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Farouche à quatre feuilles, recueil collectif composé de quatre textes et quatre dessins d'André Breton : Alouette du parloir, Lise Deharme : Le Vrai jour, Julien Gracq : Les Yeux bien ouverts et Jean Tardieu : Madrépore ou l'architecte imaginaire[1].
Cette année-là
Max Ernst reçoit le Grand prix de peinture de la Biennale de Venise[2]. Il est exclu du groupe surréaliste.
Le poète et auteur dramatique croate Radovan Ivšić arrive à Paris et s'intègre au groupe surréaliste[3].
Le peintre suédois Max Walter Svanberg illustre entièrement le troisième numéro de la revue Médium.
Yves Tanguy n'est pas retenu pour la Biennale de Venise dont le thème est l'« Art fantastique »[4].
En Belgique, parution du premier numéro de la revue Les Lèvres nues dirigée par Marcel Mariën[5].
Halloween en noir, huile et gouache sur carton[14]
Notes et références
↑Edité par Grasset. Breton, OC tome 4, p. XXVI & p. 5. André Breton a dit son texte sur Paris Inter, diffusé le 20 octobre 1953.
↑Max Ernst à Pierre Descargues : « Jean Arp a reçu le grand prix de sculpture [...] et Joan Miró celui de la gravure. C'était l'année de la reconnaissance internationale du Surréalisme », propos cités dans Marc Dachy, Archives Dada. Chroniques, éditions Hazan, Paris, 2005 (ISBN2-7541-0009-1), p. 40.
↑André Breton, Le Surréalisme et la Peinture, Gallimard, 1928-1965, p. 139.
↑Museum of Modern Art, New York. Reproduction dans Sarane Alexandrian, L'Art surréaliste, Hazan, Paris, 1969, p. 200.
↑20 × 16 cm. Galerie Pangée, Montréal. Reproduction dans (fr + en) Alix Agret (dir.) et Dominique Païni (dir.), Surréalisme au féminin ? (catalogue de l'exposition présentée du 31 mars au 10 septembre 2023 au Musée de Montmartre-Jardins Renoir), In fine/Musée de Montmartre, (ISBN978-2-38203-116-2), p. 100.