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« Armée de libération nationale (Macédoine) » : différence entre les versions

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L'UÇK-M a mené pendant environ six mois la guerre face à l'armée et à la police macédoniennes, en prenant le contrôle de villes et de villages du nord du pays, où la minorité albanaise est la plus forte.
L'UÇK-M a mené pendant environ six mois la guerre face à l'armée et à la police macédoniennes, en prenant le contrôle de villes et de villages du nord du pays, où la minorité albanaise est la plus forte.


Les revendications de cette organisation étaient l'autonomie des [[Albanais de Macédoine du Nord]] (qui forment environ 25 % de la population du pays) et l'acquisition de nouveaux droits et statuts. [[Ali Ahmeti]], son leader, voulait par exemple que les Albanais soient reconnus comme un peuple constitutif de ce pays, au même titre que les [[Macédoniens (peuple slave)|Macédoniens]].
Les revendications de cette organisation étaient l'autonomie des [[Albanais de Macédoine du Nord|Albanais de Macédoine]] (qui forment environ 25 % de la population du pays) et l'acquisition de nouveaux droits et statuts. [[Ali Ahmeti]], son leader, voulait par exemple que les Albanais soient reconnus comme un peuple constitutif de ce pays, au même titre que les [[Macédoniens (peuple slave)|Macédoniens]].


== Voir aussi ==
== Voir aussi ==

Version du 27 mars 2019 à 15:35

Blason de l'Ushtria Çlirimtare Kombëtare

L'Armée de libération nationale, abrégé en UÇK-M (en albanais : Ushtria Çlirimtare Kombëtare - UÇK, en macédonien : Ослободителна народна армија - ОНА), est une organisation de guérilla active en Macédoine lors du conflit de 2001, qui a opposé des rebelles Albanais et les autorités macédoniennes. L'UÇK-M est une résurgence de l'Armée de libération du Kosovo, active pendant la guerre contre les Serbes en 1999 et interdite dans ce pays depuis.

L'UÇK-M a mené pendant environ six mois la guerre face à l'armée et à la police macédoniennes, en prenant le contrôle de villes et de villages du nord du pays, où la minorité albanaise est la plus forte.

Les revendications de cette organisation étaient l'autonomie des Albanais de Macédoine (qui forment environ 25 % de la population du pays) et l'acquisition de nouveaux droits et statuts. Ali Ahmeti, son leader, voulait par exemple que les Albanais soient reconnus comme un peuple constitutif de ce pays, au même titre que les Macédoniens.

Voir aussi