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Malgré un réel retour en haut des charts à la fin des années 80, ''the godfather of soul'' est depuis beaucoup moins prolifique et se fait surtout remarquer pour ses problèmes judiciaires.</br>En [[1988]] il est arrété pour excès de vitesse puis emprisonné pour détention d'armes et sa consommation de [[phencyclidine|PCP]]. Il est condamné à six ans de prison (peine commuée en trois ans, il sort en [[1991]]).
Malgré un réel retour en haut des charts à la fin des années 80, ''the godfather of soul'' est depuis beaucoup moins prolifique et se fait surtout remarquer pour ses problèmes judiciaires.</br>En [[1988]] il est arrété pour excès de vitesse puis emprisonné pour détention d'armes et sa consommation de [[phencyclidine|PCP]]. Il est condamné à six ans de prison (peine commuée en trois ans, il sort en [[1991]]).


Depuis, il alterne entre périodes de désintoxication, arrestations pour posséssion de drogue, arrestations pour violences conjugales... mais aussi périodes où il continue à enregister et à se produire à travers le monde.


Il a été marrié quatres fois, a six enfants et vit en [[Caroline du Sud]], non loin d'[[Augusta]] dont une rue porte son nom (depuis [[1993]]).

Brown has been married four times. He and his current wife Tommie Raye Hynie, have been married since [[2002]] and have one child together; he also has two children by his first wife, Deidre Jenkins, and three more by his second,Velma Warren. Adrienne Rodriegues, Brown's wife through most of the [[1980s]] and [[1990s]], had him arrested four times on charges of assault, and also had problems with drug abuse.

During the [[1990s]] and [[2000s]], arrests for drug possession or domestic abuse became frequent occurrences for Brown. However, he has continued to occasionally perform and even record, and often makes appearances in television shows and in films such as ''[[Blues Brothers 2000]]''. He lives in a riverfront home in [[Aiken County, South Carolina|Beech Island, South Carolina]], directly across the [[Savannah River]] from Augusta. On [[November 11]], [[1993]], Augusta mayor Charles Delaney held a ceremony during which Augusta's 9th Street was renamed "James Brown Boulevard" in the entertainer's honor.

The [[1991]] four-CD retrospective ''[[Star Time]]'' spans his four-decade career; nearly all his earlier LPs have been re-released on CD, often with additional tracks and enlightened commentary by experts familiar with Brown's music.


==Trivia==
==Trivia==

Version du 22 septembre 2005 à 11:38

Fichier:James Brown02.jpg

James Brown, alias The Godfather of Soul , alias Mr. Dynamite, est un chanteur et musicien américain né le 3 mai 1933.

Initiateur du funk, il a eu une très grande influence sur la soul, le Rhythm and Blues, le gospel.
Il est aussi renommé pour ses performances scéniques.


Biographie

Jeunesse

Il serait né le 3 mai 1928 à Barnwell (Caroline du Sud), bien qu'il déclare lui-même être né en 1933 à Macon (Georgie). Peu après sa naissance ses parents déménagent à Augusta (Georgie).

La famille étant pauvre, le jeune James les aide en ramassant du cotton chez les propriétaires environnants ou en cirant les chaussures dans le centre ville. A cette même époque il commence à se produire dans les salles de danse de la région d'Augusta, mais il tombe petit à petit dans la délinquance. A 16 ans il commet une attaque à mains armées pour laquelle il est condamné dans un centre de détention juvénile. Trois ans plus tard, sa peine est allégée et il est relaché à la condition de ne pas retourner à Augusta et de trouver un emploi.

Il devient alternativement boxeur, joueur de baseball puis il fini par se tourner vers la musique.

The Famous Flames

Il rencontre un autre chanteur, Bobby Byrd, et intègre son groupe de rhythm and blues Avon, dont le style évolue et qui sera rapidement renommé The Famous Flames puis James Brown with The Famous Flames. Le groupe se produit principalement dans le sud des États-Unis puis connait le succès en 1956 avec le hit "Please, Please, Please" qui sécoulera à 1 million d'exemplaires.

Malgré ce premier single à grand succès, les neuf qui suivirent furent tous des échecs et le producteur du groupe était pret à rompre leur contrat... ce qui n'arriva pas puisque le single suivant, Try Me (1958), se plaça directement numéro 1 des titres R&B. Ce nouveau hit fut suivit d'autres succès, I'll Go Crazy (1959) et Bewildered (1960).

Night Train (1961) est considéré aujourd'hui comme la premier album caractèristque de James Brown, avec un son instrumental, un rythme très présent et une rapidité qui marqua profondément dès sa sortie. La majorité des chansons du groupe depuis les débuts étant écrites ou co-écrites par James et son charisme surpassant tout, il s'imposa naturellement au point que les autres membres du groupe devinrent simples accompagnateurs du chanteur.

Vers la gloire

Alors que la plupart des succès du début de carrière de James Brown dans les Etats du Sud et dans les TopTen des titres Rhythm’n &Blues, lui meme et les Flames ne rencontraient pas la notoriété nationale avant la parution du disque en public “Live At Apollo” (spectacle realisé en auto-production en 1963). Brown poursuit ce succès avec une série de 45 tours qui, comme le travail d'Alen Toussaint, pose les bases du style Funk. La parution en 1964 de “Out of sight” ainsi que “Night train” ont servi de foundation au nouveau son de James Brown. Ces arrangements bruts et sans fioritures, les cuivres et la batterie occupant le centre du mix stereo, et le chant de Brown ajoutant encore a la pulsation rythmique de l’ensemble.

"Papa's Got A Brand New Bag" and "I Got You (I Feel Good)", tous deux sortis en 1965, furent des numéros 1 dans les classements R&B, demeurant les meilleures ventes dans les magasins noirs pour tout un mois, devenant par la même les premiers Top 10 de sa carrière. Chacun de ces deux titres sont considérés de nos jours comme des titres phares et représentent le plus important travail de la seconde période de sa discographie.

Brown aime faire des ajustements créatif dans ses chansons pour plus de succès. Il a notamment accéléré le tempo de "Papa's Got a Brand New Bag" afin de le rendre plus intense et commercial. "Cold Sweat" (1967) fut considéré comme une démarcation au niveau des paroles et un potentiel de succès plus elevé. Les critiques musicales y voyant un point d'orgue de la musique des années 60. Mélangé avec ses fameux titres rythmés de la décennie il faut également compter avec les ballades tel que le cultissime "It's a Man's, Man's, Man's World" (1965), ainsi que quelques titres assez Broadway.

Les années 60: "Ain't It Funky Now"

JB employa des musiciens et des arrengeurs issus du jazz, mais en tant que leader et auteur, il privilégia la simplicité du rythme RnB à la compléxité et la précision du jazz. Le groupe inclua le trompétiste Lewis Hamlin, le saxophoniste Alfred "Pee Wee" Ellis, le guitariste Jimmy Nolen (qui imposa des riffs simples pour chaques chansons) et le saxophoniste Maceo Parker.
D'autres formations temporaires ont inclue le chanteur Bobby Byrd, le batteur John "Jobo" Starks, Clyde Stubblefield, Melvin Parker (frère de Maceo), le saxophoniste St. Clair Pinckney, le tromboniste Fred Wesley, et le guitariste Alphonso Kellum.

A la fin des années 60, Brown redéfinit encore son style avec "I Got the Feelin", "Licking Stick-Licking Stick" (1968) et "Funky Drummer" (1969). Dans ces titres, il abandonne le chant traditionnel pour une approche plus rythmique calquée sur la musique (donc très rarement mélodique).
Régulièrement apparaissent des parties parlées, directement au public, à la façon des rappeurs (avant l'heure). Il introduit aussi beaucoup de ruptures de rythmes et de breaks, il destructure.
Ses chansons se politisent aussi, critiquent la société, revendiquent, les meilleurs exemples étant "Say It Loud (I'm Black and I'm Proud)" (1968) et "I Don't Want Nobody to Give Me Nothing (Open Up the Door I'll Get It Myself)" 1970).

Ce nouveau style, le Funk, influence beaucoup d'artistes comme Sly and the Family Stone, Les Temptations, toute la Motown, jusqu'aux nouvelles générations, dont Michael Jackson. James Brown est aussi l'artiste le plus samplé, que ce soit par des DJs ou d'autres artistes.

Les années 70: The JB's

En 1970, la majorité des membres du groupe de James Brown l'ont quitté pour de meilleures opportunités. Il crée donc un nouveau groupe avec Bobby Byrd incluant le bassiste Bootsy Collins, le guitariste Catfish Collins, le tromboniste Fred Wesley. Ce nouveau groupe fùt baptisé The JB's et fait ses armes avec le titre "(Get Up I Fell Like Being a) Sex Machine".

Dans le désir de rester, Brown achète des stations de radio et crée son propre label chez Polydor, People, dans lequel il produira aussi certains de ses amis (dont Bobby Byrd, Lyn Collins, Myra Barnes, et Hank Ballard. Il s'est beaucoup investit dans les albums qu'il a produit, si bien qu'on reconnait systématiquement son style dérrière cette musique.

Ses productions personnelles à cette époque résumment les innovations musicales des 20 années précédentes; c'est l'époque de "The Payback" (1973), "Papa Don't Take No Mess" (1974), "Funky President" (1975), "Get Up Offa That Thing" (1976)... En 1973 il signe aussi la bande originale du film blaxploitation Black Caesar.

Miles Davis et d'autres musiciens de jazz citent alors James Brown comme une influence majeure sur leurs styles.

Les années 80

A la fin des années 70, Mr Dynamite a déjà définitivement assis son statut de star. Son groupe se sépare encore, chacun ayant ses propres ambitions (comme Bootsy Collins).
C'est alors l'avènement du disco, et le chanteur, qui avait anticipé le mouvement y participe un peu (dès 1976 certains titres sonnent disco).

A partir de cette période, il est beaucoup moins prolifique et actif.

Il adopte un style musical plus grand publique, il obtient un rôle de prêtre déjanté dans le film The Blues Brothers et il interprête la bande originale de Rocky IV avec le titre Living in America (1985). Il collabore aussi avec les groupes hip hop et RnB du moment (Static en 1988).

Aujourd'hui

Malgré un réel retour en haut des charts à la fin des années 80, the godfather of soul est depuis beaucoup moins prolifique et se fait surtout remarquer pour ses problèmes judiciaires.
En 1988 il est arrété pour excès de vitesse puis emprisonné pour détention d'armes et sa consommation de PCP. Il est condamné à six ans de prison (peine commuée en trois ans, il sort en 1991).

Depuis, il alterne entre périodes de désintoxication, arrestations pour posséssion de drogue, arrestations pour violences conjugales... mais aussi périodes où il continue à enregister et à se produire à travers le monde.

Il a été marrié quatres fois, a six enfants et vit en Caroline du Sud, non loin d'Augusta dont une rue porte son nom (depuis 1993).

Trivia

  • Brown was a recipient of Kennedy Center Honors for 2003, and a scheduled 2004 unveiling of a statue of Brown in Augusta was delayed because of James Brown's ongoing legal problems.
  • James Brown had an appearance in the Jackie Chan movie The Tuxedo, in which he is flipped and knocked unconscious, forcing Chan to do his routine.
  • In December 2004 Brown was diagnosed with prostate cancer, which was successfully treated with surgery.

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Discographie

Albums

RS500= élu parmi les 500 albums de tous les temps par le magazine RollingStone

  • Please Please Please (1959)
  • Try Me (1959)
  • Think (1960)
  • The Amazing James Brown (1961)
  • James Brown Presents His Band/Night Train (1961)
  • Shout And Shimmy (1962)
  • James Brown and His Famous Flames Tour the USA (1962)
  • Live at the Apollo - RS500 (1963)
  • Prisoner of Love (1963)
  • Pure Dynamite: Live at the Royal (1964)
  • Showtime (1964)
  • The Unbeatable James Brown (1964)
  • Grits and Soul (1964)
  • Out Of Sight (1964)
  • Papa's Got A Brand New Bag (1965)
  • I Got You (I Feel Good) (1966)
  • James Brown Plays James Brown Today and Yesterday (1966)
  • Mighty Instrumentals (1966)
  • James Brown Plays New Breed (The Boo-Ga-Loo) (1966)
  • Soul Brother No. 1: It's A Man's Man's Man's World (1966)
  • James Brown Sings Christmas Songs (1966)
  • Handful of Soul (1966)
  • The James Brown Show (1967)
  • Sings Raw Soul (1967)
  • James Brown Plays The Real Thing (1967)
  • Live At The Garden (1967)
  • Cold Sweat (1967)
  • James Brown Presents His Show of Tomorrow (1968)
  • I Can't Stand Myself (1968)
  • I Got The Feelin' (1968)
  • Live At The Apollo, Volume 2 (1968)
  • Jams Brown Sings Out Of Sight (1968)
  • Thinking About Little Willie John and a Few Nice Things (1968)
  • A Soulful Christmas (1968)
  • Say It Loud, I'm Black and I'm Proud (1969)
  • Gettin' Down To It (1969)
  • The Popcorn (1969)
  • It's A Mother (1969)
  • Ain't It Funky (1970)
  • Soul On Top (1970)
  • It's A New Day - Let A Man Come In (1970)
  • Sex Machine (1970)
  • Hey America (1970)
  • Super Bad (1971)
  • Sho' Is Funky Down Here (1971)
  • Hot Pants (1971)
  • Revolution of the Mind/Live At The Apollo, Volume 3 (1971)
  • There It Is (1972)
  • Get On the Good Foot (1972)
  • Soul Classics (1972)
  • Soul Classics, Volume 2 (1973)
  • Black Caesar (1973)
  • Slaughter's Big Rip-Off (1973)
  • The Payback (1974)
  • Hell (1974)
  • Reality (1975)
  • Sex Machine Today (1975)
  • Everybody's Doin' The Hustle and Dead on the Double Bump (1975)
  • Hot (1976)
  • Get Up Offa That Thing (1976)
  • Bodyheat (1976)
  • Mutha's Nature (1977)
  • Solid Gold (1977)
  • The Fabulous James Brown (1977)
  • Jam 1980's (1978)
  • Take A Look At Those Cakes (1979)
  • The Original Disco Man (1979)
  • People (1980)
  • Hot On The One (1980)
  • Soul Syndrome (1980)
  • Can Your Heart Stand It? (1981)
  • The Best of James Brown (1981)
  • Nonstop! (1981)
  • Live In New York (1981)
  • Bring It On (1983)
  • Roots of A Revolution (1984)
  • The Federal Years, Part 1 (1984)
  • The Federal Years, Part 2 (1984)
  • Ain't That A Groove - The James Brown Story 1966-1969 (1984)
  • Doing It To Death - The James Brown Story 1970-1973 (1984)
  • Dead On The Heavy Funk 1974-1976 (1985)
  • The CD of JB: Sex Machine and Other Soul Classics (1985)
  • The LP of JB (1986)
  • Gravity (1986)
  • In The Jungle Groove - RS500 (1986)
  • James Brown And Friends (1988)
  • Motherlode (1988)
  • I'm Real (1988)
  • Star Time - RS500 (1991)
  • Messin' With The Blues (1991)
  • Greatest Hits - RS500 (1991)
  • Love Over-Due (1991)
  • Chronicles - Soul Pride (1993)
  • Universal James (1993)
  • Funky President (1993)
  • Live At The Apollo (1995)
  • JB40: 40th Anniversary Collection (1996)
  • On Stage (1997)

Singles

  • 1956: "Please, Please, Please" (R&B #5)
  • 1959: "I Want You So Bad" (R&B #20)
  • 1959: "Try Me" (R&B #1, US #48)
  • 1960: "I'll Go Crazy" (R&B #15)
  • 1960: "Think" (R&B #7, US #33)
  • 1960: "This Old Heart" (R&B #20, US #79)
  • 1960: "You've Got the Power" (R&B #14, US #86)
  • 1960: "The Bells" (US #68)
  • 1961: "Baby, You're Right" (R&B #2, US #49)
  • 1961: "Bewildered" (R&B #8, US #40)
  • 1961: "I Don't Mind" (R&B #4, US #47)
  • 1961: "Just You and Me, Darling" (R&B #17)
  • 1962: "Lost Someone" (R&B #2, US #48)
  • 1962: "Mashed Potatoes U.S.A." (R&B #21, US #82)
  • 1962: "Night Train" (R&B #5, US #35)
  • 1962: "Shout and Shimmy" (R&B #16, US #61)
  • 1962: "Three Hearts in a Tangle" (R&B #18, US #93)
  • 1963: "Every Beat of My Heart" (US #99)
  • 1963: "Like a Baby" (R&B #24)
  • 1963: "Prisoner of Love" (R&B #6, US #18)
  • 1963: "Signed, Sealed, and Delivered" (US #77)
  • 1963: "These Foolish Things" (US #55)
  • 1964: "Caldonia" (R&B #95, US #95)
  • 1964: "Oh Baby Don't You Weep" - Part 1 (US #23
  • 1964: "Out Of Sight" (R&B #24, US #24)
  • 1964: "Please, Please, Please" (ressortie, R&B #95, US #95)
  • 1964: "The Things That I Used To Do" (R&B #99, US #99)
  • 1965: "Have Mercy Baby" (R&B #92, US #92)
  • 1965: "I Got You (I Feel Good)" (R&B #1, US #3)
  • 1965: "Papa's Got A Brand New Bag" - Part I (R&B #1, US #8)
  • 1965: "Try Me" (reissue, R&B #34, US #63)
  • 1966: "Ain't That a Groove" Pts. 1 & 2 (R&B #6, US #42)
  • 1966: "Don't Be A Drop-Out" (R&B #4, US #50)
  • 1966: "I'll Go Crazy" (reissue, R&B #38, US #73)
  • 1966: "It's A Man's Man's Man's World" (R&B #1, US #8)
  • 1966: "Lost Someone" (reissue, US #94)
  • 1966: "Money Won't Change You" - Part 1(US #53
  • 1966: "Sweet Little Baby Boy" - Part 1 (US #8)
  • 1967: "Bring It Up" (US #29)
  • 1967: "Cold Sweat" - Part 1 (R&B #1, US #7)
  • 1967: "Get It Together" - Part 1 (US #40
  • 1967: "Kansas City" (R&B #21, US #55)
  • 1967: "Let Yourself Go" (R&B #5, US #46)
  • 1967: "Think" (reissue, US #100)
  • 1968: "America Is My Home, Pt. 1" (R&B #13, US #52)
  • 1968: "Goodbye My Love" (US #31)
  • 1968: "I Can't Stand Myself (When You Touch Me)" (R&B #4, US #28)
  • 1968: "I Got The Feelin'" (R&B #1, US #6)
  • 1968: "I Guess I'll Have To Cry, Cry, Cry" (R&B #15, US #55)
  • 1968: "Licking Stick - Licking Stick" - Part 1 (R&B #2, US #14)
  • 1968: "Say It Loud - I'm Black And I'm Proud" - Part 1 (R&B #1, US #10)
  • 1968: "There Was A Time" (R&B #3, US #36)
  • 1968: "Tit For Tat" (Ain't No Taking Back)" (US #86)
  • 1968: "You've Got To Change Your Mind" (R&B #47)
  • 1969: "Ain't It Funky Now" (R&B #3, US #24)
  • 1969: "Give It Up Or Turnit A Loose" (R&B #1, US #15)
  • 1969: "I Don't Want Nobody To Give Me Nothing (Open Up The Door, I'll Get It Myself)" (R&B #3, US #20)
  • 1969: "Let A Man Come In And Do The Popcorn" - Part One (R&B #2, US #21)
  • 1969: "Lowdown Popcorn" (R&B #16, US #41)
  • 1969: "Mother Popcorn (You Got To Have A Mother For Me)" Part 1(R&B #1, US #11)
  • 1969: "The Popcorn" (R&B #11, US #30)
  • 1970: "Ain't It Funky Now" (US #24)
  • 1970: "Brother Rapp" - Part 1 &" (Part 2)" (US #32)
  • 1970: "Funky Drummer" - Part 1 (US #51)
  • 1970: "Get Up (I Feel Like Being Like A) Sex Machine" (Part 1)" (R&B #2, US #15)
  • 1970: "It's A New Day" - Part 1 & Part 2 (US #32
  • 1970: "Santa Claus Is Definitely Here To Stay" (US #7
  • 1970: "Super Bad" - Part 1 & Part 2 (R&B #1, US #13)
  • 1971: "Escape-ism" - Part 1 (R&B #6, US #35)
  • 1971: "Get Up, Get Into It, Get Involved" - Pt. 1 (R&B #4, US #34)
  • 1971: "Hot Pants (She Got To Use What She Got To Get What She Wants)" – Part 1 (R&B #1, US #15)
  • 1971: "I Cried" (R&B #15, US #50)
  • 1971: "I'm A Greedy Man" - Part I (R&B #7, US #35)
  • 1971: "Make It Funky" - Part 1 (R&B #1, US #22)
  • 1971: "Soul Power" - Pt. 1 (R&B #3, US #29)
  • 1971: "Spinning Wheel" - Pt. 1 (US #90)
  • 1972: "Get On The Good Foot" - Part 1 (R&B #1, US #18)
  • 1972: "I Got A Bag Of My Own" (US #44
  • 1972: "King Heroin" (R&B #6, US #40)
  • 1972: "Talking Loud And Saying Nothing" - Part I (R&B #1, US #27)
  • 1973: "Down And Out In New York City" (R&B #13, US #50)
  • 1973: "I Got A Bag Of My Own" (R&B #3)
  • 1973: "I Got Ants In My Pants (and I Want to Dance)" - Part 1 (US #27)
  • 1973: "Sexy, Sexy, Sexy" (R&B #6, US #50)
  • 1973: "Think" (R&B #15, US #77)
  • 1974: "Coldblooded" (US #44)
  • 1974: "Funky President" (People It's Bad)" (R&B #4, US #44)
  • 1974: "My Thang" (R&B #1, US #29)
  • 1974: "Papa Don't Take No Mess" - Part I (R&B #1, US #31)
  • 1974: "Stoned To The Bone" - Part 1 (R&B #4, US #58)
  • 1974: "The Payback" - Part I (R&B #1, US #26)
  • 1975: "Hustle!!!" (Dead On It)" (R&B #11)
  • 1975: "Reality" (R&B #19, US #80)
  • 1975: "Sex Machine" (US #61)
  • 1975: "Superbad, Superslick" - Part I (R&B #28)
  • 1976: "Get Up Offa That Thing" (R&B #4, US #45)
  • 1976: "Hot" (I Need To Be Loved, Loved, Loved, Loved)" (R&B #31)
  • 1976: "I Refuse To Lose" (R&B #47)
  • 1977: "Give Me Some Skin" (R&B #20)
  • 1978: "Eyesight" (R&B #38)
  • 1978: "The Spank" (R&B #26)
  • 1979: "For Goodness Sakes, Look At Those Cakes" - Part I (R&B #52)
  • 1979: "It's Too Funky In Here" (R&B #15)
  • 1979: "Star Generation" (R&B #63)
  • 1980: "Rapp Payback" (Where iz Moses)" (R&B #46)
  • 1980: "Regrets" (R&B #63)
  • 1981: "Stay With Me" (R&B #80)
  • 1983: "The Night Time Is The Right Time" (To Be With The One That You Love)" (R&B #73)
  • 1985: "Living in America (R&B #10, US #4)
  • 1986: "Gravity" (R&B #26, US #93)
  • 1987: "How Do You Stop" (R&B #10)
  • 1988: "I'm Real" (R&B #2)
  • 1988: "Static, Pts. 1 & 2" (R&B #5)
  • 1991: "(So Tired of Standing Still We Got to) Move On" (R&B #48)
  • 1993: "Can't Get Any Harder" (R&B #76)

Voir aussi

Liens internes

Liens externes