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== Hagiographie ==
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=== Naissance miraculeuse ===
=== Naissance miraculeuse ===
Ménas est né en [[Égypte]] en 285 dans la ville de Niceous, qui se trouvait dans les environs de [[Memphis (Égypte)|Memphis]]. Ses parents étaient des [[chrétien]]s [[ascèse|ascétiques]] mais qui n'avaient pas d'enfants, malgré de longues années de mariage. père s'appelait Eudoxios et sa mère, Euphémie. En la fête de la [[Vierge Marie]], mère de [[Jésus de Nazareth|Jésus]], Euphémie était en train de [[Prière|prier]] devant une [[Icône (religion)|icône]] de Marie avec des larmes pour que Dieu lui donne un fils béni. Un son vint de l'icône, et Euphémie entendit le mot « Amen ». Quelques mois plus tard, elle donnait naissance à un garçon qu'elle appela Ménas, souvent donné comme un [[anagramme]] du mot [[amen]]<ref name="Tradigo09p285">{{Harvsp|texte=Alfredo Tradigo, ''Icônes et saints d'orient''|id=TRADIGO|p=285}}.</ref>. Cependant, en ce qui concerte ce dernier point, [[Pierre du Bourguet]] relève<ref>{{Ouvrage|langue=|prénom1=Pierre|nom1=du Bourguet|lien auteur1=Pierre du Bourguet|titre=L'art copte|lieu=Paris|éditeur=Albin Michel|année=1968|pages totales=240|passage=132|isbn=|lire en ligne=}}</ref> que {{Citation|le nom de Ména est typiquement égyptien, car il a toutes les chances de dériver de celui porté par de nombreuses personnalités de l'[[Égypte antique|Égypte pharaonique]], notamment le détenteur d'une tombe célèbre de la [[XVIIIe dynastie égyptienne|XVIIIe dynastie]] à [[Cheikh Abd el-Gournah|Abd el-Gournah]] dans la [[Vallée des Rois|vallée thébaine]]. Il reste en rapport avec le saint honoré à [[Abou Mena|Abou Mina]] dans le désert de [[Lac Mariout|Mariout]] et était commun parmi les chrétiens et les moines, à [[Baouit]] comme ailleurs.}}
Ménas est né en [[Égypte]] en 285 dans la ville de Nikiou (Niceous), qui se trouvait dans les environs de [[Memphis (Égypte)|Memphis]]. Ses parents étaient des [[chrétien]]s [[ascèse|ascétiques]] mais qui n'avaient toujours pas d'enfants, malgré de longues années de mariage. Son père s'appelait Eudoxios et sa mère, Euphémie. Voilà qu'en la fête de la [[Vierge Marie]], mère de [[Jésus de Nazareth|Jésus]], Euphémie était en train de [[Prière|prier]] devant une [[Icône (religion)|icône]] de Marie, avec des larmes pour que Dieu lui donne un fils béni. Un son lui parvint de l'icône, et Euphémie entendit le mot « [[Amen]] ». Et quelques mois plus tard, elle donnait naissance à un garçon qu'elle appela Ménas, nom souvent donné comme un [[anagramme]] du mot [[amen]]<ref name="Tradigo09p285">{{Harvsp|texte=Alfredo Tradigo, ''Icônes et saints d'orient''|id=TRADIGO|p=285}}.</ref>. Cependant, en ce qui concerne ce dernier point, [[Pierre du Bourguet]] relève<ref>{{Ouvrage|langue=|prénom1=Pierre|nom1=du Bourguet|lien auteur1=Pierre du Bourguet|titre=L'art copte|lieu=Paris|éditeur=Albin Michel|année=1968|pages totales=240|passage=132|isbn=|lire en ligne=}}</ref> que {{Citation|le nom de Ména est typiquement égyptien, car il a toutes les chances de dériver de celui porté par de nombreuses personnalités de l'[[Égypte antique|Égypte pharaonique]], notamment le détenteur d'une tombe célèbre de la [[XVIIIe dynastie égyptienne|XVIIIe dynastie]] à [[Cheikh Abd el-Gournah|Abd el-Gournah]] dans la [[Vallée des Rois|vallée thébaine]]. Il reste en rapport avec le saint honoré à [[Abou Mena|Abou Mina]] dans le désert de [[Lac Mariout|Mariout]] et était commun parmi les chrétiens et les moines, à [[Baouit]] comme ailleurs.}}


=== Carrière militaire ===
=== Carrière militaire ===
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=== Vie d'ermite ===
=== Vie d'ermite ===
Après avoir vécu cinq ans comme [[ermite]], Ménas a une vision d'[[ange]]s ceignant de couronnes glorieuses des [[Martyr|martyrs]], et il désire les rejoindre. Il entend alors une voix qui lui dit : « Béni es-tu, Ménas, parce que tu as été appelé à la [[Piété|vie pieuse]] dès ton enfance. Tu recevras trois couronnes immortelles : une pour ton [[Vœux de chasteté|célibat]], une autre pour ton [[ascétisme]] et une troisième pour ton [[martyre]]. » Ménas se précipita ensuite {{pas clair|vers le chef|date=mai 2024}}, déclarant sa [[foi chrétienne]]<ref> {{Lien web |langue=en |titre=Saint Mina Coptic Orthodox Church |url=https://web.archive.org/web/20071006162136/http://www.stmina.hamilton.on.coptorthodox.ca/index.php?action=view&id=4&module=newsmodule&src=@random451c047c2bf06 |date=2007-10-06 |consulté le=2024-05-16}}</ref>, foi qu'il ne renia pas et pour laquelle il fut [[Décapitation|décapité]] au cours de la [[Persécution des chrétiens dans la Rome antique|persécution]] ordonnée par l'empereur [[Dioclétien]], en l'an 300, à [[Alexandrie]].
Après avoir vécu cinq ans en [[ermite]], Ménas a une vision d'[[ange]]s ceignant de couronnes glorieuses des [[Martyr|martyrs]], et il désire les rejoindre. Il entend alors une voix qui lui dit : « Béni es-tu, Ménas, parce que tu as été appelé à la [[Piété|vie pieuse]] dès ton enfance. Tu recevras trois couronnes immortelles : une pour ton [[Vœux de chasteté|célibat]], une autre pour ton [[ascétisme]] et une troisième pour ton [[martyre]]. » Ménas se précipita ensuite {{pas clair|vers le chef|date=mai 2024}}, déclarant sa [[foi chrétienne]]<ref> {{Lien web |langue=en |titre=Saint Mina Coptic Orthodox Church |url=https://web.archive.org/web/20071006162136/http://www.stmina.hamilton.on.coptorthodox.ca/index.php?action=view&id=4&module=newsmodule&src=@random451c047c2bf06 |date=2007-10-06 |consulté le=2024-05-16}}</ref>, foi qu'il ne renia pas et pour laquelle il fut [[Décapitation|décapité]] au cours de la [[Persécution des chrétiens dans la Rome antique|persécution]] ordonnée par l'empereur [[Dioclétien]], en l'an 300, à [[Alexandrie]].


=== Martyre et sépulture ===
=== Martyre et sépulture ===
Après le [[martyre]] de Ménas, son corps est recueilli par des fidèles et chargé sur des [[chameau]]x qui, parvenus à un certain endroit au bord du [[lac Mariout]], refusent d'aller plus loin. Voyant là un signe de [[Dieu le Père|Dieu]], les fidèles décident de l'enterrer à cet endroit même.
Après le [[martyre]] de Ménas, son corps est recueilli par des fidèles et chargé sur des [[chameau]]x qui, parvenus à un certain endroit au bord du [[lac Mariout]], refusent d'aller plus loin. Voyant là un signe de [[Dieu le Père|Dieu]], les fidèles décident de l'enterrer à cet endroit même, autour duquel se développa progressivementla ville de [[Abou Mena]].


De nombreuses ampoules à [[eulogie]] représentant Ménas entre deux chameaux, distribuées aux pèlerins et parvenues jusqu'à nous, témoignent de la vigueur de cette croyance.
De nombreuses ampoules à [[eulogie]] représentant Ménas entre deux chameaux, distribuées aux pèlerins et parvenues jusqu'à nous, témoignent de la vigueur de cette croyance.
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=== Célébration liturgique ===
=== Célébration liturgique ===
[[Fichier:EG Abu Mina 0206 005 (17022654897).jpg|vignette|Le monastère à Abou Mena,]]
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=== Patronage ===
=== Patronage ===

Version du 17 mai 2024 à 14:39

Ménas
Image illustrative de l’article Ménas (saint)
Le Christ Sauveur et l'Abbé Ména.
Icône du début du VIIe siècle; peinture à l'encaustique et peinture à la détrempe, provenant du monastère de Baouit en Égypte (Paris, musée du Louvre).
ermite, mégalomartyr
Naissance 285
Nikiou, Égypte
Décès 309  (env. 24 ans)
Phrygie
Nationalité romain
Vénéré par Église copte orthodoxe
Église orthodoxe
Églises des trois conciles
Église catholique romaine
Fête 11 novembre (calendrier julien, Églises catholique romaine, orthodoxe et orthodoxes orientales)
15 Hathor (Église copte orthodoxe)
Attributs homme aux mains coupées et aux yeux arrachés, homme avec deux chameaux
Saint patron personnes accusées à tort, colporteurs, marchands ambulants

Saint Ménas (également Minas, Mina, Mena, Mennas) (285 – 309) (grec ancien : Ἂγιος Μηνάς [Agios Ménas, « saint Ménas »], copte : Ⲁⲃⲃⲁ Ⲙⲏⲛⲁ [Abba Mina « père, abbé Mina »]), ermite, martyr et thaumaturge originaire du delta du Nil, près de Memphis en Égypte, est un soldat romain. Il est « un des saints les plus connus » de l'Église orthodoxe copte[1]. Sa tombe se trouve à Abou Mena.

Cependant, selon N. Patterson Svecenko, Saint Ménas ne doit pas être confondu avec l'abbé Ména qui vécut, lui, au Ve siècle, et qui est représenté à côté du Christ dans la célèbre icône du Christ et de l'abbé Ména, que l'on voit dans l'encadré ci-contre[2].

Sources

De nombreuses sources en grec ancien, copte, vieux nubien, ge'ez, latin, syriaque, et arménien) attestent de l'existence de Ménas et nous renseignent sur sa personne, sa vie et sa mort. Mais les éléments fournis par ces sources sont contradictoires[3].

Hagiographie

Naissance miraculeuse

Ménas est né en Égypte en 285 dans la ville de Nikiou (Niceous), qui se trouvait dans les environs de Memphis. Ses parents étaient des chrétiens ascétiques mais qui n'avaient toujours pas d'enfants, malgré de longues années de mariage. Son père s'appelait Eudoxios et sa mère, Euphémie. Voilà qu'en la fête de la Vierge Marie, mère de Jésus, Euphémie était en train de prier devant une icône de Marie, avec des larmes pour que Dieu lui donne un fils béni. Un son lui parvint de l'icône, et Euphémie entendit le mot « Amen ». Et quelques mois plus tard, elle donnait naissance à un garçon qu'elle appela Ménas, nom souvent donné comme un anagramme du mot amen[4]. Cependant, en ce qui concerne ce dernier point, Pierre du Bourguet relève[5] que « le nom de Ména est typiquement égyptien, car il a toutes les chances de dériver de celui porté par de nombreuses personnalités de l'Égypte pharaonique, notamment le détenteur d'une tombe célèbre de la XVIIIe dynastie à Abd el-Gournah dans la vallée thébaine. Il reste en rapport avec le saint honoré à Abou Mina dans le désert de Mariout et était commun parmi les chrétiens et les moines, à Baouit comme ailleurs. »

Carrière militaire

Le père de Ménas, Eudoxios, chef de l'une des divisions administratives de l'Égypte, meurt quand Ménas a quatorze ans. Un an plus tard, Ménas rejoint l'armée romaine et reçoit un rang élevé en raison de la réputation de son père. La plupart des sources affirment qu'il sert à Cotyaeus en Phrygie[1] (aujourd’hui Kütahya en Turquie). Trois ans plus tard, il quitte l'armée, désirant consacrer sa vie au Christ, et se dirige vers le désert pour vivre une vie différente.

Vie d'ermite

Après avoir vécu cinq ans en ermite, Ménas a une vision d'anges ceignant de couronnes glorieuses des martyrs, et il désire les rejoindre. Il entend alors une voix qui lui dit : « Béni es-tu, Ménas, parce que tu as été appelé à la vie pieuse dès ton enfance. Tu recevras trois couronnes immortelles : une pour ton célibat, une autre pour ton ascétisme et une troisième pour ton martyre. » Ménas se précipita ensuite vers le chef[pas clair], déclarant sa foi chrétienne[6], foi qu'il ne renia pas et pour laquelle il fut décapité au cours de la persécution ordonnée par l'empereur Dioclétien, en l'an 300, à Alexandrie.

Martyre et sépulture

Après le martyre de Ménas, son corps est recueilli par des fidèles et chargé sur des chameaux qui, parvenus à un certain endroit au bord du lac Mariout, refusent d'aller plus loin. Voyant là un signe de Dieu, les fidèles décident de l'enterrer à cet endroit même, autour duquel se développa progressivementla ville de Abou Mena.

De nombreuses ampoules à eulogie représentant Ménas entre deux chameaux, distribuées aux pèlerins et parvenues jusqu'à nous, témoignent de la vigueur de cette croyance.

Iconographie

Une représentation typique de l'abbé Ménas le montre en prière entre deux chameaux. Cette scène se retrouve fréquemment sur les ampoules à eulogie[4]. On peut aussi la voir sur une peinture murale de l'ermitage des Kellia, mais où les chameaux ont disparu, peinture conservée au Louvre[7].

L’icône du monastère de Baouit conservée au Louvre sous le numéro d'inventaire E 11565 représente le Christ et l'abbé Ména[8], ceint de l'auréole du saint traditionnellement vénéré dans la tradition chrétienne[9].

Postérité

Célébration liturgique

Le monastère à Abou Mena,

L'Église copte fête le saint le 15 Hatur dans le calendrier copte[3], le dans le calendrier julien.

Patronage

La ville d'Abou Mena (nommée d'après le saint), située à 45 kilomètres au sud-ouest d'Alexandrie, devient un centre de pèlerinage très important à partir du Ve siècle. Un nouveau monastère inauguré par le patriarche Cyrille VI y attire encore des foules nombreuses.

La cathédrale d'Héraklion, en Crète, construite entre 1862-1895, a Saint Ménas pour patron.

Saint Ménas est aussi le saint patron de la ville d'Héraklion en Crète depuis la période d'occupation turque. La différence de religion entre Crétois et Turcs a conduit à des actes de violence entre musulmans et chrétiens. La tradition veut que le dimanche de Pâques 1826, lorsque les chrétiens se sont rassemblés à l'église pour assister à la célébration liturgique de la Résurrection, des musulmans voulurent les massacrer. Un officier âgé, monté à cheval, intervint alors, calmant et dispersant la foule. Les chrétiens virent dans l'apparition du cavalier un miracle de saint Ménas, et crurent que c'était lui qui était apparu aux Turcs. Depuis lors, saint Ménas a été représenté dans l'iconographie crétoise comme un général romain à cheval, et honoré comme le saint patron d'Héraklion. La cathédrale Agios Minas d'Héraklion porte aujourd'hui son patronage.

De nombreuses autres églises portent aujourd'hui son patronage, comme l'église Saint-Ménas de Štava en Serbie et l'église Saint-Ménas de Dryopída, dans les Cyclades.

Spiritualité

En Occident, Saint Ménas bénéficie d'une certaine notoriété du fait de l'icône conservée au musée du Louvre à laquelle il est associé. La communauté de Taizé en a fait une partie centrale de sa spiritualité, y voyant un témoignage de l'amitié de Jésus pour les hommes (Jean 15,15):

« Il y a ici une icône qui exprime cela, l’icône de l’amitié. Elle est du sixième siècle et vient d’Afrique du Nord, de l’Égypte. Nous y voyons le Christ mettre sa main sur l’épaule de son ami pour marcher avec lui, pour l’accompagner. Tous, nous pouvons nous reconnaître dans cet ami du Christ. Si, ressuscité, le Christ est invisible à nos yeux, nous pouvons pourtant nous confier à sa présence. Il accompagne chaque être humain sans exception. Regarder cette icône, c’est déjà une prière qui nous unit à Dieu. »

— Méditation du Frère Aloïs[10]

Notes et références

  1. a et b (en) Hagiography of Blessed Manas, Site officiel de l'Église orthodoxe copte, consulté le 11-11-2017.
  2. (en) Nancy Patterson Svecenko, « 497. Icon of Christ and Abbot Menas », dans Kurt Weitzmann (Ed.), Age of Spirituality: Late Antique and Early Christian Art, Third to Seventh Century; Catalogue of the Exhibition at the Metropolitan Museum of Art, Nov. 19, 1977 – Feb. 12, 1978, New York, Metropolitan Museum of Art, Publication, in Assoc. with Princeton University Press, , xviii + 735 p. (ISBN 978-0-870-99179-0, lire en ligne), p. 552-553
  3. a et b Krause 1991
  4. a et b Alfredo Tradigo, Icônes et saints d'orient, p. 285.
  5. Pierre du Bourguet, L'art copte, Paris, Albin Michel, , 240 p., p. 132
  6. (en) « Saint Mina Coptic Orthodox Church », (consulté le )
  7. « Peinture au saint Ménas | Musée du Louvre | Paris », sur www.louvre.fr (consulté le )
  8. Selon N. Patterson Svecenko, Saint Ménas ne doit pas être confondu avec l'abbé Ména qui est représenté sur cette icône. (Voir la note correspondant N. Patterson Svecenko, 1979)
  9. « Le Christ et l'abbé Ména | Musée du Louvre | Paris », sur www.louvre.fr (consulté le )
  10. Méditation du Frère Aloïs à la rencontre de Nairobi, Site officiel de la Communauté de Taizé, consulté le 11-11-2017.

Voir aussi

Bibliographie

Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

  • Georgios L. Arvanitakis, « Sur Saint Ménas », Bulletin de l'institut égyptien, vol. 5,‎ , p. 161-188 (lire en ligne)
  • (en) James Drescher, « "More about St. Menas", 12 (1942), », Annales du Service des antiquités de l'Egypte, no 12,‎ , p. 53-70 (lire en ligne)
  • (en) James Drescher, Apa Mena. A selection of Coptic texts relating to St. Menas, Le Caire, Société d'Archéologie Copte, coll. « Publications de la Société d’Archéologie Copte. Textes et Documents », , xxxvi - 187 p.
  • (en) Martin Krause, « Menas the Miracle Maker, Saint », dans Aziz S. Atiya (Ed.), the Coptic Encyclopedia, vol. 5, New York, MacMillan, , p. 1589b-1590b
  • Michel Quenot, L'Icône : Fenêtre sur le Royaume, Paris, Le Cerf, , 2e éd., 208 p. (ISBN 2-204-06848-9, présentation en ligne). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Alfredo Tradigo (trad. Dominique Férault), Icônes et saints d'orient : repères iconographiques [« Icone e Santi d'Oriente »] [« Icônes et saints d'orient »], Paris, Hazan, coll. « Guide des arts », , 384 p. (ISBN 978-2-7541-0419-7, présentation en ligne). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • (en) Nader Alfy Zekry, « The Iconography of St. Menas in the Coptic Art », Journal of the Faculty of Tourism and Hotels-University of Sadat City, vol. 1, no 2/",‎ , p. 37-52 (lire en ligne)

Articles liés

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