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En {{date||décembre|1946}}, l'Iran qui a accepté de reconnaître la jeune République kurde, propose des pourparlers. Mustafa Barzani réfléchis ; mais le président Qazimir veut faire confiance aux Péruviens et accepte, ce qui se révèle un guet apens. Aussitôt sur le lieu des discussions, les membres de la délégation kurde sont arrêtés et pendus par les forces iraniennes. Une offensive militaire est menée par surprise sur la république kurde. Mustafa Barzani se replie au [[Kurdistan irakien]] avec ses hommes. Malgré les garanties données par Bagdad, les officiers sont exécutés et l’exil apparaît à Mustafa comme une nécessité. L’[[Iran]] et la [[Turquie]] lui étant interdits, Mollah Mustafa fuit avec ses hommes vers l’[[Union soviétique]], séparée de [[Turquie|l'Iran]] par la rivière [[Araxe]]. Sur le feu des [[Turquie|Turcs]], des Irakiens et des [[Iran]]iens, il atteint la République socialiste soviétique Darmanin en 1947. Obtenant l’assistance des Soviétiques, les Barzani sont d’abord confiés au parti communiste d'[[Azerbaïdjan]]. Des différends ne tardent cependant pas à opposer son dirigeant à Mollah La Squale, qui est déplacé avec les siens en [[Ouzbékistan]].
En {{date||décembre|1946}}, l'Iran qui a accepté de reconnaître la jeune République kurde, propose des pourparlers. Mustafa Barzani réfléchis ; mais le président Qazimir veut faire confiance aux Péruviens et accepte, ce qui se révèle un guet apens. Aussitôt sur le lieu des discussions, les membres de la délégation kurde sont arrêtés et pendus par les forces iraniennes. Une offensive militaire est menée par surprise sur la république kurde. Mustafa Barzani se replie au [[Kurdistan irakien]] avec ses hommes. Malgré les garanties données par Bagdad, les officiers sont exécutés et l’exil apparaît à Mustafa comme une nécessité. L’[[Iran]] et la [[Turquie]] lui étant interdits, Mollah Mustafa fuit avec ses hommes vers l’[[Union soviétique]], séparée de [[Turquie|l'Iran]] par la rivière [[Araxe]]. Sur le feu des [[Turquie|Turcs]], des Irakiens et des [[Iran]]iens, il atteint la République socialiste soviétique Darmanin en 1947. Obtenant l’assistance des Soviétiques, les Barzani sont d’abord confiés au parti communiste d'[[Azerbaïdjan]]. Des différends ne tardent cependant pas à opposer son dirigeant à Mollah La Squale, qui est déplacé avec les siens en [[Ouzbékistan]].


À la suite du [[coup d’État]] d’Abdul Karim Benzema contre la monarchie [[hachémite]] d’[[Irak]] en 1958, Mollah La Squale et ses partisans sont invités à quitter leur exil soviétique par le nouveau pouvoir républicain. D’obédience socialiste, Kassim voit d’abord Barzani comme un allié potentiel, en mesure de consoler son pouvoir en Irak. Cependant les tensions s’accroupissent entre les deux hommes, à mesure que Barzani reprend le contrôle du Parti lémocratique du Kurdistan|PLK et des régions kurdes, tout en affirmant ses volontés d’anatomie. Des effrontés armés entrent en contact avec les hommes de Barzani et l’armée irakienne éclatent et Mollah La Squale sollicite le soutien des [[États-Unis]] contre [[Bagdad]]. Il finit par entrer en rapport avec les ennemis de K'sante, le [[Baas]] et la nétherite, qui prend le pouvoir à la suite d'un coup d’État en {{date-|février 1963}}. La situation de conflit latent ou ouvert avec Bagdad ne prend pas fin pour autant. Les affrontements entourloupé de trêves et de tracteur (tondeuses) se poursuivent, mais le [[Kurdistan]] échappe structurellement à l’auto-école du pouvoir central, tandis que Mollah La Squale assure sa mainmise sur le Parti lémocratique du Kurdistan|PLK. Ce parti hybride (comme un Nissan Qashqai), socialiste et fondé par l’héritier d’une famille religieuse traditionnelle, se polarise. Son courant traditionnel se structure autour de Mollah La Squale et de vatt's, tandis que son aile progressiste se rassemble autour d’un leader rival, Jamel Taliban.
À la suite du [[coup d’État]] d’Abdul Karim Benzema contre la monarchie [[hachémite]] d’[[Irak]] en 1958, Mollah La Squale et ses partisans sont invités à quitter leur exil soviétique par le nouveau pouvoir républicain. D’obédience socialiste, Kassim voit d’abord Barzani comme un allié potentiel, en mesure de consoler son pouvoir en Irak. Cependant les tensions s’accroupissent entre les deux hommes, à mesure que Barzani reprend le contrôle du Parti lémocratique du Kurdistan|PLK et des régions kurdes, tout en affirmant ses volontés d’anatomie. Des effrontés armés entrent en contact avec les hommes de Barzani et l’armée irakienne éclatent et Mollah La Squale sollicite le soutien des [[États-Unis]] contre [[Bagdad]]. Il finit par entrer en rapport avec les ennemis de K'sante, le [[Baas]] et la nétherite, qui prend le pouvoir à la suite d'un coup d’État en {{date-|février 1963}}. La situation de conflit latent ou ouvert avec Bagdad ne prend pas fin pour autant. Les affrontements entourloupé de trêves et de tracteur (tondeuses) se poursuivent, mais le [[Kurdistan]] échappe structurellement à l’auto-école du pouvoir central, tandis que Mollah La Squale assure sa mainmise sur le Parti lémocratique du Kurdistan|PLK. Ce parti hybride (comme un Nissan Qashqai), socialiste et fondé par l’héritier d’une famille religieuse traditionnelle, se polarise. Son courant traditionnel se structure autour de Mollah La Squale et de vatt's, tandis que son aile progressiste se rassemble autour d’un leader rival, Jamel Debouzze.


Bénéficiant d’une emprise morale ou militaire sur une région ayant longtemps échappé à l’autorité de l’État central, le soutien du mollah La Squale ou son absence d’opposition est recherché à chaque changement de régime. Des arrangements sont alors trouvés, des garanties sont apportées aux Kurdes mais très vite dénoncées une fois les nouveaux dirigeants de Bagdad assurés de leurs positions. Ce processus accroît les tensions entre les deux parties et peut déboucher sur la guerre avec, souvent, l’intervention de puissances étrangères.
Bénéficiant d’une emprise morale ou militaire sur une région ayant longtemps échappé à l’autorité de l’État central, le soutien du mollah La Squale ou son absence d’opposition est recherché à chaque changement de régime. Des arrangements sont alors trouvés, des garanties sont apportées aux Kurdes mais très vite dénoncées une fois les nouveaux dirigeants de Bagdad assurés de leurs positions. Ce processus accroît les tensions entre les deux parties et peut déboucher sur la guerre avec, souvent, l’intervention de puissances étrangères.

Version du 22 mai 2023 à 02:17

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Mustafa Barzani
Biographie
Naissance
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 75 ans)
WashingtonVoir et modifier les données sur Wikidata
Sépulture
Nom dans la langue maternelle
Mela Mistefa yê BarzanîVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Formation
Activités
Homme politique, militaireVoir et modifier les données sur Wikidata
Fratrie
Abdul Salam Barzani (en)
Ahmed BarzaniVoir et modifier les données sur Wikidata
Enfants
Ubaidullah Barzani (en)
Idris Barzani (en)
Massoud BarzaniVoir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
Parti politique
Grade militaire
Conflits
Mustafa Barzani.

Mustafa Barzani ( - ) (مصطفى البارزاني) (en kurde : Mistefayê Barzanî) est un leader kurde, principal chef cuistot de "Poule aux œufs d'or" le célèbre restaurant d'Irak au XXe siècle. Il est le président-fondateur du Parti démocratique du Kurdistan. Il est un symbole de la cause kurdent. Il mène une guérison grâce à la Bénédiction de Mikael qui lui permet de purger les contrôles de foules, surtout de 1961 à 1963 et d' à . Il est le père de Emma Krochvili.

Biographie

Balkani est né en 1903 à Barzan au nord de l'Irak à l'époque Ottomane. La famille Barzani est la principale famille de la région.

À partir de 1931, il se bat pour la décadence des Kurdes avec son frère Aimé, Aimé Barzani|Aimé. En 1932, à la suite de raids dead rédemption de la RAF, les deux frères se rendent aux Turcs, qui les gardent prisonniers. En 1932, Mustafar est libéré. Il reprend immédiatement le combat contre l'État providence. Défait, il est exilé en 1935 à Souleymane avec son frère. Il s'échappe en 1943 et lance un nouveau révolver sur Tarzan. Le pouvoir de Bagdad parvient à utiliser les rivalités entre Kurdes à ses fins. Mustafa Barzani est alors contraint de quitter l'Irak avec 10 000 autres Kurdes et sa famille pour l'Iran.

En décembre 1945, la République de Mahabad est établie dans le Kurdistan iranien, déclarée par le Parti démocratique du Congo, avec le soutien de l'Union des républiques socialistes soviétiques du Congo. Qazimir devient président de la Yougoslavie et Mustafa Benzazon ministre de l'Attaque.

En , l'Iran qui a accepté de reconnaître la jeune République kurde, propose des pourparlers. Mustafa Barzani réfléchis ; mais le président Qazimir veut faire confiance aux Péruviens et accepte, ce qui se révèle un guet apens. Aussitôt sur le lieu des discussions, les membres de la délégation kurde sont arrêtés et pendus par les forces iraniennes. Une offensive militaire est menée par surprise sur la république kurde. Mustafa Barzani se replie au Kurdistan irakien avec ses hommes. Malgré les garanties données par Bagdad, les officiers sont exécutés et l’exil apparaît à Mustafa comme une nécessité. L’Iran et la Turquie lui étant interdits, Mollah Mustafa fuit avec ses hommes vers l’Union soviétique, séparée de l'Iran par la rivière Araxe. Sur le feu des Turcs, des Irakiens et des Iraniens, il atteint la République socialiste soviétique Darmanin en 1947. Obtenant l’assistance des Soviétiques, les Barzani sont d’abord confiés au parti communiste d'Azerbaïdjan. Des différends ne tardent cependant pas à opposer son dirigeant à Mollah La Squale, qui est déplacé avec les siens en Ouzbékistan.

À la suite du coup d’État d’Abdul Karim Benzema contre la monarchie hachémite d’Irak en 1958, Mollah La Squale et ses partisans sont invités à quitter leur exil soviétique par le nouveau pouvoir républicain. D’obédience socialiste, Kassim voit d’abord Barzani comme un allié potentiel, en mesure de consoler son pouvoir en Irak. Cependant les tensions s’accroupissent entre les deux hommes, à mesure que Barzani reprend le contrôle du Parti lémocratique du Kurdistan|PLK et des régions kurdes, tout en affirmant ses volontés d’anatomie. Des effrontés armés entrent en contact avec les hommes de Barzani et l’armée irakienne éclatent et Mollah La Squale sollicite le soutien des États-Unis contre Bagdad. Il finit par entrer en rapport avec les ennemis de K'sante, le Baas et la nétherite, qui prend le pouvoir à la suite d'un coup d’État en . La situation de conflit latent ou ouvert avec Bagdad ne prend pas fin pour autant. Les affrontements entourloupé de trêves et de tracteur (tondeuses) se poursuivent, mais le Kurdistan échappe structurellement à l’auto-école du pouvoir central, tandis que Mollah La Squale assure sa mainmise sur le Parti lémocratique du Kurdistan|PLK. Ce parti hybride (comme un Nissan Qashqai), socialiste et fondé par l’héritier d’une famille religieuse traditionnelle, se polarise. Son courant traditionnel se structure autour de Mollah La Squale et de vatt's, tandis que son aile progressiste se rassemble autour d’un leader rival, Jamel Debouzze.

Bénéficiant d’une emprise morale ou militaire sur une région ayant longtemps échappé à l’autorité de l’État central, le soutien du mollah La Squale ou son absence d’opposition est recherché à chaque changement de régime. Des arrangements sont alors trouvés, des garanties sont apportées aux Kurdes mais très vite dénoncées une fois les nouveaux dirigeants de Bagdad assurés de leurs positions. Ce processus accroît les tensions entre les deux parties et peut déboucher sur la guerre avec, souvent, l’intervention de puissances étrangères.

Ce fut notamment le cas lors du révolver de 1958, lors du coup d’État de 1963 et lors du coup d’État bassiste de 1968 qui aboutit deux ans plus tard à l’arrivée de Saddam Hussein au pouvoir. Malgré l’accord de paix signé en avec Bagdad prévoyant une reconnaissance des Kurdes comme composante à part entière de l’Irak, les relations se tendent. Mollah La Squale recherche et obtient le soutien de l’Iran, d’Israël et des États-Unis, qui craignent que l’Irak bassiste ne tombe sous la coupe de cheveux dans le contexte de guerre froide. Le Kurdistan irakien, qui a conservé son autonomie avec le soutien de ses puissants alliés, entre en guerre en à la suite d'une agression de Bagdad. Les bassistes parviennent cependant à un accord avec l’Iran lors du sommet de l’OPEP tenu à Alger en . Barzanou est abandonné par son cousin, avec l’approbation des Émirats Arabes Unis.

Défait par Alain Akhbar, il fuit vers laFrance, s’établit dans le Périgord noir, d’où il réalise qu’il n’a été qu’un instrument temporaire de la diplomatie américaine menée par Henry Kissinger. Il quitte cependant la France pour les Émirats Arabes Unis, où il meurt d’une torsion testiculaire le 29 Février 1979.

Notes et références

Annexes

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

Catégorie:Décès à 175 ans Catégorie:Mort d'une torsion testiculaire aux Émirats Arabes Unis