« Nicolas de Courteille » : différence entre les versions

Biographie
Naissance	1768; Paris
Décès	1830; Empire russe
Activité	Peintre

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Nicolas de Courteille, né vers 1768 à Paris et mort vers 1830 en Russie, est un peintre français.

Biographie

Gilles Nicolas de Courteille étudie à l'Académie royale de Paris, auprès de Simon Julien. Il expose au Salon de 1893 à 1822^[1] des portraits, des tableaux historiques, ou des scènes de genre. Il remporte le prix de la tête d'expression^[2].

Il concourt à cinq reprises pour le prix de Rome (en 1791, 1792, 1797, 1798 et 1799).

En 1802, il part en Russie et devient citoyen russe en 1806.

En 1811, il obtient de l'Académie russe des beaux-arts un prix pour son Cupidon et Psyché, et en 1813, pour le tableau Philoclète laissé sur l'île de Lemnos, il reçoit le titre d’académicien de peinture.

De 1811 à 1817, il peint plusieurs toiles pour le palais de Peterhof dont La forge de l'usine de Sestroretsk.

En 1820, il est invité par le prince Youssoupov pour peindre les murs du palais d'Arkhangelskoïe récemment acquis, il y séjournera définitivement.

Avec son épouse Louise Thérèse Patourelle (ou Patoinette), ils donnent naissance à leur fille Émélie.

Il enseigne le dessin et l'aquarelle aux étudiants destinés à travailler dans l'établissement de porcelaine du prince.

Il meurt en Russie vers 1830.

Sa fille Émélie (1824-1848), domiciliée rue Chilpéric à Paris meurt à célibataire à l'âge de 24 ans ^[3].

Notes et références

(ru) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en russe intitulé « Куртейль, Никола де » (voir la liste des auteurs).

Liens externes

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[1] Base de données « Salons et expositions de groupes 1673-1914 », salons.musee-orsay.fr, un projet du musée d'Orsay et de l'Institut national d'histoire de l'art soutenu par le Ministère de la Culture et de la communication, consulté le 05/05/2024.

[2] École spéciale de peinture et de sculpture.

[3] Archives reconstituées de Paris, acte de décès de l'année 1848, (vue 20/51).

[1]

[2]

[3]

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 == Biographie ==
-Gilles Nicolas de Courteille étudie à l’Académie royale de Paris, auprès de [[Simon Julien]]. Il expose au Salon des [[portrait]]s, des [[Peinture d'histoire|tableaux historiques]], ou des [[Scène de genre|scènes de genre]].
+Gilles Nicolas de Courteille étudie à l'Académie royale de Paris, auprès de [[Simon Julien]]. Il expose au [[Salon de peinture et de sculpture|Salon]] de [[1893 en arts plastiques|1893]] à [[1822 en arts plastiques|1822]]<ref>[https://salons.musee-orsay.fr/index Base de données « Salons et expositions de groupes 1673-1914 », salons.musee-orsay.fr, un projet du musée d'Orsay et de l'Institut national d'histoire de l'art soutenu par le Ministère de la Culture et de la communication, consulté le 05/05/2024].</ref> des [[portrait]]s, des [[Peinture d'histoire|tableaux historiques]], ou des [[Scène de genre|scènes de genre]]. Il remporte le prix de la tête d'expression<ref>[https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b10543581z École spéciale de peinture et de sculpture].</ref>.
-Il remporte le prix de la tête d'expression<ref>[https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b10543581z École spéciale de peinture et de sculpture].</ref>.
 Il concourt à cinq reprises pour le [[Liste des prix de Rome en peinture|prix de Rome]] (en 1791, 1792, 1797, 1798 et 1799).
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 En 1802, il part en [[Russie]] et devient citoyen russe en 1806.
-En 1811, il obtient de l’[[Académie russe des beaux-arts]] un prix pour son ''Cupidon et Psyché'', et en 1813, pour le tableau ''Philoclète laissé sur l’île de Lemnos'', il reçoit le titre d’académicien de peinture.
+En 1811, il obtient de l'[[Académie russe des beaux-arts]] un prix pour son ''Cupidon et Psyché'', et en 1813, pour le tableau ''Philoclète laissé sur l'île de Lemnos'', il reçoit le titre d’académicien de peinture.
-De 1811 à 1817, il peint plusieurs toiles pour le [[palais de Peterhof]] dont ''La forge de l’usine de Sestroretsk''.
+De 1811 à 1817, il peint plusieurs toiles pour le [[palais de Peterhof]] dont ''La forge de l'usine de Sestroretsk''.
 En 1820, il est invité par le [[Nikolaï Borissovitch Ioussoupov|prince Youssoupov]] pour peindre les murs du palais d'[[Arkhangelskoïe]] récemment acquis, il y séjournera définitivement.
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 Avec son épouse Louise Thérèse Patourelle (ou Patoinette), ils donnent naissance à leur fille Émélie.
-Il enseigne le dessin et l’aquarelle aux étudiants destinés à travailler dans l’établissement de porcelaine du prince.
+Il enseigne le dessin et l'[[aquarelle]] aux étudiants destinés à travailler dans l'établissement de porcelaine du prince.
 Il meurt en [[Russie]] vers 1830.
-Sa fille Émélie (1824-1848), domicilié [[Cloître Saint-Germain-l'Auxerrois|rue Chilpéric]] à Paris meurt à célibataire à l'âge de 24 ans
+Sa fille Émélie (1824-1848), domiciliée [[Cloître Saint-Germain-l'Auxerrois|rue Chilpéric]] à Paris meurt à célibataire à l'âge de 24 ans
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 == Notes et références ==