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Nieuw-Vlaamse Alliantie

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Nieuw-Vlaamse Alliantie
Image illustrative de l’article Nieuw-Vlaamse Alliantie
Logotype officiel.
Présentation
Président
Vice-président(e)s
Bart De Wever
Jan Peumans
Karl Vanlouwe
Fondation 2001
Scission de Volksunie
Siège Rue Royale, 47 bte 6
1000 Bruxelles
Positionnement extrême-droiteErreur de référence : Balise fermante </ref> manquante pour la balise <ref>
Régionalisme
xénophobie[1]
Affiliation européenne Alliance libre européenne
Groupe au Parlement européen Conservateurs et réformistes européens
Couleurs Noir et jaune
Site web n-va.be
Représentation
Députés européens (collège néerlandais)
4  /  12
Députés fédéraux
(groupe néerlandophone)
33  /  87
Sénateurs
(groupe néerlandophone)
12  /  35
Députés flamands
43  /  124
Députés bruxellois
(groupe néerlandophone)
3  /  17

La Nieuw-Vlaamse Alliantie (N-VA, en français, Alliance néo-flamande[2] ou Nouvelle Alliance flamande[3]) est un parti politique belge né de la dislocation de la Volksunie en 2001. Ce parti a été à deux reprises membre du gouvernement flamand. Il est devenu, en juin 2010, le parti le mieux représenté (18 %) à la Chambre des représentants.

Programme

En ce qui concerne le point de vue communautaire, la revendication principale de la N-VA est l’indépendance de la Flandre, dans le cadre de l’Union européenne. Selon le parti, la Belgique est formée de deux démocraties, et ses institutions ne se sont pas adaptées à cet état de fait. La solution viendrait selon la N-VA d'une autonomie maximale pour les deux communautés.

La communication de la N-VA a cependant évolué de manière à ne plus être associée à l’extrême droite et à constituer un parti de gouvernement. Le parti ne soutient plus le séparatisme mais un « confédéralisme » qui impliquerait pourtant un séparatisme de fait : il prévoit la suppression des institutions démocratiques belges (chambre des représentants, sénat, etc.) et la création de deux États souverains qui se partageraient Bruxelles et organiseraient simplement une conférence diplomatique mensuelle consacrée à la cogestion de certains dossiers. Cette nouvelle communication est parfois contesté à l'intérieur de la N-VA ; en 2016, Bart De Wever exclut deux députés fédéraux qui avaient critiqués la « com » du parti et évoqués publiquement une voie plus directe vers le « séparatisme »[4].

Sur le plan économique, la N-VA est un parti de droite libérale[5]. Au nom de l'assainissement des finances publiques, la N-VA soutient que tout ce qui est encore fédéral (géré par l’État central) doit « devenir la propriété de la Flandre et de la Wallonie » ou être supprimé (les allocations « non rentables », etc.). Elle se prononce également pour un appauvrissement[C'est-à-dire ?] de la sécurité sociale[4].

Histoire

2001-2008

Dans un premier temps, le parti est confronté au fait qu'en Belgique, un seuil électoral de 5 % des suffrages par circonscription est prévu pour limiter le nombre de partis représentés au Parlement. Lors des élections législatives fédérales de 2003, ce seuil électoral empêche la N-VA d’être représentée au Parlement sauf dans la circonscription de Flandre-Occidentale où Geert Bourgeois est élu à la Chambre des représentants.

La N-VA choisit alors de proposer un cartel au CD&V, ce qui lui permettrait de contourner le problème du seuil électoral. Malgré certaines réticences à l'égard des revendications séparatistes de la N-VA, le CD&V, qui connaît une chute électorale depuis plusieurs années et a perdu le pouvoir au niveau fédéral en 1999, accepte.

Le cartel CD&V N-VA, appelé le cartel flamand, devient alors la première formation de Flandre avec 26 % des voix aux élections régionales de 2004. Lors des élections communales et provinciales d'octobre 2006, le cartel obtient un résultat de 31,7 %. Lors des élections législatives du , le cartel obtient 18,5 % des voix (30 sièges à la Chambre)[6]

En septembre 2008, à la suite des discussions relatives à la réforme de l’État suivant les élections de 2007, le cartel CD&V N-VA prend fin à la suite du refus de la N-VA, réunie en congrès à Gand le 21 septembre, de participer aux négociations en vue de réformer les structures de l’État.

Élections de 2010

Succès de la N-VA

Le 13 juin 2010, aux élections législatives fédérales, Bart de Wever est élu sénateur avec 785.776 voix de préférence, soit le meilleur résultat des hommes politiques flamands[7]. La Nieuw-Vlaamse Alliantie, dont il est le président, devient le premier parti de Belgique avec 17,40 % des suffrages et 27 sièges sur 150 à la chambre des représentants[8]. Son parti est ainsi un acteur central en vue de la formation d'une majorité parlementaire et d'un gouvernement de coalition[9],[Note 1]. Le 17 juin 2010, Bart De Wever est donc nommé informateur par le roi Albert II afin de voir comment et avec quels partis une coalition gouvernementale peut être négociée.

Au nord du pays, les partis flamands engagés dans les négociations ne veulent pas, contrairement à la N-VA, de la création d’un État républicain flamand. Mais, en général, ils approuvent les réformes à court terme demandées par la N-VA, comme le transfert des compétences fédérales vers les régions et communautés et une plus grande autonomie financière des entités fédérées[10]. Bart de Wever et son parti bénéficient surtout du soutien du parti centriste flamand, le CD&V[11],[10].

Crise politique et rupture des négociations

Bart De Wever (septembre 2010).

Fin août, des tensions entre socialistes francophones et la N-VA se font jour sur la question de la régionalisation de l’impôt des personnes physiques et sur le statut de Bruxelles. Le 23 août la menace du séparatisme est clairement exprimée lors d'une altercation entre Bart de Wever et Laurette Onkelinx (PS)[12].

Le 3 septembre, la mission de préformation d'Elio di Rupo échoue. La N-VA et le CD&V ont marqué leurs désaccords sur ces deux dossiers (conciliation sur l'arrondissement de Bruxelles-Hal-Vilvorde et financement de la région bruxelloise)[13],[14].

Lassitude et incertitudes

En cette période de crise politique, la popularité de Bart de Wever et celle de son parti restent très importantes en Flandre. D'après un sondage réalisé entre le 26 novembre et le 10 décembre 2010, la N-VA obtiendrait trois pourcents de voix en plus en Région flamande en cas de nouvelles élections[15].

Le 25 décembre 2010, cette crise devient la plus longue de l'histoire politique belge avec 195 jours sans gouvernement[10],[11].

Nouvelles tentatives d'accord institutionnel

Le 2 février, Albert II confie au libéral francophone Didier Reynders (MR) une mission d'information sur les possibilités d’arriver à un accord institutionnel. À la suite de leurs défaites aux élections, les libéraux étaient jusque-là absents des discussions[16]. Bart de Wever estime alors que des points d'entente sont envisageables avec le MR, notamment dans le domaine socio-économique et sur le projet d'un État plus confédéral[17].

Le 18 mars 2011, Bart de Wever est reçu officiellement à Londres par le premier ministre David Cameron, marque de reconnaissance qui surprend les observateurs[18] et avive les tensions avec le Cd&V[19]. Le lendemain, il est réélu à la présidence de la N-VA[20]. Selon les sondages, sa popularité, déjà très élevée, augmente encore en Flandre[21].

Élections communales et provinciales du 14 octobre 2012

Objectif visé par Bart de Wever

L'objectif visé par Bart De Wever pour les élections communales et provinciales d'octobre 2012 était double :

  • donner un ancrage local à son parti;
  • faire de ces élections un test national en vue des élections législatives de 2014.

Résultats

Le 14 octobre 2012, la N-VA atteint 38 % des suffrages à Anvers et 28 % sur l'ensemble de la Flandre[22]. La N-VA gagne par conséquent le mayorat de la ville d'Anvers.

Elle obtient un succès dans plusieurs grandes villes flamandes : 22,7 % à Ostende, 19,79 % à Bruges, 17 % à Gand, 16,3 % à Courtrai...)[23].

À Anvers, Bart De Wever remporte largement les élections communales avec 37,68 % des voix contre 28,62 % pour la liste de cartel sp.a-CD&V emmenée par le bourgmestre socialiste Patrick Janssens[23].

Cette victoire à Anvers est acquise grâce à un report massif des voix des électeurs du parti d'extrême droite flamand Vlaams Belang qui chute à Anvers de 33,51 % à 10,18 %[23].

Après la victoire de son parti à Anvers et dans de nombreuses communes de la Région flamande, Bart De Wever appelle le premier ministre Elio Di Rupo et les partis politiques francophones à préparer une réforme ouvrant la voie à une Belgique confédérale : « C'est un dimanche jaune et noir! » s'est-il exclamé, « un point de non-retour dans l'histoire, la plus grande victoire électorale depuis la seconde guerre mondiale ». « Les Flamands ont fait le choix du changement », a-t-il ajouté, lançant un appel au premier ministre Di Rupo et aux partis francophones: « Préparez avec nous la réforme confédérale. Prenez vos responsabilités! »[24].

Le 9 décembre, après de deux mois de négociations, Bart De Wever annonce enfin avoir formé une majorité à Anvers avec le CD&V et l'OpenVLD, renvoyant les socialistes dans l'opposition communale après plusieurs décennies de pouvoir.

Analyse

Selon le politologue flamand Dave Sinardet, de la VUB, on ne peut pas vraiment dire que la N-VA a progressé depuis 2010, la comparaison entre les élections législatives de 2010 et les élections provinciales de 2012 montrant que la N-VA progresse à peine de 1 % alors que le CD&V monte de 4 % et l'Open VLD de presque 1 %[25].

Selon lui, les élections provinciales se prêtent mieux que les communales à une comparaison avec les élections législatives de 2010 parce que tous les partis s'y présentent sous leur propre nom (alors qu'il y a énormément de listes de cartel et de listes du bourgmestre aux communales) et, par ailleurs, on peut penser que l'électeur vote généralement peu pour un enjeu purement provincial car il est peu au courant des enjeux provinciaux[25].

Sinardet reconnaît bien entendu par ailleurs que le fait que la N-VA puisse s'ancrer dans les communes est une grande victoire, et Anvers symbolique[25].

Réactions du Vlaams Belang

Après la victoire de Bart De Wever à Anvers, le parti d'extrême droite flamand Vlaams Belang, laminé, offre ses services à la N-VA pour monter une coalition, son chef Filip Dewinter déclarant : « Le Vlaams Belang a semé pendant des décennies afin que la N-VA et Bart De Wever puissent maintenant moissonner »[26].

Ce qui n'empêche pas la section de Bruxelles du Vlaams Belang de dénoncer le 15 octobre (en français) sur son site le « Frankenstein politico-médiatique NVA, produit sponsorisé par le régime, bricolé pour servir de caisse de résonance d’une partie du patronat flamand et pour réduire l’électorat du Vlaams Belang » avec un programme qui « est sur les questions de la sécurité et de l’immigration un copié-collé de celui du Vlaams Belang »[27].

Depuis 2013

Le stand de la Nieuw-Vlaamse Alliantie lors de la Coupe Sels 2015 à Merksem.

À la suite de la victoire lors des élections de mai 2014 (la N-VA pointe à 20,3 % des voix), Bart De Wever est nommé informateur par le roi Philippe mais, à cause d'un refus du Centre démocrate humaniste (CDH), sa mission d'information en vue de la formation d'un gouvernement fédéral se solde par un échec.

Durant cette mission d'information, le Parti socialiste wallon, qui avait pourtant clamé durant la campagne électorale que les gouvernements régionaux ne seraient pas formés avant le gouvernement fédéral, surprend Bart De Wever en faisant tout le contraire, en compagnie du CDH et des Fédéralistes démocrates francophones (FDF)[réf. nécessaire]. Cette manœuvre pousse la N-VA à entamer elle aussi la formation d'un gouvernement en Flandre, avec le CD&V, avant même la formation du gouvernement fédéral. La N-VA s'allie au mouvement réformateur, au CD&V et à l'Open Vld pour constituer un gouvernement fédéral dont elle s’octroie la plupart des ministères-clés, tout en confiant le poste de premier ministre au président du MR Charles Michel. Selon De Standaard, ce dernier serait devenu un homme de « paille de la N-VA », sa politique d’affaiblissement de l’État fédéral favorisant les visées séparatistes de la N-VA. Le parti met à profit les postes qu'il occupe pour diminuer l’État belge, en privatisant de nombreuses taches de la police fédérale (sécurisation de bâtiments publics, encadrement de détenus, etc) et en réduisant les effectifs et les budgets dans la justice, la culture et la recherche[4].

Principaux membres

Direction

Députés au Parlement bruxellois

Députés au Parlement flamand

Députés à la Chambre des représentants

Membres du Sénat

Parlement européen

Membres non élus

Résultats électoraux

Parlement européen

Résultats dans le collège néerlandophone.

Année % Sièges Rang Groupe
2004^  28,1
1  /  14
1er PPE-DE
2009 9,9
1  /  13
5e Verts/ALE
2014 26,7
4  /  12
1er CRE
  • ^ Liste commune avec le CD&V qui a obtenu trois sièges.

Parlement fédéral

Chambre des représentants

[Quoi ?]
Année Voix % Sièges Gouvernement
2003 201 399 3,06
1  /  150
Opposition
2007[b] 1 234 950 18,51
8  /  150
Opposition
2010 1 135 617 17,40
27  /  150
Opposition
2014 1 366 414 20,36
33  /  150
Michel
  • ^ Liste commune avec le CD&V qui a obtenu 23 sièges.

Sénat

Avant 2014, 40 des 71 sénateurs étaient élus directement, 21 étaient désignés par les parlements de communauté et 10 cooptés par les partis politiques.

Année Voix % Sièges
2003 200 273 3,06
0  /  40
2007[c] 1 287 389 19,42
1  /  40
2010 1 268 780 19,61
9  /  40
2014
12  /  40
  • ^ Liste commune avec le CD&V qui a obtenu huit sièges.

Entités fédérées

Parlement de la Région de Bruxelles-Capitale

Résultats présentés à l'échelle du collège néerlandophone (le Parlement compte en tout 89 membres).

Année Voix % Sièges Gouvernement
2004[d] 10 482 16,77
0  /  17
2009 2 586 4,99
1  /  17
Opposition
2014 2 586 16,99
3  /  17
Opposition
  • ^ Liste commune avec le CD&V qui a obtenu trois sièges.

Parlement flamand

Depuis l'élection directe des parlementaires. 124 membres : 118 élus en Région flamande et 6 en Région de Bruxelles-Capitale.

Année Voix % Sièges Gouvernement
Flandres Bruxelles-Capitale Total
2004[e] 1 060 580 26,09
6  /  124
Leterme (2004-2007) et Peeters I (2007-2009)
2009 537 040 13,06
16  /  118
0  /  6
16  /  124
Peeters II
2014 1 339 946 31,88
42  /  118
1  /  6
43  /  124
Bourgeois
  • ^ Liste commune avec le CD&V qui a obtenu 29 sièges.

Rapports avec l'extrême droite

Le parti est souvent critiqué pour ses supposés liens avec l'extrême droite.[Par qui ?] Des rumeurs[Qui ?] d'une amitié de Bart De Wever, le président de la N-VA avec Jean-Marie Le Pen circulent régulièrement dans la presse et sur les réseaux sociaux. Cela est dû à une photo des deux leaders politiques prise en 1996[28] lors d’une conférence. Il a plusieurs amis proches membres du Vlaams Belang. Il a ainsi défrayé la chronique début 2011 lors des funérailles de Marie-Rose Morel, durant lesquelles il était presque en pleurs[29] et aux funérailles, en mai 2007, de Karel Dillen, fondateur du Vlaams Blok[30]. D’un point de vue politique, le parti a partiellement bénéficié d'un transfert des voix du Vlaams Belang[31] lors des élections fédérales de 2010 et 2014 et provinciales et communales de 2012. De plus, lors des élections communales et provinciales de 2012 le parti a accueilli de nombreux transfuges du Vlaams Belang[32]. Plusieurs ténors du parti (comme Jan Peumans) ont critiqué ces transfuges qu'ils jugeaient problématiques. Quelques politiques comme le bourgmestre de Gand, Daniel Termont, jugent que Bart De Wever adopte la rhétorique de l'extrême droite dans ses discours[33]. Enfin en octobre 2012, le Vlaams Belang s’est dit lui-même disponible pour épauler Bart De Wever pour la formation d’une majorité à la ville d’Anvers (Bart De Wever n'a pas réagi à cette invitation)[34]. Ce sont quelques éléments et hypothèses qui font que le parti est régulièrement suspecté d'accointances avec l'extrême droite.

En octobre 2014, la présence du ministre flamand Ben Weyts et du secrétaire d'État à l'Asile et la Migration Theo Francken à la réception organisée à l'occasion du nonantième anniversaire du collaborateur nazi Bob Maes provoque un chahut lors de la séance de la Chambre du , où le nouveau Premier ministre Charles Michel doit présenter la déclaration gouvernementale de son gouvernement et la demande, par divers partis de l'opposition, de la démission du secrétaire d'État Francken.[réf. nécessaire]

Notes et références

Notes

  1. Une chronologie des événements de cette crise est donnée par l'agence Belga sur le site Rtbf.be Le fil de 206 jours de crise politique après les élections du 13 juin

Références

  1. https://www.rtbf.be/auvio/detail_la-n-va-est-devenue-aujourd-hui-un-parti-d-extreme-droite?id=2045658
  2. Site web français de la N-VA.
  3. Vincent de Coorebyter, « Principaux partis et dernières élections en Belgique », Pouvoirs, vol. 136, no 1,‎ , section 4 (ISSN 0152-0768, DOI 10.3917/pouv.136.0005).
  4. a b et c « En Belgique, le poker menteur comme méthode de gouvernement », Le Monde diplomatique,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  5. Le programme économique de la N-VA, bien à droite et au nord, RTBF, 14 juin 2010.
  6. Résultats 2007 « Copie archivée », (archivé sur Internet Archive), Le Soir.
  7. (nl) « Verkiezingen 2010 – Senaat – Voorkeurstemmen Nederlands Kiescollege », sur verkiezingen2010.belgium.be (consulté le ).
  8. « Belgique : large victoire des séparatistes en Flandre », sur Le Figaro, .
  9. Claire Gallen, « Bart De Wever condamne une Belgique «sans avenir », sur Le Figaro, .
  10. a b et c La crise politique la plus longue, Francis Van de Woestyne, La Libre Belgique (éd. quotidienne, p. 4-5), 23/12/2010
  11. a et b 2011 en fanfare ! « Copie archivée », (archivé sur Internet Archive) Philippe Walkowiak, Site RTBF.be, 23/12/2010
  12. De Wever: "Il faut vous préparer rapidement à la fin du pays !", Martin Buxant, Site La Libre Belgique, 23/08/2010
  13. Fin de partie pour Di Rupo. À qui le tour ? Rédaction en Ligne, Le Soir.be, 03 septembre 2010
  14. Le CD&V pas d’accord non plus avec la dernière proposition, Rédaction en ligne, Site Le Soir.be, 03 septembre 2010
  15. Baromètre de La Libre: la N-VA reste au top en Flandre, E. Watterman, RTBF.be, 19 décembre 2010
  16. Reynders reçoit carte blanche M. Co., V.d.W. et M. Bu. Site La Libre Belgique, 3 février 2011
  17. Pour De Wever, il ne sera pas facile de négocier avec le MR, Site Le Soir, rédaction en ligne et Belga, jeudi 03 février 2011
  18. Cameron déroule le tapis rouge pour la N-VA, Martin Buxant, La Libre.be, 18/03/2011
  19. "BDW n'a encore rien fait de sa victoire électorale", Martin Buxant et Francis Van de Woestyne, Lalibre.be, 25/03/2011
  20. « Bart De Wever réélu à la quasi-unanimité à la présidence de la N-VA » dans lalibre.be, 19 mars 2011, consulté le 17 avril 2011
  21. Bart De Wever s’attend à une semaine importante. Une de plus, V.d.W., Libre.be, 29/03/2011
  22. Jean-Pierre Stroobants, « Belgique : après leur percée, les séparatistes flamands pensent déjà aux législatives », sur Le Monde.fr, (consulté le ).
  23. a b et c xxx, « Elections 2012 » [archive du ], RTL Info, .
  24. « Bart De Wever remporte le scrutin à Anvers: "Un point de non-retour dans l'histoire" », L'Avenir, .
  25. a b et c Interview du politologue Dave Sinardet par Nicolas Maizy, journal Metro du 22 octobre 2012
  26. A.L. avec Belga, « Bart De Wever futur bourgmestre d'Anvers: avec quelle coalition? », RTBF, .
  27. « Site de la section de Bruxelles du Vlaams Belang », sur vlaamsbelangbruxelles.be.
  28. Pierre Gilissen, « La photo qui énerve Bart De Wever », sur Lalibre.be, (consulté le ).
  29. Alexandre Mitea, « Les funérailles de Marie-Rose Morel : un évènement inconcevable en Wallonie », sur Lesoir.be, (consulté le ).
  30. « L’adieu à «mère courage» divise la Belgique », sur Libération.fr, (consulté le ).
  31. Martine Dubuisson, « La N-VA a pillé le Vlaams Belang et le VLD en 2010 », sur LeSoir.be, (consulté le ).
  32. Phi. Le. (Avec Belga), « Des recrues embarrassantes pour la N-VA », sur Lavenir.net, (consulté le ).
  33. « Le style et la rhétorique de De Wever comparés à l'extrême-droite ».
  34. « Anvers : Le Vlaams Belang offre ses services à la N-VA », sur Lesoir.be, (consulté le ).

Voir aussi

Bibliographie

  • Marc Swyngedouw et Koen Abts, « Les Électeurs de la N-VA aux élections fédérales du 13 juin 2010 », Courrier hebdomadaire du CRISP, Bruxelles, CRISP, vol. 2125, no 40,‎ , p. 5-31 (DOI 10.3917/cris.2125.0005).

Liens externes

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