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Version du 24 mai 2019 à 00:09
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Cædmon est un poète anglo-saxon de la deuxième moitié du VIIe siècle. C’est le plus ancien poète anglais de langue vernaculaire dont le nom soit connu. Son histoire est rapportée par le moine Bède le Vénérable dans son Histoire ecclésiastique du peuple anglais, une chronique rédigée quelques décennies plus tard. Simple serviteur à l’abbaye de Whitby du temps de l’abbesse Hilda (657-680), Cædmon aurait appris à composer des vers à la suite d’un rêve d’inspiration divine. Malgré son analphabétisme, il serait devenu par la suite un moine zélé et un poète chrétien prolifique.
Avec Bède et le roi Alfred le Grand, Cædmon fait partie des rares poètes anglo-saxons dont subsistent à la fois le nom, quelques éléments biographiques et une partie de l’œuvre. De son œuvre, pléthorique d’après Bède, ne reste que l’Hymne de Cædmon, une louange en neuf vers de Dieu le Créateur. Ce poème, l’un des plus anciens connus en vieil anglais, applique les techniques traditionnelles de la poésie épique germanique à des concepts chrétiens qui sont encore neufs pour les Anglo-Saxons. Les poèmes du manuscrit Junius ont longtemps été attribués à Cædmon, mais cette théorie est aujourd'hui abandonnée. Il reste malgré tout couramment considéré comme le « père de la poésie anglaise ».
Histoire et genres
Œuvres, auteurs
Techniques et études
« Telle qu’était Diane, alors qu’imprudemment
L’infortuné chasseur la voyait toute nue,
Telle dedans un bain Clorinde s’est tenue,
N’ayant le corps vêtu que d’un moite élément.
Quelque dieu dans ces eaux caché secrètement
A vu tous les appas dont la belle est pourvue,
Mais s’il n’en avait eu seulement que la vue,
Je serais moins jaloux de son contentement.
Le traître, l’insolent, n’étant qu’une eau versée,
L’a baisée en tous lieux, l’a toujours embrassée ;
J’enrage de colère à m’en ressouvenir.
Cependant cet objet dont je suis idolâtre
Après tous ces excès n’a fait pour le punir
Que donner à son onde une couleur d’albâtre. »
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