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Forts du succès des deux premiers albums de CSN(& Y), ''[[Crosby, Stills & Nash (album)|Crosby, Stills & Nash]]'' et ''[[Déjà Vu (album de Crosby, Stills & Nash (and Young))|Déjà vu]]'', Stephen Stills et ses compères éprouvent le besoin de réaliser des albums en solo.
Forts du succès des deux premiers albums de CSN(& Y), ''[[Crosby, Stills & Nash (album)|Crosby, Stills & Nash]]'' et ''[[Déjà Vu (album de Crosby, Stills & Nash (and Young))|Déjà vu]]'', Stephen Stills et ses compères éprouvent le besoin de réaliser des albums en solo.


Le premier album de Stephen, ''Stephen Stills'', diffusé en [[1970]], regroupe des titres comme ''Love the One You’re With'', ''Black Queen'', ''Sit Yourself Down'' et ''We Are Not Helpless''<ref name="Roberts2016">{{ouvrage | langue=en | auteur1=David Roberts | auteur2=David Gedge | année=2016 | titre= Stephen Stills: Change Partners | éditeur =This Day In Music Books |isbn=978-1-78759-101-1 }}</ref>. Pour cette œuvre, il bénéficie de l'aide d'[[Eric Clapton]], [[Ringo Starr]], [[John Sebastian]], bien sûr [[David Crosby]] et [[Graham Nash]] et celle de son ami [[Jimi Hendrix]], décédé le {{date-|18 septembre 1970}}, à qui il dédie le disque<ref name="Roberts2016" />.
Son premier album solo, ''Stephen Stills'', produit en [[1970]], regroupe des titres comme ''Love the One You’re With'', ''Black Queen'', ''Sit Yourself Down'' et ''We Are Not Helpless''<ref name="Roberts2016">{{ouvrage | langue=en | auteur1=David Roberts | auteur2=David Gedge | année=2016 | titre= Stephen Stills: Change Partners | éditeur =This Day In Music Books |isbn=978-1-78759-101-1 }}</ref>. Pour cette œuvre, il bénéficie de l'aide d'[[Eric Clapton]], [[Ringo Starr]], [[John Sebastian]], et bien sûr [[David Crosby]] et [[Graham Nash]] ainsi que celle de son ami [[Jimi Hendrix]], décédé le {{date-|18 septembre 1970}}, à qui il dédie le disque<ref name="Roberts2016" />.


L’album suivant ''Stephen Stills 2'' contient les tubes ''Change Partners'' et ''Marianne''. Il bénéficie à nouveau de l'aide d'Eric Clapton, mais aussi de [[Nils Lofgren]]<ref name="Roberts2016" />.
L’album suivant ''Stephen Stills 2'' contient les tubes ''Change Partners'' et ''Marianne''. Il bénéficie à nouveau de l'aide d'Eric Clapton, mais aussi de [[Nils Lofgren]]<ref name="Roberts2016" />.


En [[1972]], Stills fonde le groupe Manassas<ref name="Roberts2016" /> avec [[Chris Hillman]], ex [[Byrds]], et six autres musiciens (dont {{lien|langue=en|trad=Al Perkins|fr=Al Perkins (guitariste)|texte=Al Perkins}} à la [[pedal steel guitar]]) incluant une section rythmique composé de Joe Lala (percussions), [[Dallas Taylor]] (batterie) et Calvin Samuels (basse) - ce dernier remplacé sur le titre ''Love Gangster'' par [[Bill Wyman]] des Rolling Stones.
En [[1972]], Stills fonde le groupe Manassas<ref name="Roberts2016" /> avec [[Chris Hillman]], ex [[Byrds]], et six autres musiciens (dont {{lien|langue=en|trad=Al Perkins|fr=Al Perkins (guitariste)|texte=Al Perkins}} à la [[pedal steel guitar]]) incluant une section rythmique composé de Joe Lala (percussions), [[Dallas Taylor]] (batterie) et Calvin Samuels (basse) - ce dernier remplacé sur le titre ''Love Gangster'' par [[Bill Wyman]] des [[Rolling Stones]].


Le résultat de leur collaboration donne un [[double album]] qui a beaucoup de succès (disque d'or en un mois après sa diffusion) et constitue un chef-d'œuvre de la musique West Coast mettant en valeur tous les styles musicaux que Stills apprécie : le rock n'roll sophistiqué (''Rock n'roll crazy'', ''Love gangster''), le folk (''So begin the task'', ''Colorado''), la country (''Jet set sight''), le latin rock et le blues. Il comprend les titres : ''It Doesn’t Matter'', ''Johnny’s Garden'', ''The Love Gangster'' et ''Blues Man'' (en hommage à Jimi Hendrix, Al Wilson et Duane Allman du [[The Allman Brothers Band|Allman Brothers Band]]). Durant un des concerts de Manassas, Stephen Stills a rencontré la chanteuse française [[Véronique Sanson]], et ils se sont mariés peu de temps après<ref name="Roberts2016" />.
Le résultat de leur collaboration donne un [[double album]] qui a beaucoup de succès (disque d'or en un mois après sa diffusion) et constitue un chef-d'œuvre de la musique West Coast mettant en valeur tous les styles musicaux que Stills apprécie : le rock n'roll sophistiqué (''Rock n'roll crazy'', ''Love gangster''), le folk (''So begin the task'', ''Colorado''), la country (''Jet set sight''), le latin rock et le blues. Il comprend les titres : ''It Doesn’t Matter'', ''Johnny’s Garden'', ''The Love Gangster'' et ''Blues Man'' (en hommage à Jimi Hendrix, Al Wilson et Duane Allman du [[The Allman Brothers Band|Allman Brothers Band]]). Durant un des concerts de Manassas, Stephen Stills a rencontré la chanteuse française [[Véronique Sanson]], et ils se sont mariés peu de temps après<ref name="Roberts2016" />.
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Par la suite, Stills continue d'enregistrer des disques en solo et collabore régulièrement avec David Crosby et Graham Nash, parfois aidés par Neil Young comme dans ''American Dream'' et ''Looking Forward''.
Par la suite, Stills continue d'enregistrer des disques en solo et collabore régulièrement avec David Crosby et Graham Nash, parfois aidés par Neil Young comme dans ''American Dream'' et ''Looking Forward''.


Toujours dépendant de la [[cocaïne]], de l'[[héroïne]] et de l'alcool, et fortement perturbé par son divorce, Stills vit une véritable déchéance à partir de 1976 et son album ''Illegal Stills''. Il ne publie que l'album ''Right By You'' en 1984 puis en 1991 le discret ''Stills Alone''.
Toujours dépendant de la [[cocaïne]], de l'[[héroïne]] et de l'alcool, et fortement perturbé par son divorce d'avec Véronique Sanson, Stills vit une véritable déchéance à partir de 1976 et son album ''Illegal Stills''. Il ne publie que l'album ''Right By You'' en 1984 puis en 1991 le discret ''Stills Alone''.


En {{date-|octobre 2008}}, il effectue une tournée européenne qui passe le {{date-|5 octobre}} à l'[[Olympia de Paris]]. Son fils [[Christopher Stills]], devenu musicien (Jules César dans la comédie musicale ''[[Cléopâtre (comédie musicale)|Cléopâtre]]''), ainsi que son ex-épouse [[Véronique Sanson]] le rejoignent sur scène à la fin du concert<ref>{{article | langue=fr | titre=Véronique Sanson et Stephen Stills réunis (sur scène) | périodique=[[Paris Match]] | auteur1= François Bourboulon| jour=6 | mois=octobre | année=2008 | url texte= https://www.parismatch.com/Culture/Musique/Veronique-Sanson-et-Stephen-Stills-reunis-sur-scene-132905 }}</ref>. La tournée se poursuit en [[Belgique]], en [[Italie]], en [[Angleterre]] et s'achève le {{date-|22 octobre}} à Dublin ([[Irlande (pays)|Irlande]]).
En {{date-|octobre 2008}}, il effectue une tournée européenne qui passe le {{date-|5 octobre}} à l'[[Olympia de Paris]]. Son fils [[Christopher Stills]], devenu musicien (Jules César dans la comédie musicale ''[[Cléopâtre (comédie musicale)|Cléopâtre]]''), ainsi que son ex-épouse [[Véronique Sanson]] le rejoignent sur scène à la fin du concert<ref>{{article | langue=fr | titre=Véronique Sanson et Stephen Stills réunis (sur scène) | périodique=[[Paris Match]] | auteur1= François Bourboulon| jour=6 | mois=octobre | année=2008 | url texte= https://www.parismatch.com/Culture/Musique/Veronique-Sanson-et-Stephen-Stills-reunis-sur-scene-132905 }}</ref>. La tournée se poursuit en [[Belgique]], en [[Italie]], en [[Angleterre]] et s'achève le {{date-|22 octobre}} à Dublin ([[Irlande (pays)|Irlande]]).

Version du 7 mai 2023 à 23:55

Stephen Stills
Description de cette image, également commentée ci-après
Stephen Stills à Los Angeles en 2011.
Informations générales
Nom de naissance Stephen Arthur Stills
Naissance (79 ans)
Dallas (États-Unis)
Genre musical Rock, folk rock, blues rock, country alternative
Années actives depuis 1962
Labels Columbia, Atlantic, Reprise, Vision, Raven, Titan/Pyramid
Site officiel stephenstills.com

Stephen (Arthur) Stills, est un chanteur, auteur-compositeur-interprète, multi-instrumentiste (il joue aussi bien la guitare, la basse, les claviers que les percussions) américain, né le (79 ans) à Dallas (États-Unis). Il est surtout connu pour avoir fait partie des groupes Buffalo Springfield, Crosby, Stills & Nash, Crosby, Stills, Nash & Young et Manassas. Parmi ses chansons les plus connues : For What It's Worth, Suite: Judy Blue Eyes, Love the One You’re With, Black Queen, Change Partners, Southern Cross, Treetop Flyer et 4+20.

Biographie

Ses débuts

Stephen Stills est né à Dallas en 1945[1], fils de William Arthur Stills (1915-1986) et de Talitha Quintilla Collard (1919-1996). Son père, ingénieur, spécialisé dans la construction de charpentes, parcourt les États-Unis et l'Amérique centrale dans cette période d'après-guerre, de baby boom et de construction. Il voyage donc beaucoup pendant sa jeunesse, notamment au Costa Rica et au canal de Panama, il en retire de l’intérêt pour la musique latine, le blues et la musique folk.

Il abandonne très tôt ses études pour faire de la musique. Le premier groupe dont il fait partie s'appele «  The Au Go Go Singers » car il se produit au café « Au Go Go » de New York, compte neuf membres dont Richie Furay que Stills retrouvera plus tard dans le groupe Buffalo Springfield. Un album, They Call Us The Au Go-Go Singers, sort en 1964, ce sera leur unique disque.

Ce groupe devient un groupe de folk/rock « The Company » qui part en tournée au Canada, où Stills rencontre un jeune guitariste Neil Young.

Buffalo Springfield et Crosby, Stills, Nash and Young

En 1966, Stills convainc Furay et Neil Young de partir avec lui en Californie pour fonder un groupe de rock. Ce projet est à la base de la formation du groupe Buffalo Springfield, toujours en 1966 à Los Angeles[1],[2]. Le succès du groupe se fait sur 3 albums : Buffalo Springfield (1966), Buffalo Springfield Again (1967), et Last Time Around (1968). Le groupe se sépare, Stills enregistre alors l'album Super Session avec Al Kooper et Mike Bloomfield. Puis, il fait la connaissance de David Crosby, éjecté en automne 1967 des Byrds, qui lui présente Graham Nash, en partance du groupe britannique The Hollies. Le groupe Crosby, Stills & Nash naît de ces nouvelles amitiés, puis apres que Neil Young les ait rejoint, le trio devient quatuor et s'appele désormais Crosby, Stills, Nash and Young. C'est sous cette forme qu'ils participent au festival de Woodstock, du 15 au 18 Août 1969.

Stephen joue aussi avec Jimi Hendrix sur des titres qui paraitront sur des albums posthume, d'abord le 30 Septembre 1969, il joue l'orgue et fait les chœurs sur une de ses propres compositions,20$ Fine qui se retrouvera en 2018 sur la compilation Both Sides of the Sky. Aussi en 1970, il est au piano sur My Friend de l'album sorti en 1971, The Cry of Love. Par la suite, on le retrouve à la basse sur Somewhere qui est parue sur le disque People, Hell and Angels, sorti en 2013. Ensuite, sur la compilation de 2018, Both Sides of the Sky, outre la chanson précitée , $20 Fine, il apparait aussi sur une interprétation de Hendrix du morceau de Joni Mitchell, Woodstock.

Carrière solo

Stephen Stills (1972)

Forts du succès des deux premiers albums de CSN(& Y), Crosby, Stills & Nash et Déjà vu, Stephen Stills et ses compères éprouvent le besoin de réaliser des albums en solo.

Son premier album solo, Stephen Stills, produit en 1970, regroupe des titres comme Love the One You’re With, Black Queen, Sit Yourself Down et We Are Not Helpless[3]. Pour cette œuvre, il bénéficie de l'aide d'Eric Clapton, Ringo Starr, John Sebastian, et bien sûr David Crosby et Graham Nash ainsi que celle de son ami Jimi Hendrix, décédé le , à qui il dédie le disque[3].

L’album suivant Stephen Stills 2 contient les tubes Change Partners et Marianne. Il bénéficie à nouveau de l'aide d'Eric Clapton, mais aussi de Nils Lofgren[3].

En 1972, Stills fonde le groupe Manassas[3] avec Chris Hillman, ex Byrds, et six autres musiciens (dont Al Perkins (en) à la pedal steel guitar) incluant une section rythmique composé de Joe Lala (percussions), Dallas Taylor (batterie) et Calvin Samuels (basse) - ce dernier remplacé sur le titre Love Gangster par Bill Wyman des Rolling Stones.

Le résultat de leur collaboration donne un double album qui a beaucoup de succès (disque d'or en un mois après sa diffusion) et constitue un chef-d'œuvre de la musique West Coast mettant en valeur tous les styles musicaux que Stills apprécie : le rock n'roll sophistiqué (Rock n'roll crazy, Love gangster), le folk (So begin the task, Colorado), la country (Jet set sight), le latin rock et le blues. Il comprend les titres : It Doesn’t Matter, Johnny’s Garden, The Love Gangster et Blues Man (en hommage à Jimi Hendrix, Al Wilson et Duane Allman du Allman Brothers Band). Durant un des concerts de Manassas, Stephen Stills a rencontré la chanteuse française Véronique Sanson, et ils se sont mariés peu de temps après[3].

Stills traverse ensuite une période difficile due à ses addictions à l'alcool et aux drogues, au délitement de son couple avec Véronique Sanson, qu'un long et douloureux divorce solde. Neil Young lui vient en aide et lui propose d’enregistrer à nouveau ensemble.

En 1976, Stills et Young enregistrent Long May You Run mais se disputent une fois de plus en tournée, Young (par obligation contractuelle) ne veut être accompagné que par son propre groupe Crazy Horse alors que Stills préfère avoir des musiciens de studio.

Par la suite, Stills continue d'enregistrer des disques en solo et collabore régulièrement avec David Crosby et Graham Nash, parfois aidés par Neil Young comme dans American Dream et Looking Forward.

Toujours dépendant de la cocaïne, de l'héroïne et de l'alcool, et fortement perturbé par son divorce d'avec Véronique Sanson, Stills vit une véritable déchéance à partir de 1976 et son album Illegal Stills. Il ne publie que l'album Right By You en 1984 puis en 1991 le discret Stills Alone.

En , il effectue une tournée européenne qui passe le à l'Olympia de Paris. Son fils Christopher Stills, devenu musicien (Jules César dans la comédie musicale Cléopâtre), ainsi que son ex-épouse Véronique Sanson le rejoignent sur scène à la fin du concert[4]. La tournée se poursuit en Belgique, en Italie, en Angleterre et s'achève le à Dublin (Irlande).

Vie privée

En 1967, Stills se lie à Judy Collins[5] . Leur relation houleuse lui inspire plusieurs chansons dont Suite: Judy Blue Eyes[5].

Au cours d'une tournée de Manassas en France, il rencontre la chanteuse française Véronique Sanson. Il l'épouse en 1973 et l'emmène aux États-Unis[6]. Ils ont un fils, Christopher Stills, en 1974, mais divorcent en 1979[6]. Il épouse ensuite le mannequin Pamela Anne Jordan en 1987, puis Kristen Hathaway en 1996[7].

Discographie

Solo

Albums studio :

Albums live :

Album Démo :

  • 2007 : Just Roll Tape - April 26th, 1968

Compilation :

Comme membre d'un groupe

The Au Go Go Singers

Groupe formé entre autres de Stephen Stills et Richie Furay, 2 ans avant qu'ils ne forment Buffalo Springfield.

  • 1964 : They Call Us The Au Go Go Singers

Buffalo Springfield

Albums studio :

Compilations :

  • 1969 : Retrospective - Best of Buffalo Springfield
  • 2001 : Box Set - Coffret 5 CD

Crosby, Stills & Nash

Albums studio :

Album live :

Compilations :

Coffret :

  • 1991 : CSN - Coffret de 4 CD couvrant la carrière du trio de leurs débuts jusqu'à la fin des années 1980. Avec des démos, des inédits et des chansons live. Vient avec un livret.

Crosby, Stills, Nash & Young

Albums studio :

  • 1970 : Déjà Vu
  • 1988 : American Dream
  • 1999 : Looking Forward
  • 2023 : Déjà Vu 50TH Anniversary 5LP Deluxe Edition : Édition Limitée à 3,500 copies disponible sur le site officiel du groupe. Version 5 Vinyles.
  • 2023 : Déjà Vu 50TH Anniversary Deluxe Edition : Idem que pour l'Édition précédente mais en version 4 CD + 1 Vinyle.

Albums live :

Compilations :

Woodstock :

Manassas

Albums studio:

Compilation :

The Stills-Young Band

The Rides

The Rides consiste en un groupe formé de Stehen Stills, Kenny Wayne Shepherd et Barry Goldberg.

  • 2013 : Can't Get Enough
  • 2016 : Pierced Arrow

Stills Collins

Participations

Références

  1. a et b (en) John Bassett Mccleary, Hippie Dictionary. A Cultural Encyclopedia of the 1960s and 1970s, Clarkson Potter/Ten Speed, (lire en ligne), « Buffalo Springfield », p. 75
  2. Stéphane Davet, « Stills sans Crosby & Nash », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  3. a b c d et e (en) David Roberts et David Gedge, Stephen Stills: Change Partners, This Day In Music Books, (ISBN 978-1-78759-101-1)
  4. François Bourboulon, « Véronique Sanson et Stephen Stills réunis (sur scène) », Paris Match,‎ (lire en ligne)
  5. a et b (en) Jim Farber, « Judy Collins on Stephen Stills: ‘I said, it's such a beautiful song, but it's not winning me back’ », The Guardian,‎ (lire en ligne)
  6. a et b Jacques Pessis, « Sanson, Véronique [Boulogne-Billancourt 1949] », dans Béatrice Didier, Antoinette Fouque et Mireille Calle-Gruber (dir.), Le dictionnaire universel des créatrices, Éditions Des femmes, , p. 3846
  7. Jérôme Vermelin, « Quand Véronique Sanson voulait engager un tueur à gages pour éliminer son mari », TF1,‎ (lire en ligne)

Liens externes

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