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Trois mois après la fin de son mandat, il est accusé de malversations par son adversaire politique [[León Febres-Cordero]]. Il se réfugie en [[République dominicaine]] pour échapper à un mandat d'arrêt lancé contre lui. En 2005, l'annulation des poursuites lui permet de revenir en Équateur.
Trois mois après la fin de son mandat, il est accusé de malversations par son adversaire politique [[León Febres-Cordero]]. Il se réfugie en [[République dominicaine]] pour échapper à un mandat d'arrêt lancé contre lui. En 2005, l'annulation des poursuites lui permet de revenir en Équateur.

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== Notes et références ==
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Version du 4 mars 2018 à 22:43

Gustavo Noboa
Illustration.
Gustavo Noboa.
Fonctions
Président de la République de l'Équateur

(2 ans, 11 mois et 25 jours)
Prédécesseur Jamil Mahuad
Successeur Lucio Gutiérrez
Biographie
Nom de naissance Gustavo José Joaquin Noboa Bejarano
Date de naissance (86 ans)
Lieu de naissance Guayaquil (Équateur)
Nationalité équatorienne
Parti politique Union démocrate-chrétienne

Gustavo Noboa
Présidents de la République de l'Équateur

Gustavo Noboa, né le à Guayaquil, est un homme d'État équatorien, président de son pays du 21 janvier 2000 au 15 janvier 2003.

Biographie

Docteur en droit, Gustavo Noboa est gouverneur de la province du Guayas de 1983 à 1984.

En 1998, il est élu vice-président de l'Équateur, aux côtés du président Jamil Mahuad. Il provoque la destitution de ce dernier pour « abandon de poste » (il a « quitté le territoire national » pendant quelques heures en se réfugiant à l’ambassade du Chili) et accède à la présidence le . Il poursuit la dollarisation de l'économie et l'essentiel des réformes entreprises par son prédécesseur malgré l'opposition d'un fort mouvement social. Plus de deux cents militants et sympathisants de la Conaie sont arrêtés[1]. Il quitte ses fonctions le 15 janvier 2003, date à laquelle Lucio Gutiérrez lui succède.

Trois mois après la fin de son mandat, il est accusé de malversations par son adversaire politique León Febres-Cordero. Il se réfugie en République dominicaine pour échapper à un mandat d'arrêt lancé contre lui. En 2005, l'annulation des poursuites lui permet de revenir en Équateur.

Liens externes

Notes et références

  1. « Poker menteur en Equateur », Le Monde diplomatique,‎ (lire en ligne, consulté le )