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Panda géant

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Ailuropoda melanoleuca

Ailuropoda melanoleuca
Description de cette image, également commentée ci-après
Panda géant à Ocean Park Hong Kong.
Classification MSW
Règne Animalia
Embranchement Chordata
Classe Mammalia
Ordre Carnivora
Sous-ordre Caniformia
Famille Ursidae
Genre Ailuropoda

Espèce

Ailuropoda melanoleuca
(David, 1869[1]) Milne-Edw.

Répartition géographique

Description de l'image Mapa distribuicao Ailuropoda melanoleuca.png.

Statut de conservation UICN

( VU )
VU C2a(i);D1 : Vulnérable

Statut CITES

Sur l'annexe I de la CITES Annexe I , Rév. du 14/03/1984

Statut CITES

Sur l'annexe I de la CITES Annexe I , Rév. du 14/03/1984
Chine uniquement
Tai Shan au Zoo National de Washington DC.
Un Panda géant du zoo de San Diego mange du bambou.

Le panda géant est habituellement représenté mangeant paisiblement du bambou plutôt que chassant, ce qui ajoute à son image de l'innocence. En effet, bien que classé parmi les Carnivores (classe des Carnivora)[2], cet animal se nourrit principalement de végétaux. Même s'il a été rapporté qu'il mange à l'occasion des œufs et des insectes, son régime alimentaire est constitué à 99 % de végétaux, quasi uniquement de bambous (jusqu'à 20 kg par jour)[3], bien que cette plante soit peu digeste[2], mais peut inclure ponctuellement d'autres végétaux, et même un peu de viande (petits rongeurs, poissons[4]...). Son origine de Carnivore explique d'ailleurs qu'il dispose d'un système digestif capable de digérer de la viande[5]. Son microbiote serait plus proche de celui de ses homologues carnassiers ou omnivores, que de celui des herbivores stricts[6]. Il possède peu des bactéries que l'on retrouve chez les herbivores, tels que les ruminants, qui décomposent la cellulose, composant principal du bambou. Les scientifiques pensent que les pandas ont commencé à manger du bambou à une époque lointaine où les autres sources de nourriture sont devenues rares, et auraient vécu sur cette niche alimentaire depuis quatre millions d'années[4].

Son faux pouce lui permet de cueillir et de tenir les tiges de bambou. Il passe près de 14 heures par jour à les mastiquer en raison de sa faible capacité à assimiler la cellulose (privé de cæcum, comme n'importe quel ursidé, il ne peut en digérer que 17 %). Les pousses sont avalées tout entières, mais il ne garde que le cœur et rejette l'écorce. Le transit intestinal dure environ huit heures. Beaucoup de forêts de bambous chinoises sont aujourd'hui exploitées par l'homme ou ont été défrichées pour devenir des terres cultivables. C'est une des raisons de la forte régression de l'espèce, qui ne dispose plus de son aliment de base.

Le génome du panda a été séquencé par une équipe chinoise en 2010[5] : les 21 000 gènes contiennent notamment tous ceux codant les enzymes caractéristiques d'un régime carnivore (typique des Ursidés) mais le gène encodant le récepteur de la saveur umami est muté, ce qui pourrait rendre inactif ce récepteur sensible à la saveur des viandes et ainsi expliquer en partie pourquoi le panda a un régime alimentaire essentiellement végétarien, alors qu'il est, du point de vue phylogénétique, un carnivore[5].

Reproduction

Un bébé panda dans un incubateur.

Les pandas atteignent une maturité sexuelle entre 5 ans et demi et 6 ans. Ils ne peuvent se reproduire que quelques jours par an, ce qui rend leur reproduction difficile. La durée de la gestation est d'environ 112 à 163 jours (137,5 jours en moyenne). La mère peut donner naissance à un ou deux petits, rarement trois, avec une moyenne de 1,7 petit par portée[7]. Cependant celle-ci ne s'occupe que d'un seul petit et les autres meurent rapidement, peut-être parce que l'énergie nécessaire pour en élever plus est trop élevée, mais le débat n'est pas clos sur cette question. En ce qui concerne les animaux en captivité, afin d'éviter cette perte, des chercheurs américains font actuellement des études sur le fait d'alterner les petits, ainsi la mère s'occupe des deux petits sans s'en rendre compte. À sa naissance, le petit pèse à peine entre 85 et 140 grammes (110 grammes en moyenne), est rose, aveugle et sans fourrure, totalement dépendant de sa mère ou d'un incubateur. La différence de poids entre un petit à la naissance et sa mère est dans un rapport d'un sur 800 ou 900 (un sur 20 pour l'homme), le plus élevé des mammifères placentaires, surpassé seulement par les marsupiaux[7]'[8]. Après environ 46 semaines, le petit est totalement sevré, et il peut se débrouiller seul à environ 18 mois[7].

Ayant une fécondité naturellement faible, ils ont aussi beaucoup de difficultés à se reproduire en captivité. Le mâle, avec sa nourriture à portée de main, prend l'habitude de ne pas faire d'efforts, même pour se reproduire. Des problèmes psychologiques renforcent ce phénomène. Au Centre de recherche sur la reproduction des pandas géants à Chengdu (Chine), seulement 10 % d'entre eux s'accouplent, et seulement 30 % des femelles accouplées font des petits. Afin de sauvegarder cette espèce menacée, les zoos et les centres d'élevage ont souvent recours à l'insémination artificielle. Les premiers succès de cette technique ont été obtenus au zoo de Pékin dès 1978.

Longévité

L'espérance de vie moyenne en captivité pour un panda géant est généralement de 20 à 25 ans. Cependant, certains individus ont dépassé cette espérance de vie. Xin Xing, une femelle hébergée au zoo de Chongqing en Chine, détenait le record de longévité en captivité à sa mort le 8 décembre 2020, ayant atteint l'âge remarquable de 38 ans et 4 mois. Ceci est considéré comme l'équivalent d'environ 110 années humaines. Avant Xin Xing, le record était détenu par Jia Jia, une autre femelle panda hébergée à l'Ocean Park Hong Kong, qui a vécu jusqu'à l'âge de 38 ans, décédée le 16 octobre 2016 (l'équivalent de 100 années humaines)[9]. En ce qui concerne la longévité des pandas géants dans la nature, elle reste moins bien connue mais serait d'environ une quinzaine d'années[10].

Pathologie

Une femelle panda est morte en 2014 dans un zoo en Chine après des symptômes gastroentériques et respiratoires, attribués à une infection par Toxoplasma gondii, agent de la toxoplasmose, maladie qui peut affecter la plupart des animaux à sang chaud et les humains[11].

Le panda géant et l'homme

Menaces et protection

Cette espèce, très menacée, figure sur la liste des espèces de l'annexe I de la CITES (Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction, dite convention de Washington).

En Chine, tuer un panda a longtemps été passible de peine de mort, mais cette peine a été remplacée par de la prison en 2010[12].

Une ambitieuse politique de protection a permis à l’espèce de se développer. En 2016, celle-ci est passée du statut « en danger » à « vulnérable » sur la liste rouge de l’Union internationale pour la conservation de la nature. Les autorités chinoises ont commencé dès les années 1960 à créer des réserves afin de protéger les pandas[13].

Actuellement[Quand ?], il y a environ 2 000 pandas vivant à l'état sauvage, principalement dans les provinces de Sichuan et Shaanxi en Chine, et près de 600 pandas vivant en captivité[14].

À l'état sauvage

Leur habitat se réduit sans cesse, car les hommes abattent de plus en plus les forêts pour le bois et l'agriculture, et il reste donc de moins en moins de bambous.

De plus, les pandas géants sont parfois tués pour leur pelage ou meurent dans des pièges qui ont été placés pour attraper d'autres animaux. Le léopard des neiges peut aussi exercer une prédation, en particulier sur des jeunes[10].

Le bambou lui-même représente un problème pour la survie des pandas géants. Une fois que le bambou fleurit — tous les 65 à 120 ans environ — il meurt, et il faut compter dix ans avant que de nouvelles pousses aient une taille suffisante pour servir de nourriture. Parfois, des forêts entières de bambous disparaissent ainsi, et le panda n'a plus de quoi se nourrir. Autrefois, lors des périodes de floraison grégaire, les pandas pouvaient migrer vers d'autres zones où des cohortes de bambous non florifères étaient en phase de croissance. Cependant, la fragmentation du territoire induite par l'expansion de l'agriculture, empêche désormais les pandas de se déplacer comme il le faisaient auparavant vers des zones de bambous en phase de végétation. Ainsi, la menace principale pour la population de pandas est principalement liée à la destruction de leur habitat plutôt qu'à la floraison grégaire des bambous[15].

La fragmentation de leur habitat est particulièrement dangereuse pour les pandas, vu qu'ils doivent s'adapter aux cycles de vie des bambous. De petites populations isolées de pandas géants, dont le régime alimentaire se compose quasi exclusivement de diverses variétés de bambou que l'on trouve dans les hautes régions montagneuses, sont confrontées à un risque de croisements d'animaux de même souche. De tels croisements réduisent la résistance aux maladies, l'adaptabilité aux changements environnementaux et les taux de reproduction[réf. nécessaire].

Plusieurs projets de protection ont été mis en place, comprenant entre autres la création de 33 réserves réparties dans les provinces de Sichuan, Gansu et Shaanxi, en Chine, à l’est du plateau tibétain, où vivent les pandas géants.

Les programmes de protection du panda englobent aussi la formation de gardes spécialisés dans la lutte contre le braconnage, la mise au point de plans de gestion pour toutes les réserves, nouvelles et existantes, et la poursuite de l’étude des pandas sur le terrain.

En captivité

Tian Tian au zoo national de Washington, offert par la Chine.
Yuan Zi et Huan Huan : les deux pandas du ZooParc de Beauval.

Su Lin est le premier panda capturé et déplacé en dehors de son pays d'origine. L'animal, âgé d'environ 9 semaines, est capturé par l'exploratrice Ruth Harkness (en) en 1936[16] et amené en Amérique avant d'être acheté par le zoo de Brookfield . Il mourut seulement deux ans plus tard d'une pneumonie, mais marqua le début d'une vaste série de pandas emmenés de Chine à l'étranger[17].

Les pandas géants font l'objet d'un important programme d'élevage en captivité en Chine, et dans une moindre mesure dans d'autres pays. Les scientifiques chinois ont développé des techniques de fécondation artificielle pour contourner le principal problème concernant la reproduction des pandas géants : le fait que ceux-ci ne soient naturellement en chaleur que quelques jours par an.

« En 2005, 21 pandas, nés à la suite d'inséminations artificielles, ont survécu en Chine[18]. »

Hors de Chine, très peu de zoos en détiennent. Il en existe actuellement 20, répartis dans 18 pays hors Taïwan : un aux États-Unis, un au Mexique, un en Russie, un à Singapour, un en Indonésie, un en Espagne, un au Danemark, un en Autriche, un en Allemagne, un en Finlande, trois au Japon, un en Australie, un en France, un en Belgique, un en Malaisie, un en Corée du Sud, un aux Pays-Bas et un au Qatar, pour un total de 56 individus captifs[19]. Dans les années 1970 et 80, plusieurs autres zoos (Paris, Londres, Moscou…) avaient « leur » panda, généralement offert à titre de cadeau diplomatique par la Chine. Depuis 1984, les pandas acquis par des zoos étrangers sont loués par le gouvernement chinois, à un prix très élevé (l'argent allant à un fonds de protection des pandas dans leur milieu naturel, sous la direction de la CITES[20]). De ce fait, très peu de zoos en possèdent, d'autant que le simple entretien de l'animal est très onéreux, et que sa reproduction est exceptionnelle. Ainsi, le zoo d'Ueno près de Tokyo s'est vu prêter en février 2011 deux pandas pour dix ans, pour un prix de 950 000 dollars par an[21]. Le , deux pandas géants, Yuan Zi et Huan Huan, ont été accueillis au ZooParc de Beauval, en Loir-et-Cher (France)[22], ils ont eu un petit Yuan Meng (« un souhait qui se réalise ») né le . Le , deux autres pandas géants, Da Mao (le mâle) et Er Shun (la femelle), ont été accueillis au zoo de Toronto, au Canada, pour une période de cinq ans (2013-2018). Ils sont ensuite allés au zoo de Calgary et doivent y rester pendant cinq autres années (2018-2023) pour enfin retourner en Chine. La femelle, Er Shun, a donné naissance à des jumeaux le . Ces jumeaux ont été nommés Jia Panpan (« Espoir canadien » en chinois) et Jia Yueyue (« Joie canadienne » en chinois).

Un autre couple de pandas géants, Xing Hui (le mâle) et Hao Hao (la femelle), est arrivé le au parc zoologique de Pairi Daiza, en province de Hainaut (Belgique) pour une période de quinze ans. Fécondée par insémination artificielle en , la femelle Hao Hao a donné naissance à un petit le [23]. Ce petit a été nommé Tian Bao (« Trésor du Ciel » en chinois). Le , à Pairi Daiza (en Belgique), la femelle Hao Hao donne à nouveau naissance à la suite d'une insémination effectuée en et cette fois-ci, elle accouche de faux jumeaux[24], un mâle nommé Bao Di et une femelle nommée Bao Mei.

Mythes

Il existe différents mythes à propos des taches noires du panda qui diffèrent un peu selon les sources et le lieu d'origine.

Un mythe chinois populaire raconte qu'autrefois, les pandas étaient complètement blancs, mais, qu'un jour, quand la plus jeune de quatre sœurs mourut, les autres trempèrent les mains dans de la cendre en signe de deuil. En pleurant, ils se frottèrent les yeux pour essuyer leurs larmes, se consolèrent en entourant leurs bras autour d'eux et se bouchèrent les oreilles pour ne pas entendre les pleurs. Le mythe veut que ces taches de cendre soient restées sur leur fourrure.

Un autre mythe, provenant du Tibet, raconte que ce serait une bergère qui aurait sauvé d'un léopard un bébé panda qui se promenait avec sa mère. La bergère qui s'interposa pour défendre le jeune panda mourut, et tous les pandas, émus par son courage, pleurèrent avec de la cendre dans les mains pour respecter les rites de l'endroit[25].

En réalité, les taches blanches du visage, du cou et du ventre du panda ont une fonction de camouflage, permettant au panda de se dissimuler dans la neige, pour ne laisser apparaître que ses yeux et ses oreilles. Les taches noires au niveau des oreilles seraient un signe de férocité, servant à effrayer les panthères des neiges et les chacals, et la tache noire autour des yeux pourrait permettre aux pandas de s'identifier[26].

Culture populaire

  • Le panda a été choisi comme logo par l'association WWF qui se consacre à la protection de la nature, c'est une espèce porte-drapeau pour la conservation de la faune[27].
  • Il est représenté depuis longtemps dans l'art ayant rapport avec la Chine, où il occupe une place privilégiée. Par exemple :
  • Un célèbre livre de Lynne Truss (en), intitulé Eats, Shoots and Leaves, est un essai sur l'importance de la ponctuation. Le titre fait référence à la définition du panda dans le dictionnaire en anglais qui, par simple ajout d'une virgule, la transforme de « mange des pousses et des feuilles » en « mange, tire et s'en va » (eats shoots and leaves devenant eats, shoots and leaves).
  • Le Pouce du panda est un livre de Stephen Jay Gould, contenant un essai traitant de biologie de l'évolution portant le même titre.
  • Little Panda est un film américain (également adapté en français sous le titre La Grande Aventure du Panda).
  • Dans le jeu vidéo Sly Raccoon, sorti en 2002, et premier jeu de la série du même nom, le panda géant est représenté par le Panda King. Il est l'un des ennemis du héros du jeu, à savoir Sly Cooper. Le Panda King est un expert démolisseur et un pyromane adepte des feux d'artifice. Il vit dans les montagnes de Kunlun, en Chine. Il apparaît également dans Sly 3, où il intègre le clan Cooper.
  • Le jeu MMORPG World of Warcraft propose à ses joueurs, dans Mists of Pandaria, d'incarner un Pandaren, une race ayant les traits du panda[30].
  • Dans sa chanson Pandi-Panda, Chantal Goya fait l'éloge de la protection des pandas.
  • Le chanteur allemand Cro a pour caractéristique de porter un masque de panda dans ses clips et sur scène.
  • Dans le jeu vidéo Overlord II il est possible de rencontrer des pandas qui deviennent très agressif si on touche à leur bambou[31], il faut alors utiliser des sbires verts pour les éliminer.
  • Dans les MMORPG Dofus et Wakfu, il est possible d'incarner un « Pandawa », sorte de panda anthropomorphe.
  • Le Panda fait aussi une apparition remarquée et est même la cause d'une aventure au côté d'un autre animal protégé : le Marsupilami dans la bande dessinée de Franquin-Batem-Greg Marsupilami tome 2 : Le Bébé du bout du monde. Après diverses aventures le Marsupilami et sa famille doivent sauver et s'occuper d'un bébé Panda égaré en forêt Palombienne.
  • Le constructeur de voiture FIAT a dédié le nom Panda à une voiture citadine, la Fiat Panda.
  • Tao Tao, série d'animation japonaise des années 1980, dont le personnage principal est un petit panda nommé Tao Tao.
  • Anarchopanda est un personnage impliqué dans la grève étudiante québécoise de 2012.
  • Les Pokémons Pandespiègle et Pandarbare sont inspiré du Panda.
  • Dans le manga Beastars de Paru Itagaki, Gohin est un panda travaillant notamment en tant que médecin et thérapeute au marché noir.
  • Dans le manga Jujutsu Kaisen le personnage de Panda apparaît, il s'agit d'un panda, bipède, parlant et possédant des super pouvoirs.

Notes

Références

  1. (en) Référence Mammal Species of the World (3e  éd., 2005) : Ailuropoda melanoleuca Ailuropoda melanoleuca, Mammal species of the world
  2. a et b Article Ailuropoda melanoleuca sur la liste rouge de l'IUCN. Article révisé le 30/06/2008, et consulté le 14/12/2014.
  3. https://www.wwf.fr/especes-prioritaires/panda-geant
  4. a et b (en-US) « Why Do Pandas Eat Bamboo? », sur Panda Things (consulté le ).
  5. a b et c (en) Ruiqiang Li et al., « The sequence and de novo assembly of the giant panda genome », Nature, vol. 463, no 7279,‎ , p. 311-317 (DOI 10.1038/nature08696, lire en ligne).
  6. Xue Z, Zhang W, et al. 2015. The bamboo-eating giant panda harbors a carnivore-like gut microbiota, with excessive seasonal variations. mBio 6(3):e00022-15. doi:10.1128/mBio.00022-15. Lire en ligne [1].
  7. a b et c (en) Référence Animal Diversity Web : espèce Ailuropoda melanoleuca.
  8. (en) « Top 8 Surprising Things You Didn't Know about Baby Pandas », sur China Highlights
  9. 20 Minutes avec AFP, « VIDEO. Jia Jia, la doyenne des pandas en captivité, meurt à 38 ans », 20 minutes,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  10. a et b « Panda FAQs », sur le site du gouvernement chinois Centre d'Informations Internet de Chine (consulté le ).
  11. Hongyu Ma, Zedong Wang, Chengdong Wang, Caiwu Li, Feng Wei et Quan Liu, « Fatal Toxoplasma gondii infection in the giant panda », Parasite, vol. 22,‎ , p. 30 (ISSN 1776-1042, PMID 26514595, DOI 10.1051/parasite/2015030, lire en ligne).
  12. Article « [China reviews death penalty http://articles.latimes.com/2010/aug/25/world/la-fg-china-death-penalty-20100825] », Los Angeles Times du 25/08/2010. Consulté le 21/12/14.
  13. Clémentine Thiberge, « En Chine, la politique de protection du panda n’a pas profité aux autres espèces », Le Monde,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le ).
  14. (en) Xinhua News Agency, « Number of Captive Pandas Increases to 600 Globally », sur khaosodenglish.com, Khaosod,
  15. (en) S. M. S. D. Ramanayake, « Flowering in Bamboo: an Enigma! », Ceylon Journal of Science (Biological Sciences), vol. 35, no 2,‎ , p. 95-105 (lire en ligne).
  16. Harkness, Ruth. The Baby Giant Panda, 1938. New York: Carrick & Evans. p.36.
  17. Andrea Frederici Ross. Let the Lions Roar. Chicago Zoological Society. 1997. 64-67.
  18. AFP - dépêche du 14 août 2006.
  19. Où voir des pandas hors de Chine ?
  20. Pandas en captivité.
  21. (en) « Maehara expects pandas to improve Japanese sentiment on China »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) (consulté le ), AP sur Breitbart, le 18 février 2011.
  22. Unique en France, des pandas à Beauval!
  23. « Un bébé panda est né à Pairi Daiza. », Le Soir,‎ (lire en ligne).
  24. Deux bébés sont nés au parc animalier de Pairi Daiza, consulté le 15 août 2019.
  25. PANDAS - Panda géant ou grand panda, Classification, Fiche d'identité et sous-espèces.
  26. (en) Tim Caro, Hannah Walker, Zoe Rossman, Megan Hendrix et Theodore Stankowich, « Why is the giant panda black and white? », Behavioral Ecology,‎ (DOI 10.1093/beheco/arx008).
  27. « Le panda géant, une espèce prioritaire | WWF France », sur www.wwf.fr (consulté le )
  28. « Panda (Tekken) », sur fightersgeneration.com (consulté le )
  29. Gamergirl, « Tekken 7 : Kuma et Panda annoncés dans un trailer », sur GamerGirl, (consulté le )
  30. « Pandaren - WoW », sur World of Warcraft (consulté le )
  31. « Panda », sur Overlord Wiki (consulté le ).

Annexes

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Articles connexes

Références taxinomiques

Liens externes