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Je suis très étonnée de voir qu'on peut écrire que la France pèse plus que la Suisse. Quid de la position québécoise? Wikipedia n'a pas pour vocation à se centrer sur les positions quelques peu obsolètes d'une académie française fondée par le Cardinal Richelieu pour unifier par la langue un territoire conquis par les armes (il s'est inspiré de Nebrija, sa grammaire et la conquête de l'Amérique du sud par l'Espagne!). La masculinisation des noms de fonction de fait a eu lieu avec la fondation de l'académie, sur des critères religieux aussi smpathiques que "le masculin est supérieur au féminin". Cette masculinisation est récente dans l'histoire de la langue française, et donc il s'agit de rétablir une pratique ancienne et plus judicieuse, qui n'invisibilise par la moitiés du genre humain (puisqu'il est d'usage dans nos sociétés de différencier les personnes selon leur sexe allégué et ce dès leur naissance), en recourant au langage épicène (terme Suisse romand plus adapté je pense que le mot "féminisation" qui suscite l'ire de certains). La raison pour laquelle certain-e-s linguistes préfèrent le mot 'autrice' à auteure (il ne faut jamais oublier la dimension vernaculaire de la langue, qui contrairement à ce que l'académie cherche à imposer, est une chose vivante qui évolue avec les mentalités), c'est que la prononciation orale de 'auteure' ne se différencie pas assez de 'auteur', et manque le but escompté de rendre le genre inaudible parfaitement déterminé à l'oral. Qu'on pense au ridicule de la phrase suivante (qui est de l'humoriste Devos je crois) : '100 femmes et un chiens sont revenus contents de la plage en remuant la queue', pour mesure à quel point la "masculinisation" peut introduire des erreurs de sens, d'interpretation qui vont au-delà d'une petite querelle entre féministes et anti-féministes? --[[Utilisatrice:Nattes à chat|Nattes à chat]] ([[Discussion utilisatrice:Nattes à chat|discuter]]) 7 mai 2016 à 11:20 (CEST)
Je suis très étonnée de voir qu'on peut écrire que la France pèse plus que la Suisse. Quid de la position québécoise? Wikipedia n'a pas pour vocation à se centrer sur les positions quelques peu obsolètes d'une académie française fondée par le Cardinal Richelieu pour unifier par la langue un territoire conquis par les armes (il s'est inspiré de Nebrija, sa grammaire et la conquête de l'Amérique du sud par l'Espagne!). La masculinisation des noms de fonction de fait a eu lieu avec la fondation de l'académie, sur des critères religieux aussi smpathiques que "le masculin est supérieur au féminin". Cette masculinisation est récente dans l'histoire de la langue française, et donc il s'agit de rétablir une pratique ancienne et plus judicieuse, qui n'invisibilise par la moitiés du genre humain (puisqu'il est d'usage dans nos sociétés de différencier les personnes selon leur sexe allégué et ce dès leur naissance), en recourant au langage épicène (terme Suisse romand plus adapté je pense que le mot "féminisation" qui suscite l'ire de certains). La raison pour laquelle certain-e-s linguistes préfèrent le mot 'autrice' à auteure (il ne faut jamais oublier la dimension vernaculaire de la langue, qui contrairement à ce que l'académie cherche à imposer, est une chose vivante qui évolue avec les mentalités), c'est que la prononciation orale de 'auteure' ne se différencie pas assez de 'auteur', et manque le but escompté de rendre le genre inaudible parfaitement déterminé à l'oral. Qu'on pense au ridicule de la phrase suivante (qui est de l'humoriste Devos je crois) : '100 femmes et un chiens sont revenus contents de la plage en remuant la queue', pour mesure à quel point la "masculinisation" peut introduire des erreurs de sens, d'interpretation qui vont au-delà d'une petite querelle entre féministes et anti-féministes? --[[Utilisatrice:Nattes à chat|Nattes à chat]] ([[Discussion utilisatrice:Nattes à chat|discuter]]) 7 mai 2016 à 11:20 (CEST)
:La France est nettement plus peuplée que la Suisse romande et pèse plus en matière d'usages en langue française. Quant à au Québec, on y préconise "auteure". Il ne s'agit pas de nier quoi que ce soit, mais de ne pas gonfler artificiellement l'importance d'un terme désuet en France depuis le XVIIe siècle. En outre, ce n'est pas la fonction d'une page d'homonymie. [[Utilisateur:Jean-Jacques Georges|Jean-Jacques Georges]] ([[Discussion_utilisateur:Jean-Jacques_Georges|Sonnez avant d'entrer]]) 7 mai 2016 à 12:35 (CEST)
:La France est nettement plus peuplée que la Suisse romande et pèse plus en matière d'usages en langue française. Quant à au Québec, on y préconise "auteure". Il ne s'agit pas de nier quoi que ce soit, mais de ne pas gonfler artificiellement l'importance d'un terme désuet en France depuis le XVIIe siècle. En outre, ce n'est pas la fonction d'une page d'homonymie. [[Utilisateur:Jean-Jacques Georges|Jean-Jacques Georges]] ([[Discussion_utilisateur:Jean-Jacques_Georges|Sonnez avant d'entrer]]) 7 mai 2016 à 12:35 (CEST)
:Et cette Afrique francophone avec sa source qui n'en finit pas de disparaître… Dire qu'une page d'homonymie ne doit contenir que les mots masculins, et pas les redirections, alors que la situation est loin d'être claire concernant les mots féminins, c'est injustifié. --[[Utilisatrice:La femme de menage|La femme de menage]] ([[Discussion utilisatrice:La femme de menage|discuter]]) 7 mai 2016 à 14:51 (CEST)

Version du 7 mai 2016 à 14:51

Suppression de références, de citations, etc

Jean-Jacques Georges : la forme féminine du mot auteur est un sujet suffisamment complexe pour qu'on ne le glisse pas sous le tapis comme vous venez de le faire, en supprimant du RI les occurrences féminines, et en renvoyant le tout dans une simple note de bas de page. Surtout quand je vous préviens en dif que pour répondre à vos objections de pertinence, je compte poursuivre les développements pour la partie France et Suisse.

De plus, je suis en désaccord complet avec la technique qui consiste à supprimer d'une citation d'un organisme officiel les mentions qui vous ne vous plaisent pas, ou qui montreraient une opposition entre deux organismes. C'est ce que vous avez fait en réduisant « Auteuse, aut(h)oresse et autrice, qui est la forme régulière, non néologique, sont rares » (sourcé par le Conseil supérieur de la langue française ). Votre argument Dire que "autrice" est "non néologique" est quelque chose de discutable, puisque l'Académie française en parle justement comme d'un néologisme ! n'a pas sa place ici : les deux institutions ont sur ce point des avis différents : il faut les rapporter tous deux, et certainement pas se poser en juge. --La femme de menage (discuter) 5 mai 2016 à 22:24 (CEST) [répondre]

Jean-Jacques Georges (d · c · b) Puisque vous refusez de vous expliquer, (dire sur votre PDD que vous « ramenez les formes féminines à leur juste place » (en note de bas de page !) est bien entendu une « explication » largement insuffisante), je remets donc le RI avec ses variantes homonymes, masculines et féminines. C'est d'ailleurs la règle en cas de redirection. --La femme de menage (discuter) 6 mai 2016 à 12:33 (CEST)[répondre]
Notification La femme de menage : Non, je me suis largement expliqué, et vos contributions balourdes déséquilibrent le résumé introductif. En mettant en valeur autrice, mot complètement désuet que personne n'utilise, vous êtes à la limite du pov-pushing. Et pas du bon côté de la limite, à mon avis... Jean-Jacques Georges (Sonnez avant d'entrer) 6 mai 2016 à 12:51 (CEST)[répondre]
Vos explications en dif ont toutes été plus inconsistances les unes que les autres (On ne dit pas ce mot, cette source est insuffisante car elle émane d'une féministe, etc). Autrice est le mot utilisé en Suisse et en Afrique francophone, que vous le sachiez ou pas (voir Evain, p. 7/9, encore une fois). Evitez SVP votre vocabulaire agressif, balourd, je pourrais bien vous le retourner. Il faut oser affirmer que les formes linguistiques féminines sont à leur juste place en note de bas de page, et accuser les autres de pov-pushing ! Vous m'avez déjà accusée d'être non neutre pour avoir écrit que autrice était la forme historique régulière. Alors que c'est l'avis des sources françaises, belges et québécoises. Faut-il que les recopie ? Vous passez votre temps à modifier tout ce que j'écris, en transformant des résumés en soit-disant citations, en coupant des citations parce qu'elles ne vous plaisent pas. C'est vraiment comme ça que vous travaillez habituellement ? Et d'où vient cette dernière invention que Evain aurait « travaillé sur la « parité linguistique » » ? J'ai bien compris sur votre PDD que vous trouviez cette expression proche d'un gros mot, alors pourquoi l'introduire ici alors qu'elle n'est pas mentionnée au sujet de cet article qui porte sur l'HISTOIRE D’AUTRICE, DE L’ÉPOQUE LATINE À NOS JOURS ? --La femme de menage (discuter) 6 mai 2016 à 13:18 (CEST)[répondre]
Mon vocabulaire devient agressif parce que vous me harcelez sur ma page de discussion et que j'en ai marre. Je vous demande donc d'arrêter et de passer à autre chose.
Je sais qu'Aurore Evain (contre laquelle je n'ai rien de particulier, par ailleurs...) travaille sur la parité linguistique parce que c'est écrit ici. Qu'elle fasse un historique du mot désuet "autrice", je n'ai évidemment rien contre. Qu'elle veuille réhabiliter ce mot, ça la regarde, mais en vertu de la NPOV nous n'avons pas à lui emboîter le pas. Le fait est que "autrice" existe en Suisse, mais qu'il est très peu employé ailleurs, et en premier lieu en France. Quant à parler de "forme historique régulière" : le mot est tellement désuet que l'Académie française le qualifie de néologisme. Et désolé, mais l'avis de l'Académie française pèse plus que celui d'Aurore Evain Qu'on le mentionne, ok : mais dans le résumé introductif, non. Vous êtes en plein WP:UNDUE et je souhaite que l'on cesse de perdre du temps à ce sujet. Jean-Jacques Georges (Sonnez avant d'entrer) 6 mai 2016 à 15:25 (CEST)[répondre]
Attendez, c'est moi qui vous harcèle sur votre PDD ? Vous ne cessez depuis hier de modifier et de remettre en cause tout ce que j'écris, de supprimer des sources, de couper des citations, et quand je vous invite sur votre PDD à venir en discuter ici alors que vous faites le mort, je vous harcèle ? Il faudrait un peu raison garder.
Qu'Aurore Evin ait travaillé sur la parité linguistique c'est possible, mais qu'est-ce qui justifie que vous veniez en parler ici quand ni l'article, ni l'interview qu'elle a donné au sujet de cet article n'en parle ? Surtout quand l'expression est pour vous dépréciatrice ?
Pour la "forme historique régulière", je vois que vous avez décidé de me faire perdre mon temps. Il faut vraiment que je recopie les sources ? Je croyais que vous aviez vérifié ?. Ce n'est pas tant Aurore Evain qui le dit, mais :
Et le mot est peut-être aujourd'hui déclaré comme un néologisme par l'Académie française (et il faut conserver sa position dans l'article) : cela ne l'empêche pas d'être utilisé en Suisse et en Afrique francophone (je me répète, non ?). Donc il tout aussi légitime de le signaler, au même titre qu'« auteure » utilisé en Belgique et au Canada, puisqu'il y a une redirection. --La femme de menage (discuter) 6 mai 2016 à 16:22 (CEST)[répondre]
Tout ça est dûment signalé dans la page. Et cela ne change rien au fait que la désuétude du mot - en France, en Belgique et au Québec, où c'est "auteure" qui tend à s'imposer - ne justifie pas d'en parler dans le résumé introductif. Point final en ce qui me concerne. Jean-Jacques Georges (Sonnez avant d'entrer) 6 mai 2016 à 17:28 (CEST)[répondre]

Suppression de l'étymologie latine de la forme féminine et la mef de la forme masculine

Je ne comprends pas ces suppressions : cela entraine une régression. Est-il possible d'en connaître les raisons ? --La femme de menage (discuter) 5 mai 2016 à 22:37 (CEST)[répondre]

C'est au contraire un très net progrès par rapport au résumé introductif qui assénait d'entrée au lecteur « un auteur (du latin auctor) ou une autrice (auctrix) ». Jean-Jacques Georges (Sonnez avant d'entrer) 6 mai 2016 à 11:28 (CEST)[répondre]
L'une des versions (hors balises) était celle-ci :
De manière générale, un auteur[1] (du latin auctor), une autrice[pertinence contestée] [2](auctrix) ou une auteure[3] est une personne qui est la cause, le responsable. On peut être l'auteur d'une découverte, ou d'une œuvre.
Il est tout à fait classique de préciser l'étymologie en avertissant du changement de langue. Je ne vois donc aucune amélioration.--La femme de menage (discuter) 6 mai 2016 à 12:46 (CEST)[répondre]
En ce qui concerne la pertinence contesté du mot autrice, son emploi existe bel et bien. C'est même LE mot utilisé en Suisse. Voir les sources que j'ai du rajouter à deux reprises (p. 7/9.--La femme de menage (discuter) 6 mai 2016 à 12:56 (CEST)[répondre]
Mais en France, c'est zéro : et la France pèse plus que la Suisse francophone. Jean-Jacques Georges (Sonnez avant d'entrer) 6 mai 2016 à 12:59 (CEST)[répondre]
Heu, Wikpedia est francophone, pas franco-centré. Je doute que la France pèse plus que la Suisse et l'Afrique francophone réunies. --La femme de menage (discuter) 6 mai 2016 à 13:21 (CEST)[répondre]
Que la Suisse, c'est sûr. Et je suis désolé, mais en matière d'usages en francophonie, elle pèse plus que l'Afrique. Qu'il y ait une campagne pour essayer d'imposer le terme "autrice" alors que c'est "auteure" qui a emporté le morceau depuis quelques années, peut-être : mais cela ne doit pas nous conduire à donner un poids indu à ce terme désuet, d'autant plus qu'une page d'homonymie n'est pas du tout le lieu pour ça. Jean-Jacques Georges (Sonnez avant d'entrer) 6 mai 2016 à 15:45 (CEST)[répondre]
Qui a parlé de campagne, à part vous ? Il s'agit juste de dire que le mot est employé en Suisse et en Afrique. --La femme de menage (discuter) 6 mai 2016 à 18:19 (CEST)[répondre]
  1. Pour les hommes, et quelquefois pour les femmes de la part des personnes ou institutions refusant la féminisation des noms de métiers ; seule forme possible selon l'Académie française.
  2. Forme historique régulière, est en usage en Suisse et en Afrique francophone (Evain 2008)
  3. Forme non régulière mais passée dans l'usage et désormais préconisée en Belgique et au Canada français.

Je suis très étonnée de voir qu'on peut écrire que la France pèse plus que la Suisse. Quid de la position québécoise? Wikipedia n'a pas pour vocation à se centrer sur les positions quelques peu obsolètes d'une académie française fondée par le Cardinal Richelieu pour unifier par la langue un territoire conquis par les armes (il s'est inspiré de Nebrija, sa grammaire et la conquête de l'Amérique du sud par l'Espagne!). La masculinisation des noms de fonction de fait a eu lieu avec la fondation de l'académie, sur des critères religieux aussi smpathiques que "le masculin est supérieur au féminin". Cette masculinisation est récente dans l'histoire de la langue française, et donc il s'agit de rétablir une pratique ancienne et plus judicieuse, qui n'invisibilise par la moitiés du genre humain (puisqu'il est d'usage dans nos sociétés de différencier les personnes selon leur sexe allégué et ce dès leur naissance), en recourant au langage épicène (terme Suisse romand plus adapté je pense que le mot "féminisation" qui suscite l'ire de certains). La raison pour laquelle certain-e-s linguistes préfèrent le mot 'autrice' à auteure (il ne faut jamais oublier la dimension vernaculaire de la langue, qui contrairement à ce que l'académie cherche à imposer, est une chose vivante qui évolue avec les mentalités), c'est que la prononciation orale de 'auteure' ne se différencie pas assez de 'auteur', et manque le but escompté de rendre le genre inaudible parfaitement déterminé à l'oral. Qu'on pense au ridicule de la phrase suivante (qui est de l'humoriste Devos je crois) : '100 femmes et un chiens sont revenus contents de la plage en remuant la queue', pour mesure à quel point la "masculinisation" peut introduire des erreurs de sens, d'interpretation qui vont au-delà d'une petite querelle entre féministes et anti-féministes? --Nattes à chat (discuter) 7 mai 2016 à 11:20 (CEST)[répondre]

La France est nettement plus peuplée que la Suisse romande et pèse plus en matière d'usages en langue française. Quant à au Québec, on y préconise "auteure". Il ne s'agit pas de nier quoi que ce soit, mais de ne pas gonfler artificiellement l'importance d'un terme désuet en France depuis le XVIIe siècle. En outre, ce n'est pas la fonction d'une page d'homonymie. Jean-Jacques Georges (Sonnez avant d'entrer) 7 mai 2016 à 12:35 (CEST)[répondre]
Et cette Afrique francophone avec sa source qui n'en finit pas de disparaître… Dire qu'une page d'homonymie ne doit contenir que les mots masculins, et pas les redirections, alors que la situation est loin d'être claire concernant les mots féminins, c'est injustifié. --La femme de menage (discuter) 7 mai 2016 à 14:51 (CEST)[répondre]