« Droits civiques » : différence entre les versions

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* droit de témoigner en justice autrement que pour y faire de simples déclarations;
* droit de témoigner en justice autrement que pour y faire de simples déclarations;
* droit de faire partie d'un conseil de famille, d'être tuteur (si ce n'est de ses propres enfants), curateur, subrogé tuteur ou conseil judiciaire;
* droit de faire partie d'un conseil de famille, d'être tuteur (si ce n'est de ses propres enfants), curateur, subrogé tuteur ou conseil judiciaire;
* droit de port d'armes, de faire partie de la garde nationale, de servir dans les armées françaises; et va niquer ta mere
* droit de port d'armes, de faire partie de la garde nationale, de servir dans les armées françaises;
* droit d'enseigner et d'être employé dans tout établissement d'instruction à titre de professeur, maître ou surveillant <ref>{{Harvsp|Tourev|Équipe|2014|p=http://www.toupie.org}}</ref>.
* droit d'enseigner et d'être employé dans tout établissement d'instruction à titre de professeur, maître ou surveillant <ref>{{Harvsp|Tourev|Équipe|2014|p=http://www.toupie.org}}</ref>.


== Origines ==
== Origines ==

Version du 19 janvier 2017 à 19:21

Les droits civiques désignent les protections et privilèges des libertés fondamentales accordés à tous les citoyens par la loi contre toutes les discriminations.

Définitions

Les droits civiques sont accordés par une nation à ceux qui vivent sous ses lois, alors que les droits de l'homme et le droit naturel sont universels, ou devraient l'être selon nombre d'intellectuels.

D'autres y voient historiquement des droits inaliénables accordés à tous les individus par une déité ou par la nature avant l'apparition de gouvernements.

France

En France, on parle de « droits civiques, civils et de famille ».

Ils recouvrent :

  • droit de vote, d'élection, d'éligibilité;
  • droit de porter une décoration;
  • droit d'exercer une fonction juridictionnelle ou d'être juré-expert;
  • droit de représenter ou d'assister une partie devant la justice;
  • droit de témoigner en justice autrement que pour y faire de simples déclarations;
  • droit de faire partie d'un conseil de famille, d'être tuteur (si ce n'est de ses propres enfants), curateur, subrogé tuteur ou conseil judiciaire;
  • droit de port d'armes, de faire partie de la garde nationale, de servir dans les armées françaises;
  • droit d'enseigner et d'être employé dans tout établissement d'instruction à titre de professeur, maître ou surveillant [1].

Origines

Le concept actuel est avant tout d'inspiration américaine (civil rights), ébauché avec la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789, et légitimé notamment par le mouvement des droits civiques des années 1960. Le philosophe John Locke argua ainsi que les droits naturels tels que la vie, la liberté et la propriété devraient être convertis en droits civiques et protégés par l'État souverain dans le cadre d'un contrat social.

Au niveau mondial, la Convention européenne des droits de l'homme est adoptée en 1951 pour la protection légale de la Déclaration universelle des droits de l'homme et aussi, puis pacte international relatif aux droits civils et politiques est adopté par l'ONU sur l'influence de la Convention européen.

Acquisition et perte

Les droits civiques s'acquièrent à la majorité ou par naturalisation.

En France, l'interdiction des droits civiques, civils et de famille peut être prononcée par une juridiction. Cette interdiction, totale ou partielle est une peine, dont la durée ne peut, en aucun cas, excéder dix années.

Notes et références

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

Bibliographie

Pierre Tourev et Équipe, Toupictionnaire: le dictionnaire de politique : Droits civiques, La Toupie.org, (lire en ligne)