« Manuel Pavía » : différence entre les versions

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Manuel Pavía y Rodríguez de Alburquerque (Cadix, 2 août 1827 - Madrid, 4 janvier 1895). Général espagnol, il est l'instigateur du coup d'État qui mit fin à la Première République espagnole.

Il participa au soulèvement de Villarejo (1866) sous le commandement de Joan Prim. Suite à l'échec de ce pronunciamiento, il prit l'exil et revint en Espagne après la Révolution de 1868 qui renversa Isabelle II.

Opposé à tout type de séparatisme, il combattit durant la première république contre les carlistes en Navarre et contre le cantonalisme en Andalousie, nommé Capitaine Général de Nouvelle-Castille durant la présidence de Castelar.

Le 3 janvier 1874, alors que Castelar perd une motion de confiance, il envoie une escouade aux Cortès, amenant leur dissolution et mettant ainsi fin au régime républicain.

Après le coup d'État, Pavía convoqua tous les partis politiques, à l'exception des cantonalistes et des carlistes, afin de former un gouvernement d'union nationale, qui donna le pouvoir au général Francisco Serrano.

Source

(es) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en espagnol intitulé « Manuel Pavía » (voir la liste des auteurs).

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 [[Image:General_Pavia.jpg|thumb|right|Général Pavía]]
-'''Manuel Pavía y Rodríguez de Alburquerque''' ([[Cadix]], [[2 août]] [[1827]] - [[Madrid]], [[4 janvier]] [[1895]]). Général [[Espagne|espagnol]], il est l'instigateur du coup d'Etat qui mit fin à la [[Première République espagnole]].
+'''Manuel Pavía y Rodríguez de Alburquerque''' ([[Cadix]], [[2 août]] [[1827]] - [[Madrid]], [[4 janvier]] [[1895]]). Général [[Espagne|espagnol]], il est l'instigateur du coup d'État qui mit fin à la [[Première République espagnole]].
 Il participa au soulèvement de Villarejo ([[1866]]) sous le commandement de [[Joan Prim]]. Suite à l'échec de ce [[pronunciamiento]], il prit l'exil et revint en Espagne après la [[Révolution de 1868]] qui renversa [[Isabelle II]].
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 Le [[3 janvier]] [[1874]], alors que Castelar perd une motion de confiance, il envoie une escouade aux Cortès, amenant leur dissolution et mettant ainsi fin au régime républicain.
-Après le [[coup d'Etat]], Pavía convoqua tous les partis politiques, à l'exception des cantonalistes et des carlistes, afin de former un gouvernement d'union nationale, qui donna le pouvoir au général [[Francisco Serrano]].
+Après le [[coup d'État]], Pavía convoqua tous les partis politiques, à l'exception des cantonalistes et des carlistes, afin de former un gouvernement d'union nationale, qui donna le pouvoir au général [[Francisco Serrano]].
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