Éperlecques
Éperlecques | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Saint-Omer | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Pays de Saint-Omer | ||||
Maire Mandat |
Laurent Denis 2020-2026 |
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Code postal | 62910 | ||||
Code commune | 62297 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Éperlecquois | ||||
Population municipale |
3 742 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 146 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 48′ 25″ nord, 2° 09′ 09″ est | ||||
Altitude | Min. 0 m Max. 97 m |
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Superficie | 25,56 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Saint-Omer (banlieue) |
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Aire d'attraction | Saint-Omer (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Saint-Omer | ||||
Législatives | Sixième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | eperlecques.fr | ||||
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Éperlecques est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.
Ses habitants sont appelés les Éperlecquois.
Géographie
Localisation
La commune fait partie du parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale et est située à l'extrémité du marais audomarois. Elle se trouve à 10 km de Saint-Omer et 30 km de Calais.
La commune s'étend sur 2 550 ha dont 750 ha de forêt. En longueur, elle fait plus de 10 km. La forêt d'Éperlecques occupe une surface totale de 850 ha (avec la partie située en limite sud de Ruminghem) et constitue l'un des grands espaces naturels de l'agglomération.
Géologie et relief
La commune s'étend au fond d'un large vallon.
Hydrographie
Le village est traversé par un principal cours d'eau appelé la Liette, ou « petite rivière ».
Milieux naturels et biodiversité
Urbanisme
Typologie
Éperlecques est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Omer, une agglomération interdépartementale regroupant 23 communes[4] et 74 682 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[5],[6].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Omer dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 79 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[7],[8].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (57,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (61,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (42,2 %), forêts (31,6 %), prairies (9,7 %), zones urbanisées (8,9 %), zones agricoles hétérogènes (5,9 %), zones humides intérieures (1,6 %)[9].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].
Lieux-dits, hameaux et écarts
La commune est composée de huit hameaux.
Voies de communication et transports
Transport ferroviaire
la gare de Watten - Éperlecques est située sur la commune et est desservie par la ligne de Lille aux Fontinettes. C'est une ancienne gare de bifurcation, origine de la ligne de Watten - Éperlecques à Bourbourg.
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes : Spirliacus au IXe siècle[11] ; Spirliacum au XIe siècle ; Sperleca en 1069-1129 ; Sperlaca en 1139 ; Sperleke vers 1140 ; Sperlecka en 1193 ; Sperleka en 1218 ; Esperlech, Espellecque et Espreleke en 1298 ; Spellekae au XIIIe siècle ; Esprellecke en 1301 ; Esprelleche en 1303 ; Éperlecques en 1309 ; Espelleque en 1329 ; Esperleque en 1331 ; Exprelecque en 1332 ; Experleque en 1334 ; Esprelecque en 1372 ; Esprelesques en 1380 ; Esproulesques au XIVe siècle ; Esperleke en 1412 ; Esperleques en 1720[12] ; Eperleque en 1793 et Éperlecques depuis 1801[13].
Il s'agit d'une formation toponymique gallo-romaine en -(i)acum, suffixe de localisation et de propriété d'origine gauloise, qui a évolué en -eke dans les régions néerlandophones et les villages néerlandophones jusque vers Le Touquet-Paris-Plage, la graphie ayant par la suite été francisée en -ecques. Le s final s'explique peut-être par les formes au pluriel en -iacas, caractéristique du Nord jusque la Normandie qui ont donné la terminaison -ies dans le domaine du gallo-roman. Ce suffixe est précédé d'un nom d’homme mal déterminé, peut-être latin *Spurilius (non attesté), hypocoristique de Spurius[14],[11], sans doute porté par un indigène gallo-romain.
La commune s'appelle Éparlecques en picard et Sperleke en néerlandais[15].
Histoire
Période romaine
L'Histoire antique d'Éperlecques est encore relativement méconnue. Eu égard au mobilier archéologique retrouvé lors de chantiers ou travaux agricoles, un passé gallo-romain est bien attesté. En effet, des fragments de poteries romaines, des pièces de monnaie, et parfois des sépultures ont été mis au jour à quelques reprises. De plus, et cela pourrait expliquer la présence de vestiges romains, on sait qu’à l’époque Eperlecques était traversée par deux voies romaines, connues de nos jours sous le nom de Grande Rue (au nord du village), et la Grande Leulène (extrémité ouest).
Période médiévale
Le comte Gérard en donna le domaine au monastère de Saint-Winoc en 821[16].
En 1071 Robert-le-Frison, comte de Flandres, cède Eperlecques à Eustache, comte de Boulogne.
Vers 1140, les chanoines de l'abbaye de Watten prennent à cens de l'aumônier de l'abbaye de Saint-Bertin de Saint-Omer et de son prévôt Manassès, une terre située à Éperlecques[17].
Vers 1150, Drogon d'Éperlecques est témoin d'une charte passée par le comte de Guînes Arnould Ier de Guînes en faveur de l'abbaye de Saint-Bertin de Saint-Omer, en présence de plusieurs seigneurs du comté de Guînes[18].
Au XVe siècle, Enguerrand de Bournonville puis son fils Antoine de Bournonville sont châtelains d'Éperlecques[19].
Le château, pris par les Français en 1487, est repris par les Bourguignons en 1489.
Époque moderne
Le château d'Éperlecques, défendu par son capitaine Gauthier de Bersaques, est pris par les Français en 1542[20].
En 1627, la seigneurie d'Éperlecques, de même que Ruminghem, est détenue par un membre de la prestigieuse Maison de Croÿ, Charles Philippe Alexandre de Croÿ, marquis de Renty, prince d'Havré, châtelain-vicomte de Bourbourg, Grand d'Espagne, possesseur de nombreuses seigneuries[21].
Le maréchal de Châtillon se rend maître du château le ; après deux jours de siège. Le maréchal de la Meillearaye détruit complètement le château en août 1639 après s’être emparé d'Hesdin puis, ayant fait sa jonction avec Maillé-Brezé après la chute de Lens (1641), il ravagea les faubourgs de Lille.
Époque contemporaine
Pendant la Seconde Guerre mondiale, le blockhaus d'Éperlecques fut construit pour être une base de lancement de missiles V2, mais les différents bombardements Alliés ont rendu son achèvement impossible.
Le , un arrêté reconnaissant l'état de catastrophe naturelle sécheresse a été pris, pour onze communes du Pas-de-Calais, dont Éperlecques, afin que puisse avoir lieu l'indemnisation par les assurances des cas de maisons ou bâtiments fissurés à la suite du retrait-gonflement des argiles[22].
Politique et administration
→ Conseils pour la rédaction de cette section.
Découpage territorial
Commune et intercommunalités
Circonscriptions administratives
Circonscriptions électorales
Élections municipales et communautaires
Liste des maires
Jumelages
Ville | Pays | Période | ||
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Zonnebeke[28],[29] | Belgique | depuis |
Équipements et services publics
→ Conseils pour la rédaction de cette section.
Enseignement
- Groupement scolaire de la Liette (maternelle/primaire, publique).
- École maternelle et primaire Saint-Joseph (privée).
- École de musique.
- Bibliothèque municipale.
- Centre aéré en juillet.
Population et société
Démographie
Les habitants de la commune sont appelés les Éperlecquois[30].
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[32].
En 2021, la commune comptait 3 742 habitants[Note 3], en augmentation de 6,19 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 39,4 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,3 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 1 808 hommes pour 1 860 femmes, soit un taux de 50,71 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,5 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Manifestations culturelles et festivités
Sports et loisirs
- Club de football CAE - Le Cercle Athlétique Éperlecques, créé en 1971.
- Club de karaté KTJE : taijitsu, full-contact, qi gong, créé en 1987.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Monuments historiques
- Le blockhaus d'Éperlecques fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le [36].
- Des éléments patrimoniaux se trouvant dans l'église Saint-Léger sont classés ou inscrits au titre d'objet des monuments historiques :
-
Le blockhaus.
Autres monuments
Patrimoine religieux
- Église Saint-Léger du XVe siècle et sa tour en pierre blanche du XVIe.
- Chapelle Notre-Dame-des-Neiges du XIXe siècle (hameau du Gandspette), chapelle bénite le [39].
- 6 petites chapelles :
- Notre-Dame-des-Trois-Cayelles (avant 1780, dans la forêt).
- Notre-Dame-de-Lourdes (1907, rue de l'église).
- Notre-Dame-des-Miracles (1912, rue du Mont).
- Saint-Antoine (dans la forêt).
- Saint-Pierre (rebâtie en 1837, rue Saint-Pierre).
- de la Viergette (1957, rue du Pavillon).
-
L'église.
-
La statue de l'ange gardien.
-
La statue de Saint-Flocel.
Patrimoine civil
- Le monument aux morts[40].
- La gare.
- Traces d'anciens châteaux.
- Manoir de Bleue-Maison 1592.
- Moulin à farine Seigre du XIXe siècle[41].
- Moulin du Gandspette.
-
La gare.
-
Les ruines du moulin.
Personnalités liées à la commune
- Enguerrand de Bournonville (vers 1368-1414), châtelain d'Éperlecques.
- Antoine de Bournonville (vers 1403-1480), fils du précédent, châtelain d'Éperlecques
Héraldique
Blason | Écartelé : au 1er et 4e d'azur aux trois barres d'or, au franc-quartier senestre échiqueté d'or et d'argent, au 2e et 3e d'argent à trois étoiles d'azur[42].
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Détails | Blason déjà en usage avant 1996. |
Pour approfondir
Bibliographie
- Louis Delozière, L'Histoire d'Eperlecques, foyer culturel de l'Houtland, réédition de 1994.
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Dossier Insee :
- relatif aux rattachements de la commune, [lire en ligne]
- relatif au canton, [lire en ligne]
- relatif à l'intercommunalité, [lire en ligne]
- relatif à l’arrondissement, [lire en ligne]
- relatif au département, [lire en ligne]
- relatif à la France, [lire en ligne]
- Site de la mairie
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Références
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Saint-Omer », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Saint-Omer », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. 2 : Formations non-romanes ; formations dialectales, Genève, Librairie Droz, (ISBN 978-2-600-00133-5, présentation en ligne), p. 750.
- Auguste de Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, Imprimerie nationale de Paris, , 499 p. (lire en ligne), p. 134.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Librairie Guénégaud, Paris, 1978, p. 265b.
- Centre de Recherche généalogique Flandre-Artois.
- Louis Joseph Harbarville, Mémorial historique et archéologique du département du Pas-de-Calais, (lire en ligne)
- Alphonse Wauters,Table chronologique des chartes et diplômes imprimés concernant l'histoire de la Belgique, 10 volumes en 11 tomes, Bruxelles, 1866 à 1904. Tome VII, 2e partie, Année 1140.
- André Du Chesne, Histoire généalogique des maisons de Guines, d'Ardres, de Gand et de Coucy et de quelques autres familles illustres, Paris, 1632, p. 60, lire en ligne
- Bertrand Schnerb, Enguerrand de Bournonville et les siens. Un lignage noble du Boulonnais aux XIVe et XVe siècles, Paris, Presses de l'Université de Paris-Sorbonne, coll. « Cultures et civilisations médiévales » (no 14), , 384 p. (ISBN 2-84050-074-4), p. 135
- Louis Delozière, Histoire d'Éperlecques, par Louis Delozière,..., impr. de Hubert (Dunkerque), (lire en ligne).
- Georges Dupas, Seigneuries et seigneurs de la châtellenie de Bourbourg, Coudekerque-Branche, Galaad Graal, , p. 210.
- Christian Canivez, « Nos habitats sont-ils adaptés à la nouvelle donne climatique ?», dans La Voix du Nord du 31 juillet 2019, p. 3.
- Jean-Marc Szuba, « Michel Guilbert, « exemple pour nous tous », devient maire honoraire d’Éperlecques : Michel Guilbert a été fait maire honoraire d’Éperlecques, mercredi soir. Une distinction qui met en avant un homme dont l’investissement au service des autres n’a eu d’égal que sa gentillesse de tous les instants, aussi bien avec les puissants qu’avec les humbles », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Première écharpe tricolore pour Laurent Denis, le jeune maire d’Éperlecques : Victorieuse de la confrontation du 23 mars avec plus de 60 % des voix, la liste « Éperlecques Demain » a logiquement élu, samedi, son leader Laurent Denis au poste de premier magistrat (17 suffrages et 6 bulletins blancs). », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- David Monnery, « Laurent Denis, le « gamin de la commune » devenu maire d’Éperlecques : Engagé en politique et membre du Parti socialiste depuis 2001, Laurent Denis est devenu maire en mars dernier. Itinéraire d’un enfant de la commune », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
- https://reader.cafeyn.co/fr/1926576/21599233
- « http://afccre.org/fr/nos-membres/annuaire-des-villes-jumelees#.Ygy6Li_pPR1 »
- « https://pastel.diplomatie.gouv.fr/cncdext/dyn/public/atlas/rechercheAtlasFrance.html?criteres.collectiviteId=27159 »
- Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Éperlecques (62297) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
- Notice no PA00108267.
- Notice no PM62000617.
- Notice no PM62003144.
- Perrin, Miracle advenu en la Ville de Lyon en la personne d'un jeune enfant, lequel ayant esté mort vingt-quatre heures est ressuscité par l'intercession de la Sacrée Vièrge. Avec le vœu, prière et oraison faite par son Père et sa Mère, L. Perrin, « Miracle advenu en la Ville de Lyon en la personne d'un jeune enfant, lequel ayant esté mort vingt-quatre heures est ressuscité par l'intercession de la Sacrée Vièrge. Avec le vœu, prière et oraison faite par son Père et sa Mère », sur Google Books, Bibliothèque municipale de Lyon (Bibliothèque jésuite des Fontaines),
- « Le monument aux morts », sur Mémoires de pierres (consulté le ).
- Notice no IA62000851.
- « 62297 Éperlecques (Pas-de-Calais) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).