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Version du 17 janvier 2024 à 02:26

Amélie Oudéa-Castéra
Illustration.
Amélie Oudéa-Castéra en 2017.
Fonctions
Ministre de l'Éducation nationale, de la Jeunesse, des Sports et des Jeux olympiques et paralympiques
En fonction depuis le
(4 mois et 25 jours)
Président Emmanuel Macron
Premier ministre Gabriel Attal
Gouvernement Attal
Prédécesseur Gabriel Attal (Éducation nationale)
Elle-même (Sports)
Ministre des Sports et des Jeux olympiques et paralympiques

(1 an, 7 mois et 22 jours)
Président Emmanuel Macron
Premier ministre Élisabeth Borne
Gouvernement Borne
Prédécesseur Roxana Maracineanu (ministre déléguée)
Successeur Elle-même
Biographie
Nom de naissance Amélie Claire Castéra
Date de naissance (46 ans)
Lieu de naissance Paris 14e (France)
Nationalité Française
Parti politique RE
Conjoint Frédéric Oudéa (depuis 2006)
Famille Patrice Duhamel (oncle)
Alain Duhamel (oncle)
Diplômée de Université Panthéon-Sorbonne
IEP de Paris
ESSEC
ENA
Profession Haute fonctionnaire
Ministres français des Sports

Amélie Oudéa-Castéra, née Amélie Castéra le dans le 14e arrondissement de Paris, est une femme politique, haute fonctionnaire et administratrice de société française, magistrate à la Cour des comptes puis directrice générale de la Fédération française de tennis. Elle a eu durant son adolescence un début de carrière de joueuse de tennis professionnelle.

Le , elle est nommée ministre des Sports et des Jeux olympiques et paralympiques dans le gouvernement Élisabeth Borne. Le , elle est nommée ministre de l'Éducation nationale et conserve également le ministère des Sports. Ses déclarations controversées sur l'enseignement public, jugées provocantes et mensongères, lui valent d'être impliquée dans une polémique dès sa nomination.

Biographie

Famille

Amélie Claire Castéra naît le dans le 14e arrondissement de Paris du mariage de Richard Castéra, directeur de Publicis et haut fonctionnaire, et de Dominique Duhamel, directrice des ressources humaines[1],[2]. Elle est la nièce du médecin Jean-François Duhamel, des journalistes politiques Alain et Patrice Duhamel[3] et Nathalie Saint-Cricq[4].

Le , elle épouse Frédéric Oudéa, futur président-directeur général de la Société générale puis de Sanofi. De ce mariage naissent trois garçons[2],[5].

Carrière sportive stoppée

Amélie Castéra gagne en 1992 le tournoi de tennis de l'Orange Bowl dans la catégorie des moins de quatorze ans. Elle détient également trois titres de championne de France dans les catégories jeunes. Sur le circuit junior, elle est demi-finaliste à l'US Open en 1993, puis à Roland-Garros et à Wimbledon en 1994[6], et finaliste de la Fed Cup Junior avec Amélie Cocheteux la même année.

Elle évolue parallèlement pendant quatre saisons au sein du circuit professionnel. Après avoir échoué au troisième tour des qualifications en 1993, elle reçoit une invitation pour disputer le tableau principal des Internationaux de France en 1994 où elle est battue au premier tour par la Belge Sabine Appelmans, 17e mondiale[7]. Elle atteint pour meilleur classement une 251e place en mai 1995 puis met un terme à sa carrière en après avoir perdu à Roland-Garros un double en juniors avec Amélie Mauresmo, afin de se consacrer à ses études[8].

Formation

Après des études au lycée Victor-Duruy (Paris, 7e) puis au lycée Jean-de-La-Fontaine (Paris, 16e) elle poursuit des études supérieures à Paris. Elle obtient une maîtrise en droit à l'université Panthéon-Sorbonne ; elle est diplômée de l'Institut d'études politiques de Paris qu'elle intègre en 1996[9][source insuffisante] et de l'École supérieure des sciences économiques et commerciales (ESSEC)[2][réf. à confirmer].

Carrière professionnelle

Ancienne élève de la promotion Léopold-Sédar-Senghor de l'École nationale d'administration (au même titre qu'Emmanuel Macron)[10],[11], Amélie Castéra est nommée en 2004 à la Cour des comptes[12],[13],[14]. Elle y exerce notamment les fonctions de rapporteur près la CDBF[15]. Conformément à son ancienneté, elle est promue auditrice de 1re classe en [16] puis conseillère référendaire en [17][source secondaire nécessaire].

En 2008, elle quitte la Cour des comptes pour être nommée chargée de mission auprès du directeur général du groupe Axa[14]. Elle restera fonctionnaire en disponibilité, membre du corps des magistrats de la Cour des comptes, jusqu’à sa démission le [18][source secondaire nécessaire]. La même année, elle intègre le cercle des « Young Leaders » de la French-American Foundation-France[19].[pertinence contestée] Elle évolue au sein du groupe Axa, où elle devient en 2010 directrice de la planification stratégique, puis en 2011 directrice marketing, marque, service et digital d'Axa France[2].

En 2009, elle est nommée au conseil d'administration du Centre national pour le développement du sport [20],[14].

En 2018, investie dans l'association « Sport dans la ville »[21], elle est cofondatrice[22] et présidente de l'association « Rénovons le sport français »[23]. Elle est alors pressentie pour devenir directrice générale de l'Agence nationale du sport, présidée par le conseiller-maître à la Cour des comptes Jean Castex[14], mais elle décline la proposition[24],[25] et rejoint le groupe Carrefour en tant qu’administratrice en . Après dix ans de disponbilité, elle démissionne alors de la fonction publique[18][source secondaire nécessaire]. En , elle est nommée directrice e-commerce, data et transformation digitale du groupe[26]. Elle perçoit alors une rémunération de 1,4 million euros par an[27].

En , elle est nommée présidente du Comité d'audit de Paris 2024[28], poste auquel elle est remplacée le par Patricia Langrand[29].[source secondaire nécessaire]

Personnalité de l'écosystème du commerce en ligne[30], Amélie Oudéa-Castéra est élue « Femme du digital 2020 »[31].

Amélie Oudéa-Castéra est membre de l'association « Ensemble pour un autre tennis », liste d'opposition soutenue par Gilles Moretton, candidat au poste de président de la Fédération française de tennis (FFT)[32].[source secondaire nécessaire] Gilles Moretton ayant été élu président de la FFT le , Amélie Oudéa-Castera est nommée directrice générale le , en remplacement de Jean-François Vilotte[1],[33]. Elle souhaite notamment faire vivre le stade Roland-Garros toute l'année[3]. Elle perçoit une rémunération de 35 000 euros nets par mois[34].

Amélie Oudéa-Castéra est administratrice de la société française Plastic Omnium depuis 2014 et de la société d'investissement Eurazeo depuis 2018[35],[36],[37].

Parcours politique

Ministère des Sports et des Jeux Olympiques et paralympiques

En , son nom circule pour entrer au gouvernement, comme ministre des Sports[38],[39] puis de nouveau en 2018, en remplacement de Laura Flessel[40]. Il réapparaît en 2022 après la réélection d'Emmanuel Macron[41],[42].

Le , elle est nommée ministre des Sports et des Jeux olympiques et paralympiques au sein du gouvernement Élisabeth Borne[43].

Son mandat de ministre est marqué par d'importantes polémiques et de nombreuses affaires qui touchent les hautes sphères du sport français, que ce soit dans le football avec la FFF (les affaires Noël Le Graët), le rugby avec la FFR (l'affaire Laporte-Altrad) et le Comité d'organisation de la Coupe du monde de rugby France 2023 (les affaires Claude Atcher), ainsi que les Jeux Olympiques avec le CNOSF (diverses polémiques autour de la présidence occupée par Brigitte Henriques)[44] ou encore le tennis avec la FFT (le président Gilles Moretton accusé de corruption et détournement de biens publics, plainte depuis classée sans suite). La ministre a notamment incité au départ des dirigeants incriminés de la FFF et de la FFR[45]. Cela se produit le 27 janvier 2023 pour Bernard Laporte[46] et le 28 février 2023 pour Noël Le Graët[47]. En décembre 2022, Médiapart révèle qu’elle percevait plus de 35 000 euros nets par mois du temps où elle était directrice générale de la FFT[48], autant que chez Carrefour, alors que la ministre avait parlé d'une rémunération trois fois inférieure[48].

Ministère de l'Éducation nationale, de la Jeunesse, des Sports, des Jeux olympiques et paralympiques

Le 11 janvier 2024, elle devient ministre de l'Éducation nationale et de la Jeunesse au sein du gouvernement Gabriel Attal, tout en conservant son portefeuille de ministre des Sports, des Jeux olympiques et paralympiques[49].

Les syndicats dénoncent le cumul des portefeuilles ministériels[50].

Polémique

Le 12 janvier 2024, au lendemain de sa nomination à l'Éducation nationale, Mediapart révèle que ses trois enfants sont scolarisés au très catholique et huppé[51] Collège Stanislas[52] — dont les pratiques éducatives ont été qualifiées de sexistes, homophobes et autoritaires par plusieurs enquêtes de presse[53] — déclenchant une enquête administrative en . La ministre est en charge de ce dossier, d'où un possible conflit d'intérêts. Elle déclare avoir scolarisé son fils aîné à Stanislas en raison « des paquets d’heures qui n’étaient pas sérieusement remplacées » à l'école primaire Littré[54],[55]. La presse révèle que ce dernier n'a été scolarisé dans cet établissement que pendant six mois, en petite section de maternelle, et son institutrice affirme n'avoir jamais été absente[55] tout en affirmant que le motif réel du changement d'établissement à l'époque était le refus de faire sauter une classe à cet enfant, malgré la demande parentale[56],[57] ,[55],[58]. Plusieurs parents d'élèves de l'époque, sans lien avec la ministre, dont le reporter Nicolas Poincaré[59], affirment qu'il n'y a « jamais eu d’absences non remplacées » dans cette école[55]. Malgré ces déclarations, la ministre maintient sa version pour justifier le passage à un établissement privé[60].

Estimant ses propos provocateurs[61] les syndicats d'enseignants dénoncent « une déstabilisation » et un « mépris » de l'école publique[62] et les oppositions réclament sa démission pour cause de « mensonges »[63],[64],[65],[66],[67],[68],[69],[70]. Aurore Bergé, ministre déléguée à l’Égalité hommes-femmes, a pris sa « défense »[71], tout comme l'éditorialiste Rémi Godeau, dénonçant « les belles âmes qui vantent l’idéologie égalitariste » avec hypocrisie[pertinence contestée][72].

Notes et références

  1. a et b Robin Richardot, « Qui est Amélie Oudéa-Castéra, la directrice générale du tennis français », sur Le Monde, (consulté le )
  2. a b c et d Who's Who in France, édition 2015, p. 1707.
  3. a et b Philippe Bertrand, « Roland-Garros 2021 : Amélie Oudéa-Castera monte au filet », sur Les Échos, (consulté le )
  4. Camille Sánchez, « Nathalie Saint-Cricq : son étonnant lien de parenté avec une ministre d’Élisabeth Borne », sur aufeminin.com, (consulté le ).
  5. Éric Collier et Nicolas Lepeltier, « Amélie Oudéa-Castéra, une ministre des sports très affairée », sur lemonde.fr, (consulté le ).
  6. « Elle aurait pu jouer Roland-Garros : Amélie Oudéa-Castéra, nouvelle ministre des Sports », sur radiofrance.fr,
  7. « « Elle voulait être une grande championne ou rien » : les années tennis d’Amélie Oudéa-Castéra », sur Ouest-France,
  8. Sophie Dorgan, « Amélie Oudéa-Castera « AOC » dans son domaine », L'Équipe,‎ , p. 31.
  9. « Amélie Oudéa-Castéra », sur La Jaune et la Rouge (consulté le ).
  10. « Tout savoir sur Amélie Oudéa-Castéra », sur CNews, (consulté le ).
  11. Mathieu Larnaudie, Les Jeunes Gens, Éditions Grasset, (ISBN 978-2-24681-509-9, présentation en ligne)
    Enquête sur la promotion Senghor de l'ENA.
  12. Arrêté du 9 avril 2004 portant affectation aux carrières des élèves de la promotion 2002-2004 « Léopold Sédar Senghor » de l'Ecole nationale d'administration ayant terminé leur scolarité au mois de mars 2004, élèves issus des concours externe, interne et troisième concours.
  13. Décret du 14 mai 2004 portant nomination (Cour des comptes).
  14. a b c et d Nicolas Lepeltier, « Amélie Oudéa-Castéra, une proche de Macron au ministère des sports et des Jeux olympiques et paralympiques », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le )
  15. Décret du 19 août 2004 portant nomination de rapporteurs près la Cour de discipline budgétaire et financière.
  16. Décret du 3 octobre 2005 portant nomination (Cour des comptes).
  17. Décret du 20 avril 2007 portant nomination (Cour des comptes).
  18. a et b Décret du 25 juin 2018 portant réintégration et radiation des cadres (Cour des comptes) - Mme OUDÉA-CASTÉRA (Amélie).
  19. « Amélie Oudéa-Castéra », sur clubdigital.fr (consulté le ).
  20. Arrêté du 7 octobre 2009 portant nomination au conseil d'administration du Centre national pour le développement du sport.
  21. Philippe Desmoulins, « Amélie Oudéa-Castéra (E99), les valeurs au cœur », sur le site de l'association des anciens élèves de l'École supérieure des sciences économiques et commerciales, (consulté le ).
  22. Sophie Dorgan, « Amélie Castera prône une fusion des circuits ATP et WTA », sur L'Équipe, (consulté le ).
  23. Julien Reboullet, « Amélie Castera : « Qu'on ait une culture du numéro 1 » », sur L'Équipe, (consulté le ).
  24. R. P., « Amélie Oudéa-Castera ne sera pas la directrice générale de l'agence nationale du sport », sur L'Équipe, (consulté le ).
  25. Simon Virot, « Permettre aux jeunes qui ont une passion de la vivre », sur Le Bien public, (consulté le ).
  26. Carole Bellemare, « Amélie Oudéa-Castera (Groupe Carrefour) », sur Le Figaro, (consulté le ).
  27. « 500 000 euros : Amélie Oudéa-Castéra justifie son salaire à la tête de la Fédération française de tennis », sur Capital.fr,
  28. « Communiqué Paris 2024 – Comités d’audit et d’éthique », sur Comité régional olympique et sportif Île-de-France, (consulté le ).
  29. « Communiqué de presse de Paris 2024 » [PDF], sur Paris 2024, (consulté le ).
  30. « Les digital doers - ceux qui font le e-commerce », sur podcast.ausha.co (consulté le ).
  31. « Amélie Oudea-Castera (Carrefour) est élue "femme du digital 2020" », sur ecommercemag.fr, (consulté le ).
  32. « Liste des membres du conseil d'administration », sur association « Ensemble pour un autre tennis » (consulté le ).
  33. « Amélie Oudéa-Castéra nommée Directrice Générale de la FFT », sur Fédération française de tennis (FFT), (consulté le ).
  34. Laurent Mauduit, « L’indécente rémunération versée à la ministre des sports par la Fédération française de tennis », sur Mediapart,
  35. Dan Israel, Martine Orange, Mathias Thépot et Antton Rouget, « Le couple Oudéa-Castéra, parangon des élites françaises », Mediapart,‎ (ISSN 2100-0735, OCLC 793457011, lire en ligne)Voir et modifier les données sur Wikidata
  36. « Gouvernance », sur Plastic Omnium (consulté le ).
  37. « Amélie Oudéa-Castera, Membre indépendant du Conseil de Surveillance d'Eurazeo », sur eurazeo.com (consulté le ).
  38. Sandrine Lefèvre, « Et si le futur ministre des Sports était l'un d'eux ? », sur Le Parisien, (consulté le ).
  39. Sophie Dorgan, « Amélie Castera-Oudéa candidate pour être ministre des Sports », sur L'Équipe, (consulté le ).
  40. Yannick Vely, « Qui pour remplacer Laura Flessel au ministère des Sports ? », sur Paris Match, (consulté le ).
  41. « Tony Parker et Amélie Oudéa-Castéra parmi les noms cités pour remplacer Roxana Maracineanu au poste de ministre des Sports », sur L'Équipe, (consulté le ).
  42. « Les Français favorables à un ancien sportif au ministère des Sports », sur Le Point, (consulté le ).
  43. Félix Gabory, « Qui est Amélie Oudéa-Castéra, la nouvelle ministre des Sports ? », sur RMC Sport, (consulté le ).
  44. Romain Métairie, « Dans le sillage de la FFF, ces autres instances du sport français dans la tourmente », sur Libération (consulté le ).
  45. « Affaire Le Graët : Amélie Oudéa-Castéra, la ministre qui s’impose à la tête des Sports », sur Europe 1 (consulté le ).
  46. « Bernard Laporte démissionne de la présidence de la Fédération française de rugby », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  47. « Noël Le Graët démissionne de son poste de président de la Fédération française de football », sur Franceinfo, (consulté le ).
  48. a et b « L’indécente rémunération versée à la ministre des sports par la Fédération française de tennis », sur Médiapart, (consulté le ).
  49. « Remaniement : un hyperministère avec l’Éducation et les sports pour Amélie Oudéa-Castéra », sur Les Échos, (consulté le ).
  50. « "L'éducation va passer au second plan" : le super ministère d'Amélie Oudéa-Castéra inquiète les syndicats », sur France Bleu,
  51. Laurent Fargues, « Derrière la polémique Oudéa-Castéra, l'absence alarmante de mixité sociale dans l'enseignement privé », sur Challenges, (consulté le )
  52. Mathilde Goanec, David Perrotin, Ilyes Ramdani, « La ministre de l’éducation a choisi un établissement privé ultra réac pour ses enfants », sur Mediapart, (consulté le ).
  53. « Lycée Stanislas : le ministère ouvre une enquête après des accusations d’homophobie et sexisme », sur leparisien.fr, (consulté le ).
  54. « Absences de professeurs : Amélie Oudéa-Castera attise la colère des syndicats d'enseignants », sur Les Echos, (consulté le )
  55. a b c et d Cécile Bourgneuf et Pauline Moullot, « La défense d’Amélie Oudéa-Castéra sur la scolarisation de ses enfants fragilisée par l’ancienne institutrice de son fils », sur Libération (consulté le )
  56. Article par Damien Renoulet le 15/01/2024 sur RTL [1]
  57. Article par Guillaume Descours et Caroline Philippe, le 15/01/2024 sur RMC [2]
  58. " Amélie Oudéa-Castéra : la version d’une ancienne prof de son fils qui dément celle de la ministre" par l'AFP le 15 Janvier 2024 dans La Voix du Nord [3]
  59. « Propos d’Amélie Oudéa-Castera: "Mon fils n'a jamais eu d’absences non remplacées à l’école Littré" assure Nicolas Poincaré », sur RMC (consulté le )
  60. « Amélie Oudéa-Castéra : l'ancienne institutrice de son fils affirme n'avoir jamais été absente, la ministre maintient sa version », sur Franceinfo, (consulté le )
  61. « Indignation des syndicats après les propos d’Amélie Oudéa-Castéra sur la scolarisation de ses enfants dans le privé », sur TF1 INFO, (consulté le )
  62. « Propos d'Amélie Oudéa-Castéra sur l'école publique : "nous sommes encore dans du mépris", dénonce SE-UNSA - France Bleu », sur ici, par France Bleu et France 3 (consulté le )
  63. « Accusée d’avoir menti sur la scolarisation de ses enfants, Amélie Oudéa-Castéra demande de «clore» le «chapitre des attaques personnelles» », sur Le Figaro, (consulté le )
  64. Yves-Marie ROBIN, « Accusée de « mensonge », la ministre de l’Éducation, Amélie Oudéa-Castéra, reste sous pression », sur Ouest-France.fr, (consulté le )
  65. « Appelée à la démission, Amélie Oudéa-Castéra demande la fin des « attaques personnelles » », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  66. « Amélie Oudéa-Castéra, des révélations aux appels à la démission : ce qu’il faut savoir », sur Le Point, (consulté le )
  67. « Les oppositions accusent Amélie Oudéa-Castéra de "mensonges" sur le choix du privé pour ses enfants », sur France 24, (consulté le )
  68. « Polémique Oudéa-Castéra : témoignage d’une institutrice, appel à la démission… La ministre demande d’arrêter les « attaques » », sur SudOuest.fr, (consulté le )
  69. « Appelée à la démission, la ministre de l'Éducation veut éteindre la polémique », Le Matin,‎ (ISSN 1018-3736, lire en ligne, consulté le )
  70. Article centré sur BFM TV le 15/01/2024 [4]
  71. Article le 13 janvier 2024 dans Libération [5]
  72. Editorial par Rémi Godeau le 14 janvier 2024 dans le quotidien L'Opinion [6]

Pour approfondir

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Articles connexes

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