Aller au contenu

« Ceux de la zone » : différence entre les versions

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Contenu supprimé Contenu ajouté
Olyvar (discuter | contributions)
m →‎Fiche technique : maintenance : migration des infos disparues de l'infobox vers la fiche technique
Ligne 32 : Ligne 32 :
* Montage : [[Viola Lawrence]]
* Montage : [[Viola Lawrence]]
* Pays d'origine : [[États-Unis]]
* Pays d'origine : [[États-Unis]]
* Langue : [[anglais]]
* Format : Noir et blanc - son : Mono (Western Electric Noiseless Recording)
* Format : Noir et blanc - son : Mono (Western Electric Noiseless Recording)
* Genre : Drame social
* Genre : Drame social

Version du 18 novembre 2011 à 16:46

Ceux de la zone

Titre original Man's Castle
Réalisation Frank Borzage
Scénario Jo Swerling
Acteurs principaux
Sociétés de production Columbia Pictures
Pays de production Drapeau des États-Unis États-Unis
Genre Drame social
Durée 75 min (1 h 15)
Sortie 1933

Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.

Ceux de la zone (Man's Castle) est un film américain réalisé par Frank Borzage, sorti en 1933.

Synopsis

En pleine époque de la grande dépression, Trina se trouve sans foyer et affamée. Elle fait la rencontre de Bill, gentleman habillé en frac et haut de forme. Ce dernier, touché par Trina, l’emmène dans un restaurant de luxe et lui offre le dîner. Mais au moment de payer, Bill ne paye pas la note en faisant un scandale. Trina découvre que Bill est aussi pauvre qu’elle, il fait l’homme-sandwich et porte un costume publicitaire affublé d’un plastron illuminé. Il lui propose de se réfugier chez lui, dans un bidonville. Trina le suit et va découvrir tout un monde vivant en marge de la société. Ils vivent ensemble et décident de se marier. Trina tombe enceinte. Lassé de leur vie miséreuse Bill va tenter de s’en sortir en participant à un cambriolage. Mais celui-ci se termine mal. Le couple va s’échapper dans un wagon de marchandises, espérant avancer vers un monde meilleur.

Fiche technique

Distribution

Autour du film

Critique

« …Pas une fausse note, pas un défaut. Entre le clochard bougon et la jeune femme au grand cœur, l’amour transforme la « zone » en forêt merveilleuse, le taudis, en douce chaumière, une poivrote, en témoin de mariage, et un voisin, en « prêtre » : « Bien sûr, nous ne sommes pas à l’église, dit-il, mais les mots sont les mêmes ». Borzage filme la force des faibles et de l’amour contre lesquels les laideurs du monde ne peuvent rien. »[1]

Notes et références

  1. Le guide du cinéma - sous la direction de Pierre Murat – Télérama hors série - Éditions 2009 - (ISBN 978-2-914927-09-3), p. 293.

Lien externe