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'''Auguste Crétier''', né le 28 août 1891, d'abord employé au [[Gaumont-Palace]] à Paris, devient résistant en 1944 à Sevran il fut abattu le dimanche 27 août 1944<ref>{{Article|langue=|auteur1=|titre=Auguste Crétier|périodique=Mémoires d'hier et d'aujourd'hui|numéro=3|mois=|année=|date=octobre 1994|issn=|lire en ligne=|pages=20}}</ref>{{,}}<ref>{{Ouvrage|langue=fr|auteur1=|prénom1=Monique|nom1=Houssin|titre=Résistantes et résistants en Seine-Saint-Denis: un nom, une rue, une histoire|passage=198|lieu=|éditeur=Editions de l'Atelier|date=2004|pages totales=|isbn=9782708237308|lire en ligne=https://books.google.fr/books?id=VL52RZBV4xUC&printsec=frontcover&dq=r%C3%A9sistantes+et+r%C3%A9sistants+en+seine+saint+denis&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwjC6sr8g-LZAhVEhqYKHdfYAtgQ6AEIKDAA#v=onepage&q=r%C3%A9sistantes%20et%20r%C3%A9sistants%20en%20seine%20saint%20denis&f=false|consulté le=2018-03-10}}</ref>.
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== Biographie ==
La place principale de [[Sevran]] porte son nom. Membre du [[Parti communiste français|PCF]], il fait partie du groupe des [[Forces françaises de l'intérieur|Forces françaises combattantes]], puis devient président du Comité local de la Libération grâce à son engagement et son sens des responsabilités.
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Il était le président du comité local de la Libération. En 1942, et à ce titre tentait d'occuper la mairie de Sevran afin d'en chasser les nazis. Il est abattu par les forces nazis rue Michelet, le 27 août 1944, jour de la libération de la ville<ref>{{Ouvrage|langue=|auteur1=Michel Mérille|titre=Sevran|sous-titre=Un val du pays de France|passage=139|lieu=|éditeur=Amarco Editions|date=août 1999|pages totales=199|isbn=2-9509571-4-5|lire en ligne=}}</ref>.
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== Reconnaissance ==
La place principale de [[Sevran]] porte son nom.


== Notes et références ==
== Notes et références ==

Version du 7 avril 2018 à 11:41

Auguste Crétier, né le 28 août 1891 et fut abattu à Sevran le dimanche 27 août 1944[1][2],[3].

Biographie

Il est d'abord employé au Gaumont-Palace à Paris[4]. Membre du PCF, il fait partie du groupe des Forces françaises combattantes, puis devient président du Comité local de la Libération grâce à son engagement et son sens des responsabilités.

Il est abattu par les nazis rue Michelet le 27 août 1944, jour de la libération de la ville après une grande bataille dont les faits sont relatés par Mme Spigaglia[5].

Il était le président du comité local de la Libération. En 1942, et à ce titre tentait d'occuper la mairie de Sevran afin d'en chasser les nazis. Il est abattu par les forces nazis rue Michelet, le 27 août 1944, jour de la libération de la ville[6].

Reconnaissance

La place principale de Sevran porte son nom.

Notes et références

  1. Christiane Ranouil, « Auguste Crétier », Mémoires d'hier et d'aujourd'hui,‎ , p. 10
  2. Jean-Pierre Ferrand, « Auguste Crétier », Mémoires d'hier et d'aujourd'hui, no 3,‎ , p. 20
  3. Monique Houssin, Résistantes et résistants en Seine-Saint-Denis: un nom, une rue, une histoire, Editions de l'Atelier, (ISBN 9782708237308, lire en ligne), p. 198
  4. Christiane Ranouil, « Mémoires d'hier et d'aujourd'hui », Revue de la Société de l'Histoire et de la Vie à Sevran n°16,‎ , p. 10
  5. Louis Blesy, La résistance à Sevran, Municipalité de Sevran et Comité local des anciens combattants de la Résistance, , 148 p. (ASIN B0014TFXBC), p. 100
  6. Michel Mérille, Sevran : Un val du pays de France, Amarco Editions, , 199 p. (ISBN 2-9509571-4-5), p. 139