Rock à Nantes

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Le rock à Nantes, ville de l'ouest de la France, débute dans les années 1960-70[1],[2], avec les Rapaces[3],[4], Tri Yann, Tequila (dont le chanteur guitariste Philippe Ménard), Ticket, Flamingos et connaît une croissance dans les années 1980 avec le rock d'Elmer Food Beat, EV, Squealer… En 1990, la vague rock se poursuit sans discontinuer avec le chanteur minimaliste Dominique A, Dolly puis, au début des années 2000, Jeanne Cherhal, French Cowboy, Smooth[5]

La ville de Nantes possède une grande scène musicale rock grâce à de nombreux groupes locaux ainsi qu'à de nombreuses salles de concert[6],[7].

Le doyen des groupes français est nantais ; il s'agit de Tri Yann (qui fait ses adieux à la scène en 2021,après 52 ans de carrière[8]). Il dépasse ainsi en longévité le groupe les Frères Jacques (dont deux des membres étaient natifs de Saint-Nazaire), qui avait tenu un peu moins de quarante ans.

Liste de quelques groupes et artistes nantais

Par ordre alphabétique :

Galerie

Groupes nantais par adoption

Les groupes nantais par adoption sont des groupes qui ne se sont pas formés à Nantes mais qui s'y sont installés :

Festivals rock nantais

  • Festival Scopitone : festival de toutes les cultures, dont de musique rock
  • Festival SOY : festival alternatif, indie-rock, antifolk, post-punk, electronica, hip-pop, post-rock (différents lieux à Nantes)
  • Alien fest : festival urbain de punk rock (2006-2016)
  • Festival Cafard Nahum : festival punk
  • Hellfest : festival de metal à Clisson, près de Nantes, d'envergure internationale

Notes et références

Notes

Références

Voir aussi

Bibliographie

  • Catherine Doublé-Dutheil, « Les groupes de rock nantais. », Vibrations, no hors-série « Rock : de l'histoire au mythe »,‎ , p. 147-158 (DOI 10.3406/vibra.1991.1100, lire en ligne, consulté le ).

Liens externes