« Andrés de Santa Cruz » : différence entre les versions
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'''Andrés de Santa Cruz''' ({{Date|5|décembre|1792}}, [[La Paz]] ([[Bolivie]]) – {{Date|25|septembre|1865}}, [[France]]) était un militaire et un homme politique sud américain, président du [[Pérou]] et de la Bolivie (1829-1839). Après avoir occupé le [[Pérou]], il se décerna la fonction de « Protecteur suprême » de la [[Confédération péruano-bolivienne]] (1836-1839). À la suite de l'effondrement de la confédération, consécutif à la bataille de [[Yungay (Pérou)|Yungay]] le {{Date|20|janvier|1839}} contre les troupes [[chili]]ennes, il tenta de reprendre le pouvoir à plusieurs reprises, sans succès. Exilé en France, il vécut à [[Versailles]]. Ses cendres ont été rapatriées officiellement en Bolivie en 1965. |
'''Andrés de Santa Cruz''' ({{Date|5|décembre|1792}}, [[La Paz (Bolivie)|La Paz]] ([[Bolivie]]) – {{Date|25|septembre|1865}}, [[France]]) était un militaire et un homme politique sud américain, président du [[Pérou]] et de la Bolivie (1829-1839). Après avoir occupé le [[Pérou]], il se décerna la fonction de « Protecteur suprême » de la [[Confédération péruano-bolivienne]] (1836-1839). À la suite de l'effondrement de la confédération, consécutif à la bataille de [[Yungay (Pérou)|Yungay]] le {{Date|20|janvier|1839}} contre les troupes [[chili]]ennes, il tenta de reprendre le pouvoir à plusieurs reprises, sans succès. Exilé en France, il vécut à [[Versailles]]. Ses cendres ont été rapatriées officiellement en Bolivie en 1965. |
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Andrés de Santa Cruz (, La Paz (Bolivie) – , France) était un militaire et un homme politique sud américain, président du Pérou et de la Bolivie (1829-1839). Après avoir occupé le Pérou, il se décerna la fonction de « Protecteur suprême » de la Confédération péruano-bolivienne (1836-1839). À la suite de l'effondrement de la confédération, consécutif à la bataille de Yungay le contre les troupes chiliennes, il tenta de reprendre le pouvoir à plusieurs reprises, sans succès. Exilé en France, il vécut à Versailles. Ses cendres ont été rapatriées officiellement en Bolivie en 1965.