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* 1975 : ''[[Solid Silver]]'' (Quicksilver Messager Service)
* 1975 : ''[[Solid Silver]]'' (Quicksilver Messager Service)
* 1975 : ''Let It Rock'' (Jerry Garcia Band): extraits des concerts du groupe donnés à [[Berkeley (Californie)|Berkeley]] les 17 et 18 novembre 1975, double CD sorti en 2009.
* 1975 : ''Let It Rock'' (Jerry Garcia Band): extraits des concerts du groupe donnés à [[Berkeley (Californie)|Berkeley]] les 17 et 18 novembre 1975, double CD sorti en 2009.
* 1975 : ''[[Garcia_live#Garcia_Live_Volume_Five_:_Jerry_Garcia_Band|Garcia live]]'' : Concert donné le 31 décembre 1975.
* 1976 : ''[[Reflections (album de Jerry Garcia)|Reflections]]'' ([[Jerry Garcia]])
* 1976 : ''[[Reflections (album de Jerry Garcia)|Reflections]]'' ([[Jerry Garcia]])
* 1976 : ''[[Black and Blue (album)|Black and Blue]]'' (The Rolling Stones)
* 1976 : ''[[Black and Blue (album)|Black and Blue]]'' (The Rolling Stones)

Version du 6 décembre 2014 à 12:29

Nicky Hopkins, né le à Londres et mort le à Nashville, est un pianiste et organiste britannique.

Il a joué comme musicien de studio sur de nombreux albums, anglais ou américains, de rock ou de pop des années 1960 au début des années 1990, notamment avec les Rolling Stones[1].

Biographie

Hopkins souffre dès son enfance de la maladie de Crohn, ce qui l'empêche de jouer trop souvent sur scène et le conduit à favoriser le travail en studio. Dans les années 1960, il devient un musicien de studio recherché, jouant pour The Kinks (Ray Davies lui a dédié la chanson Session Man sur l'album Face to Face), The Move, The Who ou The Beatles. Il rejoint le Jeff Beck Group en 1967, puis le groupe californien Quicksilver Messenger Service en 1969-1970. Il est également membre de l'éphémère groupe Sweet Thursday en 1969.

Nicky Hopkins commence à travailler avec les Rolling Stones en 1966, sur l'album Between the Buttons. Sa collaboration avec le groupe dure jusqu'à l'album Black and Blue (1976). Durant cette période, il apparaît surtout sur les ballades du groupe, comme She's a Rainbow, tandis que Ian Stewart tient les claviers sur les titres plus rock. Hopkins joue parfois sur scène avec les Rolling Stones au début des années 1970, lorsque son état de santé le lui permet. C'est lors des sessions de l'album "Let it Bleed" qu'est enregistré le disque "Jamming with Edward" qui sortira en 1972 (et sera réédité en 1994). On peut considérer qu'il s'agit d'un album solo de Nicky Hopkins (surnommé Edward) avec Ry Cooder (guitare, Keith Richards étant absent de ces sessions), Bill Wyman (bass), Charlie Watts (batterie), Mick Jagger (harmonica, chant en arrière plan).

Il meurt en 1994 des complications d'une précédente chirurgie intestinale à 50 ans.

Il est le seul musicien avec Eric Clapton à avoir joué sur un album des Beatles ainsi que sur un album solo de chacun des Fab Four.

Discographie

Albums personnels

Réalisés au Japon :

Participations

Notes et références

  1. (en) Chris Welch, « Obituary: Nicky Hopkins », The Independent, UK, friday 9 september 1994 (consulté le )

Voir aussi