Dans le documentaire ''[[Cocksucker Blues]]'' tourné en 1972, on le voit même sniffer de la [[cocaïne]] en coulisses.
+L'usage de la drogue étant intimement lié à la légende des Rolling Stones, Mick Jagger fut pendant une grande partie de sa carrière musicale associé à des affaires de consommation de drogues (bien que la plupart n'aient jamais fait l'objet de procédures judiciaires). Sa première arrestation pour possession de drogue remonte à une descente de police dans la maison de [[Keith Richards]] en 1967. Les deux Stones risquèrent un temps la prison à cause du cannabis qui fut trouvé, avant d'être relâchés et après avoir provoqué l'émoi du journal ''[[The Times]]'', qui prit leur défense<ref group=N>Dans un article de [[William Rees-Mogg]] en juillet 1967 : « Who breaks a butterfly on a wheel? ».</ref>. Bien qu'ayant moins flirté avec la mort que Keith Richards, qui fut dans les [[années 1970]] un héroïnomane notoire, Mick Jagger a avoué qu'à de multiples reprises, il avait consommé des drogues durant sa carrière. Il a déclaré notamment qu'il était sous l'effet du [[LSD]] lors de la séance photo pour la pochette de l'album ''[[Their Satanic Majesties Request]]'' en 1967. Dans le documentaire ''[[Cocksucker Blues]]'' tourné en 1972, on le voit même sniffer de la [[cocaïne]] en coulisses.
 Tony Sanchez, surnommé « Spanish Tony », dans son autobiographie ''Up and Down With the Rolling Stones'', déclarait qu'il fournissait Mick Jagger en cocaïne<ref>[http://thehistoryofrockmusic.com/subject/spanish-tony-sanchez/ Voir sur ''thehistoryofrockmusic.com''.]</ref>. Certaines des chansons écrites ont pour référence plus ou moins explicites certaines drogues : ''[[Mother's Little Helper]]'' (le valium), ''Dead Flowers'' ou ''[[Brown Sugar (chanson des Rolling Stones)|Brown sugar]]'' (l'héroïne) ou ''Sister Morphine''.
 === Mick Jagger et la France ===
-[[Fichier:F_-_Pocé-sur-Cisse,_Route_de_Limeray_004,_Château_de_Fourchette,_Mick_Jagger.jpg|vignette|gauche|250px|Château de Fourchette.]]
+[[Fichier:F_-_Pocé-sur-Cisse,_Route_de_Limeray_004,_Château_de_Fourchette,_Mick_Jagger.jpg|vignette|gauche|Château de Fourchette.]]
-Sa maîtrise de la [[langue française]] s'explique par ses cours à l'école, ses vacances passées en [[France]] lors de son enfance, par sa relation amoureuse avec Bianca Perez-Mora y Macias avec laquelle il conversait en français, par son exil fiscal dans le sud de la France au début des années 1970. Il est propriétaire du [[château de Fourchette]]<ref group=N>[http://www.havovwo.nl/vwo/vfa/bestanden/vfa07iit3.pdf Où fut enregistré leur dernier album].</ref> à [[Pocé-sur-Cisse]] près d'[[Amboise]], en [[Touraine (province française)|Touraine]].
+Sa maîtrise de la [[langue française]] s'explique par ses cours à l'école, ses vacances passées en [[France]] lors de son enfance, par sa relation amoureuse avec Bianca Perez-Mora y Macias avec laquelle il conversait en français, par son exil fiscal dans le sud de la France au début des années 1970.
+Il est propriétaire du [[château de Fourchette]]<ref group=N>[http://www.havovwo.nl/vwo/vfa/bestanden/vfa07iit3.pdf Où fut enregistré leur dernier album].</ref> à [[Pocé-sur-Cisse]] près d'[[Amboise]], en [[Touraine (province française)|Touraine]].
+{{clr}}
 == Discographie ==
-Pour la discographie avec les Rolling Stones voir {{Article détaillé|Discographie des Rolling Stones}}
+Pour la discographie avec les Rolling Stones voir : {{Article détaillé|Discographie des Rolling Stones}}
 === Albums ===
-;Albums solo
+;Albums studio :
 * [[1985 en musique|1985]] : ''[[She's the Boss]]''
 * [[1987 en musique|1987]] : ''[[Primitive Cool]]''
 * [[1993 en musique|1993]] : ''[[Wandering Spirit (album)|Wandering Spirit]]''
 * [[2001 en musique|2001]] : ''[[Goddess in the Doorway]]''
-* [[2007 en musique|2007]] : ''The Very Best of Mick Jagger'' (compilation)
+;Compilation :
-;Albums en collaboration
-* [[1972 en musique|1972]] : ''[[Jamming with Edward!]]'' : avec [[Charlie Watts]], [[Bill Wyman]] [[Nicky Hopkins]] et [[Ry Cooder]]
+* [[2007 en musique|2007]] : ''The Very Best of Mick Jagger''
+;Albums en collaboration :
+* [[1972 en musique|1972]] : ''[[Jamming with Edward!]]'' : avec [[Charlie Watts]], [[Bill Wyman]], [[Nicky Hopkins]] et [[Ry Cooder]]
 * [[2004 en musique|2004]] : ''[[Irrésistible Alfie|Alfie]]'' : bande originale du film ''Irrésistible Alfie'' coécrite avec [[Dave Stewart (guitariste)|Dave Stewart]] (récompensée par un [[Grammy Award]]s de la meilleure bande originale de film)
 * [[2011 en musique|2011]] : ''[[SuperHeavy (album)|SuperHeavy]]'' : avec le supergroupe [[SuperHeavy]] composé de Jagger, [[Damian Marley]], [[Joss Stone]], [[Dave Stewart (guitariste)|Dave Stewart]] et [[Allah Rakha Rahman|A. R. Rahman]]
+;Participations :
-;Divers
+* 1966 : ''[[The Art of Chris Farlowe]]'' de [[Chris Farlowe]] : Mick aux chœurs et à la production.
+* 1967 : ''[[All You Need Is Love]]'' des [[Beatles]] sur l'album [[Magical Mystery Tour (album)|Magical Mystery Tour]]: Mick aux chœurs, avec [[Keith Richards]], [[Marianne Faithfull]], [[Eric Clapton]], etc.
+* 1971 : ''You're So Vain'' de [[Carly Simon]] de l'album ''No Secrets'' : chœurs à partir du 2e refrain.
+* 1974 : ''I've Got My Own Album to Do'' de [[Ron Wood]] guitare sur 1 chanson, chœurs sur 2 chansons.
+* 1979 : ''Gimme Some Neck'' de Ron Wood - Mick aux chœurs.
+* 1984 : ''State Of Shock'' des [[Jackson 5]] : Mick au chant.
+* 1985 : ''[[Dancing in the Street]]'' avec [[David Bowie]] - Single pour collecter des fonds pour la cause de secours contre la famine [[Live Aid]].
+* 1995 : ''The Long Black Veil'' des [[Chieftains]] : Mick sur la chanson-titre.
+* 2001 : ''Pay Pack & Follow'' de John Phillips -  Mick aux chœurs et à la production avec Keith Richards et Harvey Jay Goldberg.
+* 2004 : ''Old Habits Die Hard'' de [[Sheryl Crow]]  et [[Dave Stewart (guitariste)|David A. Stewart]] ; Mick chante sur cette chanson sortie en single.
+* 2006 : ''The Rocky Road to Dublin'' des Chieftains ; les [[Rolling Stones]] jouent sur cette chanson tirée de la compilation ''The Essential Chieftains''.
 * 2006 : ''Paint It Black - Symphonic Music Of The Rolling Stones'' du [[London Symphony Orchestra]] Featuring Mick Jagger, [[Michael Hutchence]] & [[Marianne Faithfull]].
-* 2007 : ''Putamayo Presents World Hits'' - Various artists - Mick Jagger chante avec Peter Tosh sur une chanson de Smokey Robinson ''(You Gotta Walk) Don't Look Back''.  Parmi les autres artistes qui se retrouvent sur cette compilation, il y a Toure Kounda (''E'mma''), Youssou N'Dour avec Neneh Cherry (''7 Seconds''), Mango Santamaria (''Watermelon Man'' une reprise de [[Herbie Hancock]]), Santana ''Oye Come Va'', Jimmy Cliff ''The Harder They Come'', etc.
+* 2007 : ''Putamayo Presents World Hits'' - Artistes variés - Mick Jagger chante avec [[Peter Tosh]] sur une chanson de [[Smokey Robinson]] ''(You Gotta Walk) Don't Look Back''.  Parmi les autres artistes qui se retrouvent sur cette compilation, il y a [[Touré Kunda (groupe)|Touré Kunda]] (''E'mma''), [[Youssou N'Dour]] avec [[Neneh Cherry]] (''7 Seconds''), Mango Santamaria (''Watermelon Man'' une reprise de [[Herbie Hancock]]), [[Santana (groupe)|Santana]] ''Oye Come Va'', [[Jimmy Cliff]] ''The Harder They Come'', etc.
+* 2015 : ''Cass County'' de [[Don Henley]] ; harmonica et chant sur ''Bramble Rose''.
-* 2018 : ''[[The Blues Is Alive And Well]]'' de [[Buddy Guy]], Mick au chant sur ''You Did The Crime'', [[Keith Richards]] aussi joue sur l'album avec [[Jeff Beck]] sur ''Cognac''.
+* 2017 : ''DJ Blues'' de [[Chris Jagger]] de l'album ''All the Best'' ; Mick aux chœurs.
+* 2018 : ''The Blues Is Alive And Well'' de [[Buddy Guy]] ; Mick au chant sur ''You Did The Crime'', [[Keith Richards]] aussi joue sur l'album avec [[Jeff Beck]] sur ''Cognac''.
 === Singles ===
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 * [[1970 au cinéma|1970]] : ''[[Performance (film)|Performance]]'' de [[Nicolas Roeg]] : ''Turner''
 * [[1971 au cinéma|1971]] : ''[[Ned Kelly (film, 1970)|Ned Kelly]]'' de [[Tony Richardson]] : ''Ned Kelly''
+* [[1978 au cinéma|1978]] : ''[[All You Need Is Cash]]'' de [[Eric Idle]] : ''Lui-même''
 * [[1982 au cinéma|1982]] : ''Burden of Dreams de Les Blank : ''Lui même''
 * [[1987 à la télévision|1987]] : The nightingale de Ivan Passer : ''L'Empereur''
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 * [[1992 au cinéma|1992]] : ''[[Freejack]]'' de [[Geoff Murphy]] : ''Victor Vacendak''
 * [[1997 au cinéma|1997]] : ''[[Bent (film)|Bent]]'' de [[Sean Mathias]] : ''Greta/George''
-* 1999 : ''[[Ennemis intimes (film, 1999)|Ennemis intimes]]'' de [[Werner Herzog]] : ''Mick/Wilbur''
+* 1999                    : ''[[Ennemis intimes (film, 1999)|Ennemis intimes]]'' de [[Werner Herzog]] : ''Mick/Wilbur''
 * [[2001 au cinéma|2001]] : ''[[L'Homme d'Elysian Fields]] — Les âmes perdues'' de [[George Hickenlooper]] : ''Luther Fox''
 * [[2008 au cinéma|2008]] : ''[[Shine a Light (film)|Shine a Light]]'' de [[Martin Scorsese]] : ''Lui même''
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 * Mick Jagger devait jouer un rôle important dans ''[[Fitzcarraldo]]'' de [[Werner Herzog]] mais la maladie de l'acteur principal [[Jason Robards]] provoqua l'interruption du tournage. Robards fut remplacé par [[Klaus Kinski]] mais, quand le tournage put recommencer après six semaines d'interruption, Mick Jagger n'était plus disponible : son personnage fut alors supprimé du scénario<ref>[http://www.dvdclassik.com/critique/fitzcarraldo:herzog ''Fitzcarraldo'' de Werner Herzog (1982)] sur ''dvdclassik.com''.</ref>.
 * Il apparaît aux côtés de [[Keith Richards]] dans un des épisodes de la saison 14 des ''[[Les Simpson|Simpson]]'', ''Like A Rolling Stone''.
-* On peut l'apercevoir dans le public de la deuxième soirée du concert de janvier 1972 immortalisé dans le documentaire de [[Sydney Pollack]], {{Lien |langue=en |trad=Amazing Grace (2018 film)|Amazing Grace-Aretha Franklin}}, sorti en 2019<ref>{{Lien web|titre=Les secrets de tournage du film Amazing Grace - Aretha Franklin|url=http://www.allocine.fr/film/fichefilm-269968/secrets-tournage/|site=AlloCine.fr|date=|consulté le=2020-01-31}}.</ref>{{,}}<ref>{{Lien web|langue=fr|titre=« Amazing Grace », le film sur le concert mythique d’Aretha Franklin va enfin sortir|url=http://nova.fr/amazing-grace-le-film-sur-le-concert-mythique-daretha-franklin-va-enfin-sortir|site=Nova|date=6 juin 2019|consulté le=2020-01-31}}.</ref>{{,}}<ref>{{Lien web|langue=fr|titre="Amazing Grace": Le concert mythique d’Aretha Franklin se dévoile enfin sur grand écran|url=https://www.lalibre.be/culture/cinema/amazing-grace-le-concert-mythique-d-aretha-franklin-enfin-devoile-sur-grand-ecran-5daee1a69978e218e3686dbf|site=www.lalibre.be|date=2019-10-23|consulté le=2020-01-31}}.</ref>. Il est visible à 49'18" et 59'54 accompagné de [[Charlie Watts]] et seul et en gros plan à 1h05'45".
+* On peut l'apercevoir dans le public de la deuxième soirée du concert de janvier 1972 immortalisé dans le documentaire de [[Sydney Pollack]], {{Lien |langue=en |trad=Amazing Grace (2018 film)|Amazing Grace-Aretha Franklin}}, sorti en 2019<ref>{{Lien web|titre=Les secrets de tournage du film Amazing Grace - Aretha Franklin|url=http://www.allocine.fr/film/fichefilm-269968/secrets-tournage/|site=AlloCine.fr|date=|consulté le=2020-01-31}}.</ref>{{,}}<ref>{{Lien web|langue=fr|titre=« Amazing Grace », le film sur le concert mythique d’Aretha Franklin va enfin sortir|url=http://nova.fr/amazing-grace-le-film-sur-le-concert-mythique-daretha-franklin-va-enfin-sortir|site=Nova|date=6 juin 2019|consulté le=2020-01-31}}.</ref>{{,}}<ref>{{Lien web|langue=fr|titre="Amazing Grace": Le concert mythique d’Aretha Franklin se dévoile enfin sur grand écran|url=https://www.lalibre.be/culture/cinema/amazing-grace-le-concert-mythique-d-aretha-franklin-enfin-devoile-sur-grand-ecran-5daee1a69978e218e3686dbf|site=www.lalibre.be|date=2019-10-23|consulté le=2020-01-31}}.</ref>. Il est visible à 49 min 18 s et 59 min 54 s accompagné de [[Charlie Watts]] et seul et en gros plan à 1 h 05 min 45 s.
 === Producteur ===
 * [[2001 au cinéma|2001]] : ''[[L'Homme d'Elysian Fields]] — Les âmes perdues'' de [[George Hickenlooper]]
 * [[2014 au cinéma|2014]] : ''[[Get On Up]]'' de [[Tate Taylor]]
-* [[2016 à la télévision|2016]] : ''[[Vinyl (série télévisée)|Vinyl]]'' de [[Martin Scorsese]]'' (Série Télé)
+* [[2016 à la télévision|2016]] : ''[[Vinyl (série télévisée)|Vinyl]]'' de [[Martin Scorsese]]'' (série Télévisée)
+* [[2022 au cinéma|2022]] : ''[[Jerry Lee Lewis: Trouble in Mind]]'' (documentaire) d'[[Joel et Ethan Coen|Ethan Coen]]
 == Bibliographie ==
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 == Liens externes ==
-* {{Autorité}}
+{{Liens}}
-* {{Bases}}
-* {{Dictionnaires}}
-* {{site officiel|en|http://www.mickjagger.com|titre=Site de Mick Jagger}}
 {{Palette|The Rolling Stones}}
-{{Portail|rock|Royaume-Uni}}
+{{Portail|rock|Royaume-Uni|LGBT}}
 {{CLEDETRI:Jagger, Mick}}

v · m The Rolling Stones
Mick Jagger Keith Richards Ron Wood Brian Jones Ian Stewart Dick Taylor Mick Taylor Charlie Watts Bill Wyman Darryl Jones Steve Jordan
Albums studio	The Rolling Stones (1964) The Rolling Stones No. 2 (1965) Out of Our Heads (1965) Aftermath (1966) Between the Buttons (1967) Their Satanic Majesties Request (1967) Beggars Banquet (1968) Let It Bleed (1969) Sticky Fingers (1971) Exile on Main St. (1972) Goats Head Soup (1973) It's Only Rock 'n Roll (1974) Black and Blue (1976) Some Girls (1978) Emotional Rescue (1980) Tattoo You (1981) Undercover (1983) Dirty Work (1986) Steel Wheels (1989) Voodoo Lounge (1994) Bridges to Babylon (1997) A Bigger Bang (2005) Blue and Lonesome (2016) Hackney Diamonds (2023)
Albums en concert	Got Live If You Want It! (album américain, 1966) Get Yer Ya-Ya's Out! (1970) Love You Live (1977) Still Life: American Concert 1981 (1982) Flashpoint (1991) Stripped (1995) No Security (1998) Live Licks (2004) Shine a Light (2008) Brussels Affair (Live 1973) (2011) Some Girls: Live in Texas '78 Hampton Coliseum (Live 1981) (2012) L.A. Friday (Live 1975) (2012) Live at the Tokyo Dome (Live 1990) (2012) Light the Fuse (Live 2005) (2012) Leeds Roundhay Park (Live 1982) (2012) Hyde Park Live Havana Moon (2016) Totally Stripped (2016) On Air (2017) El Mocambo 1977 (2022) Licked Live in NYC (2022) GRRR Live! (2023)
EP	The Rolling Stones (janvier 1964) Five by Five (août 1964) Got Live If You Want It! (EP live, 1965)
Compilations	12 X 5 (album américain, 1964) Now! (album américain, 1965) December's Children (And Everybody's) (album américain, 1965) Big Hits (High Tide and Green Grass) (1966) Flowers (compilation américaine, 1967) Through the Past, Darkly (Big Hits Vol. 2) (1969) Stone Age (1971) Gimme Shelter Hot Rocks 1964-1971 (1972) Milestones Rock 'n' Rolling Stones More Hot Rocks (Big Hits and Fazed Cookies) No Stone Unturned Metamorphosis et Made in the Shade (sortis le même jour en 1975) Rolled Gold Time Waits for No One Solid Rock Slow Rollers Sucking in the Seventies Rewind (1971-1984) Singles Collection: The London Years (1989) Jump Back The Rolling Stones Rock and Roll Circus Forty Licks (2002) Rarities 1971-2003 Rolled Gold+ GRRR! (2012) Honk (2019)
Coffrets	Singles 1963–1965 Singles 1965–1967 Singles 1968–1971 The Rolling Stones Box Set Singles 1971–2006 The Rolling Stones in Mono
Autres disques	Live'r Than You'll Ever Be Jamming with Edward! Live at the Checkerboard Lounge, Chicago 1981 Confessin' the Blues (compilation)
Filmographie	One + One The Stones in the Park Gimme Shelter Cocksucker Blues Ladies and Gentlemen: The Rolling Stones Rolling Stones Video Rewind 25x5: The Continuing Adventures of the Rolling Stones Stones at the Max Voodoo Lounge Live The Rock and Roll Circus Bridges to Babylon Tour '97–98 Four Flicks The Biggest Bang Shine a Light Stones in Exile Some Girls: Live in Texas '78 Crossfire Hurricane Sweet Summer Sun Havana Moon Olé Olé Olé!: A Trip Across Latin America
Collaborateurs et proches	Marianne Faithfull Anita Pallenberg Nicky Hopkins Darryl Jones Allen Klein Andrew Loog Oldham Jimmy Miller Billy Preston Bobby Keys Chuck Leavell Lisa Fischer
Articles liés	Rolling with The Stones Festival d'Altamont Jagger/Richards Nanker Phelge Studio mobile Rolling Stones
Discographie