Le Vertige (film, 1926)
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| Réalisation | Marcel L'Herbier |
|---|---|
| Scénario |
Marcel L'Herbier d'après une pièce de Charles Méré |
| Acteurs principaux | |
| Sociétés de production | Cinégraphic (société de Marcel L'Herbier, créée en 1922) et les Cinéroman |
| Pays de production |
 France |
| Genre | Drame |
| Durée | 130 minutes |
| Sortie | 1926 |
Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.
Le Vertige est un film français réalisé par Marcel L'Herbier et sorti en 1926.
Synopsis[modifier | modifier le code]
À Pétrograd[1] au début de la révolution russe, le général Svirsky a abattu Dimitrieff, l'amant de sa femme Natacha. Émigrée à Nice, Natacha Svirsky rencontre Henri de Cassel, portrait vivant du disparu. Pleine d'effroi, elle devient néanmoins sa maîtresse.
Fiche technique[modifier | modifier le code]
- Réalisation : Marcel L'Herbier
- Administrateur : Éric Allatini
- Scénario : Marcel L'Herbier, d'après la pièce de même titre de Charles Méré, en quatre actes, créée le au théâtre de Paris
- Décors : Robert Mallet-Stevens
- Photographie : Jean Letort, Hans Theyer (de)
- Costumes : Jacques Manuel et Sonia Delaunay
- Décors : Lucien Aguettand, Pierre Chareau, Robert Delaunay, Jean Lurçat, Robert Mallet-Stevens
- Société de production : Cinégraphic
- Société de distribution : Bayerische Film (Allemagne), Pathé Consortium Cinéma (France)
- Pays d'origine :
France - Langue : français
- Date de sortie : (France)
Tournage[modifier | modifier le code]
Le tournage a eu lieu au studio Éclair à Épinay-sur-Seine (aujourd’hui en Seine-Saint-Denis) et studios de Saint-Laurent-du-Var[2] (Alpes-Maritimes).
Distribution[modifier | modifier le code]
- Emmy Lynn : Natacha Svirsky
- Jaque-Catelain : Dimitrieff / Henri de Cassel
- Roger Karl : le général Svirsky
- Claire Prélia : Mme de Cassel
- Alexej Bondireff : Louis
- Leo Da Costa : un chef révolutionnaire
- Andrews Engelmann : Petroff
- Inger Früs :
- Odette Granger :
- Gaston Jacquet : Charançon
- Olivier Servan :
Innovation technique[modifier | modifier le code]
Marcel L'Herbier utilise pour son tournage une caméra gyroscopique, « Caméréclair spécial ». Marcel L'Herbier décrit ses qualités : « nous allons pouvoir vivre en pleine action ; suivre sans interruption l'effort du coureur, pénétrer plus profondément dans le drame psychologique. L'appareil peut être porté par un homme peu robuste, le moteur électrique qui le meut étant léger et le poids du gyroscope annulé par un système automatique. On peut l'adapter à l'essieu avant d'une auto, sur un porte-bagage[3]. »
Notes et références[modifier | modifier le code]
- Nom de la ville de Saint-Pétersbourg de 1914 à 1924).
- Comité de sauvegarde du vieux village de Saint-Laurent-du-Var, « Saint-Laurent-du-Var, cité du cinéma », sur village-saintlaurentduvar.fr
- Pierre Heuzé, « Une innovation technique. Un nouvel appareil de prise de vues utilisé par Marcel L'Herbier pour la réalisation du « Vertige » », Cinéa, J. Tedesco, , p. 13 (lire en ligne sur Gallica)
Voir aussi[modifier | modifier le code]
Articles connexes[modifier | modifier le code]
Liens externes[modifier | modifier le code]
- Ressources relatives à l'audiovisuel :
- Le Vertige sur la Fondation Jérôme Seydoux
