Discussion:Auteur

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Suppression de références, de citations, etc

Jean-Jacques Georges : la forme féminine du mot auteur est un sujet suffisamment complexe pour qu'on ne le glisse pas sous le tapis comme vous venez de le faire, en supprimant du RI les occurrences féminines, et en renvoyant le tout dans une simple note de bas de page. Surtout quand je vous préviens en dif que pour répondre à vos objections de pertinence, je compte poursuivre les développements pour la partie France et Suisse.

De plus, je suis en désaccord complet avec la technique qui consiste à supprimer d'une citation d'un organisme officiel les mentions qui vous ne vous plaisent pas, ou qui montreraient une opposition entre deux organismes. C'est ce que vous avez fait en réduisant « Auteuse, aut(h)oresse et autrice, qui est la forme régulière, non néologique, sont rares » (sourcé par le Conseil supérieur de la langue française ). Votre argument Dire que "autrice" est "non néologique" est quelque chose de discutable, puisque l'Académie française en parle justement comme d'un néologisme ! n'a pas sa place ici : les deux institutions ont sur ce point des avis différents : il faut les rapporter tous deux, et certainement pas se poser en juge. --La femme de menage (discuter) 5 mai 2016 à 22:24 (CEST) [répondre]

Jean-Jacques Georges (d · c · b) Puisque vous refusez de vous expliquer, (dire sur votre PDD que vous « ramenez les formes féminines à leur juste place » (en note de bas de page !) est bien entendu une « explication » largement insuffisante), je remets donc le RI avec ses variantes homonymes, masculines et féminines. C'est d'ailleurs la règle en cas de redirection. --La femme de menage (discuter) 6 mai 2016 à 12:33 (CEST)[répondre]
Notification La femme de menage : Non, je me suis largement expliqué, et vos contributions balourdes déséquilibrent le résumé introductif. En mettant en valeur autrice, mot complètement désuet que personne n'utilise, vous êtes à la limite du pov-pushing. Et pas du bon côté de la limite, à mon avis... Jean-Jacques Georges (Sonnez avant d'entrer) 6 mai 2016 à 12:51 (CEST)[répondre]

Suppression de l'étymologie latine de la forme féminine et la mef de la forme masculine

Je ne comprends pas ces suppressions : cela entraine une régression. Est-il possible d'en connaître les raisons ? --La femme de menage (discuter) 5 mai 2016 à 22:37 (CEST)[répondre]

C'est au contraire un très net progrès par rapport au résumé introductif qui assénait d'entrée au lecteur « un auteur (du latin auctor) ou une autrice (auctrix) ». Jean-Jacques Georges (Sonnez avant d'entrer) 6 mai 2016 à 11:28 (CEST)[répondre]
L'une des versions (hors balises) était celle-ci :
De manière générale, un auteur[1] (du latin auctor), une autrice[pertinence contestée] [2](auctrix) ou une auteure[3] est une personne qui est la cause, le responsable. On peut être l'auteur d'une découverte, ou d'une œuvre.
Il est tout à fait classique de préciser l'étymologie en avertissant du changement de langue. Je ne vois donc aucune amélioration.--La femme de menage (discuter) 6 mai 2016 à 12:46 (CEST)[répondre]
En ce qui concerne la pertinence contesté du mot autrice, son emploi existe bel et bien. C'est même LE mot utilisé en Suisse. Voir les sources que j'ai du rajouter à deux reprises (p. 7/9.--La femme de menage (discuter) 6 mai 2016 à 12:56 (CEST)[répondre]
  1. Pour les hommes, et quelquefois pour les femmes de la part des personnes ou institutions refusant la féminisation des noms de métiers ; seule forme possible selon l'Académie française.
  2. Forme historique régulière, est en usage en Suisse et en Afrique francophone (Evain 2008)
  3. Forme non régulière mais passée dans l'usage et désormais préconisée en Belgique et au Canada français.