Olga Tokarczuk
Olga Tokarczuk est une écrivain polonaise née à Sulechów, en Pologne, le .
Biographie
Elle effectue des études de psychologie à l’Université de Varsovie.
À partir de 1997, elle se consacre entièrement à l’écriture[1].
Elle est inspirée par William Blake[2].
Elle contribue aussi à la revue Granta[3].
Œuvres traduites en français
- Dieu, le temps, les hommes et les anges, [« Prawiek i inne czasy »], trad. de Christophe Glogowski, Paris, Éditions Robert Laffont , coll. « Pavillons. Domaine de l'Est », 1998, 340 p. (ISBN 2-221-08615-5)
- Maison de jour, maison de nuit, [« Dom dzienny, dom nocny »], trad. de Christophe Glogowski, Paris, Éditions Robert Laffont , coll. « Pavillons. Domaine de l'Est », 2001, 300 p. (ISBN 2-221-09240-6)[4]
- Récits ultimes, [« Ostatnie historie »], trad. de Grażyna Erhard, Lausanne, Suisse, Éditions Noir sur Blanc, coll. « Littérature étrangère », 2007, 252 p. (ISBN 978-2-88250-197-4)
- Les Pérégrins, [« Bieguni »], trad. de Grażyna Erhard, Lausanne, Suisse, Éditions Noir sur Blanc, coll. « Littérature étrangère », 2010, 380 p. (ISBN 978-2-88250-241-4)[5],[1]
- Sur les ossements des morts, [« Prowadłż swój pług przez kości umarlych »], trad. de Margot Carlier, Lausanne, Suisse, Éditions Noir sur Blanc, coll. « Littérature étrangère », 2012, 298 p. (ISBN 978-2-88250-260-5)[7]
Site extérieur
- (pl) Site de l'auteure
Notes et références
- Julien Burri, « Olga Tokarczuk marie le ciel et l’enfer », sur Hebdo.ch, (consulté le )
- Ibid.
- « Olga Tokarczuk », sur Granta (consulté le )
- Philip Marsden. The Observer, « Poles apart », sur the Guardian, (consulté le )
- « Les Pérégrins, Olga Tokarczuk », sur Le Magazine Littéraire, (consulté le )
- « Olga Tokarczuk reçoit le Goncourt Polonais », sur Le Magazine Littéraire, (consulté le )
- Baptiste Liger, « Le polar zoologique d'Olga Tokarczuk », sur L'Express.fr, (consulté le )