Les Verts mondiaux

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Les Verts mondiaux
Global Greens
Logo de l’association
Cadre
But Fédérer les partis verts qui adhèrent à charte des Verts mondiaux
Fondation
Fondation (Canberra)
Identité
Siège Rue Wiertz 31, B-1050 Bruxelles, Belgique
Coordinateur Keli Yen (depuis novembre 2015)
Site web globalgreens.org

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Les Verts mondiaux (en anglais : Global Greens) est un réseau international, fondé en 2001 à Canberra, par des partis verts adhérents de la charte des Verts mondiaux. Leur attention est surtout tournée vers le climat et le contrôle du nucléaire.

Partis membres

Fondé en 2001, les Verts mondiaux est un parti politique global de structure flexible, dont les sujets de prédilection sont le climat et le contrôle du nucléaire[1].

Pays où se trouve un parti membre des Verts mondiaux (mai 2016)[Interprétation personnelle ?].

Les Verts mondiaux rassemblent des partis écologiques de plusieurs pays, en une alliance qualifiée de non rigide[2]. Les partis adhérents de ce réseau ont adopté une charte commune[3]. Cette charte est centrée sur six idées : sagesse environnementale, justice sociale, démocratie participative, non-violence, durabilité et respect de la diversité[4].

Afrique

Amériques

Asie

Europe

Océanie

Partis associés ou candidats et partenaires

Les Verts mondiaux ne sont pas officiellement affiliés à des partis politiques dans tous les pays. On rapporte des politiques nationales, par exemple en Indonésie, où leur idéologie n'est pas prise en considération[5].

Dans d'autres pays, le parti vert local n'est pas aligné à ce parti global, c'est le cas par exemple au Népal[1].

Les partis non affiliés, mais associés sont[6] :

Les partis candidats sont[6] :

Les partenaires sont[6] :

Organisation

« Le Congrès des Verts mondiaux fonctionne comme une assemblée générale investie de pouvoirs étendus et constitue l'organe de décision le plus important au sein des Verts Mondiaux. Il est convoqué par la Coordination des Verts mondiaux au moins tous les cinq ans[7], sauf en cas de circonstances exceptionnelles. »[8].

« La Coordination des Verts mondiaux (en anglais : Global Greens Co-ordination (GGC)) est le conseil d'administration des Verts mondiaux et fait office d'assemblée générale de l'association. »[9]. « La Coordination des Verts Mondiaux se réunit au moins une fois par an, sur convocation du Bureau exécutif. »[10]. « La Coordination des Verts mondiaux est composée de représentants nommés par chacune des [quatre] fédérations régionales. Chaque fédération peut nommer trois représentants titulaires ainsi que trois représentants suppléants. »[11].

« La Coordination des Verts mondiaux désigne en son sein un coordinateur (en anglais : Convener), lequel [est] chargé de coordonner les travaux du Bureau exécutif, du Secrétariat et de la Coordination des Verts mondiaux. »[12].

« La Coordination des Verts mondiaux [nomme] un Bureau exécutif (en anglais : Executive Committee) chargé de la gestion opérationnelle et administrative des Verts mondiaux entre deux Congrès, ainsi que de la coordination des propositions de politiques soumises à la Coordination des Verts mondiaux. Il est composé d'au moins cinq personnes, y compris le délégué titulaire ou le délégué suppléant issu de chaque fédération, le coordinateur et le trésorier. Des conseillers peuvent s’y ajouter, à condition que le nombre total ne dépasse pas sept personnes. »[13].

Les différents congrès :

Politiques

Les Verts mondiaux supportent l’intention de la Cour pénale internationale (CPI) d'enquêter au sujet du Statut de Rome pour que la destruction de l’environnement soit jugée comme un crime international[14].

Notes et références

Notes

  1. ↑ Page du congrès de 2001 sur le site globalgreens.org.
  2. ↑ Page du congrès de 2008 sur le site globalgreens.org.
  3. ↑ Page du congrès de 2012 sur le site globalgreens.org.
  4. ↑ Page du congrès de 2017 sur le site globalgreens.org.
  5. ↑ Site du congrès de 2017.

Références

  1. ↑ a et b Patomäki, Katarina Sehm. et Ulvila, Marko., Global political parties, Zed Books, (ISBN 9781842779187, 1842779184 et 9781842779170, OCLC 155755237, lire en ligne)
  2. ↑ « Foreign Greens Think the US Green Party Needs to Ditch Jill Stein », Vice (consulté le ).
  3. ↑ Charte du réseau Clobal Greens
  4. ↑ « Quebec Election 2018 : Get To Know The Parties You'll Be Voting For », HuffPost (consulté le ).
  5. ↑ « Make the Rich Pay for Their Own Green Ideas », The American Conservative (consulté le ).
  6. ↑ a b et c (en) « Member Parties », sur globalgreens.org (consulté le ).
  7. ↑ a et b (se)« Intern kritik inom Miljöpartiet – företrädare flyger mer », Expressen (consulté le ).
  8. ↑ Article 5.1.2 des statuts des Verts Mondiaux.
  9. ↑ Article 5.1.1 des statuts des Verts Mondiaux.
  10. ↑ Article 5.1.3 des statuts des Verts Mondiaux.
  11. ↑ Article 5.1.4 des statuts des Verts Mondiaux.
  12. ↑ Article 5.1.13 des statuts des Verts Mondiaux.
  13. ↑ Article 5.4.1 des statuts des Verts Mondiaux.
  14. ↑ « La destruction de l'environnement doit être jugée comme un crime international », sur Reporterre, le quotidien de l'écologie (consulté le )

Voir aussi

Bibliographie

Articles connexes

Lien externe

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