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Gustav Adolph Hennig suit une formation auprès de [[Christian Leberecht Vogel]] et dès 1810 à l'académie de dessin, de peinture et d'architecture, qui deviendra l'[[Académie des Beaux-Arts de Leipzig]], auprès de [[Johann David Schubert]] und [[Friedrich Matthäi]]. En 1814, il travaille comme portratiste à [[Großenhain]], de 1816 à 1821 à [[Leipzig]], en 1820 et 1821 aussi à [[Halle (Saxe-Anhalt)|Halle]], [[Schkeuditz]].
Gustav Adolph Hennig suit une formation auprès de [[Christian Leberecht Vogel]] et dès 1810 à l'académie de dessin, de peinture et d'architecture, qui deviendra l'[[Académie des Beaux-Arts de Leipzig]], auprès de [[Johann David Schubert]] und [[Friedrich Matthäi]]. En 1814, il travaille comme portratiste à [[Großenhain]], de 1816 à 1821 à [[Leipzig]], en 1820 et 1821 aussi à [[Halle (Saxe-Anhalt)|Halle]], [[Schkeuditz]].


Il poursuit ses études - avec une bourse royale, et accompagné du [[gravure|graveur sur cuivre]] Christian Ernst Stölzel - de 1822 à 1826 et de 1832 à 1833. Il voyage en Italie, surtout à Florence, Naples et Rome. A son retour en 1840, il devient professeur de dessin puis directeur de l'académie de Leipzig. Parmi les oeuvres les plus connues de cette époque : ''Le Christ lavant le Temple'' et ''L'expulsion des marchands du Temple''.
Il poursuit ses études - avec une bourse royale, et accompagné du [[gravure|graveur sur cuivre]] Christian Ernst Stölzel - de 1822 à 1826 et de 1832 à 1833. Il voyage en Italie, surtout à Florence, Naples et Rome. A son retour en 1840, il devient professeur de dessin puis directeur de l'académie de Leipzig. Parmi les œuvres les plus connues de cette époque : ''Le Christ lavant le Temple'' et ''L'expulsion des marchands du Temple''.


Hennig a connu un regain d'intérêt quand sa ''Petite fille en train de [[lecture|lire]]'', exposé au [[Museum der bildenden Künste]] de Leipzig, a servi de couverture au catalogue d'une exposition ''Le musée dans la salle de séjour''<ref>http://www.leipzig-almanach.de/kunst_mehr_als_ein_katalog_das_buch_zum_museum_der_bildenden_kuenste_leipzig_friederike_haupt.html</ref> et à ''Une histoire de la lecture'' d'[[Alberto Manguel]] en 2005.
Hennig a connu un regain d'intérêt quand sa ''Petite fille en train de [[lecture|lire]]'', exposé au [[Museum der bildenden Künste]] de Leipzig, a servi de couverture au catalogue d'une exposition ''Le musée dans la salle de séjour''<ref>http://www.leipzig-almanach.de/kunst_mehr_als_ein_katalog_das_buch_zum_museum_der_bildenden_kuenste_leipzig_friederike_haupt.html</ref> et à ''Une histoire de la lecture'' d'[[Alberto Manguel]] en 2005.

Version du 21 décembre 2012 à 20:49

Gustav Adolph (Adolf) Hennig (né le 14 juin 1797 à Dresde, mort le 15 janvier 1869 à Leipzig) est un peintre allemand de l'Histoire , portraitiste, graphiste, aquafortiste et lithographe. Il a été directeur de l'Académie des Beaux-Arts de Leipzig.

Biographie

Gustav Adolph Hennig suit une formation auprès de Christian Leberecht Vogel et dès 1810 à l'académie de dessin, de peinture et d'architecture, qui deviendra l'Académie des Beaux-Arts de Leipzig, auprès de Johann David Schubert und Friedrich Matthäi. En 1814, il travaille comme portratiste à Großenhain, de 1816 à 1821 à Leipzig, en 1820 et 1821 aussi à Halle, Schkeuditz.

Il poursuit ses études - avec une bourse royale, et accompagné du graveur sur cuivre Christian Ernst Stölzel - de 1822 à 1826 et de 1832 à 1833. Il voyage en Italie, surtout à Florence, Naples et Rome. A son retour en 1840, il devient professeur de dessin puis directeur de l'académie de Leipzig. Parmi les œuvres les plus connues de cette époque : Le Christ lavant le Temple et L'expulsion des marchands du Temple.

Hennig a connu un regain d'intérêt quand sa Petite fille en train de lire, exposé au Museum der bildenden Künste de Leipzig, a servi de couverture au catalogue d'une exposition Le musée dans la salle de séjour[1] et à Une histoire de la lecture d'Alberto Manguel en 2005.

Source, notes et références

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