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Il sort du [[Centre universitaire d'enseignement du journalisme]] (CUEJ) de [[Strasbourg]] avec une licence en 1975<ref>{{Lien web|titre=Annuaire des anciens|url=https://cuej.unistra.fr/anciens/annuaire-des-anciens/?lettre=B&start=135|site=cuej.unistra.fr}}.</ref>. |
Il sort du [[Centre universitaire d'enseignement du journalisme]] (CUEJ) de [[Strasbourg]] avec une licence en 1975<ref>{{Lien web|titre=Annuaire des anciens|url=https://cuej.unistra.fr/anciens/annuaire-des-anciens/?lettre=B&start=135|site=cuej.unistra.fr}}.</ref>. |
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Après des débuts au ''[[Le Quotidien de Paris|Quotidien de Paris]]'', il collabore au ''[[Le Matin de Paris|Matin de Paris]]'' et à ''[[Libération (journal)|Libération]]''<ref name="EPF"/>. Il entre au ''[[Le Monde|Monde]]'' en 1986<ref name="Prétendants">{{Lien web|auteur1=Édouard Launet|auteur2=Frédérique Roussel|auteur=Raphaël Garrigos|auteur4=Isabelle Roberts|titre=Les prétendants à la tête du Monde|url=http://www.liberation.fr/medias/2011/01/21/ales-pretendants-a-la-tete-du-monde_708908|site=liberation.fr|date=21 janvier 2011}}.</ref>. Chargé du suivi de l'[[Extrême gauche en France|extrême gauche]] et des [[Écologie politique en France|écologistes]] en 1988<ref>{{Ouvrage|auteur1=[[Roland Cayrol]]|auteur2=[[Pascal Perrineau]]|auteur3=Nathalie Leclerc|titre=Le Guide du pouvoir|sous-titre=présidentielle 88 : la défaite de politique, les fantassins de la République|lieu=Paris|éditeur=Doumic|année=1988|pages totales=431|lire en ligne=https://books.google.fr/books?id=m2OIAAAAMAAJ&q=%22olivier+biffaud%22&dq=%22olivier+biffaud%22&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwjs6tyAj6rNAhUL2BoKHc3HB3A4KBDoAQg0MAQ|passage=409}}.</ref>, il est un temps le chef adjoint de son service politique, préside la Société des rédacteurs du ''Monde'' de 1994 à 1996<ref>{{Lien web|titre=Le Monde » : Gérard Courtois, président de la Société des rédacteurs|url=http://www.humanite.fr/node/132229|site=humanite.fr|date=1 juin 1996}}.</ref> sous [[Jean-Marie Colombani]], et est secrétaire général de la rédaction jusqu'en 2005<ref name="Prétendants"/>. |
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En 2011, il est candidat à la direction de la rédaction du journal<ref name="Prétendants"/> et, l'année suivante, dirige Présidentielle 2012, site de [[France Télévisions]] rebaptisé dans la foulée Législatives 2012<ref>{{Lien web|titre=Olivier Biffaud, rédacteur en chef adjoint au web à France Télévisions, devrait quitter le groupe|url=http://www.mindnews.fr/articles/olivier-biffaud-redacteur-en-chef-adjoint-au-web-a-france-televisions-devrait-quitter-le-groupe.1828.html|site=mindnews.fr|date=9 juillet 2012}}.</ref>. |
En 2011, il est candidat à la direction de la rédaction du journal<ref name="Prétendants"/> et, l'année suivante, dirige Présidentielle 2012, site de [[France Télévisions]] rebaptisé dans la foulée Législatives 2012<ref>{{Lien web|titre=Olivier Biffaud, rédacteur en chef adjoint au web à France Télévisions, devrait quitter le groupe|url=http://www.mindnews.fr/articles/olivier-biffaud-redacteur-en-chef-adjoint-au-web-a-france-televisions-devrait-quitter-le-groupe.1828.html|site=mindnews.fr|date=9 juillet 2012}}.</ref>. |
Version du 18 juin 2016 à 18:45
Naissance | |
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Nationalité | |
Formation |
Lycée Louis-le-Grand (jusqu'en ) Centre universitaire d'enseignement du journalisme (jusqu'en ) |
Activité | |
Rédacteur à | |
Conjoint |
Claire Guélaud (d) |
A travaillé pour | |
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Site web |
Olivier Biffaud est un journaliste français né le à Saint-Mandé.
Biographie
Olivier Biffaud naît le à Saint-Mandé, dans la Seine[1]. Il aurait été un militant trotskiste dans sa jeunesse[2].
Il sort du Centre universitaire d'enseignement du journalisme (CUEJ) de Strasbourg avec une licence en 1975[3].
Après des débuts au Quotidien de Paris, il collabore au Matin de Paris et à Libération[1]. Il entre au Monde en 1986[4]. Chargé du suivi de l'extrême gauche et des écologistes en 1988[5], il est un temps le chef adjoint de son service politique, préside la Société des rédacteurs du Monde de 1994 à 1996[6] sous Jean-Marie Colombani, et est secrétaire général de la rédaction jusqu'en 2005[4].
En 2011, il est candidat à la direction de la rédaction du journal[4] et, l'année suivante, dirige Présidentielle 2012, site de France Télévisions rebaptisé dans la foulée Législatives 2012[7].
Il s'est fait plagier par Joseph Macé-Scaron, lequel lui a fait livrer une caisse de champagne « en dédommagement »[8]
Publications
- Laurent Mauduit et Olivier Biffaud, La Grande Méprise, Paris, Grasset, , 277 p. (ISBN 2-246-52321-4, BNF 35817991, présentation en ligne) — À propos des débuts de la présidence de Jacques Chirac.
- Maurice Kriegel-Valrimont et Olivier Biffaud, Mémoires rebelles, Paris, Odile Jacob, , 264 p. (ISBN 2-7381-0632-3, BNF 37070463, présentation en ligne)
Références
- « Biffaud Olivier », dans Emmanuel Ratier, Encyclopédie politique française, Paris, Faits et Documents, (ISBN 2-909-769-12-7, BNF 40083753), p. 131.
- Sophie Coignard et Marie-Thérèse Guichard, Les Bonnes Fréquentations : histoire secrète des réseaux d'influence, cité dans Encyclopédie politique française, op. cit.
- « Annuaire des anciens », sur cuej.unistra.fr.
- Édouard Launet et Frédérique Roussel, « Les prétendants à la tête du Monde », sur liberation.fr, .
- Roland Cayrol, Pascal Perrineau et Nathalie Leclerc, Le Guide du pouvoir : présidentielle 88 : la défaite de politique, les fantassins de la République, Paris, Doumic, , 431 p. (lire en ligne), p. 409.
- « Le Monde » : Gérard Courtois, président de la Société des rédacteurs », sur humanite.fr, .
- « Olivier Biffaud, rédacteur en chef adjoint au web à France Télévisions, devrait quitter le groupe », sur mindnews.fr, .
- Emmanuelle Anizon, « Le plagiat, pratique honteuse mais contagieuse du journalisme ? », sur telerama.fr, .
Liens externes
- Site officiel
- « Scènes politiques » — blogue sur le site de France Télévisions.