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Le roman gagne avec six voix contre deux pour ''Les Ratés de la Diaspora'' de [[Lucien Elia]], une voix sur ''[[La Répudiation]]'' de [[Rachid Boudjedra]] et une dernière sur ''[[La Deuxième Mort de Ramón Mercader]]'' de [[Jorge Semprún]]<ref>{{Lien web|url= https://www.lemonde.fr/archives/article/1969/11/18/un-jovial-enfant-de-l-eternel_2441082_1819218.html|titre= UN JOVIAL " ENFANT DE L'ETERNEL "|site= Le Monde|date= 1969-11-18}}</ref>. |
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Le lendemain de la remise du prix, trois jurés du Renaudot, [[Étienne Lalou]], [[Roger Grenier]] et [[Maurice Nadeau]], démissionnèrent en pointant un scrutin acheté par l'éditeur pour la distinction<ref>« Trois démissions » de Patrick Loriot, ''[[Le Nouvel Obs|Le Nouvel Observateur]]'', 1969</ref>{{,}}<ref>{{Lien web|url= https://www.lemonde.fr/archives/article/1969/11/19/une-lettre-de-m-etienne-lalou-a-propos-du-prix-renaudot_2441498_1819218.html|titre= UNE LETTRE DE M. ETIENNE LALOU A PROPOS DU PRIX RENAUDOT|site= Le Monde|date= 1969-11-19}}</ref>. |
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Dernière version du 8 mai 2024 à 21:09
Les Feux de la colère | |
Auteur | Max Olivier-Lacamp |
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Pays | France |
Genre | Roman |
Éditeur | Grasset |
Date de parution | 1969 |
Nombre de pages | 333 |
ISBN | 9782246153016 |
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Les Feux de la colère est un roman de Max Olivier-Lacamp publié en 1969 aux éditions Grasset et ayant reçu le prix Renaudot la même année.
Le roman gagne avec six voix contre deux pour Les Ratés de la Diaspora de Lucien Elia, une voix sur La Répudiation de Rachid Boudjedra et une dernière sur La Deuxième Mort de Ramón Mercader de Jorge Semprún[1].
Le lendemain de la remise du prix, trois jurés du Renaudot, Étienne Lalou, Roger Grenier et Maurice Nadeau, démissionnèrent en pointant un scrutin acheté par l'éditeur pour la distinction[2],[3].
Résumé[modifier | modifier le code]
L'histoire de Jean Jean qui revient dans son village natal de Montvézy. Il renia sa foi huguenote, enfant, sous la pression des dragronnades faisant suite à la révocation de l'édit de Nantes. En pleine guerre des Cévennes, il rejoint le groupe des Enfants de l’Eternel, qui défendent la liberté de conscience, mais il rencontre Jeanne de Valestallières, un ancien amour[4].
Éditions[modifier | modifier le code]
- Les Feux de la colère, éditions Grasset, 1969 (ISBN 9782246153016).
Références[modifier | modifier le code]
- « UN JOVIAL " ENFANT DE L'ETERNEL " », sur Le Monde,
- « Trois démissions » de Patrick Loriot, Le Nouvel Observateur, 1969
- « UNE LETTRE DE M. ETIENNE LALOU A PROPOS DU PRIX RENAUDOT », sur Le Monde,
- Quatrième de couverture.