Michael Curtiz
Nom de naissance | Manó Kertész Kaminer |
---|---|
Naissance |
Budapest, Hongrie |
Nationalité | Hongrois, Américain |
Décès |
(à 75 ans) Hollywood (Californie) |
Profession |
Réalisateur Producteur Acteur Scénariste |
Films notables |
Capitaine Blood La Charge de la brigade légère Les Aventures de Robin des Bois L'Aigle des mers Casablanca Le Roman de Mildred Pierce |
Michael Curtiz, connu aussi sous les noms de Manó Kaminer, Mihály Kertész, Michael Kertész, est un réalisateur américain d'origine juive hongroise, né le à Budapest et mort le à Hollywood (Californie). Il fut le premier mari de l'actrice Lili Damita.
Biographie
Michael Curtiz[1],[2],[3],[4],[5],[6],[7] naît dans une famille juive de Budapest, alors capitale du royaume de Hongrie. À 17 ans, il part de chez lui pour se joindre à un cirque, avant de s'inscrire à l'université Markoszy[8] puis à l'Académie royale d'art dramatique — actuelle université d'art dramatique et cinématographique — dont il sort diplômé en 1906. En 1912, il commence sa carrière d'acteur et de metteur en scène sous le nom de Mihály Kertész[2],[9]. L'année suivante, il rejoint le studio Nordisk Film au Danemark et participe à Atlantis, un film d'August Blom, en tant qu'acteur et assistant directeur. Il exerce également comme opérateur d'actualités et assistant de Victor Sjöström et Mauritz Stiller en Suède. Il rentre au pays en 1914 où il contribue à la fondation du cinéma hongrois, réalisant notamment l'un des premiers succès nationaux, Bánk bán (1914). Après la guerre civile de 1919, il est contraint de quitter le pays à cause de la « terreur blanche » exercée sur les juifs, les intellectuels et les communistes par les armées de Miklós Horthy. Sa carrière cinématographique se divise en quatre périodes : hongroise (1912-1918), autrichienne (1919-1925), allemande (1925-1926) et américaine (1926-1961).
Il arrive à Hollywood en 1926, où il dirige notamment sa femme Lili Damita ou encore Errol Flynn dans des films devenus des classiques du cinéma : Capitaine Blood (1935), La Charge de la brigade légère (1936), et Les Aventures de Robin des Bois (1938).
En 1940, il dirige un classique du film d'aventures de l'époque avec L'Aigle des mers. Mais c'est pour Casablanca (1942)[10],[11],[12], avec Humphrey Bogart et Ingrid Bergman, que la signature de Curtiz appartient définitivement au panthéon du cinéma.
Michael Curtiz est mort en à Hollywood des suites d'un cancer. Il est enterré au Forest Lawn Memorial Park de Glendale (Californie)[13].
Il a obtenu son étoile sur le Walk of Fame le au 6640, Hollywood Boulevard[14].
Style
Considéré comme le plus important des réalisateurs de la Warner Bros.[15] durant les années 1930[16], Curtiz est souvent considéré comme un metteur en scène compétent mais sans style vraiment identifiable. Il a travaillé dans de nombreux genres différents, signé plus de 80 films[17] chez Warner Bros[18], d'une originalité parfois discutable mais qui ont eu, et conservent souvent, une audience significative.
Sodome et Gomorrhe, film muet réalisé en 1922 portait déjà l'empreinte d'un maître de l'évocation visuelle pour certains commentateurs[Qui ?].
Les admirateurs de son travail arguent du fait que, dans les années 1940, il a développé un style sophistiqué, marqué par des mouvements de caméra très fluides, de fortes compositions, des éclairages texturisés remarquables pour un spectateur attentif[réf. nécessaire].
Filmographie partielle
Au Danemark
- 1913 : Atlantis d'August Blom (comme acteur)
En Hongrie
- Sous le nom de Mihály Kertész :
- 1912 : Le Dernier Bohême (Az utolsó bohém)
- 1912 : Aujourd'hui et demain (Ma és holnap)
- 1913 : Âme d'esclave (Rablélek)
- 1914 : Le Chercheur d'or (Az aranyásó)
- 1914 : Princesse Pongyola (A hercegnő pongyolában)
- 1914 : Âme captive (Az éjszaka rabjai)
- 1914 : Enfants empruntés (A kölcsönkért csecsemők)
- 1914 : Bánk bán
- 1914 : L'Indésirable (A tolonc)[19]
- 1915 : Doublement aimé (Akit ketten szeretnek)
- 1915 : Le Médecin (A medikus)
- 1915 : L'Arc-en-ciel noir (A fekete szivárvány)
- 1915 : La Chèvre d'argent (Az ezüst kecske)
- 1915 : Sept de pique (Makkhetes)
- 1915 : Le Carthaginois (A karthauzi)
- 1916 : La Force de la terre hongroise (A magyar föld ereje)
- 1916 : Le Juif fermier (Az árendás zsidó)
- 1916 : Histoire d'un sou (Egy krajcár története)
- 1916 : Le Colonel (Az ezredes)
- 1916 : L'Homme de la terre (A föld embere)
- 1916 : La Cloche de la mort (A halálcsengő)
- 1916 : Le Printemps en hiver (Tavasz a télben)
- 1916 : Samson le Rouge (A Vörös Sámson)
- 1916 : La Peau de chagrin (A szamárbőr)
- 1917 : La Dernière aube (Az utolsó hajnal)
- 1917 : Maître Zoard (Zoárd Mester)
- 1917 : L'Invasion des Tartares (Tatárjárás)
- 1917 : Le Fils de personne (A senki fia)
- 1917 : Le Secret de la forêt (A szentjóbi erdö titka)
- 1917 : L'Homme de la terre (A föld embere)
- 1917 : Le Scorpion (A Skorpió)
- 1917 : La Dame aux tournesols (A napraforgós hölgy)
- 1917 : Le Mauvais Garçon (A csúnya fiú)
- 1917 : Mandragore (Alraune) en coll. avec Fritz Odön
- 1917 : La Veuve joyeuse (A víg özvegy)
- 1917 : Valse magique (Varázskeringő)
- 1918 : Le Diable (Az ördög)
- 1918 : L'Énigme de Wellington (A wellingtoni rejtély)
- 1918 : Jean, le cadet/Mon frère arrive (Jön az öcsém)
- 1918 : Lulu
- 1919 : Liliom (inachevé)
En Autriche
- 1922 : Sodome et Gomorrhe (Sodom und Gomorrha)
- 1923 : L'Avalanche (Die Lawine)
- 1923 : Le Jeune Medardus (Der Junge Medardus)
- 1924 : L'Esclave reine (Die Sklavenkönigin)
En Allemagne
- 1925 : Célimène, la poupée de Montmartre (Das Spielzeug von Paris), sous le nom de Mihály Kertész
- 1926 : Le Fiacre n° 13 (Fiaker Nr. 13)
- 1926 : Papillon d’or ( Der Golden schmetterling )
Aux États-Unis
- 1927 : A Million Bid
- 1927 : The Desired Woman
- 1928 : L'Arche de Noé (Noah's Ark) (film muet)
- 1929 : The Gamblers
- 1929 : Hearts in Exile
- 1930 : Mammy
- 1930 : Sous le ciel du Texas (Under a Texas Moon)
- 1930 : A Soldier's Plaything
- 1931 : God's Gift to Women
- 1931 : Le Génie fou (The Mad Genius)
- 1931 : Le Démon des mers (Demon of The Sea)
- 1932 : La Femme de Monte Carlo (The Woman from Monte Carlo)
- 1932 : Alias the Doctor
- 1932 : L'Étrange Passion de Molly Louvain (The Strange Love of Molly Louvain)
- 1932 : Docteur X (Doctor X)
- 1932 : Ombres vers le sud (Cabin in the cotton)
- 1932 : Vingt mille ans sous les verrous (20 000 Years in Sing Sing)
- 1932 : La Porte des rêves (The Keyhole)
- 1933 : Masques de cire (Mystery of the Wax Museum)
- 1933 : Private Detective 62
- 1933 : Goodbye Again
- 1933 : Meurtre au chenil ou Le Mystère de la chambre close (The Kennel Murder Case)
- 1933 : Female[20]
- 1934 : Mandalay
- 1934 : Jimmy the Gent
- 1934 : The Key
- 1934 : Mémoires d’un agent britannique (British Agent)
- 1934 : Furie noire (Black Fury)
- 1935 : The Case of the Curious Bride
- 1935 : Sixième édition (Front page woman)
- 1935 : Little Big Shot
- 1935 : Capitaine Blood (Captain Blood)
- 1936 : Le Mort qui marche (The Walking Dead)
- 1936 : La Charge de la brigade légère (The Charge of the Light Brigade)
- 1937 : Stolen Holiday
- 1937 : Justice des montagnes (Mountain Justice)
- 1937 : Le Dernier combat (Kid Galahad)
- 1937 : Un homme a disparu (The Perfect Specimen )
- 1938 : La Bataille de l'or (Gold Is Where You Find It)
- 1938 : Les Aventures de Robin des Bois (The Adventures of Robin Hood)
- 1938 : Quatre au paradis (Four's a Crowd)
- 1938 : Rêves de jeunesse (Four Daughters)
- 1938 : Les Anges aux figures sales (Angels with Dirty Faces)
- 1939 : Blackwell's Island (non crédité)
- 1939 : Les Conquérants (Dodge City)
- 1939 : Les Fils de la Liberté (Sons of Liberty) (court-métrage)
- 1939 : Filles courageuses (Daughters Courageous)
- 1939 : La Vie privée d'Élisabeth d'Angleterre (The Private Lives of Elizabeth and Essex)
- 1939 : Quatre jeunes femmes (Four Wives)
- 1940 : La Caravane héroïque (Virginia City)
- 1940 : L'Aigle des mers (The Sea hawk)
- 1940 : La Piste de Santa Fe (Santa Fe Trail)
- 1941 : Le Vaisseau fantôme (The Sea Wolf)
- 1941 : Dive Bomber
- 1942 : Les Chevaliers du ciel (Captains of the Clouds)
- 1942 : La Glorieuse Parade (Yankee Doodle Dandy)
- 1942 : Casablanca[21],[22]
- 1943 : Mission à Moscou (Mission to Moscow)
- 1943 : This Is the Army
- 1944 : Passage pour Marseille (Passage to Marseille)[23]
- 1944 : Janie
- 1945 : Roughly Speaking
- 1945 : Le Roman de Mildred Pierce (Mildred Pierce)
- 1946 : Nuit et Jour (Night and Day)
- 1947 : Mon père et nous (Life with Father)
- 1947 : Le crime était presque parfait (The Unsuspected)[24]
- 1948 : Romance à Rio (Romance on the High Seas)
- 1949 : Il y a de l'amour dans l'air (My Dream Is Yours)
- 1949 : Boulevard des passions (Flamingo Road)
- 1949 : The Lady Takes a Sailor
- 1950 : La Femme aux chimères (Young Man with a Horn)
- 1950 : Le Roi du tabac (Bright Leaf)
- 1950 : Trafic en haute mer (The Breaking Point)[25]
- 1951 : Les Amants de l'enfer (Force of Arms)
- 1951 : Le Chevalier du stade (Jim Thorpe: All-American)
- 1951 : La Femme de mes rêves (I'll See You in My Dreams)
- 1952 : The Story of Will Rogers
- 1952 : The Jazz Singer
- 1953 : Un homme pas comme les autres (Trouble Along the Way)
- 1954 : L'Homme des plaines (The Boy from Oklahoma)
- 1954 : L'Égyptien (The Egyptian)
- 1954 : Noël blanc (White Christmas)[26]
- 1955 : La Cuisine des anges (We're No Angels)[27]
- 1956 : The Scarlet Hour
- 1956 : Le Roi des vagabonds (The Vagabond King)
- 1956 : Les Rois du jazz (The Best Things in Life Are Free)
- 1957 : Pour elle un seul homme (The Helen Morgan Story)
- 1958 : Le Fier Rebelle (The Proud Rebel)
- 1958 : Bagarres au King Créole (King Creole)[28]
- 1959 : Le Bourreau du Nevada (The Hangman)
- 1959 : L'Homme dans le filet (The Man in the net)
- 1960 : Un scandale à la cour (A Breath of Scandal)
- 1960 : Les Aventuriers du fleuve (The Adventures of Huckleberry Finn)
- 1961 : François d'Assise (Francis of Assisi)
- 1961 : Les Comancheros (The Comancheros)[29]
Autres
- Lors du tournage de son péplum biblique, L'Arche de Noé (1928), Curtiz refuse d'utiliser des figurines pour la scène du Déluge, contre l'avis du chef-opérateur. Une actrice et un technicien seront blessés et, selon un cascadeur présent sur le tournage, trois figurants seront retrouvés noyés[30],[31].
- En 1944, Il participe à la recherche de stock-shots pour Révolte dans la vallée, un court métrage de Jean Negulesco.
Postérité
Si le nom de Michael Curtiz paraît aujourd'hui un peu oublié, Casablanca est considéré par beaucoup comme un des plus grands films de l'histoire de cinéma... sans qu'on sache toujours en nommer le réalisateur.
En 2018, Tamás Yvan Topolánszky réalise Curtiz, un biopic sur l’arrière-plan du tournage de Casablanca (Netflix). Le film dresse un portrait assez dur du réalisateur, arrogant et tyrannique, mais finalement sensible et tourmenté. Il met en scène Curtiz lors du tournage de Casablanca, devant composer avec Jack Warner et des producteurs tatillons, un Comité fédéral auprès de l’industrie cinématographique défendant le monde libre avec des méthodes totalitaires, l’arrivée de sa fille de Hongrie et leur rupture, la déportation de sa sœur en Hongrie et de toute sa famille ou "les caprices" d'Ingrid Bergman (elle a faim…). Sans connaissance de ses sources et sans accès au dossier de production, il est toutefois difficile de faire la part de la réalité et de la dramatisation dans le film.
Notes et références
- (en) « Michael Curtiz | Hungarian-American director, actor, and writer », sur Encyclopedia Britannica (consulté le )
- (en-US) « Who was Michael Curtiz? Everything You Need to Know », sur www.thefamouspeople.com (consulté le )
- (en) GradeSaver, « Michael Curtiz Biography | List of Works, Study Guides & Essays | GradeSaver », sur www.gradesaver.com (consulté le )
- (en) « Michael Curtiz », sur www.hollywoodsgoldenage.com (consulté le )
- (en) « Michael Curtiz », sur Rotten Tomatoes (consulté le )
- « Michael Curtiz - Cinémathèque française », sur cinema.encyclopedie.personnalites.bifi.fr (consulté le )
- « Dictionnaire du cinéma anglo-saxon|Curtiz Michael », sur Dictionnaire du cinéma anglo-saxon (consulté le )
- « Michael Curtiz », sur www.cineclubdecaen.com (consulté le )
- David Lobosco, « A TRIP DOWN MEMORY LANE: BORN ON THIS DAY: MICHAEL CURTIZ », sur A TRIP DOWN MEMORY LANE, (consulté le )
- (en) « Casablanca | Encyclopedia.com », sur www.encyclopedia.com (consulté le )
- « CASABLANCA | Critique du film de Michael Curtiz avec Humphrey Bogart », sur LE BLEU DU MIROIR | Critiques cinématographiques, (consulté le )
- « Casablanca de Michael Curtiz : La critique du film », sur Oblikon.net, (consulté le )
- (en-US) « Michael Curtiz », sur Find a grave
- « Michael Curtiz | Hollywood Walk of Fame », sur www.walkoffame.com (consulté le )
- (en) « TSPDT - Michael Curtiz », sur TSPDT (consulté le )
- Dictionnaire du cinéma, Jean-Loup Passek, Larousse, 2006, p. 194.
- (en-US) « Michael Curtiz Movies | Ultimate Movie Rankings » (consulté le )
- Michael Curtiz, maître du baroque, par Victor Roland Bérard et Patrick Cannière, La Revue du Cinéma, n° 369, février 1982
- « A tolonc (L'indésirable) - La critique du film », sur Avoir Alire - Critiques et news films, Livres, BD, musique, séries TV, Spectacles (consulté le )
- Mon Cinéma à Moi, « FEMALE – Michael Curtiz, William A. Wellman, William Dieterle (1933) », sur mon cinéma à moi, (consulté le )
- Encyclopædia Universalis, « CASABLANCA, Michael Curtiz », sur Encyclopædia Universalis (consulté le )
- « Critique de CASABLANCA de Michael Curtiz à voir à 20H45 sur Ciné + Classic - IN THE MOOD FOR CINEMA », sur www.inthemoodforcinema.com (consulté le )
- « Passage pour Marseille (1944) de Michael Curtiz », sur L'Oeil sur l'Ecran (consulté le )
- Mon Cinéma à Moi, « THE UNSUSPECTED (Le Crime était presque parfait) – Michael Curtiz (1947) », sur mon cinéma à moi, (consulté le )
- (en) « The Breaking Point » (consulté le )
- (en-US) « Cinema: The New Pictures, Oct. 25, 1954 », Time, (ISSN 0040-781X, lire en ligne, consulté le )
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- (en-US) EmanuelLevy, « King Creole: Elvis Presley’s Popular Movie | Emanuel Levy » (consulté le )
- (en-US) EmanuelLevy, « Comancheros, The (1961): John Wayne in Michael Curtiz Western, Co-Starring Lee Marvin and Stuart Whitman | Emanuel Levy » (consulté le )
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- (en) Variety Staff et Variety Staff, « Catastrophic On-Set Accidents: A History », sur Variety, (consulté le )
Voir aussi
Bibliographie
En français
- Christian Viviani, Michael Curtiz, Anthologie du cinéma n° 73, L'Avant-scène, 1973 (OCLC 1054905) ; repris dans Anthologie du cinéma tome 8, L'Avant-scène : C.I.B., 1974 (OCLC 489915908)
- René Noizet, Tous les chemins mènent à Hollywood : Michael Curtiz, L'Harmattan, 1997. Aperçu en ligne sur Google Livres (ISBN 2738456677 et 978-2738456670)
En anglais
- The Many Cinemas of Michael Curtiz, par R. Barton Palmer, sous la direction de Murray Pomerance, éd. University of Texas Press, 2018[1],
- Michael Curtiz: A Life in Film, par Alan K. Rode, éd. The University Press of Kentucky, 2017[2],[3],[4],
- The American Films of Michael Curtiz, par R. J. Vitone, éd. Scarecrow Press, 1986[5].
Articles et interviews
- 'Casablanca' director Michael Curtiz is finally getting the recognition he deserves, par Kenneth Duran pour le Los Angeles Times, 2018[6],
- No Mistakes, par David Thomson, pour The New York Review of Books, 2018[7],
- The versality, vitriol and vision of Michael Curtiz, par Mark Burger pour Yes! Weekly[8], 2018
- The unknown director behind one of the most famous movies of all time, par J.P O'Malley pour The Times of Israël, 2018[9],
- A Nice Guy in Noirland Reaches 'The Breaking Point', par James Plath pour le webzine PopMatters, 2017,
- François d’Assise superstar (Francis of Assisi, Michael Curtiz, 1961), par Charlotte Aumont pour la revue Double Jeu, 2016[10],
- The Essentials: 5 Of Michael Curtiz's Greatest Films, par Oliver Lyttelton pour IndieWire, 2012[11],
- The Comancheros (1961), par Christopher Lloyd, pour The Film Yap, 2011[12],
- Actor With Guitar, par Howard Thomson, pour The New York Times, 1958[13],
- The screen :Three newcomers arrive here, 'I'll See You in My Dreams,' a Picture About Gus Kahn, Opens at Music Hall, par Bosley Crowther pour The New York Times, 1951[14]
Liens externes
- « Michael Curtiz » (présentation), sur l'Internet Movie Database
- Portail de l’Autriche-Hongrie
- Portail du cinéma américain
- Portail de la réalisation audiovisuelle
- Portail de la Hongrie
- (en-US) « The Many Cinemas of Michael Curtiz », sur www.goodreads.com (consulté le )
- « The University Press of Kentucky - About the Book », sur kentuckypress.com (consulté le )
- « Michael Curtiz », sur www.goodreads.com (consulté le )
- (en) « Review of Alan K. Rode’s “Michael Curtiz: A Life in Film” | History News Network », sur historynewsnetwork.org (consulté le )
- « The American Films of Michael Curtiz », sur www.goodreads.com (consulté le )
- Kenneth Turan, « 'Casablanca' director Michael Curtiz is finally getting the recognition he deserves », sur latimes.com (consulté le )
- (en) David Thomson, « No Mistakes », The New York Review of Books, (ISSN 0028-7504, lire en ligne, consulté le )
- (en) « YES! Weekly - Triad Newspaper - NC Triad Altweekly », sur YES! Weekly (consulté le )
- (en-US) JP O’ Malley, « The unknown director behind one of the most famous movies of all time », sur www.timesofisrael.com (consulté le )
- Charlotte Aumont, « François d’Assise superstar (Francis of Assisi, Michael Curtiz, 1961) », Double jeu. Théâtre / Cinéma, no 13, , p. 47–54 (ISSN 1762-0597, DOI 10.4000/doublejeu.335, lire en ligne, consulté le )
- (en) Oliver Lyttelton et Oliver Lyttelton, « The Essentials: 5 Of Michael Curtiz’s Greatest Films », sur IndieWire, (consulté le )
- (en-US) « The Comancheros (1961) », sur THE FILM YAP, (consulté le )
- (en-US) Howard Thompson, « Actor With Guitar », The New York Times, (ISSN 0362-4331, lire en ligne, consulté le )
- (en-US) Bosley Crowther, « THE SCREEN: THREE NEWCOMERS ARRIVE HERE; 'I'll See You in My Dreams,' a Picture About Gus Kahn, Opens at Music Hall », The New York Times, (ISSN 0362-4331, lire en ligne, consulté le )
- Naissance à Budapest
- Réalisateur américain
- Réalisateur hongrois
- Réalisateur du muet
- Oscar du meilleur réalisateur
- Nom de scène
- Naissance en décembre 1886
- Naissance en Autriche-Hongrie
- Décès en avril 1962
- Mort d'un cancer aux États-Unis
- Décès à 75 ans
- Décès à Hollywood
- Hollywood Walk of Fame
- Personnalité inhumée au Forest Lawn Memorial Park (Glendale)
- Personnalité américaine née d'un parent hongrois