« Georges Hilaire » : différence entre les versions

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Contenu supprimé Contenu ajouté
Celette (discuter | contributions)
Aucun résumé des modifications
Ligne 3 : Ligne 3 :


Préfet de l’Aube en septembre 1940, Il devient secrétaire général pour l’Administration à partir d'avril [[1942]] et secretaire général des Beaux-Arts en mars [[1944]]. Il reçut notamment avec [[René Bousquet]] et [[Louis Darquier de Pellepoix]] (commissaire général aux Questions juives), le général [[Schutzstaffel|SS]] [[Reinhard Heydrich]] à Paris en mai 1942.
Préfet de l’Aube en septembre 1940, Il devient secrétaire général pour l’Administration à partir d'avril [[1942]] et secretaire général des Beaux-Arts en mars [[1944]]. Il reçut notamment avec [[René Bousquet]] et [[Louis Darquier de Pellepoix]] (commissaire général aux Questions juives), le général [[Schutzstaffel|SS]] [[Reinhard Heydrich]] à Paris en mai 1942.
A la fin de la guerre, il trouve refuge en Suisse. Le 7 mars 1947, la Haute Cour le condamne, par contumace, à cinq ans de prison, à la dégradation nationale à vie et à la confiscation de ses biens. Il est relaxé le 25 janvier 1955.
A la fin de la guerre, il trouve refuge en Suisse. Le 7 mars 1947, la Haute Cour le condamne, par contumace, à cinq ans de prison, à la dégradation nationale à vie et à la confiscation de ses biens. Il est relaxé le 25 janvier 1955.Il meurt en 1976.
==Bibliographie==
==Bibliographie==
*''L'homme qu'il fallait tuer : Pierre Laval'', Edition Charles de Jonquière - 1949 sous le pseudonyme de Julien Clermont
*''L'homme qu'il fallait tuer : Pierre Laval'', Edition Charles de Jonquière - 1949 sous le pseudonyme de Julien Clermont

Version du 13 septembre 2011 à 17:30

Georges Hilaire né à Pont-de-Chéruy le 24 décembre 1900 est un homme politique français, membre du gouvernement de Vichy pendant la Seconde Guerre mondiale.

Préfet de l’Aube en septembre 1940, Il devient secrétaire général pour l’Administration à partir d'avril 1942 et secretaire général des Beaux-Arts en mars 1944. Il reçut notamment avec René Bousquet et Louis Darquier de Pellepoix (commissaire général aux Questions juives), le général SS Reinhard Heydrich à Paris en mai 1942. A la fin de la guerre, il trouve refuge en Suisse. Le 7 mars 1947, la Haute Cour le condamne, par contumace, à cinq ans de prison, à la dégradation nationale à vie et à la confiscation de ses biens. Il est relaxé le 25 janvier 1955.Il meurt en 1976.

Bibliographie

  • L'homme qu'il fallait tuer : Pierre Laval, Edition Charles de Jonquière - 1949 sous le pseudonyme de Julien Clermont