« Haut Comité d'État » : différence entre les versions
Aucun résumé des modifications |
Aucun résumé des modifications |
||
Ligne 5 : | Ligne 5 : | ||
|----- |
|----- |
||
| '''Intérim:''' || du [[14 janvier]] [[1992]] au [[16 janvier]] [[1992]], du [[29 juin]] 1992]] au [[2 juillet]] [[1992]] |
| '''Intérim:''' || du [[14 janvier]] [[1992]] au [[16 janvier]] [[1992]], du [[29 juin]] 1992]] au [[2 juillet]] [[1992]] |
||
|----- |
|||
| '''Prédécesseur:''' || [[Abdelmalek Benhabylès]] |
| '''Prédécesseur:''' || [[Abdelmalek Benhabylès]] |
||
|----- |
|----- |
Version du 8 mai 2010 à 17:29
Le Haut Comité d'État (HCE), en Algérie, est un organe en charge provisoire de la gestion de l'État, une présidence collégiale de transition. Il est mis en place le 14 janvier 1992 par le Haut conseil de sécurité (HCS), haut commandement militaire, à la suite de la
Intérim: | du 14 janvier 1992 au 16 janvier 1992, du 29 juin 1992]] au 2 juillet 1992 |
Prédécesseur: | Abdelmalek Benhabylès |
Successeur: | Mohamed Boudhiaf |
Ouverture: | 14 janvier 1992 |
Dissolution: | 16 janvier 1992 |
Membre: | Khaled Nezzar, Ali Kafi, Ali Haroun, El-Tidjani Haddam |
démission du président en exercice Chadli Bendjedid. Il interrompt le processus électoral de 1991, refusant l'éventualité d'une victoire du FIS, parti islamiste, au deuxième tour des élections législatives.
Le HCE est alors composé de : Khaled Nezzar pour l'armée, Ali Kafi et Ali Haroun du FLN, El-Tidjani Haddam et Mohamed Boudiaf, indépendants. Ce dernier, tout juste rappelé en Algérie, en assure la présidence du 16 janvier 1992 jusqu'à son assassinat le 29 juin de la même année. Ali Kafi lui succède jusqu'au 30 janvier 1994, lorsque le HCE est dissous et remplacé par Liamine Zéroual, au statut de Chef d'État.