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« Major (industrie musicale) » : différence entre les versions

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m Si Sony est japonais, SME est bien américain ; cf. : https://en.wikipedia.org/wiki/Sony_Music_Entertainment
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* [[Universal Music Group]] : 38,9 % {{France}}
* [[Universal Music Group]] : 38,9 % {{France}}
* [[Sony Music Entertainment]] : 21,5 % {{Japon}}
* [[Sony Music Entertainment]] : 21,5 % {{États-Unis}}
* [[Warner Music Group]] : 11,3 % {{États-Unis}}
* [[Warner Music Group]] : 11,3 % {{États-Unis}}



Version du 3 juillet 2017 à 19:03

Les majors de l’industrie musicale désignent aujourd'hui trois sociétés qui se partagent l'essentiel du marché de la musique. Elles représentent 71,7 % des ventes de productions musicales sur le marché mondial[1],[2]. Fin 2004 Sony Music Entertainment et BMG Entertainment ont fusionné en Sony Music Entertainment, et fin 2011 EMI Group a été racheté par Universal Music Group.

Critiques du système

Le système des Majors de la musique soulève de très nombreuses critiques quant à la liberté de création des artistes, mais aussi et surtout dans le débat sur la lutte contre le piratage et les téléchargements illégaux. Les majors sont accusées de se servir de l'excuse de la rémunération des artistes et de la chute des ventes du disque, tandis que leurs marges de bénéfices restent encore très importantes. Des pressions sur les gouvernements sont aussi envisageables dans le cadre de la création de certaines lois comme SOPA et PIPA.

Notes et références

  1. André Nicolas, « Les marchés de la musique enregistrée », sur cite-musique.fr, Cité de la musique, (consulté le ), p. 13
  2. « La production musicale: grosses guitares ou gros sous? », sur Expressway.fr, (consulté le )