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Dans certaines régions, les chiens gardiens du bétail sont également victimes des loups.<ref>''[https://www.medvede.sk/pdf/CDPnews9.pdf What is wrong with Romanian Livestock Guarding Dogs ?]'' Carnivore Damage Prevention News, n° 9 décembre 2005, page 10-12</ref>
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== Le loup gris commun dans la culture ==
== Le loup gris commun dans la culture ==

Version du 29 décembre 2022 à 18:36

Canis lupus lupus

Canis lupus lupus
Description de cette image, également commentée ci-après
Loup gris commun au zoo de Worms (Allemagne)
Classification
Règne Animalia
Embranchement Chordata
Sous-embr. Vertebrata
Classe Mammalia
Sous-classe Theria
Infra-classe Eutheria
Ordre Carnivora
Sous-ordre Caniformia
Famille Canidae
Genre Canis
Espèce Canis lupus

Sous-espèce

Canis lupus lupus
(Linnaeus, 1758)

Répartition géographique

Description de cette image, également commentée ci-après
  • Aire de répartition de Canis lupus lupus

Statut de conservation UICN

( LC )
LC  : Préoccupation mineure

Statut CITES

Sur l'annexe II de la CITES Annexe II , Rév. du 22-10-87

Statut CITES

Sur l'annexe I de la CITES Annexe I , Rév. du 23/06/2010
(Turquie)

Le Loup gris commun (Canis lupus lupus) est une des sous-espèces sauvages de Canis lupus, une espèce de canidés regroupant la plupart des loups, les chiens et les dingos, tous parfaitement interféconds. Il est également appelé loup eurasien, loup européen, loup des Carpates, loup des steppes et loup de Chine[1].

Morphologie

Il mesure environ 80 cm au garrot. Le mâle peut peser entre 30 et 40 kg, tandis que la femelle est plus légère : elle peut peser entre 25 et 30 kg[2]. Sa fourrure peut prendre différents coloris allant du blanc au noir, en passant par différentes teintes de gris. La distinction mâle/femelle est très difficile, si l'on se base sur des critères visuels (sauf en cas de présence de pinceaux péniens).

La taille des loups d'Eurasie est sujette à des variations géographiques, les animaux de Russie et de Scandinavie étant plus grands et plus gros que ceux d'Europe occidentale[3]. Le plus grand a été tué après la Seconde Guerre mondiale dans la région de Kobelyakski de la région de Poltavski en RSS d'Ukraine, et pesait 86 kg. Bien que leur taille soit similaire à celle des loups de Russie centrale, les loups suédois et norvégiens ont tendance à être plus lourds et à avoir des épaules plus profondes[4],[5].

Répartition

À l'exception des loups en Italie, toutes les populations présentées ici sont constituées de loups d'Eurasie.

À l'origine disséminé sur la plus grande partie de l'Eurasie, avec une limite méridionale délimitée par l'Himalaya, l'Hindou Kouch, le Kopet-Dag, le Caucase, la mer Noire et les Alpes, et une limite septentrionale comprise entre 60° et 70° de latitude.

Son aire de répartition s'est grandement réduite et on ne le retrouve presque plus en Europe de l'Ouest et à l'est de la Chine.

Actuellement, c'est le loup le plus commun en Europe et en Asie. Présent entre l'Europe de l'Ouest, la Scandinavie, la Mongolie et la chaîne de l'Himalaya, il ne survit principalement qu'en Asie centrale[1].

Comportement

Les loups gris vivent principalement en meutes, organisées selon une hiérarchie bien précise. Cette dernière est dictée par un couple, dit "dominant" ou "alpha", qui est en général le seul de la meute à procréer, et qui impose la soumission aux autres membres de la meute. C'est le chef de la meute qui ordonne le départ à la chasse, et c'est également lui qui se nourrit en premier lorsque la proie est abattue. Une meute se compose en général d'une dizaine d'individus, mais des meutes d'une trentaine d'individus ont déjà été observées[6]. Le loup communique en utilisant différentes vocalisations, afin d'échanger avec le reste de la meute : grognements, jappements, gémissements. Le moyen de communication le plus utilisé chez les loups reste cependant le hurlement : il sert à garder une certaine cohésion dans la meute, à la rassembler, et à avertir les autres membres de la meute en cas de danger.

Alimentation

Il s'agit d'un animal carnivore qui se nourrit de différentes espèces selon la taille de la meute. Il peut s'agir de cerfs, chevreuils, sangliers lorsque le groupe est petit. Il arrive parfois que les loups gris se nourrissent de très petites proies, telles que des marmottes, lièvres, renards, mais aussi de baies telles que des myrtilles et des airelles[6].

Pour les grosses meutes des régions septentrionales, les proies sont alors plus variées : élans, rennes, mouflons, chamois, lièvres, antilopes saïgas[réf. nécessaire].

Un loup adulte consomme en moyenne 17 % de son poids en viande par jour, soit de 4 à 5 kilos pour un loup européen, mais peut en consommer jusqu'à 8 kg puis jeûner quelques jours[7],[8].

Protection en Europe

Protection status in Europe

Le loup d'Eurasie et le loup d'Italie sont légalement protégés dans la plupart des pays européens, soit par une inscription aux annexes de la directive UE-FHH, soit par la Convention de Berne, ou les deux, selon qu'un pays est ou non signataire de la Convention de Berne.

Pour les États membres de l'UE, une demande de modification de l'inscription du loup dans les annexes de la directive « Habitats » doit être approuvée par la Division des grands carnivores de la Commission européenne, au sein de laquelle les membres du LCIE [Quoi ?] ont un rôle consultatif.[9],[10] Les États hors de l'UE qui sont signataires de la convention de Berne peuvent soumettre une demande correspondante de changement de statut de protection au comité permanent de la convention de Berne, au sein duquel le LCIE a également un rôle consultatif. Par exemple, la Suisse a présenté une telle demande en 2006, qui a été rejetée à l'époque[11]. En 2018, la Suisse a de nouveau demandé la réduction du statut de protection. En raison du comportement passif de l'Initiative des grands carnivores pour l'Europe (LCIE), le traitement de la demande est retardé[12],[13],[14].

(Voir aussi: État de conservation favorable pour le loup en Europe).

Conflits

Attaques de loups sur des animaux domestiques (animaux de ferme) en Allemagne
Victimes des attaques de loups sur les troupeaux
Attaques de loups de nuit et de jour [15]

En Suisse en 2018, le loup occasionne environ 500 dégâts sur le bétails pour une population d'environ 50 loups, en présence d'environ 200 chiens de garde.[16] En 2021, il y a entre 130 et 150 loups et au moins 13 meutes. Le peuple suisse ayant refusé en votation un projet de révision de la loi sur la chasse[17] en 2020, le tir préventif est interdit. Sur la base de l'ordonnance sur la chasse révisée mi-juillet 2021[18], l’Office fédéral de l’environnement (OFEV) autorise le tir de régulation de trois jeunes loups de la meute du Beverin (Grisons). Par contre il rejette la demande de tir sur deux jeunes loups de la meute de Stagias, car les dégâts sont insuffisants et une partie du bétail n'est pas protégé[19].

En Allemagne entre 2000 et 2019, le nombre annuel d'attaques de loups sur des animaux de pâturage est passé de 0 à 890, tandis que le nombre d'animaux blessés et tués a augmenté à 2900. L'expansion de la population des loups s'accompagne d'une augmentation des dégâts. La plupart des attaques se produisant sur des territoires où les éleveurs ne sont pas encore adaptés à leur présence. Les dommages dans ces régions diminuent après un ou deux ans, lorsque des mesures de protection des troupeaux sont mis en place[20].

En France, le nombre d'animaux capturés dans des troupeaux non protégés a diminué entre 2010 et 2015, car de plus en plus de troupeaux ont été protégés, mais le nombre d'animaux tués dans des troupeaux protégés a augmenté[21]. Pendant cette période, le comportement des loups a changé de telle manière qu'avec l'augmentation de l'habituation, la proportion d'attaques de loups pendant la journée a augmenté[22]. En 2018, il y avait environ 12500 animaux tués par des loups dans l'arc alpin français avec une population d'environ 500 loups et plusieurs milliers de chiens de garde du bétail[16]. Malgré les nouvelles mesures de protection des troupeaux, il y a eu 3838 observations de loups en 2019 dans la région Auvergne-Rhône-Alpes et une indemnisation a dû être versée pour 12491 animaux dont il a été prouvé qu'ils avaient été tués par des loups.[23]

Dans certaines régions, les chiens gardiens du bétail sont également victimes des loups.[24]

Parmi les méthodes de protection des troupeaux, plusieurs études[25],[26] présentent l'utilisation de clôtures électriques comme la méthode la plus efficace pour diminuer les attaques. D'autres méthodes non-léthales montrent également une diminution des attaques comme notamment la présence d'un chien de protection[25],[26],[27],[28]. Quant aux méthodes léthales, leurs efficacités sont très variables et augmenteraient même le nombre d'attaques dans certains cas[25],[26],[28],[29]. Cependant, les contextes sociaux et environnementaux peuvent affecter l'efficacité des mesures de protection[30]. Par exemple, une faible abondance de proie naturelles peut faire augmenter les attaques sur les troupeaux domestiques[31],[32].

Le loup gris commun dans la culture

Symbole

Une louve est le symbole de la ville de Rome. En effet, selon la légende, Romulus et Rémus, les jumeaux ayant fondé la ville de Rome, auraient été élevés par une louve[33].

Autres sous-espèces

Selon MSW :

  • Canis lupus altaicus (Noack, 1911)
  • Canis lupus argunensis Dybowski, 1922
  • Canis lupus canus de Sélys Longchamps, 1839
  • Canis lupus communis Dwigubski, 1804
  • Canis lupus deitanus Cabrera, 1907
  • Canis lupus desertorum Bogdanov, 1882
  • Canis lupus flavus Kerr, 1792
  • Canis lupus fulvus de Sélys Longchamps, 1839
  • Canis lupus italicus Altobello, 1921
  • Canis lupus kurjak Bolkay, 1925
  • Canis lupus lycaon Trouessart, 1910
  • Canis lupus major Ogérien, 1863
  • Canis lupus minor Ogerien, 1863
  • Canis lupus niger Hermann, 1804
  • Canis lupus orientalis (Wagner, 1841)
  • Canis lupus orientalis Dybowski, 1922
  • Canis lupus signatus Cabrera, 1907

Articles connexes

Liens externes

Sur les autres projets Wikimedia :

Références

  1. a et b « Le loup gris (Canis lupus) », sur Ensemble pour les animaux (consulté le )
  2. « Oncfs - Le Loup », sur www.oncfs.gouv.fr (consulté le )
  3. Jardine, William: The Naturalists Library, Mammalia, Vol. IX: Dogs
  4. Heptner, V. G., Naumov, N. P.: Mammals of the Soviet Union Vol.II Part 1a, SIRENIA AND CARNIVORA (Sea cows; Wolves and Bears) 1998
  5. Graves, Will, Valerius Geist: Wolves in Russia - Anxiety Through the Ages (2007)
  6. a et b Futura, « Loup gris », sur Futura (consulté le )
  7. Ministère de l’Ecologie, de l’Energie, du Développement durable et de l’Aménagement du territoire - Ministère de l’Agriculture et de la Pêche, PLAN D'ACTION NATIONAL SUR LE LOUP 2008-2012, DANS LE CONTEXTE FRANÇAIS D'UNE ACTIVITE IMPORTANTE ET TRADITIONNELLE D'ELEVAGE, , 88 p. (lire en ligne), p. 29
  8. Le Point magazine, « Meutes, alimentation : le loup en chiffres », sur Le Point, (consulté le )
  9. Status of large carnivore populations in Europe 2012-2016
  10. Arten von EU-Rechtsvorschriften
  11. Bundesrat der Schweizer Regierung: Berner Konvention
  12. Elli Radinger: Berner Konvention: Schweiz beantragt Rückstufung des Schutzstatus des Wolfs
  13. Standing Committee: 38th meeting Strasbourg November 2018 Seite 9
  14. Standing Committee: List of decicions and adopted texts Seite 5, 7, 19
  15. Michel Meuret, Laurent Garde, Charles-Henri Moulin, Marie-OdileNozières-Petit, Marc Vincent: Élevage et loups en France : historique, bilan et pistes desolution
  16. a et b BRF-Nachrichten : Schutz des Weideviehs vor dem Wolf
  17. « Fedlex », sur www.fedlex.admin.ch (consulté le )
  18. « Fedlex », sur www.fedlex.admin.ch (consulté le )
  19. « L’OFEV rejette la demande de tir de régulation de deux jeunes loups de la meute de Stagias », sur www.bafu.admin.ch (consulté le )
  20. (de) « Bundesweite Schadensstatistik » (consulté le ).
  21. Michel Meuret, Laurent Garde, Charles-Henri Moulin, Marie-Odile Nozières-Petit, Marc Vincent : Élevage et loups en France : historique, bilan et pistes de solution. INRA Productions Animales,Paris : INRA, 2017, 30 (5), pp.465-478 . hal-01739303, page 472
  22. République francaise : fr/IMG/pdf/infoloup31_bilan2019.pdf Info Loup 31 special Bilan 2019
  23. La France Agricole : 12 500 brebis dévorées par les loups en 2019
  24. What is wrong with Romanian Livestock Guarding Dogs ? Carnivore Damage Prevention News, n° 9 décembre 2005, page 10-12
  25. a b et c (en) Oliveira, T., Treves, A., López-Bao, J.V. et Krofel, M., « The contribution of the LIFE program to mitigating damages caused by large carnivores in Europe », Global ecology and conservation, vol. 31,‎ (DOI 10.1016/J.GECCO.2021.E01815).
  26. a b et c (en) Van Eeden, L.M., Eklund, A., Miller, J.R.B., López-Bao, J.V., Chapron, G., Cejtin, M.R., Crowther, M.S., Dickman, C.R., Frank, J., Krofel, M., Macdonald, D.W., McManus, J., Meyer, T.K., Middleton, A.D., Newsome, T.M., Ripple, W.J., Ritchie, E.G., Schmitz, O.J., Stoner, K.J., Tourani, M. et Treves, A., « Carnivore conservation needs evidence-based livestock protection », PLoS biology, vol. 16, no 9,‎ (DOI 10.1371/journal.pbio.2005577).
  27. (en) Espuno, N., Lequette, B., Poulle, M.L., Migot, P. et Lebreton, J.D., « Heterogeneous response to preventive sheep husbandry during wolf recolonization of the French Alps », Wildlife Society Bulletin, vol. 32, no 4,‎ , p. 1195-1208 (DOI 10.2193/0091-7648(2004)032[1195:HRTPSH]2.0.CO;2).
  28. a et b (en) Van Eeden, L.M., Crowther, M.S., Dickman, C.R., Macdonald, D.W., Ripple, W.J., Ritchie, E.G. et Newsome, T.M., « Managing conflict between large carnivores and livestock », Conservation Biology, vol. 32, no 1,‎ , p. 26-34 (DOI 10.1111/cobi.12959).
  29. (en) Treves, A., Krofel, M. et McManus, J., « Predator control should not be a shot in the dark », Frontiers in Ecology and the Environment, vol. 14, no 7,‎ , p. 380-388 (DOI 10.1002/fee.1312).
  30. (en) Graham, K., Beckerman, A.P. et Thirgood, S., « Human-predator-prey conflicts: Ecological correlates, prey losses and patterns of management », Biological conservation, vol. 122, no 2,‎ , p. 159-171 (DOI 10.1016/j.biocon.2004.06.006).
  31. (en) Janeiro-Otero, A., Newsome, T.M., Van Eeden, L.M., Ripple, W.J. et Dormann, C.F., « Grey wolf (Canis lupus) predation on livestock in relation to prey availability », Biological conservation, vol. 243,‎ (DOI 10.1016/j.biocon.2020.108433).
  32. (en) Treves, A., Naughton-Treves, L., Harper, E.K., Mladenoff, D.J., Rose, R.A., Sickley, T.A. et Wydeven, A.P., « Predicting human‐carnivore conflict: a spatial model derived from 25 years of data on wolf predation on livestock », Conservation Biology, vol. 18, no 1,‎ , p. 114-125 (DOI 10.1111/j.1523-1739.2004.00189.x).
  33. Futura, « Fondation de Rome : la légende de Romulus et Rémus », sur Futura (consulté le )