Électroéjaculation

La version imprimable n’est plus prise en charge et peut comporter des erreurs de génération. Veuillez mettre à jour les signets de votre navigateur et utiliser à la place la fonction d’impression par défaut de celui-ci.

L’électroéjaculation ou électro-éjaculation est une technique de prélèvement de sperme. Une électrode bipolaire est placée dans le rectum pour stimuler électriquement la prostate et obtenir l'éjaculation^[1].

L'électroéjaculation est une méthode utilisée en laboratoire chez le macaque pour des analyses de maturité sexuelle. Elle est également une méthode de prélèvement très utilisée pour l'insémination artificielle des félins^[2], pour la production de paillettes de sperme de taureau lorsque le vagin artificiel ne peut être utilisé ou encore chez l'homme^[3], notamment dans les cas de dysfonctionnement de l'érection^[4].

Notes et références

↑ « Electro-éjaculation », Dictionnaire des sciences animales (consulté le 25 juin 2013)
↑ Valérie Duphot, « IA chez les félidés », La dépêche vétérinaire - L’hebdomadaire vétérinaire de A à Z, n^o 933,‎ 3-9 mars 2007 (lire en ligne)
↑ « Troubles de l'éjaculation », Irema (consulté le 25 juin 2013)
↑ « Réalisation pratique du prélèvement de sperme par électro-éjaculation chez le macaque cynomolgus (Macaca fascicularis) », STAL, n^o 36,‎ 3^e trimestre 2010 (lire en ligne, consulté le 25 juin 2013)

Annexes

Articles connexes

Lien externe

« Réalisation pratique du prélèvement de sperme par électro-éjaculation chez le macaque cynomolgus (Macaca fascicularis) », STAL, n^o 36,‎ 3^e trimestre 2010 (lire en ligne, consulté le 25 juin 2013)

Portail de la médecine

[1] « Electro-éjaculation », Dictionnaire des sciences animales (consulté le 25 juin 2013)

[2] Valérie Duphot, « IA chez les félidés », La dépêche vétérinaire - L’hebdomadaire vétérinaire de A à Z, n^o 933,‎ 3-9 mars 2007 (lire en ligne)

[3] « Troubles de l'éjaculation », Irema (consulté le 25 juin 2013)

[4] « Réalisation pratique du prélèvement de sperme par électro-éjaculation chez le macaque cynomolgus (Macaca fascicularis) », STAL, n^o 36,‎ 3^e trimestre 2010 (lire en ligne, consulté le 25 juin 2013)

[1]

[2]

[3]

[4]