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* faire prendre conscience de l'ampleur de la [[pollution]] et faire comprendre les enjeux de la protection de l'[[océan]].
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== Sports de la famille du surf ==

Le surf regroupe toutes les activités se pratiquant dans les vagues suivantes :
* le [[bodyboard]],
* le [[bodysurf]],
* le [[skimboard]]
* la [[rescue board]]
* le [[longboard]],
* le [[foilboard]].


== Notes et références ==
== Notes et références ==

Version du 25 août 2020 à 13:07

Surf
Picto
Principale instance World Surf League (WSL)
Image illustrative de l’article Surf
Compétition de Mavericks, États-Unis, 2010.
Un surfeur à Santa Cruz, sur la côte du nord de la Californie réputée pour ses sites de surf.

Le surf (abréviation française de l'anglais surf-riding, où riding signifie « monter », « chevaucher » et surf « (vagues) déferlantes ») est un sport qui consiste à glisser sur les vagues, ondes de surface, au bord de l'océan, généralement debout sur une planche. Le surf se pratique sur des sites de surf, appelés spots (« bons coins »), plages qui sont baignées par des vagues plus ou moins grandes et propices à la glisse.

Les adeptes de ce sport sont les surfeurs ou aquaplanchistes[1].

Histoire

La plupart des experts et sources s'accordent à penser que le surf trouverait ses origines à Hawaï, même s'il était pratiqué sous diverses formes, comme le body surf, dans toute la Polynésie[2]. Un surf similaire à celui pratiqué aujourd'hui, c'est-à-dire debout sur une planche, est décrit par des sources occidentales telles que le capitaine James Cook, premier Européen à découvrir (en 1778) les îles Hawaï, qu'il baptise îles Sandwich en l'honneur de son mécène.

La plus ancienne planche de surf connue à ce jour a été découverte en 1905 à Ko'Okena, sur la grande île d'Hawaii, à l'intérieur d'un tombeau. Les archéologues pensent qu'il s'agissait de la sépulture d'une « cheffesse » nommée Kaneamuna, qui régnait au début du XIVe siècle. Fabriquée dans le fond de l'arbre à pain, cette planche fut retrouvée en parfait état de conservation[3].

Le surf a pendant longtemps été une partie intégrante de la culture hawaïenne : les premiers comptes rendus à ce sujet seraient ceux de Samuel Wallis et de l'équipage du Dauphin[4], premiers Européens à mettre le pied à Tahiti en 1767, ou de Joseph Banks[5], botaniste embarqué sur le HMS Endeavour de Cook et qui arriva sur la même île en 1769. Le lieutenant James King en fera mention en complétant les mémoires de Cook après le décès de celui-ci en 1779[6]. En 1788, James Morrison, un des mutins de la Bounty, décrit de manière similaire la pratique du hōrue à Tahiti[7].

Quand Mark Twain visite Hawaii en 1866, il décrit des « indigènes, de tous sexes et âges, s'amusant avec ce passe-temps national qu'est le surf »[8].

Les longboards (ou planches longues[1]) sont les descendantes modernes des premières planches apparues et relèvent d'une longue tradition hawaiienne. Les shortboards (ou planches courtes[1]) sont apparues dans les années 1960-1970. Plus légères, plus relevées et effilées au niveau du nez, plus fines, elles sont beaucoup plus maniables et procurent une liberté beaucoup plus importante au surfeur dans sa trajectoire et les figures qu'il peut réaliser.

La planche de surf

Les planches de surf sont aujourd'hui généralement réalisées en résine polyester, fibre de verre et âme synthétique (pain de mousse polyuréthane et résine polyester).

Les artisans qui fabriquent les planches de surf sont les shapers (« façonneurs »), ainsi que les glasseurs qui eux font le travail de stratification, certains shapers font également le glass.

On parle de shape, pour désigner la forme de la planche. Avec l'arrivée de nouvelles technologies et l'évolution, il existe maintenant un grand nombre de shapes différents.

  • Shortboard (planche courte)

C'est le type de planche le plus répandu. Courte et étroite (1,50/2,10 m pour 4449 cm de large), elle est destinée aux surfeurs possédant un minimum de technique.

  • Évolutive, Hybride

Ce sont des planches de 1,90 à 2,20 m pour une largeur comprise entre 49 et 52 cm. Larges, épaisses, ces planches sont tolérantes tout en offrant des possibilités de manœuvre étendues.

Beaucoup de surfeurs moyens adoptent une évolutive comme petite planche même si cela manque un peu de radicalité. C'est un bon compromis entre la vivacité du shortboard et le confort du mini-malibu.

  • Fish

Les planches dites fishs ressemblent aux évolutives mais sont beaucoup plus courtes et plus larges. De 1,70 à 1,90 m, très large (52 cm ou plus), avec pas mal de volume, un outline assez rond, elles sont l'outil idéal des petites vagues. De plus en plus de surfeurs l'utilisent à la place de leur longboard ou de leur mini-malibu dans les petites vagues de l'été.

Parfois montés en twin (avec deux dérives), les fish ont peu de rocker et offrent une flottabilité intéressante et surtout permettent de balancer des figures new school plus facilement que n'importe quelle autre planche. Le problème est que ce style de planche se limite à des conditions de vagues réduites : quand c'est creux et gros, le fish n'a plus sa place.

  • Mini-Malibu

Longues de 2,20 à 2,60 mètres, larges de 52 à 56 cm, ces planches stables offrent une glisse facile aux débutants mais aussi aux surfeurs moyens pour les vagues molles d'été. Un mini-malibu est vraiment la planche la plus facile à surfer.

  • Longboard (planche longue)

Un minimum de 2,75 mètres (9 pieds), larges parfois jusqu'à 56 cm et très épaisses, les longboards, appelées aussi malibus, permettent une glisse tout en douceur dans le style des années 1960. Certains malibus reprennent la technique de shape moderne pour un surf plus radical. Qu'elles soient modernes ou traditionnelles, les longboards sont parfois à tort conseillées aux débutants.

Ce sont des planches lourdes et difficiles à manœuvrer. De plus, la barre est éprouvante à franchir, car faire un canard avec une planche longue demande technique et bras musclés.

  • Gun

Planche spécifique aux grosses vagues, d'une longueur allant de 2,10 mètre à plus de 3 mètres (abréviation anglaise de elephant gun, « fusil à éléphants »). Les guns sont très volumineux, ce qui leur permet de partir très tôt sur des grosse vagues. Ces planches sont à déconseiller aux débutants et sont vraiment une affaire de spécialistes.

Les vagues

La pratique du surf nécessite de bonnes conditions de vagues. Ces bonnes conditions de vagues ne peuvent être acquises que par de bonnes conditions de vent ou de houle, qui peuvent varier selon les spots (voir sites de surf). Il existe trois sortes majeures de vagues :

  • les vagues creuses (plongeantes),
  • les vagues molles ou peu puissantes (déferlantes),
  • les vagues de petite houle (que l'on pourrait qualifier de flat).

Les vagues creuses sont les préférées des shortboarders mais aussi des utilisateurs de mini-malibu. Les vagues creuses sont les vagues les plus puissantes, mais pas forcément les plus grandes. En effet, certaines vagues que l'on peut qualifier de creuses sont bien plus puissantes qu'une vague molle de la même taille.

Pratique et technique

Surfeur regular en frontside sur une vague droite.

Le surfeur se tient généralement allongé à plat ventre sur sa planche, un bras de chaque côté de la planche. Il rame (comme en crawl) quand il repère une vague qu'il souhaite surfer afin d'acquérir une vitesse suffisante pour que la vague puisse l'emporter. Quand il sent la vague le soulever, il rame plus rapidement puis pousse avec ses mains, et s'appuie sur ses bras pour se redresser en avant dans la bonne direction. En même temps qu'il redresse son buste, sa jambe gauche (pour un regular) ou droite (pour un goofy) vient se placer devant et sa jambe droite (ou gauche) à l'arrière de la planche. Il adopte une posture penchée sur ses jambes fléchies. Une fois debout, les bras servent essentiellement à maintenir l'équilibre et aider à changer de direction. Les jambes jouent un rôle d'amortisseur et d'équilibreur.

On désigne généralement par regular un individu qui se tient sur la planche pied droit en arrière. Les personnes se tenant pied gauche en arrière sont appelés goofy. Le pied arrière est généralement le pied sur lequel on prend appel lorsqu'on saute. Un surfeur regular, donc qui mettra son pied gauche à l'avant, sera frontside (face à la vague) sur une droite (vague qui déroule du pic vers la droite quand on est debout sur la planche) ; le même surfeur regular sera backside sur une gauche (qui déroule de droite à gauche). Pour un goofy, c'est l'inverse.

Pratique du shortboard

La discipline la plus connue et la plus populaire se pratique sur des planches de 1,50 m à 2,00 m. En compétition, elle consiste à réaliser des figures dont la difficulté et la qualité d'exécution déterminent le score du compétiteur. Le surfeur cherche généralement à chevaucher (to ride en anglais) la vague parallèlement à sa face, en suivant la direction de son déferlement et en précédant celui-ci. On ne surfe la vague perpendiculairement à sa face qu'au départ (take-off) pour prendre de la vitesse. Sur certains sites, la puissance des vagues permet de surfer à l'intérieur du rouleau. Cette figure, appelée tube, est l'une des plus spectaculaires du surf.

Pratique du longboard

Le longboard (en anglais longboarding) se pratique avec des planches longues et épaisses et au nez arrondi. Celles-ci sont plus stables mais n'offrent pas autant de maniabilité que les planches plus courtes. Elles permettent par contre de surfer dans des conditions où la planche courte, du fait de son volume et donc de sa flottaison moindre, ne pourrait porter le surfeur.

Ce type de surf, favorisant la glisse au détriment de la radicalité des figures, nécessite une adaptation continue de la position du longboarder (nom donné aux surfeurs de longboard). Lorsque celui-ci sent sa vitesse se ralentir par rapport à la vague, il doit avancer à petits pas à l'avant de la planche le long de l'axe (ce qui s'appelle un nose-ride, « la monte à l'avant ») afin d'y déplacer son centre de gravité et ainsi d'augmenter la vitesse de celle-ci et vice-versa.

La taille et la stabilité de la planche longue donne la possibilité au surfeur de prendre des poses très théâtrales sur la planche, seul ou en couple.

Les spots de surf

Surf à Waikiki Beach Honolulu Hawaii.

Description

Pour une liste des spots de surfs : voir l'article spot de surf.

Le terme « spot » désigne le lieu où les surfeurs pratiquent leur activité, il peut s'agir d'une vague, d'une plage ou d'un endroit qui s'en approche.

Les sites de surf sont de plusieurs types. En fonction du fond marin, on distingue le site de récif sur fond rocheux, ou brisant de récif (reef-break), du site sur fond sableux, ou brisant de sable (beach-break).

Les fonds rocheux produisent des vagues appréciées et redoutées car elles ont toujours à peu près la même configuration, sont généralement creuses et puissantes avec un niveau d'eau peu profond. C'est le cas de la célèbre vague de Pipeline, sur la côte nord de l'île d'Oahu, à Hawaï. La houle du Pacifique nord se lève brutalement sur un corail mort et provoque une volute très large. La vague est courte, mais très intense. Une seule manœuvre est possible : le tube (le surfeur se laisse enfermer quelques secondes au creux de la volute). La vague est si violente qu'il n'est pas rare de heurter le récif. C'est la raison pour laquelle certains surfeurs, et non les moins talentueux comme Liam Mac Namara, un habitué du spot, portent une protection.

Les fonds rocheux permettent de « tenir le gros », c'est-à-dire qu'ils permettent à des houles de forte amplitude et avec des grandes longueurs d'onde de produire des vagues très grosses et « surfables ». C'est le cas de Jaws, sur l'île de Maui à Hawaï, de Maverick au nord de Santa Cruz ou plus récemment de Shipstern Bluff en Tasmanie. Ces spots sont célèbres pour leurs vagues gigantesques, qui peuvent atteindre ou dépasser les 10 ou 15 mètres. Les adeptes de ces spots hors normes sont appelés big waves riders, « chevaucheurs de grosses vagues ».

Dans certains cas les spots à fond rocheux créent des vagues qui déroulent sur une très grande distance, parfois plusieurs centaines de mètres. Ce sont des point breaks. La houle diffracte le long du récif, c'est-à-dire qu'elle change de direction au contact de la masse rocheuse. La zone de déferlement se fait donc uniquement sur ce point de contact. La vague déroule très régulièrement et sa volute y est particulièrement violente car les crêtes de houle convergent vers ce point où l'eau est peu profonde. Les vagues d'un point break sont orientées dans une seule direction. Quand elles déroulent vers la gauche du surfeur lorsqu'il regarde la plage, on parle de vagues « en gauche » et inversement pour la droite. Ces spots se situent souvent le long de caps rocheux, c'est le cas de la droite de Rincon en Californie ou de l'incroyable gauche de Desert Point à Lombok (Indonésie). Ils sont aussi souvent présents le long des passes de récifs coralliens. La houle se lève au large et offre au surfeur une première section relativement tranquille. Puis rapidement, elle tourne pratiquement à 90 degrés en suivant le corail au moment d'entrer dans la passe. Cet instant est attendu avec angoisse et excitation par le surfeur, car la vague double de taille, le niveau de l'eau devient très faible et la volute s'agrandit tandis que la lèvre prend de l'épaisseur. C'est la section à tube qu'on appelle le bowl. Après ce passage il reste encore une centaine de mètres à glisser sur des sections plus molles, mais qui déroulent toujours bien régulièrement vers la gauche.

Les beach-breaks offrent des vagues généralement plus aléatoires, car ces spots dépendent de bancs de sable, qui par nature sont mobiles. Ainsi leur zone de déferlement est moins définie et moins stable que sur les fonds rocheux. En revanche, sur les meilleurs spots de sable, on trouve des vagues courtes mais très creuses. Les phénomènes de point breaks ne sont pas inexistants pour les beach-breaks, mais plus rares. Mundaka au Pays basque espagnol et surtout Snapper Rock ou Kirra en Australie sont les exemples les plus connus. Les beach-breaks tiennent moins bien le gros que les spots de récifs. Généralement, ils saturent au-delà de trois ou quatre mètres, rendant la pratique du surf impossible. Les vagues ne déroulent plus, mais forment des longs murs d'eau qui s'écroulent brutalement en un seul tenant. On dit que les vagues « ferment ». Le spot de La Nord à Hossegor, ainsi que celui de Puerto Escondido au Mexique ou de Mundaka en Espagne sont les rares exceptions ; on peut y surfer des vagues de cinq mètres et parfois plus[9]. Les plus beaux beach-breaks se situent dans les Landes en France[10], autour du Cap Hatteras aux États-Unis, et à Puerto Escondido dans l'état d'Oaxaca au Mexique. Sur ces spots les bancs de sable ont beaucoup de relief, ils offrent ainsi des zones de déferlement bien marquées.

Compétition

Le championnat principal est le World Championship Tour (WCT) organisé par la World Surf League (WSL). Il est constitué d'une série de 11 épreuves pour les hommes et de 8 pour les femmes, réparties sur l'ensemble du globe (Australie, Mexique, Afrique du Sud, Fidji, Tahiti, France, Espagne, Brésil, Hawaii et États-Unis).

Il existe deux circuits, le WQS ("World Qualifying Series") et le WCT ("World Circuit Tour").

Le WQS est le circuit de qualification : chaque année, les 16 premiers du tour WQS passent en WCT et les 16 derniers du WCT doivent retourner en WQS.

Les épreuves concernant le WCT se déroulent généralement entre les mois de février et décembre. Le classement est réalisé grâce à un système de points acquis par les surfeurs à chaque épreuve. Le surfeur qui a le plus de points à l'issue de la dernière étape, le Pipe Masters sur l'île d'Oahu à Hawaii, est déclaré vainqueur.

La compétition est loin d'être un passage obligé. En effet, certains surfeurs appelés « free surfers » comme Laird Hamilton sont devenus de véritables légendes de la discipline sans carrière dans le circuit professionnel (en tout cas, pour ce qui concerne le surf, puisque ce dernier est un ancien véliplanchiste).

Surfeurs renommés


Association

La Surfrider Foundation Europe est une association à but non lucratif qui se propose de protéger et mettre en valeur les océans, les vagues et le littoral. Elle a été créée en 1990 par un groupe de surfeurs dont Tom Curren, triple champion du monde de surf. Elle regroupe plus de 3 500 adhérents en Europe. Elle compte parmi ses membres des personnes passionnées par les océans et soucieuses de l'environnement.

Les objectifs principaux de Surfrider Foundation sont de :

  • lutter contre la pollution des océans : marées noires, rejets illicites d'hydrocarbures, déchets flottants, pollutions bactériologiques... ;
  • informer le public de la qualité des eaux, des législations et des risques réels en cas de pollution ;
  • faire prendre conscience de l'ampleur de la pollution et faire comprendre les enjeux de la protection de l'océan.

Surfrider Foundation a servi de modèle et des antennes locales existent dans le monde entier : Surfrider Foundation Europe, Surfrider Foundation Brazil, Surfrider Foundation Japan, Surfrider Foundation Australia, Surfrider Foundation Maroc.

Notes et références

  1. a b et c Terme recommandé par l'OQLF et par la Commission générale de terminologie et de néologie, et publié au Journal officiel de la République française le 26 novembre 2008. [PDF] [1]
  2. « Une histoire du Surf », Arkhe,‎ (lire en ligne, consulté le )
  3. Kaneamuna
  4. [2]
  5. (en) F. Fleming, Off the Map. Tales of Endurance and Exploration, Atlantic Monthly Press, (2005 ?), p. 154.
  6. (en) History of Surfing Surfing for Life
  7. Christian Durocher, Tahiti Tourisme, « Le Surf, ou Horue, une invention polynésienne », Tahiti Infos,‎ (lire en ligne).
  8. (en) Roughing It by Mark Twain
  9. Surf Session n°235.
  10. Philippe Lesaffre, « Comment le surf a débarqué en France », sur Le Zéphyr, (consulté le )

Voir aussi

Bibliographie

  • Augustin, J.-P. (Ed.). (1994). Surf Atlantique. Les territoires de l'éphémère. Talence: Maison des Sciences de l'Homme d'Aquitaine.
  • Guibert, C. (2007). Univers du surf et stratégies politiques en Aquitaine. Paris: L'Harmattan.
  • Jérémy Lemarié, Surf : Une histoire de la glisse, de la première vague aux Beach Boys, Arkhê, 2018.
  • Al Azzawi, T. (2009). Les surfs. D'une pratique à la mode à des modalités de la pratique. Biarritz: Atlantica.
  • AJ Dungo, In Waves, Casterman, .

Articles connexes

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Liens externes