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[[Cheikh]] '''Abdelbaki Sahraoui''' ([[Constantine (Algérie)|Constantine]], [[28 août]] [[1910]] - [[12 juillet]] [[1995]], [[Paris]]) fut un [[imam]] [[algérie]]n, l'un des membres fondateurs du [[Front islamique du salut|FIS]] (Front islamique du salut).
[[Cheikh]] '''Abdelbaki Sahraoui''' ([[Constantine (Algérie)|Constantine]], [[28 août]] [[1910]] - [[12 juillet]] [[1995]], [[Paris]]) fut un [[imam]] [[algérie]]n, l'un des membres fondateurs du [[Front islamique du salut|FIS]] (Front islamique du salut).


Il fut abattu à [[Paris]] dans sa [[mosquée]] (nommée “[[Khalid ibn al-Walid]]”) située dans la [[rue Myrha]] ([[18e arrondissement de Paris|18e]]). Ahmed Omar, 32 ans, un maitre-auxiliaire qui chercha à s’interposer, fut également tué<ref>[http://www.grands-reporters.com/Quand-Alger-regle-ses-comptes-a.html Le meurtre de Cheikh Sahraoui - Quand Alger règle ses comptes à Barbès], Grands-reporters.com, 20 juillet 1995</ref>. Abdelbaki Sahraoui avait été notamment menacé par le [[GIA]] (Groupe islamique armé). Ses 2 meurtriers ne furrent jamais identifiés<ref>[http://www.leparisien.fr/faits-divers/risque-d-attentat-en-france-une-femme-kamikaze-recherchee-a-paris-20-09-2010-1075826.php rappel du meutre]</ref>.
Il fut abattu à [[Paris]] dans sa [[mosquée]] (nommée “[[Khalid ibn al-Walid]]”) située dans la [[rue Myrha]] ([[18e arrondissement de Paris|18e]]). Ahmed Omar, 32 ans, un maitre-auxiliaire qui chercha à s’interposer, fut également tué<ref>[http://www.grands-reporters.com/Quand-Alger-regle-ses-comptes-a.html Le meurtre de Cheikh Sahraoui - Quand Alger règle ses comptes à Barbès], Grands-reporters.com, 20 juillet 1995</ref>. Abdelbaki Sahraoui avait été notamment menacé par le [[GIA]] (Groupe islamique armé). Ses 2 meurtriers ne furent jamais identifiés<ref>[http://www.leparisien.fr/faits-divers/risque-d-attentat-en-france-une-femme-kamikaze-recherchee-a-paris-20-09-2010-1075826.php Rappel du meutre], Le Parisien du 20/9/2010</ref>.


== Notes et références ==
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== Voir aussi ==
== Voir aussi ==
* [[Guerre civile algérienne]]
*[[Guerre civile algérienne]]
* [[Groupe islamique armé]]
*[[Groupe islamique armé]]
* [[Vague d'attentats commis en France en 1995]]
*[[Vague d'attentats commis en France en 1995]]


== Liens externes ==
== Liens externes ==
*[http://www.algeria-watch.org/mrv/2002/chrono/chrono_1995.htm Chronologie d’une tragédie cachée], Salah-Eddine Sidhoum, publiée par Algeria-Watch le 11 janvier 2002

*[http://www.ina.fr/recherche/recherche?search=Abdelbaki+Sahraoui&vue=Video Assassinat de l'imam Sahraoui] (vidéos sur le site de l'[[Institut national de l'audiovisuel|INA]])
* [http://www.algeria-watch.org/mrv/2002/chrono/chrono_1995.htm Chronologie d’une tragédie cachée], Salah-Eddine Sidhoum, publiée par Algeria-Watch le 11 janvier 2002
* [http://www.ina.fr/notice/voirTouteVideoSimilaire/page/1/disp/liste/dir/asc/idNotice/CAB91037604 Assassinat de l'imam Sahraoui] (vidéos sur le site de l'[[Institut national de l'audiovisuel|INA]])



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[[Catégorie:Personnalité politique assassinée]]
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Version du 15 mai 2011 à 07:23

Cheikh Abdelbaki Sahraoui (Constantine, 28 août 1910 - 12 juillet 1995, Paris) fut un imam algérien, l'un des membres fondateurs du FIS (Front islamique du salut).

Il fut abattu à Paris dans sa mosquée (nommée “Khalid ibn al-Walid”) située dans la rue Myrha (18e). Ahmed Omar, 32 ans, un maitre-auxiliaire qui chercha à s’interposer, fut également tué[1]. Abdelbaki Sahraoui avait été notamment menacé par le GIA (Groupe islamique armé). Ses 2 meurtriers ne furent jamais identifiés[2].

Notes et références

  1. Le meurtre de Cheikh Sahraoui - Quand Alger règle ses comptes à Barbès, Grands-reporters.com, 20 juillet 1995
  2. Rappel du meutre, Le Parisien du 20/9/2010

Voir aussi

Liens externes